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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 24 mai 2021

Le « Conard-virus » et son origine (2)…

Toujours surpris mais pas étonné
 
On avait vu jeudi dernier que non seulement « on » en parlait de plus en plus dans les médias alors que le thème était régulièrement censuré sur « les réseaux » jusqu’alors.
(I-Cube (l'exilé): Encore une information démente ! (flibustier20260.blogspot.com))
Et ça persiste, comme s’il y avait eu un « lâcher » de barrage.
La rivière (de la rumeur) enfle en aval…
Manipulation de l’opinion ou réalité scientifique ?
 
La réalité, c’est que l’on sait de façon certaine que l’Institut de virologie de Wuhan collecte de nombreux coronavirus sur des chauves-souris depuis l’épidémie de SRAS en 2002. Car ils ont également publié des articles scientifiques décrivant comment ces virus de chauve-souris ont interagi avec les cellules humaines.
Notez également que le personnel de l’ambassade des États-Unis a visité le laboratoire en 2018 et avait noté l’existence de graves problèmes de sécurité concernant les protocoles observés dans l’installation.
Le laboratoire se trouve à seulement 13 km du marché humide de Huanan, où le premier groupe d’infections a éclaté à Wuhan.
Le marché n’est qu’à quelques centaines de mètres d’un autre laboratoire appelé Wuhan Centers for Disease Prevention and Control (WHCDC).
Le WHCDC a gardé dans les cages de ses laboratoires des animaux atteints de maladies, dont quelque 605 chauves-souris.
 
L’année dernière, un article explosif de l’Université de technologie de Chine du Sud, parrainée par Pékin, a raconté comment des chauves-souris avaient autrefois attaqué un chercheur du WHCDC et que le sang de chauve-souris avait atteint sa peau.
Le rapport indique : « Les séquences génomiques des patients étaient identiques à 96 % ou 89 % au coronavirus Bat CoV ZC45 trouvé à l’origine dans Rhinolophus affinis (chauve-souris en fer à cheval intermédiaire). » 
Il décrit comment les seules chauves-souris indigènes se trouvent à environ 600 miles du marché de fruits de mer de Wuhan et que la probabilité que des chauves-souris s’envolent des provinces du Yunnan et du Zhejiang était minime. 
De plus, peu de choses suggèrent que la population locale mange les chauves-souris comme en témoignent les témoignages de 31 habitants et 28 visiteurs.
Au lieu de cela, les auteurs indiquent que des recherches sont menées à moins de 300 mètres au WHCDC.
Selon ce rapport-là, l’un des chercheurs du WHCDC a décrit s’être mis en quarantaine pendant deux semaines après que le sang d’une chauve-souris se soit répandu sur sa peau. Ce même homme s’est également mis en quarantaine après qu’une chauve-souris lui a uriné dessus.
 
Et il mentionne également la découverte d’une tique vivante d’une chauve-souris - des parasites connus pour leur capacité à transmettre des infections par le sang d’un animal hôte.
Le rapport dit : « Le WHCDC était également adjacent à l’hôpital de l’Union où le premier groupe de médecins a été infecté au cours de cette épidémie. »
« Il est plausible que le virus ait fui et que certains d’entre eux aient contaminé les premiers patients de cette épidémie, bien que des preuves solides soient nécessaires dans les études futures. »
Bref, la pandémie de « Conard-virus » trouve bien son origine à Wuhan : C’est « historique ».
Mais rien ne nous dit qu’il soit sorti du laboratoire P4 (WIV) ou du WHCDC de la même ville.
 
En 2015, des scientifiques de l’armée chinoise avaient discuté de la manière de militariser les coronavirus du SRAS, cinq ans avant l’apparition de la pandémie de COVID-19 à Wuhan, en Chine – où des scientifiques du PCC collaboraient avec une ONG financée par les États-Unis sur des recherches dites de « gain de fonction » pour que les coronavirus de chauves-souris infectent plus facilement les humains.
On le sait parce que l’article qui y fait référence suggère que les coronavirus du SRAS pourraient annoncer une « nouvelle ère d’armes génétiques », et note qu’ils peuvent être « manipulés artificiellement en un virus pathologique humain émergent, puis utilisés comme arme et libérés d’une manière jamais vue auparavant ».
Je vous l’avais précisé jeudi dernier.
 
