De Jean-Marc…
Un jeune postulant pour un emploi dans un jardinerie est embauché.
Il se fait proposer par son chef de rayon de bien observer sa façon de faire pour être un bon vendeur.
Les deux employés se font arrêter par un premier client qui leur demande des graines de gazon…
« Bien sûr ! » s’empresse de dire le coach au client, tout en faisant un clin d’œil à sa jeune recrue.
« – En sac de 25 ou de 50 kilos ?
– 50 !
– Voilà ! » dit le chef de rayon en sortant un sac de 50 kilos des étagères.
« – Une tondeuse avec ça ?
– Pourquoi une tondeuse ?
– Les graines vont pousser, il va falloir couper le gazon…
– Je n’y avais pas pensé. C’est d’accord, je l’achète. »
Le client quitte le magasin fier de lui, et le vendeur l’est tout autant.
La recrue, quant à elle, est très impressionnée.
Pour s’assurer que son élève a bien compris, il lui propose un deuxième essai.
Un deuxième client approche justement et demande un boyau d’arrosage…
« – Bien sûr ! » dit le vendeur. « Un de 25 ou de 50 mètres ?
– 50.
– Tenez ! Une tondeuse avec ça ?
– Pourquoi une tondeuse ?
– Et bien, le gazon va pousser.
– C’est vrai, ça ! J’La prends !
– WOW ! » pense la recrue, comment en ferais-je autant ?
« – À ton tour, » dit l’entraîneur à sa recrue, qui se
faisait interpeller au même moment par un client qui, achète des serviettes hygiéniques
pour sa femme.
« – Certainement ! En boîte de 25 ou de 50 serviettes ?
– HEU ? Je vais en prendre 50. C’est sûrement plus économique.
– Voilà ! » dit le jeune.
Et, voulant impressionner son maître, il lance au client.
« – Une tondeuse avec ça ?
– Pourquoi une tondeuse ?
– Et bien, de toute façon, ta fin de semaine tombe à l’eau, alors, aussi bien couper le gazon. »
C’est une « variante » du mek qui aura fait une
seule vente au grand bazar d’Ajaccio…
Celle racontée par Dumè.
Un homme rentre dans un bar et demande une bière.
Il en boit une gorgée et la remet sur le comptoir quand, tout à coup, un singe grimpe sur le comptoir et fait pipi dans la bière.
L’homme demande au serveur à qui est le singe ?
Ce dernier lui répond qu’il appartient au joueur de piano.
Alors l’homme va voir le pianiste et lui demande :
« – Vous savez, votre singe a fait pipi dans ma bière !
– Non, mais si vous me donnez l’air, je peux essayer de la
jouer. »
Prière du soir :
« Seigneur.
Accordez-moi la Sagesse afin que je puisse comprendre mon
homme ;
Accordez-moi la Patience afin que je puisse le supporter.
Je vous prie pour que vous m’accordiez la Sagesse et la Patience car si je demandais la Force et que vous me l’accordiez, je lui volerai à travers la tronche !
Amen »
Un patron du CAC 40 décède.
Il arrive devant Saint-Pierre qui lui dit :
« Vous avez créé des milliers d’emplois, participé au rayonnement d’un pays, vous avez donné à des associations caritatives, donc je vous accorde le droit d’entrer au Paradis. »
Le patron remercie Saint-Pierre et se dirige vers les portes du Paradis.
Les portes s’ouvrent devant lui et le patron constate avec stupéfaction que des hommes sont en train de se faire fouetter, brûler vif, et subir d’autres formes de torture.
Il retourne alors voir Saint-Pierre et lui dit :
« – Mais je ne comprends pas, je croyais qu’on était au Paradis ?!
– Ah j’avais oublié de vous prévenir : Pour faire des
économies, nous avons fusionné ! »
Une dame vient d’entrer dans l’autobus et s’aperçoit qu’il n’y a plus de
place.
Jean-Marc voyant son désarroi lui offre de prendre place sur ses genoux.
La dame hésite, puis accepte.
Elle s’assoit et après quelques minutes, Jean-Marc lui dit :
« – Vous êtes couturière madame ?
– Oui… comment savez-vous cela ? »
Relevant un fil sur le chandail de la dame, il le lui montre.
« Vous êtes observateur », lui dit-elle !
Un peu plus tard, elle lui demande :
« – Vous, vous êtes boulanger ?
– Euh… oui ! Comment avez-vous deviné ?
– Votre petit pain lève ! »
Jean-Marc rentre chez lui à 3 heures du matin, complètement ivre.
