Fournie par les Kameulfs
Traduction approximative de Jean-Marc…
Évidemment, ce sont les « Ummos » qui payent la tournée pour être réputés dans toute la galaxie comme l’espèce « avancée » la plus stupide des environs.
(Notez que les terriens sont réputés comme étant les plus dangereux à fréquenter…)
Deux Ummos sont emprisonnés après avoir été condamnés
pour vol.
Le premier soir, le plus vieux dit à l’autre :
« – Ça n’a pas de sens de rester ici trois ans pour ce vol. Moi je me casse à la première occasion.
– Eh bien, pendant le break je vais aller inspecter les clôtures, si elles sont trop hautes on va essayer de passer par dessous et si elles sont courtes, on va passer par-dessus.
– Ok ? Ok ! »
« – Va-t’on être capable de s’évader ?
– Comment-ça, on ne peut pas s’évader ?
– Parce qu’il n’y a pas de clôtures. »
Un Ummo découvre dans la vitrine d’une boutique, un
magnifique thermos, mais il ignore à quoi ça peut servir.
Il s’informe auprès du vendeur qui lui explique que le thermos sert à conserver ce qui est froid, froid, et ce qui est chaud, chaud.
Emballé, il en prend un.
Le lendemain elle apporte son thermos à son travail et le met en évidence sur son bureau.
Son patron lui demande qu’est-ce que c’est.
Alors il prend un malin plaisir à lui expliquer :
« – Ça sert à conserver les aliments chauds, chauds, et ceux qui sont froids, froids.
– Oh, seulement un ice-cream bien frais et du café bouillant. »
Le Ummo s’inscrit au bureau de l’Assurance-chômage.
Le fonctionnaire lui demande sa profession :
« – Chercheur de diamants.
– Ici !
– Mais il n’y a pas de diamants ici.
– Mais oui, c’est bien pour ça que je suis en chômage. »
Un Ummo, un Kameulf et un IroKiès s’élancent au bas
d’une falaise en parachute. L’Ummo se lance le premier, il ouvre son parachute
et commence à descendre lentement.
Le Kameulf suit. Il tire sur la corde, mais rien ne se passe, il s’écrie alors “DAMN IT!” et passe en flèche à côté du Ummo, lequel est toujours dans sa tranquille descente.
Après, l’IroKiès se lance.
Arrivé à son tour à mi-parcours il tire sur la corde mais rien ne se passe, il s’écrit alors “Nom de Dieu !” et passe en flèche à côté du Ummo.
« Hé ! » crie le Ummo. « Vous auriez dû le dire que c’était une course ! »
Et il enlève son parachute…
La compagnie d’électricité intergalactique cherche des
techniciens pour installer des poteaux sur la planète Kameulf.
Trois d’entre eux se présentent, dont un Ummo.
Ils leurs font faire un essai et leur donne 25 poteaux chacun à installer en dix heures.
Le premier en installe 24. Le second 25.
Quant au Ummo, il en installe 4.
La compagnie trouve étrange que le Ummo n’ait installé que quatre poteaux et lui demande comment cela a bien pu se faire.
Celui-ci répond :
« Les autres ont triché, ils ne les ont pas plantés jusqu’au bout. »
Un Ummo cogne à la porte de son voisin de palier :
« – Peux-tu me prêter une livre de sucre. Ma femme prépare des gâteaux et du sucre à la crème.
– Mais ta femme a dit à ma femme que c’était OK.
– Non. Je ne peux pas.
– Pourquoi ?
– Parce que je n’ai pas de balance. »
C’est l’équipe de football Ummo qui va jouer sur la
planète Kameulf.
Le commandant, dans la soucoupe, sent des mouvements et des vibrations étrangers et il interroge l’hôtesse…
« – Qu’est-ce qui se passe derrière ?
– Arrêtez-moi ça immédiatement. »
Au bout de quelques minutes, le commandant la rappelle…
« – Que leur avez-vous dit pour obtenir le calme si rapidement ?
Très étonné d’avoir entendu la mer dans un coquillage,
un Ummo porte une pierre à son oreille.
