Table ouverte !

C’était mercredi dernier…
 
Et j’espère que vous avez bien suivi le fil des événements, parce que c’est fort drôle pour être particulièrement instructif.
 
Vous aurez retenu, comme tout le monde, que c’était premier jour de « déconfinement ».
Désormais, on pouvait s’offrir « une mousse » attablé en terrasse des cafés et brasseries du pays.
Bon, jusqu’à seulement 21 heures, même si certains ont abusé dépassé le coucher du soleil : Pas grave, ce seront les mêmes qui vont « pleurer » à l’approche de la quatrième vague du « Conard-virus » prévue pour les premières semaines de septembre.
C’était tellement bon (pour le pouvoir) qu’il faudra y revenir !
Je m’en tape : J’avais du retard à rattraper, ce que j’ai fait toute la journée, même s’il y avait quelques averses avenues George V et encore ailleurs sur les Champs.
Et eux, les « futurs pleureurs », ils n’avaient qu’à appeler « à la responsabilité » comme le leur avait demandé « Casse-tête », le premier des « sinistres » du pays.
D’ailleurs, celui-là était en déplacement en province, tout comme « Jupiter » qui commence sa tournée électorale en vue de 2022.
 
Pas un hasard, le choix du mercredi : Mittwoch, milieu de semaine chez les « Teutons » (eux, ils commencent à compter le dimanche et termine la semaine le samedi : Pas « Teutons » pour rien…), c’est là où on sait, dans tous les commerces, quel sera le chiffre d’affaires des semaines suivantes. Il est systématiquement égal à la semaine du mercredi au samedi qui suit l’ouverture !
Un point de repère incontournable pour les business-plans…
Et puis c’est la journée des « mères de famille » : Leurs gamins n’ont pas classe et elles font ce qui ne peut pas l’être en semaine ou le week-end.
 
Ceci dit, justement ce 19 mai, c’était la journée des flics.
Pas des enseignants ni des parents d’élève.
Et devinez quoi ?
Ils ont fait « table ouverte » en pleine rue, face au Palais Bourbon, le siège de l’Assemblée Nationale de nos députés où d’ailleurs le « Garde des sots » (« sinistre de la justice »), se qualifiant lui-même de « ministre des taulards » avait les oreilles qui sifflaient.
Parce que dehors, 35.000 policiers (sur 250.000) huaient la magistrature présumée trop laxiste avec les délinquants, les séparatistes, les islamistes, les voyous et tous les autres qu’on leur demande d’arrêter selon les procédures idoines votées par le Parlement…
 
Une « table ouverte », ce n’est pas un gueuleton.
Une « table », c’est une réunion de francs-maçons dans des locaux dédiés (je crois qu’ils appellent ça un « temple ») au sein de leurs « loges ».
Normalement les tables sont fermées et un « vénérable » accueille les membres de la loge, seulement ceux qui sont à jour de leurs cotisations. Pour y discuter de sujets qui restent secret (et parfois sans importance, mais pas tout le temps).
Quand elles sont « ouvertes », c’est qu’on y accueille des « profanes », c’est-à-dire, vous et moâ, qui ne sont pas « initiés » et n’ont pas prononcé leur serment de solidarité infini à l’égard de tous les autres « frères ».
Jusque-là, que 14 % d’une corporation décide de manifester, il n’y a pas grand drame.
Sauf à confirmer ce que je vous explique depuis des années, c’est que la police nationale est « infiltrée » par les loges maçonnes à hauteur d’un sur sept.
Bref, une confirmation, rien de plus.
 
Car, il n’y a aucun doute : Ils sont là au nom de la « Veuve et de l’Orphelin ».
En l’occurrence ceux de ce flic cruellement abattu à Avignon alors qu’il faisait son boulot.
La môme-flic égorgée à Rambouillet, qui faisait aussi son boulot pour la Patrie, c’est tout juste si elle a été évoquée.
Vous commencez à comprendre ?
Mais le plus cocasse et le plus instructif n’est pas là…
 
Qui était en tête du cortège des « hommages » et de la solidarité ?
Leur « Sinistre de l’Intérieur & des Cultes » en personne !
Le patron, quoi.
Qui était venu « en solidarité » avec… la « veuve et l’orphelin », comme tout le monde, mais également en solidarité avec tous les « frangins-trois-points » qui battaient le pavé ce jour-là… !
Tiens donc ?
 
