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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 14 mai 2021

Les secrets du bonheur conjugal

Une « revenue » de Jean-Marc
 
Hier, on fêtait les Duchmoll.
Cinquante ans de mariage !
Sans jamais un seul accroc connu.
Jamais de chicanes.
Un couple exemplaire.
Jean-René, un des petits-fils, a demandé à son grand-père le secret d’une telle harmonie.
« Ouf ! C’est loin tout ça…
Eh bien, ça remonte à notre voyage de noces.
On avait décidé de faire les châteaux de la Loire et de visiter la parenté de ta grand-mère.
Son oncle, Jean-Léon, possédait une terre immense avec une bonne dizaine d’étangs, et nous avait invités à faire une excursion à dos d’âne et peut-être abattre un oiseau ou deux, ou tirer un lièvre.
Du braconnage familial.
La piste n’était pas très facile. Très boueuse.
Ta grand-mère, Marie-Rose, montait une ânesse.
Elle me suivait sur la piste. Tout d’un coup, je l’ai entendu dire…
« – Tiens. Première fois !
– Première fois quoi ?
– Elle a glissé.
– Ah ? »
Quelques minutes plus tard, elle crie…
« – Bon. Deux fois !
– Deux fois quoi ?
– Elle a glissé. »
Enfin, après une bonne heure en forêt, on a atteint l’étang le plus éloigné où on a fait un magnifique déjeuner sur l’herbe.
Il faisait beau. Il faisait chaud. On était heureux…
On a même fait un tour de canot… pendant que l’oncle Jean-Léon taquinait la carpe.
Au retour, c’est ta grand-mère qui ouvrait la marche, toujours sur la même ânesse.
Je la suivais.
Soudain, sa monture a perdu pied et ta grand-mère a failli tomber.
Elle a eu très peur car il y avait de gros rochers tout autour.
C’est alors qu’elle est descendue de la bête pour l’engueuler…
« Pas trois fois. Jamais ! Jamais ! Pas à moi ! T’as compris. Jamais ! »
Elle a sorti son fusil et, froidement, elle a abattu la pauvre bête.
Là, je l’ai engueulée lui disant qu’on ne tue pas une bête parce qu’elle glisse…
Tu es folle lui ai-je dit !
Elle m’a regardé droit dans les yeux et a crié…
– Jean-René… Première fois ! »
 
De ma « petite-sœur », à l’occasion d’une inspection de l’académie.
L’inspecteur d’école après avoir terminé sa visite demande :
« Personne n’a de question à me poser ? »
Un élève, dix ans, lève la main et demande :
« Quand partez-vous ? »
 
M. Ver de terre et sa femme rencontrent une de leurs amies.
« Tiens, où est donc votre mari » demande monsieur Ver.
« À la pêche », répond l’amie.
 
Un gars rentre du travail et s’écrase devant la télé pour regarder le match de foot. 
Il dit à sa femme :
« Chérie, pourrais-tu m’apporter une bière avant que ça commence ? »
Sa chérie se lève et lui apporte sa bière.
Vers la fin de la première période, il lui dit encore :
« Chérie, pourrais-tu m’apporter une bière avant que ça commence ? »
Et sa chérie, repart lui chercher une bière.
Au milieu de la seconde mi-temps, ça fait déjà 8 fois que « Chérie » va lui chercher une bière.
Elle lui répond :
« – Ça suffit, va la chercher toi-même ta bière.
– Ça y est, ça commence ! »
C’était une revenue… Dans l’original, ça se passait dans un bar avec Jean-Marc.
Une autre ?
 
Quand Dieu créa le monde, il accorda à l’homme vingt ans de vie sexuelle active.
L’homme a boudé, disant que ce n’était pas beaucoup.
Il convoqua ensuite le singe et lui donna vingt ans de vie sexuelle active.
Le singe lui dit que c’était trop : « J’en aurai assez de dix ans ! »
L’homme demanda la permission de récupérer ces dix années supplémentaires et Dieu les lui accorda.
Il convoqua ensuite le perroquet pour lui donner également ses vingt ans de vie sexuelle active, qui lui aussi n’en garda que dix et Dieu remit les dix autres années à l’homme.
C’est ça disent les femmes…
« Pendant les 20 premières années, tout va bien, mais c’est après que ça se gâte. 
On a droit à dix ans de singeries et un autre bon dix ans où ils radotent leurs exploits passés. »
Dans l’originale, il ne s’agissait pas de vie sexuelle, mais de la vie tout-court…
 
Parlant du retour de l’ancien dans la mode avec une petite copine de son âge, une fillette de 11 ans fait remarquer :
« Tu sais, il paraît que maman a aussi porté des chaussures à talon compensé, à l’époque ! »
Sa petite sœur, 4 ans, intervient pour demander :
« C’est où, l’Époque ? »
 
Après l’avoir créé au paradis terrestre, Dieu dit à Adam :
« Je vais concevoir pour toi une femme, cette compagne sera pour toi, un complément dont tu ne pourras te passer.
Elle t’accompagnera partout, fera ce que tu voudras et vous ferez l’amour, aussi souvent que tu en auras envie.
– Combien cela me coûtera ?
– Les yeux de la tête.
– Ouais, qu’est-ce que je pourrais avoir pour une côte flottante ? »
Vous connaissez la suite…
 