Et il ne comprend pas pourquoi il n’entend pas la montagne…
Quand un parachutiste Ummo touche le sol, avant toute
chose, il se brosse le fond de son pantalon.
Pourquoi ?
Pour effacer la trace du coup de pied, bien sûr !…
Deux Ummos se promènent dans la rue.
Le premier dit à l’autre :
« – Veux-tu faire de l’exercice ?
Un gars passe et vole les manteaux.
Un des Ummos se retourne…
« Arrête on est allé trop loin ! On voit plus nos manteaux. »
L’Ummo va au marché avec un jerrican remplie d’eau :
« – Pourquoi tu fais ça ? » demande sa femme.
Un Ummo s’adresse à son copain :
« – J’ai passé une entrevue hier, et je crois bien que je vais commencer à travailler la saison prochaine.
– Bé, le patron m’a dit qu’il ferait beau avant de m’embaucher. »
« – Pourquoi les Ummos ne mangent-ils pas de
beignet ?
Deux Ummos vont au bordel, mais ils n’ont que 10
Boultoks.
« Vas-y ce soir, la prochaine fois j’irai. »
Le gars entre et en demande pour 10 Boultoks.
La femme lui baisse les culottes et lui donne une petite tape au derrière.
Elle lui dit que c’est tout, le gars paie et s’en va.
« Pas si pire que ça ! Mais c’est une chance que nous n’avions pas 100 Boultoks, car j’aurais mangé une terrible fessée ! »
D’un Ummo à l’autre :
« – Aie ! Qu’est-ce que ça veut dire les « XXX » lorsque l’on loue un film porno ?
De Jean-Paul à Jean-Marc :
« La preuve irréfutable qu’il existe bien de l’intelligence sur les autres planètes, c’est qu’ils n’ont JAMAIS cherché à entrer en contact avec nous ! »
Une Ummo se fait avorter.
Elle craignait que l’enfant ne soit pas d’elle !
Un Ummo veut s’offrir un petit plaisir.
Il entre dans un sex-shop.
« – Je veux m’offrir une petite gâterie, mais je ne sais pas quoi. Avez-vous une idée ? Une suggestion ?
– Une poupée gonflable ? Non. Jamais
– J’ai ce qu’il faut. Un modèle extraordinaire qui a gagné le premier prix au Sex Show de Las Vegas, sur Terre.
– Ah oui…
– Attendez. »
Le Ummo déballe la poupée, et demande à la gonfler.
Une fois gonflée, il la prend dans ses bras :
« Maintenant, où est la cabine d’essayage ? »
Deux Ummos marchent dans le bois à la recherche d’un
arbre de NOËL depuis 4 heures.
Le premier dit :
« Ben mon couillon, on va prendre celui-là parce que j’ai l’impression qu’on n’est pas dans la section des arbres décorés. »
Deux Ummos sont en camping dans le bois.
Toute la journée, ils se sont fait piquer par les moustiques et les mouches noires.
L’enfer !
Finalement arrive le soir, ils entrent dans la tente pour dormir, ils s’installent le plus confortablement possible, mais les moustiques recommencent leur manège.
C’est épouvantable.
Soudain, ils aperçoivent des lucioles qu’ils ne connaissaient pas.
« Hé ben, c’est gagné : Les moustiques nous cherchent avec des fanaux, maintenant ! ».
Un Ummo entre au cinéma.
Quelle est la première question qu’il pose à la préposée ?
« Où est la télécommande ? »
Deux Terriens viennent d’atterrir sur Mars (planète colonisée
par des Ummos qui y vivent depuis des lustres sous ls surface) et autour d’eux,
tout n’est que sable et rochers.
Quand soudain à quelques pas de leur vaisseau, une porte s’ouvre, et un Ummo en scaphandre leur fait signe d’avancer.
Aussitôt les Terriers se dirigent vers l’entrée et empruntent un escalier d’une centaine de marches au bout duquel ils découvrent une ville fabuleuse.
Ébahis, ils découvrent cette ville immense avec des véhicules qui se déplacent sans bruit et sans pollution.