Par ailleurs, un document très officiel, en langue chinoise, intitulé The Unnatural Origin of SARS and New Species of Man-Made Viruses as Genetic Bioweapons (L’origine non naturelle du SRAS et les nouvelles espèces de virus artificiels en tant qu’armes biologiques génétiques), décrit les progrès de la Chine dans le domaine de la recherche sur la guerre biologique.
« À l’instar de l’évolution dans d’autres domaines scientifiques, des progrès majeurs ont été réalisés dans la diffusion d’agents biologiques », indique le document.
« Par exemple, la nouvelle capacité à lyophiliser les micro-organismes a permis de stocker des agents biologiques et de les aérosoliser lors d’attaques. »
On l’a aussi et déjà signalé jeudi dernier.
Or, dix de ces auteurs sont des scientifiques et des experts en armement affiliés à l’Université médicale de l’armée de l’air de Xi’an, classée « à très haut risque » pour son niveau de recherche en matière de défense, notamment ses travaux sur les sciences médicales et psychologiques, selon l’Australian Strategic Policy Institute’s Defence Universities Tracker.
L’université médicale de l’armée de l’air, également connue sous le nom de quatrième université médicale, a été placée sous le commandement de l’APL dans le cadre des réformes militaires du président « Xi-Ping-Pong » en 2017.
Le rédacteur en chef du journal, Xu Dezhong, a fait rapport aux hauts dirigeants de la Commission militaire chinoise et du ministère de la Santé pendant l’épidémie de SRAS de 2003, les informant 24 fois de suite et préparant trois rapports, selon sa biographie en ligne, d’après le « The Australian ».
 
« Nous avons pu vérifier son authenticité en tant que document rédigé par les chercheurs et scientifiques de l’APL en question », selon le dire d’un spécialiste de la criminalistique numérique qui a travaillé pour les gouvernements américain, australien et canadien et qui a déjà analysé des documents du gouvernement chinois ayant fait l’objet de fuites, selon le rapport.
« Nous avons pu localiser sa genèse sur l’internet chinois ».
D’ailleurs, souvenez-vous, l’ex secrétaire d’État américain « Mike Pompe-à-eau » et son principal conseiller pour la Chine, Miles Yu, ont fait référence au document dans une tribune publiée en février dans le Wall Street Journal, écrivant qu’« une étude de 2015 de l’APL a traité l’épidémie de coronavirus du SRAS de 2003 comme une “arme génétique contemporaine” lancée par des forces étrangères. »
Pas de fumée sans feu : « McDo-Trompe » en aura été convaincu.
 
Ainsi, parmi les affirmations les plus bizarres des scientifiques militaires figure leur théorie selon laquelle le SARS-CoV-1, le virus qui a provoqué l’épidémie de SRAS de 2003, était une arme biologique fabriquée par l’homme, délibérément lâchée sur la Chine par des “terroristes” nous rapporte le « The Australian ».
L’annonce de ce document fait suite à un rapport publié le 3 mai selon lequel l’Institut de virologie de Wuhan collaborait avec le gouvernement chinois au sein d’une équipe composée de cinq experts militaires et civils, « qui ont mené des recherches dans les laboratoires de l’Institut de Virologie de Wuhan (IVW), les laboratoires militaires et d’autres laboratoires civils, ce qui a conduit à la découverte d’agents pathogènes animaux (agents biologiques responsables de maladies) chez les animaux sauvages », selon le « The Epoch Times ».
Et comme nous l’avons relevé par ailleurs en mars dernier, les Instituts nationaux de la santé (NIH) des États-Unis, dirigés par le Dr Anthony Fauci, « ont financé un certain nombre de projets impliquant des scientifiques de l’IVW, notamment une grande partie des travaux du laboratoire de Wuhan sur les coronavirus des chauves-souris. »
 
En 2017, l’agence de Fauci a repris le financement d’une subvention controversée visant à modifier génétiquement les coronavirus des chauves-souris à Wuhan, en Chine, sans l’approbation d’un organisme de surveillance gouvernemental, selon le Daily Caller.
Pour rappel, en 2014, l’administration « Haut-bas-Mât » avait temporairement suspendu le financement fédéral de la recherche à « gain de fonction » sur les coronavirus de chauve-souris.
Quatre mois avant cette décision, le NIH a effectivement transféré cette recherche à l’Institut de virologie de Wuhan (IVW) via une subvention au groupe à but non lucratif EcoHealth Alliance.
Selon le Washington Post, l’IVW « a ouvertement participé à des recherches sur les gains de fonction en partenariat avec des universités et des institutions américaines pendant des années sous la direction de la Dre Shi “Batwoman” Zhengli », identifiée jeudi dernier.
 