Verra-t-on un jour la « sinistre de la santé » venir manifester devant le cortège des infirmières en colère ?
Voire camper avec elles sous ses propres fenêtres pour avoir une amélioration de leur statut ?
Peut-être même le « sinistre de les-duc-à-Sion » conduire le cortège des profs et instits en manque de reconnaissance nationale à travers la ville ?
Bé « Dard-à-la-main » qui conduit une campagne électorale difficile, lui aussi, il était là !
Fabuleux, n’est-ce pas ?
 
Et la collusion est allée plus loin encore, puisque pratiquement tous les chefs de partis « de gouvernement », à une époque ou à une autre, y étaient aussi et l’ont fait savoir…
Parfois pour dire des âneries, remarquez bien : Pas grave, ils ne seront pas poursuivis pour autant pour outrage au bon sens.
Il ne manquait que les patrons des grands-médias et de quelques sociétés cotées.
Tous les syndicalistes avaient leur représentation.
Car qui manquait ?
« Marinella-tchi-tchi » en déplacement dans le Sud-Ouest, « Mes-Luches » et les « taxis-parigots » qui sont passés par ailleurs le lendemain, mais sans leur « sinistre des transports », « J’y-Bé-D’Jeb-du-Baril » qui n’était même pas en tête de leur bruyant cortège à eux…
Solidarité gouvernementale à géométrie variable, n’est-ce, et bien « ciblée ».
La cocasserie que voilà !
 
Qui démontre, met à nu, même, comme d’une évidence « la fracture » entre « sachants » et « profanes » qui clive profondément mon pays (celui que j’aime tant et qui me le rend si mal…).
Évidemment, tout cela ne vous avait pas échappé !
J’en suis certain.
Car c’est significatif de ce qui se passe dans ce pays qui est le mien (que j’aime tant, et qui… etc.)
 
Son schéma de fonction est d’une simplicité extrême : Une poignée de « sachants » s’impose et conduit de « ses lumières » l’immense majorité de la populace restée ignare des « choses ultimes » de la vie.
Bon, au passage, on ne se gêne pas pour racketter le peuple, puisque c’est pour son bien, et on manœuvre pour qu’il renouvelle « sa confiance », quitte à marginaliser voire diaboliser toute tentative d’opposition « crédible ».
Y’en a qui ont payé pour savoir : « Juppette », « Fifi-le-souteneur », le « P.Soce », « Mes-Luches » qui se prenait pour la République à lui tout seul, « Marinella-tchi-tchi » qui se pète un câble à en devenir « bien molle » d’après « Dard-à-la-main » pour ce qui est du dernier « combats des chefs » de 2017…
Les autres sont déjà entrés dans les livres d’Histoire.
C’est ce qui se passe depuis l’entrée en campagne, celle de 2017, de « Jupiter ».
 
Au moins, du temps du « Chi », qui était passé sous le bandeau lui-même, il s’agissait seulement d’arbitrer à travers un filtre de « valeurs » dites « républicaines » qui faisaient à peu près consensus général.
Puis du temps de « Bling-bling », ces « valeurs » l’ont conduit devant les tribunaux correctionnels et à plusieurs reprises.
S’il avait tenté de se faire passer pour un « frangin-trois-points », manifestement, ils l’ont lâché pour se rendre compte qu’il trompait son monde : « TSS », Tout sauf Sarko.
On l’a eu : Un canasson boiteux qui se faisait saucer à chaque sortie et qui se prenait pour un « Capitaine de pédalo ».
Pourtant, celui-là, « grâce » aux attentats, il s’est presque montré à la hauteur mais aura réintroduit le vers dans le fruit : « Jupiter ».
Il faut dire qu’il était entouré de « frangins-trois-points » jusque dans son cabinet.
 