Le Ummo commence à retirer son scaphandre et apparaît une merveilleuse Ummo.
À sa demande, ils retirent aussi leur scaphandre et sont étonnés de respirer un air frais comme sur Terre.
Ils demandent à la Ummo de visiter la ville.
« Bien sûr, mais puisque vous êtes deux, je vais chercher mon amie ».
Chemin faisant les Terriens découvrent que les Ummos sont très évolués, qu’ils étaient attendus car ils captent toutes les télévisions terriennes.
Ce sont des gens pacifiques.
Ils détestent les guerres qu’il y a sur terre et ils sont tellement bien sur Mars qu’ils ne veulent pas aller voir ailleurs.
Mais c’est le soir et après un bon repas dans un restaurant, les deux couples se séparent, chaque Terrien partant avec une Ummo.
À la maison, l’Ummo se déshabille et toute nue se jette dans un jacuzzi au centre de la pièce.
Notre Terrien est subjugué par la beauté de cette femelle au corps de déesse.
Il se déshabille et rejoint l’Ummo dans le bain.
Bien sûr après un si long voyage et la vue de la merveilleuse créature à côté de lui, des pensées érotiques lui montent immédiatement à la tête.
Il lui demande insidieusement :
« Comment fait-on les bébés sur cette planète ? »
La Ummo sort du bain, ouvre un placard, en sort deux bouteilles (une verte et une rose).
Elle lui demande s’il veut un garçon ou une fille.
« Une fille. »
Elle verse alors deux mesures de la bouteille rose et une mesure de la bouteille verte dans un grand saladier.
Elle remue environ une minute avec une cuillère en bois et tout à coup, un bébé fille apparaît.
« Voilà », dit-elle. « Et sur Terre comment faites-vous ? »
À ce moment-là, il n’en peut plus, il se jette sur la Ummo et lui fait l’amour.
Cependant au bout de quelques minutes, c’est déjà fini.
La Ummo lui demande :
« – Où est le bébé ?
– Dans 9 mois ?
– Oui, c’est ça.
– Alors, pourquoi tu t’arrêtes ? Il faut continuer ! »
Un Ummo entre dans une boulangerie et demande un pain.
Il paye, sort, prend son pain et le tape contre le mur.
Le boulanger Kameulf sort complètement affolé et demande au Ummo :
« – Mais qu’est-ce que tu fais ?
Trois Ummos veulent joindre les forces policières.
À tour de rôle, ils passent une entrevue avec le capitaine, un Kameulf.
Le premier entre et le capitaine lui montre une série de photos d’un criminel.
Il lui demande alors ce que ce bandit avait de bizarre.
L’Ummo lui répond :
« – Ce gars-là n’a qu’un seul œil !
« – Ce gars-là n’a qu’une seule oreille !
« Facile ! Ce gars-là porte des verres de contact ! »
Le capitaine fouille dans ses fiches et constate que l’Ummo a raison.
« Ce gars-là n’avait qu’une seule oreille alors il ne pouvait pas porter de lunettes ! »
Un Ummo rentre dans une épicerie, et va au rayon
légumes.
Il demande :
« – Je voudrais 5 kg de patates, s’il vous plaît.
– Mettez-moi des petites, ça sera moins lourd à porter… »
Dans un village Ummo, le conseil de ville décide après
plusieurs années, d’acheter un nouveau camion d’incendie pour remplacer le
vieux devenu désuet.
Le problème étant que le vieux camion avait sauvé plusieurs vies et les gens en gardaient une grande valeur sentimentale.
Lors d’une assemblée, le sujet a été abordé à l’ordre du jour pour décider comment disposer du vieux camion.
Personne ne voulait prendre la décision de le mettre aux rebus.
Finalement, un des Ummos a apporté une solution :
« J’ai trouvé ! », dit-il un peu songeur, « nous garderons le vieux camion pour répondre à des fausses alertes ! »
Deux Ummos travaillent dans la construction sur la
planète Kameulf. Ils sont au 10ème étage d’un immeuble lorsqu’ils
voient leur patron faire une chute mortelle.
Les enquêteurs de la police demandent qui serait en mesure d’identifier la victime.