Le document de 2015 de l’armée chinoise décrivant l’utilisation du « Conard-virus » comme arme biologique, quatre ans avant que la pandémie de COVID-19 n’éclate à quelques kilomètres d’un laboratoire chinois travaillant à rendre la chauve-souris COVID plus transmissible à l’homme, si vous le faites connaître, vous devenez automatiquement un théoricien du complot colportant des « mensonges démystifiés » si vous laisser supposer qu’ils pourraient être liés.
Et pour ceux qui disent que « le COVID-19 ne peut pas être d’origine humaine parce qu’un virus créé en laboratoire aurait des signes révélateurs de manipulation », c’est tout le contraire.
Or, comme l’aura noté le Bulletin of the Atomic Scientists, « les méthodes plus récentes, appelées approches “no-see-um” ou “seamless”, ne laissent aucune marque déterminante. Pas plus que d’autres méthodes de manipulation des virus, comme le passage en série, le transfert répété de virus d’une culture de cellules à une autre. Si un virus a été manipulé, que ce soit avec une méthode sans couture ou par passage en série, il n’y a aucun moyen de savoir que c’est le cas. »
 
Seul le Professeur Montagnier - notre prix Nobel de médecine - aura détecté des « phrases génétiques » entières du Sida dans le génome du « Conard-virus » : On nous aura expliqué qu’il est devenu gâteux…
Autrement dit, c’est comme si la réponse douloureusement évidente était sous nos yeux, mais qu’elle était enveloppée de propagande par les politiciens favorables à la Chine : Les grandes entreprises technologiques et les organes de presse qui cherchent à couvrir ce qui devrait être le jeu de connexion de points le plus facile de la planète.
Heureusement, ce qui était encore tabou il y a un an sera bientôt exposé au monde entier, grâce au Bulletin of Atomic Scientists qui, en début de semaine dernière, a osé ouvrir la « boîte de Pandore » du virus Wuhan…
Et c’est pour cette raison qu’on en entend parler de plus en plus.
 
Ceci dit, imaginez que le virus du « Conard-virus » soit bien lié à une fuite dans un des laboratoires de Wuhan ?
La Chine serait alors tenue responsable aussi bien pour les morts, les malades chroniques que pour les pertes abyssales de l’économie mondiale.
Il y a, là, bien exploité, potentiellement de quoi véritablement mettre la Chine au banc des nations pour très longtemps.
Il y a de quoi la faire payer pour très longtemps, il y a aussi de quoi, largement, l’exclure de la communauté internationale.
Et la « démondialisation » ultra-rapide que cela impliquerait serait assez violente à vivre, car les pénuries actuellement déjà nombreuses (puces électroniques, clous, bois de palette, pneu, containeurs, etc.) deviendraient alors pénibles au quotidien pendant plusieurs années.
Ce scénario ne peut plus être totalement écarté.
 
D’autant que le très conspirationniste sérieux « Science » du 14 mai 2021 reprend désormais l’essentiel et en rajoute une couche.
« Le 30 décembre 2019, le Programme de surveillance des maladies émergentes a informé le monde d’une pneumonie de cause inconnue à Wuhan, en Chine. Depuis, les scientifiques ont fait des progrès remarquables dans la compréhension de l’agent causal, le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2), de sa transmission, de sa pathogenèse et de son atténuation par des vaccins, des thérapeutiques et des interventions non pharmaceutiques. Pourtant, des recherches supplémentaires sont encore nécessaires pour déterminer l’origine de la pandémie. Les théories de la libération accidentelle d’un laboratoire et de la propagation zoonotique restent toutes deux viables. Il est essentiel de savoir comment le COVID-19 a émergé pour élaborer des stratégies mondiales visant à atténuer le risque d’épidémies futures.
 
En mai 2020, l’Assemblée mondiale de la santé a demandé au directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) de collaborer étroitement avec ses partenaires pour déterminer les origines du SRAS-CoV-2. En novembre, les termes de référence d’une étude conjointe Chine-OMS ont été publiés. Les informations, les données et les échantillons de la première phase de l’étude ont été recueillis et résumés par la moitié chinoise de l’équipe ; le reste de l’équipe s’est appuyé sur cette analyse. Bien qu’aucun résultat ne vienne étayer clairement l’hypothèse d’une dissémination naturelle ou d’un accident de laboratoire, l’équipe a estimé qu’une dissémination zoonotique à partir d’un hôte intermédiaire était « probable à très probable » et qu’un incident de laboratoire était « extrêmement improbable ». De plus, les deux théories n’ont pas été considérées de manière équilibrée. Seules 4 des 313 pages du rapport et de ses annexes abordaient la possibilité d’un accident de laboratoire. Le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus, a notamment déclaré que la prise en compte dans le rapport des preuves en faveur d’un accident de laboratoire était insuffisante et a proposé de fournir des ressources supplémentaires pour évaluer pleinement cette possibilité.
 
