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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 13 mai 2021

Celui-là, il soigne son image !

Je veux parler d’Elon Musk
 
Mais le mek, patron de Tesla, d’Hyperloop et de SpaceX ne sait manifestement pas de quoi il parle : Il s’est tout dernièrement vanté d’être la première personne à révéler être atteint du syndrome d’Asperger.
Comme « Poux-tine » est soupçonné par la CIA de l’être également…
https://flibustier20260.blogspot.com/2015/02/une-info-en-direct-de-la-cia.html
Moâ, ça me fait bien rire : Ça n’aurait pas été « semaine de l’Ascension », j’aurai laissé pisser.
 
Car du temps où je faisais dans les associations à la « petite-enfance » (les crèches, quoi), « mon Gardien » faisait dans les associations à vocation sociale.
Et on s’épaulait mutuellement dans nos Conseils d’Administration.
Comme moi, il était le Président de plusieurs d’entre-elles et dans l’une d’elle (je crois que c’était d’ailleurs une fondation), il accueillait dans ses locaux une autre association indépendante - dans lesquels nous étions également administrateurs adoubés… - qui faisait dans l’aide aux anorexiques.
Bien sûr, celle-ci était fréquentée par des « timbres postes » si minces qu’ils passaient derrière les affiches publicitaires sans les décoller.
Que j’avais intérêt à ne pas éternuer dans la même pièce, parce qu’après on devait jouer aux osselets pour reconstituer les squelettes.
Je me moque peut-être, mais c’est une vraie maladie avec ses vraies souffrances invraisemblables.
Et j’ai également découvert qu’on pouvait être anorexique et faire bonne figure dans le concours du « double-quintal le plus sympathique »…
Du temps où je le tutoyais, le double-quintal, je faisais parfois figure de maigrichon…
C’est vous dire.
 
Et ils accompagnaient également des « Asperger ».
Une forme d’autisme, sans déficience intellectuelle ni retard de langage, d’origine neurobiologique et probablement génétique.
Des types et des femmes tout ce qu’il y a de plus sympathique, presque « normaux », mais absolument ingérables quand ils s’y mettaient.
Dans ces épisode-là, l’enfer de Dante, à côté, c’est du pipi de sansonnet…
 
C’est un désordre du développement d’origine neurobiologique qui concerne plus fréquemment les garçons que les filles et qui affecte essentiellement la manière dont les personnes communiquent et interagissent avec les autres.
En effet, ces personnes décodent avec difficulté les situations de la vie quotidienne.
Limite paranoïaque…
Leur corps, leur cerveau et leurs cinq sens reçoivent les informations correctement, mais un défaut d’analyse empêche un traitement de ces données.
Il en résulte, pour la personne atteinte, une appréciation confuse de la vie et de l’environnement avec des situations conflictuelles parfois totalement inattendues.
Elle a donc besoin d’être guidée dans la complexité de la vie sociale.
 
Ce syndrome a été décrit pour la première fois en 1943 par le pédiatre viennois Hans Asperger puis remis en valeur par la psychiatre Lorna Wing en 1981.
Il a enfin été reconnu officiellement en 1994 par le DSM IV (manuel de diagnostic américain) de l’association psychiatrique américaine.
 
La maladie se manifeste par des difficultés dans le domaine des relations et des interactions sociales : Se faire des amis, comprendre les règles tacites de conduite sociale et les conventions sociales, attribuer à autrui des pensées ou se représenter un état émotionnel ;
Une difficulté à reconnaître les émotions et à les gérer ;
Des particularités dans la communication verbale et non verbale : Ton de la voix, langage précieux, difficulté à comprendre les métaphores, le sens figuré, l’ironie, contact oculaire pauvre, difficulté dans la conversation et la réciprocité émotionnelle ;
Dans le domaine de la compréhension : Le détail prime sur le global, difficulté d’accès au sens, une compréhension essentiellement par des moyens visuels ou tactiles et non abstraits ;
Des intérêts restreints (en nombre ou très forts en intensité avec répétition de cet intérêt) ;
De la maladresse motrice ;
Un besoin de routine et une difficulté d’adaptation aux changements et aux imprévus, une tendance aux comportements répétés et stéréotypés ;
Des perceptions sensorielles souvent exacerbées, par exemple hypersensibilité au bruit, à la lumière, aux odeurs, intolérance à certaines textures et cette surcharge sensorielle peut varier en intensité et dans le temps.
 