Outre ses vêtements, personne ne peut le reconnaître car il est complètement défiguré, disloqué.
Un des Ummos dit alors :
« Pour vraiment l’identifier, il faudrait le déshabiller, car il nous disait toujours qu’il était très chanceux d’avoir deux trou-du’Q ! »
Les devinettes de Jean-Marc à propos des Ummos :
« Combien faut-il de Ummos pour faire un gâteau au chocolat ?
Un pour faire le gâteau et quatre pour éplucher les Smarties. »
« Pourquoi un Ummo peut rester deux heures
devant son jus d’orange sans y toucher ?
Voilà : C’était en avant-première ce qu’on
pouvait dire des « importantes informations » qui doivent être
dévoilées par le Pentagone « ricain » la semaine prochaine à propos
des Ovnis qui circulent autour de notre planète.
Certes, les Ummos viennent y braconner le thon-rouge dont ils raffolent de la chair (ce qui est formellement interdit par les conventions intergalactiques), mais ils ne savent pas les élever sur leur planète.
En compensation, nous recevons la « Gazette galactique » fournie par les Kameulfs qui recèle d’importantes informations scientifiques (et autres), mais celles-là, Jean-Marc ne sait pas les décoder…
On va savoir si elles peuvent l’être par les savants du Pentagone.
Dans cette attente,
Je vous souhaite un excellent week-end à toutes et à tous !
I3
Évidemment, ce sont les « Ummos » qui payent la tournée pour être réputés dans toute la galaxie comme l’espèce « avancée » la plus stupide des environs.
(Notez que les terriens sont réputés comme étant les plus dangereux à fréquenter…)
Le premier soir, le plus vieux dit à l’autre :
« – Ça n’a pas de sens de rester ici trois ans pour ce vol. Moi je me casse à la première occasion.
– Eh bien, pendant le break je vais aller inspecter les clôtures, si elles sont trop hautes on va essayer de passer par dessous et si elles sont courtes, on va passer par-dessus.
– Ok ? Ok ! »
« – Va-t’on être capable de s’évader ?
– Comment-ça, on ne peut pas s’évader ?
– Parce qu’il n’y a pas de clôtures. »
Il s’informe auprès du vendeur qui lui explique que le thermos sert à conserver ce qui est froid, froid, et ce qui est chaud, chaud.
Emballé, il en prend un.
Le lendemain elle apporte son thermos à son travail et le met en évidence sur son bureau.
Son patron lui demande qu’est-ce que c’est.
Alors il prend un malin plaisir à lui expliquer :
« – Ça sert à conserver les aliments chauds, chauds, et ceux qui sont froids, froids.
– Oh, seulement un ice-cream bien frais et du café bouillant. »
Le fonctionnaire lui demande sa profession :
« – Chercheur de diamants.
– Ici !
– Mais il n’y a pas de diamants ici.
– Mais oui, c’est bien pour ça que je suis en chômage. »
Le Kameulf suit. Il tire sur la corde, mais rien ne se passe, il s’écrie alors “DAMN IT!” et passe en flèche à côté du Ummo, lequel est toujours dans sa tranquille descente.
Après, l’IroKiès se lance.
Arrivé à son tour à mi-parcours il tire sur la corde mais rien ne se passe, il s’écrit alors “Nom de Dieu !” et passe en flèche à côté du Ummo.
« Hé ! » crie le Ummo. « Vous auriez dû le dire que c’était une course ! »
Et il enlève son parachute…
Trois d’entre eux se présentent, dont un Ummo.
Ils leurs font faire un essai et leur donne 25 poteaux chacun à installer en dix heures.
Le premier en installe 24. Le second 25.
Quant au Ummo, il en installe 4.
La compagnie trouve étrange que le Ummo n’ait installé que quatre poteaux et lui demande comment cela a bien pu se faire.
Celui-ci répond :
« Les autres ont triché, ils ne les ont pas plantés jusqu’au bout. »
« – Peux-tu me prêter une livre de sucre. Ma femme prépare des gâteaux et du sucre à la crème.