En tant que scientifiques possédant une expertise pertinente, nous sommes d’accord avec le directeur général de l’OMS, les États-Unis et 13 autres pays, et l’Union européenne pour dire qu’il est nécessaire et possible de faire plus de clarté sur les origines de cette pandémie. Nous devons prendre au sérieux les hypothèses relatives aux retombées naturelles et de laboratoire jusqu’à ce que nous disposions de données suffisantes. Une enquête digne de ce nom doit être transparente, objective, fondée sur des données, faire appel à une large expertise, faire l’objet d’une surveillance indépendante et être gérée de manière responsable afin de minimiser l’impact des conflits d’intérêts. Les agences de santé publique comme les laboratoires de recherche doivent ouvrir leurs dossiers au public. Les enquêteurs doivent documenter la véracité et la provenance des données à partir desquelles les analyses sont effectuées et les conclusions tirées, afin que les analyses soient reproductibles par des experts indépendants.
 
Enfin, en cette période de sentiment anti-asiatique regrettable dans certains pays, nous notons qu’au début de la pandémie, ce sont des médecins, des scientifiques, des journalistes et des citoyens chinois qui ont partagé avec le monde des informations cruciales sur la propagation du virus – souvent au prix d’un lourd tribut personnel. Nous devrions faire preuve de la même détermination pour promouvoir un discours scientifique impartial sur cette question difficile mais importante ».
 
C’est plutôt « soft » : Ils ne se mouillent pas trop, faisant juste un bilan de ce qui a manqué.
Mais cet article n’est pas un hasard.
Il s’agit d’un processus à l’œuvre qui consiste à mettre une pression de plus en plus forte sur la Chine.
À partir du moment où « officiellement », la fuite de laboratoire sera admise, alors le monde changera radicalement.
 
Car les relations internationales sont déjà d’une très grande violence.
Les États n’ont jamais d’amis : Ils n’ont que des intérêts.
Et l’intérêt des États-Unis, comme celui de l’Union Européenne, est évidemment de faire totalement dérailler la Chine.
Cette histoire de fuite de laboratoire pourrait être l’aubaine du siècle et du nouveau millénaire pour endiguer la Chine, pour justifier une démondialisation rapide et violente, car la Chine « doit » « payer » pour ce qu’elle a fait.
On peut déjà imaginer les éléments de discours de la petite machine de propagande médiatique occidentale c’est-à-dire essentiellement américano-européenne.
Mais il est trop tôt pour avoir des certitudes et ça devient un « sujet bouillant ».
Nous avons ici tous les ingrédients d’une crise d’une grande brutalité sans oublier qu’elle serait rapide et prendrait au dépourvu la totalité des agents économiques. C’est probablement une crise explosive, dans le sens de déflagration, de ces moments où l’histoire bascule dans le temps de la seconde d’une explosion.
La dernière crise de ce type a été celle du 11 septembre 2001.
Et il s’agit de crise qui change le monde en quelques minutes et que l’on n’a pas le temps de voir se développer.
 
Alors, alors, on peut se poser la question de la manipulation de l’opinion publique.
Pourquoi ces informations, connues depuis plusieurs années comme je le rapporte jusqu’ici, ne « sortent » que maintenant ?
Pourquoi elles ont été censurées comme je l’indique également, sous le prétexte de « complotisme » ?
Après tout, la censure « des réseaux » aura été jusqu’à interdire de médias le professeur « Rat-Out », le Marseillais qui soigne « Deux-villes-liées » au pastaga… et quelques autres !
 
Pour la première partie - la censure - on voit bien le doigt de « Big Pharma » se dessiner dans l’ombre : Il lui fallait des cobayes pour tester et valider la nouvelle technologie de vaccination dite à « ARM-messager ».
Et accessoirement encaisser les dividendes de ses recherches protégées par des brevets qu’il ne veut évidemment pas céder…
Du moment que c’est avec de l’argent public, pas de raison de se gêner…
De l’argent qui aura manqué pour rechercher des molécules « qui soignent » : Ils n’avaient pas ça en magasin et les stocks d’hydrochloxirine-avariée, ça ne rapportait plus rien…
D’où son interdiction par « les autorités » à la botte.
Pour la phase nouvelle dite de « la révélation », manifestement on entre dans un nouveau calendrier.
Celui du « haro » sur Pékin.
Et là, c’est un conflit au long-cours : Même « McDo-Trompe » s’y est cassé les dents !
Faute de temps et c’est justement ce qu’ont de plus à revendre toutes les dictatures : Du temps !

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