Ils nous ont promis des révélations « sensationnelles »
Pour le 1er juin prochain.
En attendant, des « fuites » savamment millimétrées alimentent le suspens.
Comme par exemple cette annonce que quantité de « drones inconnus » ont harcelé des destroyers américains il y a une poignée d’années de ça.
Mais qui, comment, pourquoi, évidemment, nul ne le sait.
C’est dans le « The Drive » de fin mars
dernier qu’on nous a fait part d’une étrange affaire : À l'été 2019, des
destroyers de l’US Navy, naviguant au large des côtes californiennes ont été
approchés et harcelés par des essaims de drones, de modèle et d’origine
inconnus.
Deux ans plus tard, malgré une enquête ayant impliqué le FBI ainsi que les plus hautes sphères de la force navale américaine, nul ne semble savoir ce qu’étaient ces choses volantes, ce qu’elles voulaient, ni d’où elles venaient, et il semble que l’US Navy n’ait pas été la seule concernée.
Moâ, ça me fait doucement rigoler : Vous allez savoir pour quelle raison.
C’est le documentariste (et amateur d’ovni) Dave Beaty
qui, en juin 2020, a relaté le premier cette rencontre entre la Navy et ces
mystérieux objets volants non identifiés.
Chez nous, la gendarmerie collecte les témoignages, photos, enquête auprès des stations radars de l’aviation civile et même militaire.
Et recueille bon an mal an quelques dizaines de « phénomènes » sans aucune explication… tous les ans !
Chez eux, il faut faire jouer un mécanisme bien américain de droit à l’information (issu du premier amendement à leur constitution), le Freedom of Information Act, et le « The Drive » a pu ensuite enquêter sur l’affaire.
Il apparaît que, plusieurs nuits en juillet 2019, de multiples navires américains (les USS Kidd, Rafael Peralta, Russell, John Finn et Paul Hamilton) ont été approchés voire harcelés par des objets volants que ni leurs systèmes électroniques de pointe ni leurs équipes spécialisées dans le renseignement visuel (nommées SNOOPIE) n’ont pu identifier.
Une chose semblait en revanche certaine : Les ovnis en
question, qui ont opéré sur de longues durées, de grandes distances, à des
vitesses importantes et effectué des manœuvres complexes et coordonnées dans des
conditions météorologiques difficiles, ne peuvent être des machines civiles.
Aucun drone du commerce ne dispose des caractéristiques techniques nécessaires pour ce type de vol !
Simple, non ?
Près de deux ans plus tard, l’Amiral Michael Gilday, membre « étoilé » de l’US Navy, a expliqué à la presse américaine que les indésirables engins n’avaient toujours pas été identifiés.
Surtout, il a développé l’idée que des rencontres avec le même type d’appareils inconnus avaient été rapportées par les forces aériennes ou maritimes d’autres nations alliées des États-Unis.
« Ces données ont été recueillies et sont encore en cours d’analyse », a précisé le haut gradé, expliquant que des process clairs ont été mis en place pour mener ce genre d’enquête.
À la question qui ne pouvait manquer de venir de
savoir si ces essaims volants d’origine inconnue pouvaient être de nature
extraterrestre, Michael Gilday a botté en touche, expliquant ne pas pouvoir
répondre à cette question.
Le « The Drive » note néanmoins que les événements de juillet 2019 se sont déroulés à proximité de l’île de San Clemente, au large de Los Angeles.
Celle-ci appartient à l’United States Navy qui y mène diverses opérations (surveillance, entraînement des SEALs, etc.)
Certaines le sont sous le sceau du secret : Il n’est
donc pas tout à fait impossible que les destroyers américains aient été
utilisés, à leur insu, comme cobayes pour le test de matériels militaires n’ayant
pas encore été rendus publics.
Mais « The Drive » note également que les forces armées de nombreuses nations, notamment rivales comme la Chine, travaillent sur la conception de tels essaims coordonnés de drones armés.
Ces nuages volants pourraient permettre de noyer les défenses ennemies sous le nombre et permettre de porter des attaques fatales.
L’enquête menée par l’US Navy, conjointement avec le FBI, parait impliquer de nombreux services et gradés : Il semble tout de même y avoir anguille sous roche, et elle pourrait ne pas être américaine.
Donc rien d’alarmant pour autant… ?
Alors intox ou info ?
Juste un message à l’adresse des allumés-Ovni ?
Ne bougez pas, on va vous expliquer tous ces phénomènes inexplicables comme ces vues 1.000 fois revues de « pod de poursuite » installé sur les chasseurs aériens US qui suivent un objet non identifié dans le ciel.
Avec parfois des trajectoires ahurissantes.