– Mais ta femme a dit à ma femme que c’était OK.
– Non. Je ne peux pas.
– Pourquoi ?
– Parce que je n’ai pas de balance. »
Le commandant, dans la soucoupe, sent des mouvements et des vibrations étrangers et il interroge l’hôtesse…
« – Qu’est-ce qui se passe derrière ?
– Arrêtez-moi ça immédiatement. »
Au bout de quelques minutes, le commandant la rappelle…
« – Que leur avez-vous dit pour obtenir le calme si rapidement ?
Et il ne comprend pas pourquoi il n’entend pas la montagne…
Pourquoi ?
Pour effacer la trace du coup de pied, bien sûr !…
Le premier dit à l’autre :
« – Veux-tu faire de l’exercice ?
Un gars passe et vole les manteaux.
Un des Ummos se retourne…
« Arrête on est allé trop loin ! On voit plus nos manteaux. »
« – Pourquoi tu fais ça ? » demande sa femme.
« – J’ai passé une entrevue hier, et je crois bien que je vais commencer à travailler la saison prochaine.
– Bé, le patron m’a dit qu’il ferait beau avant de m’embaucher. »
« Vas-y ce soir, la prochaine fois j’irai. »
Le gars entre et en demande pour 10 Boultoks.
La femme lui baisse les culottes et lui donne une petite tape au derrière.
Elle lui dit que c’est tout, le gars paie et s’en va.
« Pas si pire que ça ! Mais c’est une chance que nous n’avions pas 100 Boultoks, car j’aurais mangé une terrible fessée ! »
« – Aie ! Qu’est-ce que ça veut dire les « XXX » lorsque l’on loue un film porno ?
« La preuve irréfutable qu’il existe bien de l’intelligence sur les autres planètes, c’est qu’ils n’ont JAMAIS cherché à entrer en contact avec nous ! »
Elle craignait que l’enfant ne soit pas d’elle !
Il entre dans un sex-shop.
« – Je veux m’offrir une petite gâterie, mais je ne sais pas quoi. Avez-vous une idée ? Une suggestion ?
– Une poupée gonflable ? Non. Jamais
– J’ai ce qu’il faut. Un modèle extraordinaire qui a gagné le premier prix au Sex Show de Las Vegas, sur Terre.
– Ah oui…
– Attendez. »
Le Ummo déballe la poupée, et demande à la gonfler.
Une fois gonflée, il la prend dans ses bras :
« Maintenant, où est la cabine d’essayage ? »
Le premier dit :
« Ben mon couillon, on va prendre celui-là parce que j’ai l’impression qu’on n’est pas dans la section des arbres décorés. »
Toute la journée, ils se sont fait piquer par les moustiques et les mouches noires.
L’enfer !
Finalement arrive le soir, ils entrent dans la tente pour dormir, ils s’installent le plus confortablement possible, mais les moustiques recommencent leur manège.
C’est épouvantable.
Soudain, ils aperçoivent des lucioles qu’ils ne connaissaient pas.
« Hé ben, c’est gagné : Les moustiques nous cherchent avec des fanaux, maintenant ! ».
Quelle est la première question qu’il pose à la préposée ?
« Où est la télécommande ? »
Quand soudain à quelques pas de leur vaisseau, une porte s’ouvre, et un Ummo en scaphandre leur fait signe d’avancer.
Aussitôt les Terriers se dirigent vers l’entrée et empruntent un escalier d’une centaine de marches au bout duquel ils découvrent une ville fabuleuse.
Ébahis, ils découvrent cette ville immense avec des véhicules qui se déplacent sans bruit et sans pollution.
Le Ummo commence à retirer son scaphandre et apparaît une merveilleuse Ummo.
À sa demande, ils retirent aussi leur scaphandre et sont étonnés de respirer un air frais comme sur Terre.
Ils demandent à la Ummo de visiter la ville.
« Bien sûr, mais puisque vous êtes deux, je vais chercher mon amie ».
Chemin faisant les Terriens découvrent que les Ummos sont très évolués, qu’ils étaient attendus car ils captent toutes les télévisions terriennes.
