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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 16 mai 2021

Les coulisses de « L’année Covid de Charlotte »

Ou les aventures de « Mon gardien »…
 
Celles-là, il faut que je les conte.
On est en milieu d’année précédente lorsque, tout d’un coup, je me sens « inspiré ».
Je venais de mettre un terme à l’écriture « Dans le sillage de Charlotte », l’opus de l’été dernier, quand je collecte tout ce qui passe autour du « Conard-virus ».
Une crise sanitaire mondiale, ce n’est pas un événement qui passe inaperçu, que forcément ça aura un impact sur la suite des « Enquêtes de Charlotte » : Il ne peut pas en aller autrement !
 
Sauf que c’est compliqué à souhait : On ne sait pas où on va, de quinzaine en quinzaine de confinement, attestations dérogatoires en main et les journées de boulot s’éternisent.
Le télétravail, c’est très bien, mais hors les déplacements auxquels on échappe par la force des choses, faire des « réunions » décisionnelles et opérationnelles par écrans interposés, si j’avais l’habitude de les improviser, là, ça devient sérieux.
Et les gens sérieux, je veux dire avec signature certifiée, il faut démultiplier les canaux pour les quérir utilement.
D’autant qu’ils auront passé l’année à naviguer « à vue » à la tête de leurs boutiques…
Pas grave, je suis équipé : Trois machines (plus celle de RCC), une prise USB partagée pour les impressions et les scans, des câbles partout, deux téléphones (parce que deux oreilles et pas une de plus), ça devient un peu stressant quand les uns sont sur Zoom, sur WhatsApp, les autres sur Skype et les quatrième sur encore autre chose cryptée à eux.
Enfin, peu importe, on y arrive tout de même.
 
Moâ, globalement, je termine en janvier 2021 ledit volume de l’été à suivre.
Que je transmets à « Mon Gardien », ami de confiance depuis des lustres, qui s’était fait fort de publier « mes bouquins ».
Sauf que derrière, il y a sa tambouille à lui.
Il transmet le tout à Alexis Dubois, la « narratrice », avec laquelle il a un accord… « narratif ».
Elle-même - que je ne connais pas - reste en lien avec « Charlotte » (que je ne connais pas plus).
Ne me demandez pas comment, je n’en sais rien.
Et il se trouve que « Charlotte » a besoin qu’on publie, non seulement sur le blog, mais également en imprimerie ses propres « aventures » à lui-même !
Bref, ça revient, corrigé, parfois amputé (même que je m’acharne encore à refuser qu’on « massacre » mon travail sur certains volumes).
À charge pour « Mon Gardien » de trouver finalement un éditeur complaisant.
 
Vous vous souvenez que pour l’opus « Opération Juliette-Siéra », je m’étais débrouillé tout seul après avoir un temps cru « malin » de monter une boîte d’édition.
Parfois, on fait de la diarrhée-mentale : Une idée de m… (étron) par jour, même quand il ne pleut pas, c’est assez courant, finalement.
Et je suis tombé sur « Pourrito » qui fait de l’édition « à la demande ».
https://flibustier20260.blogspot.com/2018/12/pourrito-se-rattrape-aux-branches.html
J’ai d’ailleurs rencontré sur un salon du livre l’imprimeur qui s’est reconnu grâce à ses propres numéros d’identification en dernière page…
Une obligation légale.
Et il a bien rigolé…
 
C’est là que nous nous sommes dits que nous avions toutes les données pour risquer quelques sous et tenter l’aventure, mais à condition de trouver d’autres auteurs en mal d’éditeur.
Ça tombe bien, il y en a des tombereaux.
Et ça n’a fait qu’augmenter en nombre avec le confinement !
 
Mais pourquoi réinventer l’eau chaude si d’autres font mieux et moins cher ?
Nous, on avait du mal à passer sous les 21 euros réclamés par « Pourrito » sur chaque exemplaire vendu.
Donc, « Mon Gardien » s’est entiché d’Amazon (éditions).
La plateforme vend de tout (ou presque) mais à l’origine, Jeff Bezos, tout jeune diplômé des meilleurs ékoles de son pays, se met à la colle avec une libraire.
Qu’il épousera plus tard pour mieux en divorcer encore plus tard.
Les histoires de kul des milliardaires et des « peoples », figurez-vous que ça ne m’intéresse pas du tout : J’ai les miennes à gérer et ce n’est déjà pas facile…
 
Toutefois, le bonhomme décline une chaîne de fabrication de bouquin à éditer « à la demande ».
Pour pas cher en plus, et il en fait plein de jus.
Tu lui fournis le manuscrit sur un des modèles pré-dimensionnés (de ton choix).
Tu lui fais la couverture, toujours sur des modèles proposés (de ton choix), mais tu peux très bien les faire « à ta guise », avec tes photos, tes textes, etc.
Et tu rajoutes un sommaire sur une pagination qui n’a rien à voir avec la tienne…
C’est comme ça.
Et lui, et ses logiciels, il te le met à la vente sous 72 heures : Simple !
Tu passes commande et il te livre également sous 72 heures pour 1 centime.
Et ça marche plutôt bien, sauf que…
 
Coup de téléphone la semaine dernière : « Ils refusent le manuscrit ! »
Ah oui ? Et pour quelle raison ?
D’après lui, ce n’est pas parce que le texte est une copie d’un ouvrage déjà existant en piratage des droits d’auteur d’autrui.
Ce n’est pas possible.
J’ai même vérifié que le titre n’existait pas encore.
Ni parce qu’il y a des expressions interdites faisant l’apologie de crimes, de violences, de l’antisémitisme, de la pédophilie, du racisme, du terrorisme ou je ne sais quoi encore, style injures, diffamations diverses et autres horreurs : Chez moâ, ça n’existe même pas plus.
J’y fais très attention.
« Reste l’atteinte à la sûreté de l’État ! »
Pardon ?
 