Je n’y crois pas vraiment plus, même si ça existe réellement (tout comme l’Ovni de Jérusalem : https://www.youtube.com/watch?time_continue=6&v=_wGzJzNmE7M&feature=emb_logo)
Notre « Capitaine Haddock » (feu Jean-Charles Duboc : Amazon.fr - Les milliards disparus de la Division Daguet - Duboc, Jean Charles - Livres), qui en aura croisé un au-dessus de Paris sur un vol cargo Nice/London, avec confirmation radar, vous dira qu’il s’agit de la confirmation de ce que tous les pilotes du monde connaissent, puisqu’ils reçoivent une formation sur les comportements appropriés à avoir en cas de rencontre inopinée.
Pour ma part, j’ai toujours pensé qu’il s’agissait
d’une « (f)ummisterie » (du mot « Ummo », civilisation
aliène inventée par de joyeux drilles de « La Baleine joyeuse », une
brasserie madrilène (cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9_Luis_Jord%C3%A1n_Pe%C3%B1a).
À chacun ses opinions, n’est-ce pas…
D’autant que j’ai une rubrique « Histoire
d’en rire » sur ce blog qui reprend de temps en temps les traductions -
parfois approximatives - des pages « humour » de la « Gazette
galactique », où les « Ummos » sont largement moqués par l’espèce
dominante de ce coin de notre Galaxie, les « Kameulfs ».
Je vous en ai même fait faire un recueil par « Mon gardien » : https://www.amazon.fr/Histoires-den-rire-Humour-Kameulf/dp/1091048436/ref=sr_1_2?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&keywords=flibustier75006&qid=1553534771&s=books&sr=1-2-catcorr qu’il faudrait que je reprenne pour l’enrichir et en faire un format « poche » un peu plus conséquent.
Et que j’attends justement les révélations du 1er juin prochain pour en rajouter…
C’est vous dire si je m’amuse.
Comme c’est un thème qui remue la blogosphère
aliène, « Charlotte » me fait approfondir le sujet à travers divers
ouvrages disponibles en librairie.
(Suivez les liens sur la colonne de gôche).
Et dans le dernier opus (https://www.amazon.fr/Lann%C3%A9e-Covid-Charlotte-enqu%C3%AAtes/dp/B09483MHCJ/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&dchild=1&keywords=l%27ann%C3%A9e+covid+de+charlotte&qid=1621519568&sr=8-1), j’y introduis une explication « logique » et cohérente : Les Hytrutes !
Il faut dire qu’Escoffier qui plie son voilier en 4 secondes dans le Grand-Sud à l’occasion du dernier Vendée-Globe Challenge, ça interroge…
Bref, les « Hytrutes » sont des
robots équipés d’une IA surdimensionnée émanant de la civilisation du même nom
déjà disparue et très antérieure à notre humanité qui se sont posés en
éclaireur sur le continent antarctique en vue d’une colonisation de notre planète
devant servir de refuge à leurs créateurs.
Comme entre-temps la planète Terre s’est largement refroidie, ils se sont retrouvés recouverts de glacier mais patrouillent encore dans nos océans et notre atmosphère.
De temps en temps.
On en a beaucoup vu au moment du tsunami qui aura ravagé la centrale Fukushima Daiichi, c’est largement documenté, et de Tchernobyl (ça l’est moins).
Bref, ils veillent.
En attendant des instructions qui ne viendront jamais.
Une hypothèse intéressante à plusieurs égards, naturellement.
Qui d’ailleurs a déjà été évoqué (avec d’autres noms) par des plus savants que moâ depuis plusieurs décennies.
Alors, est-ce qu’on va avoir des éléments
nouveaux de valeur scientifique en attendant que le réchauffement global mette
à nu les monts, vallées et lacs du continent antarctique (ce qui forcerait les
robots des « Hytrutes » à décamper), ou bien est-on devant une
nouvelle « arnaque » de quelques « militareux » quémandant
de nouveaux subsides pour faire face à cette « menace » nouvelle ?
C’est vous dire que je reste impatient de vieillir au moins jusqu’au début de la semaine à suivre…
La science avance et parfois, elle me fait
bien rire.
Vous aussi, espère-je !
Bonne continuation de votre week-end rallongé
à toutes et à tous !
I3
En attendant, des « fuites » savamment millimétrées alimentent le suspens.
Comme par exemple cette annonce que quantité de « drones inconnus » ont harcelé des destroyers américains il y a une poignée d’années de ça.
Mais qui, comment, pourquoi, évidemment, nul ne le sait.
Deux ans plus tard, malgré une enquête ayant impliqué le FBI ainsi que les plus hautes sphères de la force navale américaine, nul ne semble savoir ce qu’étaient ces choses volantes, ce qu’elles voulaient, ni d’où elles venaient, et il semble que l’US Navy n’ait pas été la seule concernée.
Moâ, ça me fait doucement rigoler : Vous allez savoir pour quelle raison.
Chez nous, la gendarmerie collecte les témoignages, photos, enquête auprès des stations radars de l’aviation civile et même militaire.
Et recueille bon an mal an quelques dizaines de « phénomènes » sans aucune explication… tous les ans !