Sa femme, germaine lui saute dessus pour l’engueuler.
« – T’es encore à moitié paqueté…
– C’est pas de ma faute minou ! Il ne me restait plus une
tune… »
Jean-Guillaume et Jean-Rodrigue, deux jeunes âgés de dix ans, veulent
prendre une journée de congé.
Jean-Guillaume a déjà téléphoné à l’école et, en se faisant passer pour son père, il a annoncé son absence.
Jean-Rodrigue fait de même.
Il compose le numéro de l’école et prend une grande respiration pour avoir une voix profonde.
« – Bonjour, c’est pour vous dire que Jean-Rodrigue Ducroisillon sera absent aujourd’hui. Il est grippé.
– Bien ! Qui parle ?
– C’est mon père… »
Une dame s’apercevant que sa bonne commençait à avoir un petit bedon, lui
fait la remarque suivante :
« Marie-Adèle je crois qu’à voir votre taille s’alourdir vous êtes enceinte ».
La bonne lui répond :
« Vous aussi madame. »
Alors la dame prenant ses grands airs lui réplique :
« – Mais moi c’est Monsieur.
– Moi aussi madame. »
Petites annonces relevées pour vous par Jean-Marc :
– À vendre :
Un lit vertical plus un recueil d’histoires à dormir debout.
– Homme ayant eu des hauts et des bas cherche place comme garçon
d’ascenseur.
– Importante société pétrolière cherche représentant raffiné.
– Professeur bègue donnerait répétitions.
– Vétérinaire bisexuel cherche homme (pas trop chien…) ou femme (pas trop
vache…)
– Besoin d’aide :
Depuis que mon mari est parti, je n’ai plus de cochons à la ferme.
– Croisant un chien tenu en laisse par son maître, je me suis fait mordre
par ce dernier.
– Homme calme (Est-il sous prozac ?)
Un peu « sugar daddy » (Est-il diabétique ?)
Sans enfant (Impuissant ?)
Aimant les randonnées pédestres (Il va vous faire marcher !)
Cherche…
– Homme
mi-sportif, mi intello… (à moitié en forme, à moitié
intelligent.)
Aimant les restos (Il ne sait pas faire à manger)
Et d’humeur égale (toujours silencieux),
Cherche…
Une petite revenue ?
Un émir souffrant d’une grave maladie cardiaque est venu se faire opérer à Paris par un spécialiste.
L’opération est réussie et avant de repartir dans son pays, l’émir dit au chirurgien :
« – Docteur, si je suis en vie, c’est grâce à vous. J’aimerais vous faire un cadeau pour vous remercier.
– Mais je n’ai fait que mon travail…
– J’insiste, docteur. Qu’est-ce qui vous ferait plaisir ?
– Puisque vous y tenez vraiment, sachez que j’adore jouer au golf.
Si vous m’offrez quelques clubs, je serais vraiment ravi. »
Un mois plus tard, le chirurgien reçoit un télégramme de l’émir :
« Suis heureux de vous offrir douze clubs de golf.
Désolé, mais deux d’entre eux n’ont pas de piscine… »
C’était sur le mode : « Mais qu’est-ce qui
reste aux grandes ? (automobiles) »
Un architecte, un artiste et un informaticien discutent s’il vaut mieux
passer du temps avec sa femme ou sa maîtresse.
L’architecte dit :
« Moi j’aime bien passer du temps avec ma femme à construire de solides fondations pour une relation durable. »
L’artiste répond :
« Moi je préfère passer du temps avec ma maîtresse, à cause de la passion et du mystère que j’y trouve. »
L’informaticien rétorque :
« – Moi, j’aime les deux.
– Les deux ?!?
– Bien sûr. Quand vous avez une femme et une maîtresse, chacune d’elles suppose que vous passez votre temps avec l’autre, ainsi vous avez alors le temps de travailler un peu ! »
Jean-Marc en voiture avec sa femme se fait arrêter par la police.
Agent :
« Bonjour Monsieur. Vous rouliez à 135 km/h dans une zone de 100 ».
Jean-Marc :
« Non, m’sieur l’agent. Je roulais à peine à 105 km/h. »
Germaine :
« Voyons, Jean-Marc, tu roulais au moins à 135, si c’est pas plus. »
Jean-Marc lance un regard à sa femme… qui en dit long sur ses envies de meurtre
Agent :
« Je vais aussi vous donner un 48 heures pour votre feu arrière qui ne fonctionne pas. »
Jean-Marc :
« Un feu qui ne fonctionne pas ? Je ne savais pas que j’avais une lampe brûlée. »
Germaine :
« Voyons Jean-Marc, ça fait des semaines que tu le sais et que tu ne la fais pas réparer. »
Jean-Marc regarde sa femme en lui faisant signe de se taire.