C’est une jeune fille qui vient prendre place dans le confessionnal.
Elle se penche à la grille du parloir et commence :
« – Pardonnez-moi mon père, parce que j’ai péché.
– Allez-y mon enfant, parlez, quel péché avez-vous commis ?
– Mon père, j’ai commis le péché de vanité.
Deux fois par jour, je me contemple devant le miroir en me disant que je suis magnifique. »
À ce moment-là le curé se penche à la grille et observe longuement la jeune fille, puis il lui dit :
« Mon enfant, j’ai une bonne nouvelle pour vous : Ce n’est pas un péché, c’est simplement une erreur. »
 
De Jean-Marc à Jean-Paul en phase de préparation de déconfinement : Ils s’entraînent pour l’ouverture programmée des bars.
« – Quelle est la différence entre un jeune mari et un chien ?
– Ah ça, tout le monde le sait.
– Et c’est quoi ?
– Après un an, le chien est encore excité en voyant entrer sa maîtresse. »
 
Les mêmes :
« – Savais-tu que les boissons favorites de l’homme dépendent de son âge.
– Ah ?
– 17 ans bière. 25 ans whisky. 35 ans vodka. 48 ans double vodka. 66 ans Maalox dissout dans de l’eau…
– Eh bien, tous les deux, nous sommes restés jeunes !
Santé ! »
 
« Tu sais qu’une femme peut fort bien porter une robe de bal sans savoir danser, une robe de cocktail sans avoir soif, un maillot de bain sans savoir nager.
Et se mettre toute nue sans savoir faire l’amour.
Mais si elle met une robe de mariée, elle sait tout de suite s’en servir. »
 
Une rigolote qui n’a pas pris une ride :
Deux amants s’enlacent passionnément quand soudainement la femme tend l’oreille et dit à son amant :
« CIEL, mon mari ! Cache-toi dans la salle de bain. »
L’amant pris de panique s’élance dans la salle de bain et ferme la porte.
Jean-Marc entre dans la chambre voit sa femme nue et demande :
« Que fais-tu toute nue sur le lit ? »
Sa femme prend un air séducteur et lui dit :
« – Mais chéri je t’attendais.
– Génial, ne bouge pas je vais aux toilettes et je reviens ! »
Avant même que la femme n’ait le temps de dire un mot, il ouvre la porte et voit l’amant, flambant nu, qui dévisse une partie du lavabo.
« – Mais qui êtes-vous ?
– Je suis l’exterminateur de mites, votre femme m’a téléphoné aujourd’hui pour que je vienne régler votre problème d’insectes, maintenant j’ai presque terminé.
– Mais… mais… Vous n’avez pas de vêtements, mais vous êtes nu !
– AH ! Ces foutues bestioles ! »
 
Jean-Gérard, sur son lit de mort, se confie à sa femme.
« – Marguerite, tu trouveras dans le premier tiroir de mon bureau trois enveloppes brunes. Ce sont mes dernières volontés. Je compte sur toi pour t’en occuper.
– Oui mon Jean-Gé. Ne sois pas inquiet. »
Et l’homme lâche son dernier souffle.
Le lendemain, Marguerite ouvre la première enveloppe.
Elle trouve 5.000 € et un mot. « Cet argent te servira à payer un beau cercueil. »
Elle s’exécute et achète ce qu’il y a de mieux en chêne.
Dans la deuxième enveloppe, elle trouve 10.000 € et un mot. « Cet argent te permettra d’offrir une fête merveilleuse après l’enterrement. »
Elle organise une fête mémorable.
Enfin, dans la troisième lettre, elle trouve 25.000 €. « Achète une belle pierre avec cet argent. »
Elle s’est précipitée chez le bijoutier…
 
Paulette et Jeanne sont soignées dans un hôpital psychiatrique.
Hier, Paulette a plongé dans a piscine et a coulé à pic.
Ne faisant ni un ni deux, Jeanne saute à l’eau et va chercher Paulette au fond et la ramène à la surface.
Quand le Directeur apprend l’acte héroïque de Jeanne, il décide de lui donner son congé.
En effet, si elle est capable d’un tel geste héroïque, elle est mentalement stable. Et il lui annonce la bonne nouvelle.
Il lui dit :
« – J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle à t’apprendre. La bonne, c’est que nous te laissons sortir de l’hôpital parce que tu as été capable d’accomplir un acte de bravoure en sauvant la vie d’une autre personne.
Je crois que tu as retrouvé ton équilibre mental.
La mauvaise, c’est que Paulette s’est pendue dans la buanderie avec la ceinture de sa robe de chambre.
– Elle ne s’est pas pendue, c’est moi qui l’ai accrochée pour qu’elle sèche. »
 
Solutions des contrepèteries de la semaine passée :
 
« Le syndicat des dockers veut provoquer les fesses de Bardot »
(Désolé : À l’origine, la phrase devait être « le syndicat de dockers veut provoquer les baisses de fardeaux »… Manque de concentration sur ce que je fais…)
« Le ministre bourré n’est pas cocu ! »
« Des fesses de jeunots… »
 
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
 
« Jean-Marc, spécialiste de l’Afrique, faisait souvent la tête. »
« Les sondeurs l’ont toujours réduit. »
« Ce n’est qu’un casseur de brouillon… »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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PS : N’oubliez pas la bibliothèque de « mon gardien » qui annonce l’arrivée d’un volume inédit des « Enquêtes de Charlotte » : « L’année Covid de Charlotte » !
Ma bibliothèque (livresinterdits.blogspot.com)
https://livresinterdits.blogspot.com/2019/09/ma-bibliotheque-1.html

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