Et puis « Jupiter »…
Je vous laisse juge.
« Ils » ont œuvré pour sa réussite comme un seul homme.
« Ils » se remettent en branle pour lui assurer une réélection triomphale malgré la difficulté de la situation.
Mais « grâce » à la crise du « Conard-virus », ils ont pu, notamment, mettre le pays des « Lumières » en résidence-surveillée et claquer un « pognon de dingue » (quoiqu’il en coûte) que, quel que soit le successeur, on aura tous du mal à en justifier et surtout à rembourser.
À assumer, finalement : Autrement dit on se retrouve pieds et mains liés face à la finance internationale.
Demain si « Jupiter » n’est pas réélu, après-demain s’il l’est.
Autrement dit, personne n’a véritablement le choix : La démocratie aura sombré dans le grand-banditisme de la finance mondiale.
 
Alors c’est drôle que des « militaires », des officiers, parfois des généraux, eux aussi « frangins-trois-points », avertissent solennellement des risques de guerre civile.
C’est frappant que les mêmes, mais chez les flics, appellent à ce qu’on leur donne les coudées franches pour éviter la dislocation sociale.
Qui est manifestement devenue une urgence du moment.
C’est drôle que les pompiers (les « parigots » sont des militaires, les marseillais des « marins », tous les autres sont des civils semi-professionnels), pourtant en « première ligne » tout comme les « urgentistes » ne se soient pas encore mobilisés.
Pas « Franc-Maçon » ?
Non.
Ils ont d’autres urgences vitales à gérer que de faire des « tables » ouvertes ou fermées.
 
Je vous confirme donc, mais vous pouvez aussi bien le faire tout seul, que la manif’ des flics, les « lettres ouvertes » et les pétitions des officiers qui circulent et sont relayées par les « médias-aux-ordres » ne servent qu’à un seul objectif : La réélection de « Jupiter ».
Et comme une approche « directe » (je te soutiens et je distribue tes tracts dans la rue) ne serait pas viable de la part des « frangins-trois-points » qui doivent rester « secrets », on use de stratagèmes à « trois-bandes ».
Un, c’est discret, presqu’anonyme ;
Deux, on ne voit pas au premier regard d’où vient le coup ni quel objectif il poursuit réellement ;
Trois, on te prend pour un connard, ce que tu es pour rester indécrottablement « profane » !
De toute façon, on ne veut pas de toi dans nos loges.
 
Signe évident d’une manipulation : La presse (et autres médias aux mains des « frangins-trois-points ») !
Ils auront fait leurs titres et plein de colonnes dans leurs pages sur les « que 14 % » de flic en colère contre leurs « frères & sœurs de la magistrature », mais combien vous ont-ils signalé que près du tiers des taxis, cocher et ambulanciers « parigots » manifestaient ?
Aux informations locales, seulement.
Pourtant, ça en aura fait des kilomètres de bagnoles sur « mon boulevard » !
Et de bouchons un peu partout…
Information « mineure » pour le bon peuple des « profanes ».
 
Reste maintenant à attendre la réaction des « frangins » magistrats.
Parce qu’eux, mis en cause, ne font qu’appliquer la loi, a minima faute de moyens suffisants que leur « sinistre » n’a pas… la faute à Bercy et aux « députacrouilles » qui ne votent pas tout ce qu’on leur demande, quand on le leur demande seulement.
De toute façon, ceux-là sont tellement nuls que quand ils font une « proposition » de réécriture du fameux « article 24 » de la loi « sécurité intégrale », c’est tellement mal rédigé qu’ils se font retoquer par le Conseil Constitutionnel (qui a encore quelques principes à défendre) en première lecture.
Et puis j’en attends d’autres encore qui vont se faire entendre, instrumentalisés ou non d’ailleurs.
 
Personnellement, tout ça me fait bien rire, comme si nous devions rester les dupes d’électeurs indéfiniment d’une vie politique (de la cité) qui est confisquée depuis si longtemps.
À croire que les « Lumières » détenues en propriété exclusive par des « Frères-trois-points » seraient tellement aveuglantes qu’elles les rendent tous inopérants.
Caducs.
Peut-être qu’il faudrait qu’ils s’en rendent compte.
En attendant, j’en rigole encore.
Et je sens que ce n’est pas terminé… car la comédie qu’on nous joue va être magnifique !