Agent :
« Je vais aussi devoir vous donner une contravention parce que vous ne portiez pas votre ceinture. »
Jean-Marc :
« Mais je la portais, m’sieur l’agent. Je l’ai détachée après que vous m’ayez arrêté, pendant que vous marchiez vers l’auto. »
Germaine :
« Voyons Jean-Marc, tu ne mets jamais ta ceinture !!! »
Jean-Marc fulmine. Il se retourne vers sa femme et lui crie :
« VEUX-TU BIEN FERMER TA GRANDE GUEULE !!!!! »
L’agent se penche et demande à la femme :
« Est-ce que votre mari vous parle toujours comme ça ? »
Elle répond :
« Non… seulement quand il a bu… »
Solutions des contrepèteries de la semaine passée :
« Jean-Marc, spécialiste de la trique, faisait souvent la fête. »
« Les rondeurs l’ont toujours séduit. »
« Ce n’est qu’un brasseur de couillon… »
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
« Quel corps ce juge ! »
« Comment elle caresse son diamant cette belle nana ! »
« Ce gros blond est un faucon. »
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
PS : N’oubliez pas la bibliothèque de « mon gardien » qui
annonce l’arrivée d’un volume inédit des « Enquêtes de
Charlotte » : « L’année Covid de Charlotte » !
Ma bibliothèque (livresinterdits.blogspot.com)
https://livresinterdits.blogspot.com/2019/09/ma-bibliotheque-1.html
Il se fait proposer par son chef de rayon de bien observer sa façon de faire pour être un bon vendeur.
Les deux employés se font arrêter par un premier client qui leur demande des graines de gazon…
« Bien sûr ! » s’empresse de dire le coach au client, tout en faisant un clin d’œil à sa jeune recrue.
« – En sac de 25 ou de 50 kilos ?
– Voilà ! » dit le chef de rayon en sortant un sac de 50 kilos des étagères.
– Les graines vont pousser, il va falloir couper le gazon…
– Je n’y avais pas pensé. C’est d’accord, je l’achète. »
La recrue, quant à elle, est très impressionnée.
Pour s’assurer que son élève a bien compris, il lui propose un deuxième essai.
Un deuxième client approche justement et demande un boyau d’arrosage…
« – Bien sûr ! » dit le vendeur. « Un de 25 ou de 50 mètres ?
– Tenez ! Une tondeuse avec ça ?
– Pourquoi une tondeuse ?
– Et bien, le gazon va pousser.
– C’est vrai, ça ! J’La prends !
– WOW ! » pense la recrue, comment en ferais-je autant ?
« – Certainement ! En boîte de 25 ou de 50 serviettes ?
– HEU ? Je vais en prendre 50. C’est sûrement plus économique.
– Voilà ! » dit le jeune.
« – Une tondeuse avec ça ?
– Et bien, de toute façon, ta fin de semaine tombe à l’eau, alors, aussi bien couper le gazon. »
Celle racontée par Dumè.
Il en boit une gorgée et la remet sur le comptoir quand, tout à coup, un singe grimpe sur le comptoir et fait pipi dans la bière.
L’homme demande au serveur à qui est le singe ?
Ce dernier lui répond qu’il appartient au joueur de piano.
Alors l’homme va voir le pianiste et lui demande :
« – Vous savez, votre singe a fait pipi dans ma bière !
« Seigneur.
Accordez-moi la Patience afin que je puisse le supporter.
Je vous prie pour que vous m’accordiez la Sagesse et la Patience car si je demandais la Force et que vous me l’accordiez, je lui volerai à travers la tronche !
Amen »
Il arrive devant Saint-Pierre qui lui dit :
« Vous avez créé des milliers d’emplois, participé au rayonnement d’un pays, vous avez donné à des associations caritatives, donc je vous accorde le droit d’entrer au Paradis. »
Le patron remercie Saint-Pierre et se dirige vers les portes du Paradis.
Les portes s’ouvrent devant lui et le patron constate avec stupéfaction que des hommes sont en train de se faire fouetter, brûler vif, et subir d’autres formes de torture.
Il retourne alors voir Saint-Pierre et lui dit :
« – Mais je ne comprends pas, je croyais qu’on était au Paradis ?!