Le risque de dépression et la perte d’estime de soi sont réels pour la personne qui vit régulièrement l’échec, l’anxiété et l’insécurité. Le diagnostic est souvent vécu comme un soulagement par la personne elle-même ainsi que par son entourage.
Et j’en connais qui en profite pour mener une vie d’enfer à leur voisinage.
Mais il lui permet de reconnaître, comprendre et valoriser ses spécificités et sa manière de penser.
Car l’Asperger a en principe des bons côtés :
Une grande honnêteté, la fidélité dans les rapports humains ;
De la fiabilité et de la loyauté ;
L’absence de préjugés ;
Une pensée originale et, dans certains cas, des intérêts spécifiques ;
Dans un environnement propice, une extraordinaire volonté de s’adapter à la norme, au prix d’efforts considérables, ce qui permet une bonne évolution ;
La capacité de percevoir et de mémoriser les détails peut leur permettre d’exceller dans certains métiers.
Bref, tout ce que ne sont pas ni « Poux-Tine » ni « Elon Musk ».
 
À la limite, leur comportement sont plus proches des « bipolaires ».
J’en voyais également passer dans cette association-là (dirigée factuellement par des toubibs assez pointus : Nous n’étions, « Mon Gardien » et Moâ, que leur alibi de légitimité, surtout quand il fallait quémander des subventions…)
Le trouble bipolaire, autrefois appelé psychose maniaco-dépressive, est une maladie au long cours qui entraîne des dérèglements de l’humeur et elle peut prendre diverses formes.
Dans sa forme la plus typique, elle alterne des périodes d’exaltation de l’humeur (épisode maniaque) et de fléchissement de l’humeur (épisode dépressif).
Ces troubles touchent entre 1 et 2,5 % de la population, soit entre 650.000 et 1.650.000 personnes en « Hexagonie-asociale ».
Ils apparaissent majoritairement entre 15 et 25 ans et persistent toute la vie.
Les hommes et les femmes sont touchés à part égale.
Elle se traduit par une perte de contrôle extrême dans le comportement, le discours et les pulsions et par l’impossibilité de pouvoir gérer ses émotions.
Elle peut ainsi donner lieu à des troubles anxieux.
Les malades connaissent des troubles cognitifs et du sommeil.
 
Là, on retrouve bien ces éléments chez notre « génial » Musk.
Et, de plus, comme les ceux-ce que j’ai pu croiser, qui en général se soignent à coup de pétards, Musk est un adapte des substances hallucinogènes.
Ça soulage son anxiété maladive.
« Vlad-Poux-Tine », je ne sais pas…
En revanche, ce qu’on sait, c’est qu’il est insomniaque.
C’est son ex-femme qui me l’aura rapporté…
Bref, dans les deux cas, des « malades »…
 
Et ce kon de Musk ne trouve rien de mieux que de le revendiquer dans une émission de comédie satirique américaine SNL (Saturday Night Live).
« Écoute, je sais bien que je dis ou je poste des choses étranges, mais c'est justement la façon dont travaille mon cerveau », a-t-il expliqué calmement.
« À toutes les personnes que j’ai pu offenser je dis : j’ai réinventé la voiture électrique et j’envoie des gens sur la planète mars à bord d’une fusée (…) Vous pensez vraiment que je serais un gars détendu et normal ? ».
Et cette fois-ci, il s’est gardé de fumer un joint en direct, en se rappelant qu’on lui reprochait de l’avoir fait dans un podcast.
Il a simplement affirmé « ne pas être diabolique mais seulement incompris ».
Rigolo, va…
 
Très attendu pour ce rendez-vous humoristique en direct, le multimilliardaire controversé, grand convaincu des cryptomonnaies, a également loué le Dogecoin, une devise numérique créée au départ comme d’une plaisanterie, qu’il a aidée à légitimer dans ses « twists ».
Lors d’un sketch où on ne cesse de lui poser la question « mais au fait c’est quoi le Dogecoin ? », Elon Musk finit par répondre : « C’est un véhicule financier inarrêtable qui va conquérir le monde ».
Et d’ajouter enthousiaste « en avant vers la Lune ! ».
Et boum, le cours de la crypto-devise aura fait un bond jusqu’à 75 cents !
Mais comme il a aussitôt après affirmé qu’il s’agissait d’une escroquerie, le cours du Dogecoin a perdu 5 cents pendant l’émission pour terminer autour de 55 cents…
C’est vous dire s’il est rigolo de jouer avec du fric qui ne lui appartient pas.
 
Faisant référence aux prochaines missions sur Mars qu’il va financer à coup de Bitcoin, le fondateur de SpaceX a aussi fait montre d’un humour sombre en envoyant un astronaute sur Mars à qui il assène qu’il « ne survivra pas à cette mission », en référence à ses déclarations précédentes selon lesquelles la colonisation de Mars pourrait coûter la vie d’un « tas de personnes ».
Il s’est même payé le luxe d’une pique à la fusée chinoise dont le retour incontrôlé sur terre samedi soir a lâché des débris dans l’Océan indien.
 