J’en rigole très fort, parce que cette « atteinte », elle a été consommée avec « Opération Juliette-Siéra » qu’avant même d’en faire un bouquin, je me souviens parfaitement d’avoir eu au kul une surveillance « étroite », je veux dire jusque sur « mon trottoir », d’écoute diverses et variées de services « qui n’existent pas ».
J’ai même croisé « Ricardo », une sorte de tueur-barbouzard qui faisait le gué sur le trottoir d’en face, me suivait des yeux à chaque fois que j’allais en fumer une, et que j’ai abordé franco un jour où il y avait plein de monde sur mon boulevard…
J’avais pris la précaution de lui tirer le portrait la veille ou l’avant-veille : Il fallait que je le lui dise…
 
Même mon blog de l’époque avait été bloqué plusieurs jours par une quelconque autorité passagère.
Ni accessible, ni administrable : Ce n’est pas pour rien que je me suis replié sur « Gogol » depuis une porte d’entrée canadienne après en avoir testée une autre en Californie…
Non, « là, je flagorne juste Bill Gates, pour mieux le dégommer sur la fin… »
Et encore, c’est tout juste « mignon » : J’aurai pu faire pire, même si j’aime bien le personnage, finalement.
Ça ne peut pas être ça !

À moins qu’on n’apprécie pas en « haut-lieu » mes « racontars » sur l’origine de la pandémie : J’y introduis, mais depuis le volume « Ultime récit - suite » le professeur Phîu, généticien récupéré par Pékin…
Allez donc savoir : Ce n’est pas orthodoxe, mais de là à censurer, il y a des limites à l’honnêteté, puisqu’il s’agit d’une œuvre de fiction et que Phîu existe bien, mais il a un autre nom.

Je viens de le découvrir récemment : On n’en reparlera peut-être sous peu…

 
Donc je prends sur mon temps de loisir et je pars à la pêche des éditeurs pris comme alternative à Amazon.
Pour tomber sur celui-là : https://www.monbeaulivre.fr/  
Et voilà que je reprends l’ensemble de ma doc et en deux et trois mouvements, je me retrouve avec ce manuscrit-là mis en vente :
L'année covid de Charlotte - Les enquêtes de Charlotte (monbeaulivre.fr)
Là, en revanche, on ne choisit pas vraiment le tarif de vente, mais peu importe…
Et je commande un exemplaire : 8,47 € je ne vais pas me ruiner, d’autant que c’est moins cher que chez Amazon (qui facture 10,98 €… enfin à vérifier…).
Mais attention, pour l’obtenir, il faut payer l’envoi postal soit 6,32 € en sus !
Chez Amazon, c’est seulement 0,01 centime si c’est livré en « point-retrait »…
Amazon.fr - L'année Covid de Charlotte: Les enquêtes de Charlotte - Flibustier 20260, Dubois, Alexis - Livres
Et voilà comment on se retrouve avec deux éditeurs pour un même ouvrage, avec deux numéros ISBN !
 
Bon, ne vous précipitez pas : Je me fais livrer d’abord pour vérifier que tout est en ordre.
Parce que chez Amazon, le manuscrit est « en révision ».
Quant à « Monbeaulivre.fr », d’après mon banquier, ils n’ont pas encore prélevé les sommes dues sur mon compte !
Sérieux…
Comme quoi, c’est un parcours du combattant, même pas pour concourir au « Prix Nobel de littérature ».
Ni à rien d’autre.
 
Et, pariant que ça allait fonctionner, j’ai pris de l’avance dimanche dernier en tançant copieusement « Mon Gardien », le traitant de « pied-nickelé » et autres appréciations de la même espèce, qui n’entameront pas pour autant notre longue amitié : Elle en a vu d’autres, avec ses hauts et ses bas…
En réplique, il m’a fait savoir que le bouquin était depuis disponible à la vente chez Amazon.
Puis trois jours après qu'il était à nouveau bloqué…
Puis de nouveau disponible à la vente !
Deux éditeurs vous dis-je pour un seul volume : Rassurez-vous Amazon, d’après ce que j’en ai compris est 4 centimes moins cher que l’autre pour la fabrication du « volume à la demande ».
Allez savoir pour quelle raison ?
 
Et puis je suis passé à autre chose : Bâtir le scénario du prochain opus.
En mettant quelle que part l’idée de mettre en ligne les posts pour cet été (tant que je suis encore vivant…).
Or, comme j’ai droit à des « grandes vacances », la première fois depuis mes « années fac », il faut aussi que je complète mes moments d’absence…
Probablement en reprenant des « dossiers d’archive » inédites sur ce blog.
On verra bien.
 
En attendant, voilà notre dernier dimanche de confinement.
Que je vous souhaite, à toutes et tous, totalement ensoleillé !
La semaine suivante, c’est la Pentecôte : J’irai probablement « à la mer ».
Ça fait si longtemps que je n’ai pas marché sur du sable, pieds-nus !
Bien à vous, à toutes et à tous !
 
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