Jean-Marc voyant son désarroi lui offre de prendre place sur ses genoux.
Elle s’assoit et après quelques minutes, Jean-Marc lui dit :
« – Vous êtes couturière madame ?
« Vous êtes observateur », lui dit-elle !
Un peu plus tard, elle lui demande :
« – Vous, vous êtes boulanger ?
– Votre petit pain lève ! »
« – T’es encore à moitié paqueté…
Jean-Guillaume a déjà téléphoné à l’école et, en se faisant passer pour son père, il a annoncé son absence.
Jean-Rodrigue fait de même.
Il compose le numéro de l’école et prend une grande respiration pour avoir une voix profonde.
« – Bonjour, c’est pour vous dire que Jean-Rodrigue Ducroisillon sera absent aujourd’hui. Il est grippé.
– C’est mon père… »
« Marie-Adèle je crois qu’à voir votre taille s’alourdir vous êtes enceinte ».
La bonne lui répond :
« Vous aussi madame. »
Alors la dame prenant ses grands airs lui réplique :
« – Mais moi c’est Monsieur.
– Moi aussi madame. »
Un lit vertical plus un recueil d’histoires à dormir debout.
Depuis que mon mari est parti, je n’ai plus de cochons à la ferme.
Un peu « sugar daddy » (Est-il diabétique ?)
Sans enfant (Impuissant ?)
Aimant les randonnées pédestres (Il va vous faire marcher !)
Cherche…
Et d’humeur égale (toujours silencieux),
Cherche…
Un émir souffrant d’une grave maladie cardiaque est venu se faire opérer à Paris par un spécialiste.
L’opération est réussie et avant de repartir dans son pays, l’émir dit au chirurgien :
« – Docteur, si je suis en vie, c’est grâce à vous. J’aimerais vous faire un cadeau pour vous remercier.
– J’insiste, docteur. Qu’est-ce qui vous ferait plaisir ?
– Puisque vous y tenez vraiment, sachez que j’adore jouer au golf.
Si vous m’offrez quelques clubs, je serais vraiment ravi. »
« Suis heureux de vous offrir douze clubs de golf.
L’architecte dit :
« Moi j’aime bien passer du temps avec ma femme à construire de solides fondations pour une relation durable. »
L’artiste répond :
« Moi je préfère passer du temps avec ma maîtresse, à cause de la passion et du mystère que j’y trouve. »
L’informaticien rétorque :
« – Moi, j’aime les deux.
– Bien sûr. Quand vous avez une femme et une maîtresse, chacune d’elles suppose que vous passez votre temps avec l’autre, ainsi vous avez alors le temps de travailler un peu ! »
« Bonjour Monsieur. Vous rouliez à 135 km/h dans une zone de 100 ».
Jean-Marc :
« Non, m’sieur l’agent. Je roulais à peine à 105 km/h. »
Germaine :
« Voyons, Jean-Marc, tu roulais au moins à 135, si c’est pas plus. »
Jean-Marc lance un regard à sa femme… qui en dit long sur ses envies de meurtre
Agent :
« Je vais aussi vous donner un 48 heures pour votre feu arrière qui ne fonctionne pas. »
Jean-Marc :
« Un feu qui ne fonctionne pas ? Je ne savais pas que j’avais une lampe brûlée. »
Germaine :
« Voyons Jean-Marc, ça fait des semaines que tu le sais et que tu ne la fais pas réparer. »
Jean-Marc regarde sa femme en lui faisant signe de se taire.
Agent :
« Je vais aussi devoir vous donner une contravention parce que vous ne portiez pas votre ceinture. »
« Mais je la portais, m’sieur l’agent. Je l’ai détachée après que vous m’ayez arrêté, pendant que vous marchiez vers l’auto. »
Germaine :
« Voyons Jean-Marc, tu ne mets jamais ta ceinture !!! »
Jean-Marc fulmine. Il se retourne vers sa femme et lui crie :
« VEUX-TU BIEN FERMER TA GRANDE GUEULE !!!!! »
L’agent se penche et demande à la femme :
« Est-ce que votre mari vous parle toujours comme ça ? »
Elle répond :
« Non… seulement quand il a bu… »
« Jean-Marc, spécialiste de la trique, faisait souvent la fête. »
« Les rondeurs l’ont toujours séduit. »
« Ce n’est qu’un brasseur de couillon… »
« Comment elle caresse son diamant cette belle nana ! »
« Ce gros blond est un faucon. »
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