Chez eux, il faut faire jouer un mécanisme bien américain de droit à l’information (issu du premier amendement à leur constitution), le Freedom of Information Act, et le « The Drive » a pu ensuite enquêter sur l’affaire.
Il apparaît que, plusieurs nuits en juillet 2019, de multiples navires américains (les USS Kidd, Rafael Peralta, Russell, John Finn et Paul Hamilton) ont été approchés voire harcelés par des objets volants que ni leurs systèmes électroniques de pointe ni leurs équipes spécialisées dans le renseignement visuel (nommées SNOOPIE) n’ont pu identifier.
Aucun drone du commerce ne dispose des caractéristiques techniques nécessaires pour ce type de vol !
Simple, non ?
Près de deux ans plus tard, l’Amiral Michael Gilday, membre « étoilé » de l’US Navy, a expliqué à la presse américaine que les indésirables engins n’avaient toujours pas été identifiés.
Surtout, il a développé l’idée que des rencontres avec le même type d’appareils inconnus avaient été rapportées par les forces aériennes ou maritimes d’autres nations alliées des États-Unis.
« Ces données ont été recueillies et sont encore en cours d’analyse », a précisé le haut gradé, expliquant que des process clairs ont été mis en place pour mener ce genre d’enquête.
Le « The Drive » note néanmoins que les événements de juillet 2019 se sont déroulés à proximité de l’île de San Clemente, au large de Los Angeles.
Celle-ci appartient à l’United States Navy qui y mène diverses opérations (surveillance, entraînement des SEALs, etc.)
Mais « The Drive » note également que les forces armées de nombreuses nations, notamment rivales comme la Chine, travaillent sur la conception de tels essaims coordonnés de drones armés.
Ces nuages volants pourraient permettre de noyer les défenses ennemies sous le nombre et permettre de porter des attaques fatales.
L’enquête menée par l’US Navy, conjointement avec le FBI, parait impliquer de nombreux services et gradés : Il semble tout de même y avoir anguille sous roche, et elle pourrait ne pas être américaine.
Donc rien d’alarmant pour autant… ?
Juste un message à l’adresse des allumés-Ovni ?
Ne bougez pas, on va vous expliquer tous ces phénomènes inexplicables comme ces vues 1.000 fois revues de « pod de poursuite » installé sur les chasseurs aériens US qui suivent un objet non identifié dans le ciel.
Avec parfois des trajectoires ahurissantes.
Je n’y crois pas vraiment plus, même si ça existe réellement (tout comme l’Ovni de Jérusalem : https://www.youtube.com/watch?time_continue=6&v=_wGzJzNmE7M&feature=emb_logo)
Notre « Capitaine Haddock » (feu Jean-Charles Duboc : Amazon.fr - Les milliards disparus de la Division Daguet - Duboc, Jean Charles - Livres), qui en aura croisé un au-dessus de Paris sur un vol cargo Nice/London, avec confirmation radar, vous dira qu’il s’agit de la confirmation de ce que tous les pilotes du monde connaissent, puisqu’ils reçoivent une formation sur les comportements appropriés à avoir en cas de rencontre inopinée.
À chacun ses opinions, n’est-ce pas…
Je vous en ai même fait faire un recueil par « Mon gardien » : https://www.amazon.fr/Histoires-den-rire-Humour-Kameulf/dp/1091048436/ref=sr_1_2?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&keywords=flibustier75006&qid=1553534771&s=books&sr=1-2-catcorr qu’il faudrait que je reprenne pour l’enrichir et en faire un format « poche » un peu plus conséquent.
Et que j’attends justement les révélations du 1er juin prochain pour en rajouter…
C’est vous dire si je m’amuse.
(Suivez les liens sur la colonne de gôche).
Et dans le dernier opus (https://www.amazon.fr/Lann%C3%A9e-Covid-Charlotte-enqu%C3%AAtes/dp/B09483MHCJ/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&dchild=1&keywords=l%27ann%C3%A9e+covid+de+charlotte&qid=1621519568&sr=8-1), j’y introduis une explication « logique » et cohérente : Les Hytrutes !
Il faut dire qu’Escoffier qui plie son voilier en 4 secondes dans le Grand-Sud à l’occasion du dernier Vendée-Globe Challenge, ça interroge…
Comme entre-temps la planète Terre s’est largement refroidie, ils se sont retrouvés recouverts de glacier mais patrouillent encore dans nos océans et notre atmosphère.
De temps en temps.
On en a beaucoup vu au moment du tsunami qui aura ravagé la centrale Fukushima Daiichi, c’est largement documenté, et de Tchernobyl (ça l’est moins).
Bref, ils veillent.
En attendant des instructions qui ne viendront jamais.
Une hypothèse intéressante à plusieurs égards, naturellement.
Qui d’ailleurs a déjà été évoqué (avec d’autres noms) par des plus savants que moâ depuis plusieurs décennies.
C’est vous dire que je reste impatient de vieillir au moins jusqu’au début de la semaine à suivre…
Vous aussi, espère-je !
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