Ce sont des gens pacifiques.
Ils détestent les guerres qu’il y a sur terre et ils sont tellement bien sur Mars qu’ils ne veulent pas aller voir ailleurs.
Mais c’est le soir et après un bon repas dans un restaurant, les deux couples se séparent, chaque Terrien partant avec une Ummo.
À la maison, l’Ummo se déshabille et toute nue se jette dans un jacuzzi au centre de la pièce.
Notre Terrien est subjugué par la beauté de cette femelle au corps de déesse.
Il se déshabille et rejoint l’Ummo dans le bain.
Bien sûr après un si long voyage et la vue de la merveilleuse créature à côté de lui, des pensées érotiques lui montent immédiatement à la tête.
Il lui demande insidieusement :
« Comment fait-on les bébés sur cette planète ? »
La Ummo sort du bain, ouvre un placard, en sort deux bouteilles (une verte et une rose).
Elle lui demande s’il veut un garçon ou une fille.
« Une fille. »
Elle verse alors deux mesures de la bouteille rose et une mesure de la bouteille verte dans un grand saladier.
Elle remue environ une minute avec une cuillère en bois et tout à coup, un bébé fille apparaît.
« Voilà », dit-elle. « Et sur Terre comment faites-vous ? »
À ce moment-là, il n’en peut plus, il se jette sur la Ummo et lui fait l’amour.
Cependant au bout de quelques minutes, c’est déjà fini.
La Ummo lui demande :
« – Où est le bébé ?
– Dans 9 mois ?
– Oui, c’est ça.
– Alors, pourquoi tu t’arrêtes ? Il faut continuer ! »
Il paye, sort, prend son pain et le tape contre le mur.
Le boulanger Kameulf sort complètement affolé et demande au Ummo :
« – Mais qu’est-ce que tu fais ?
À tour de rôle, ils passent une entrevue avec le capitaine, un Kameulf.
Le premier entre et le capitaine lui montre une série de photos d’un criminel.
Il lui demande alors ce que ce bandit avait de bizarre.
L’Ummo lui répond :
« – Ce gars-là n’a qu’un seul œil !
« – Ce gars-là n’a qu’une seule oreille !
« Facile ! Ce gars-là porte des verres de contact ! »
Le capitaine fouille dans ses fiches et constate que l’Ummo a raison.
« Ce gars-là n’avait qu’une seule oreille alors il ne pouvait pas porter de lunettes ! »
Il demande :
« – Je voudrais 5 kg de patates, s’il vous plaît.
– Mettez-moi des petites, ça sera moins lourd à porter… »
Le problème étant que le vieux camion avait sauvé plusieurs vies et les gens en gardaient une grande valeur sentimentale.
Lors d’une assemblée, le sujet a été abordé à l’ordre du jour pour décider comment disposer du vieux camion.
Personne ne voulait prendre la décision de le mettre aux rebus.
Finalement, un des Ummos a apporté une solution :
« J’ai trouvé ! », dit-il un peu songeur, « nous garderons le vieux camion pour répondre à des fausses alertes ! »
Les enquêteurs de la police demandent qui serait en mesure d’identifier la victime.
Outre ses vêtements, personne ne peut le reconnaître car il est complètement défiguré, disloqué.
Un des Ummos dit alors :
« Pour vraiment l’identifier, il faudrait le déshabiller, car il nous disait toujours qu’il était très chanceux d’avoir deux trou-du’Q ! »
« Combien faut-il de Ummos pour faire un gâteau au chocolat ?
Un pour faire le gâteau et quatre pour éplucher les Smarties. »
Certes, les Ummos viennent y braconner le thon-rouge dont ils raffolent de la chair (ce qui est formellement interdit par les conventions intergalactiques), mais ils ne savent pas les élever sur leur planète.
En compensation, nous recevons la « Gazette galactique » fournie par les Kameulfs qui recèle d’importantes informations scientifiques (et autres), mais celles-là, Jean-Marc ne sait pas les décoder…
On va savoir si elles peuvent l’être par les savants du Pentagone.
Je vous souhaite un excellent week-end à toutes et à tous !
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