Les animateurs du show se sont demandé : « Mais pourquoi donc Elon Musk est-il l’invité de l’émission ? Maintenant on sait, il avait besoin d’un alibi ! ».
Cette forme d’autisme a notamment été rendue célèbre par le personnage de Raymond Babbitt, incarné par Dustin Hoffman dans le film Rain Man, sorti en 1988.
Mais on se rappelle également de Forest Gump.
Comme lui, beaucoup d’autistes « de haut niveau », comme on les surnomme, ont souvent des connaissances et capacités de concentration hors du commun.
Un peu comme Mozart qui en était un…
Une forme d’intelligence atypique qui se caractérise aussi par des difficultés significatives dans les interactions sociales : C’est une manière pour le milliardaire de 49 ans de justifier ses frasques sur les réseaux sociaux.
Et son côté dictatorial dans ses entreprises.
 
Moâ, j’ai retenu aussi que des résidents de Boca Chica estiment que les autorités du comté travaillent avec SpaceX pour les amener à quitter leurs propriétés.
« Ils agissent comme s’ils possédaient déjà tout, y compris vous et votre maison ». Interrogée dans les colonnes du Wall Street Journal, Cheryl Stevens ne décolère pas : Elle fait partie de ces habitants de Boca Chica qui dénoncent les méthodes de SpaceX.
C’est dans cette commune du Texas que l’entreprise d’Elon Musk a installé sa base de production et de lancement des fusées. C’est aussi dans cette commune de Boca Chica que le milliardaire compte englober à « Starbase », le nom de la ville qu’il projette de fonder.
Pour cela, il propose depuis plusieurs mois aux habitants de racheter leurs terres.
Certains ont accepté, comme Cheryl Stevens : Elle concède avoir réussi à vendre sa maison plus chère que les 139.500 dollars proposés initialement par SpaceX.
Au total, la société aurait déjà racheté 112 terrains, mais quatorze habitants y « résisteraient toujours ». Certains assurent que le montant des propositions de rachat étaient inacceptables et réclament plus d’argent.
Mais les méthodes de SpaceX dans ce dossier sont pointées du doigt.
 
« Nous voulons que SpaceX réussisse, mais pas aux dépens de la communauté » aura a tenté de rassurer le juge du comté de Cameron.
Selon le Wall Street Journal, le directeur principal des finances de SpaceX, aurait expliqué à un couple qu’il explorerait une « voie différente » s’ils refusaient de vendre leur maison de leur plein gré. Le dirigeant aurait aussi évoqué « des approches alternatives » face à un autre couple réfractaire à la vente de son terrain.
Lesquelles, je vous laisse deviner…
Les habitants se plaignent également de la fermeture récurrente d’une route ou de l’accès à la plage environnante par SpaceX pour les tests de ses fusées, sans les prévenir au préalable.
Ces tests provoqueraient régulièrement des bris de fenêtres ou des incendies de broussailles dans le voisinage.
Bref, des méthodes à la « Poux-Tine » quand il annonçait aux Ukrainiens qu’il fallait qu’ils se tirent de Crimée !
 
Un monde inquiétant : « Poux-Tine » et Musk ont le même problème.
Ils sont tous les deux mégalomaniaques.
Le premier finira par se faire éliminer et le second par faire faillite.
Et dans les deux cas, ils entraineront dans leur chute quantité de personnes restées benoîtement béates.
Pour le premier, je ne sais pas encore comment, mais pour le second, réfléchissez où en est son « Hyperloop »… Los Angeles/Frisco en une heure, ça va prendre des années.
Tesla ne gagne d’argent qu’en vendant ses droits à polluer. Quand il n’y aura plus de marché pour ce type de fantaisie, la boutique va mourir, bouffée par ses concurrents.
Et quand les marchés publics d’accès à l’espace seront rétrécis, faute d’argent, SpaceX se fera dépasser par d’autres opérateurs… encore plus disruptifs que lui.
Par ailleurs, vanter les crypto-monnaies, c’est peut-être bien, jusqu’au jour où ce sera interdit (pour différentes raisons, d’État, de sécurité, de pollution… jusqu’à 4 % de toutes les fabrications d’électricité au monde pour seulement « miner » les transactions : Une aberration « climatique » !), ce qui est déjà le cas en Chine… qui veut créer le e-Yuan (comme la BCE le e-Euro…).
 
Mais que ça fait du bien pour le neurone que de voir un clown se débattre avec ses propres faiblesses avec gloire après la semaine « affolante » que nous avons vécu malgré nous en « Gauloisie-sempiternelle » pré-électorale…
Franchement, ça méritait bien un « post de félicitations ».
Puisqu’il aura tenté de nous « monter au ciel »… lui aussi !

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