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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 20 mai 2021

Encore une information démente !

Et pourtant, je ne veux pas paraître « complotiste »…
Mais tout de même.
 
C’est la deuxième fois que l’information inscrit ses « spots » sur « mes radars ». Par deux canaux différents qui ne se connaissent en principe pas. Et qui d’ailleurs ne disent pas tout-à-fait la même chose.
Mais qui racontent tout de même la même histoire.
Et le plus surprenant, ce n’est pas que la thèse développée est reprise de plus en plus souvent dans « la presse » et les éditos de « sachants » (alors qu’il y a encore peu, on était censuré…) mais que ça confirme ma fiction de l’été prochain.
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À un détail près : « L’inventeur » du « Conard-virus » n’est pas le professeur Phîu (personnage de fiction), mais la professeure Shi cornaquée par le colonel Cao (deux noms révélés par quelques « experts » et repris dans les études qui suivent).
 
La première de ces études nous informe que des enquêteurs du département d’État américain ont découvert un dossier produit par l’Armée populaire de libération.
C’est ce que rapporte le « DailyMail », pas vraiment un canard « complotiste » (ni même conspirationniste) .
Tom Tugendhat, de la commission des affaires étrangères, affirme qu’il s’agit de renseignement qui préoccupe le gouvernement « ricain ».
Des scientifiques chinois se préparent depuis six ans à une troisième guerre mondiale à base d’armes biologiques et génétiques, dont le coronavirus.
Le document insiste sur le fait que les virus seront l’arme principale de la victoire dans un tel conflit, décrivant même les conditions parfaites pour libérer une arme biologique et documentant l’impact qu’elle aurait sur le système médical de l’ennemi.
Bon, rien de grave : On a bien, dans le cadre du Forum de Davos, pu organiser un « event 201 » en octobre 2019 simulant les effets d’une pandémie monstrueuse de grippe en supposant qu’un coronavirus se répande sur l’humanité.
Bref, rien de nouveau en somme…
 
Ceci dit, des détails rapportés dans The Australian (autre « canard » pas vraiment complotiste) montrent que les scientifiques et des responsables de la santé de l’Armée populaire de libération ont examiné la manipulation de maladies pour fabriquer des armes d’une manière jamais vue auparavant.
Il rapporte que les hauts responsables du gouvernement affirment que cela soulève des préoccupations majeures quant aux intentions des proches du président chinois « Xi-Ping-Pong », au milieu des craintes croissantes concernant le manque de réglementation du pays sur ses activités dans les laboratoires.
Secret militaire oblige, peut-on en penser.
 
Les auteurs du document insistent d’ailleurs eux aussi sur le fait qu’une troisième guerre mondiale sera biologique, contrairement aux deux premières guerres plutôt classées, respectivement, comme chimique et nucléaire. 
Ils affirment ainsi que les armes biologiques seront l’arme principale de la victoire dans une troisième guerre mondiale.
Moâ, je veux bien, mais c’est particulièrement difficile de s’en prémunir même pour ses propres troupes d’intervention, notamment quand on n’a pas de vaccins à proposer à sa population…
 
En revanche, ce qui est curieux, c’est que ledit document décrit également les conditions idéales pour libérer une arme biologique et causer un maximum de dommages.  Les scientifiques chinois en disent que de telles attaques ne devraient pas être menées au milieu d’une journée lumineuse, car la lumière du soleil intense peut endommager les agents pathogènes, tandis que la pluie ou la neige peuvent affecter les particules d’aérosol.
Au lieu de cela, il doit être libéré la nuit, à l’aube, au crépuscule ou par temps nuageux, avec une direction du vent stable afin que l’aérosol puisse flotter dans la zone cible.
Ce qu’on savait déjà à l’époque du « gaz moutarde » utilisé lors de la première guerre mondiale…
Et l’objectif affiché d’une telle attaque n’est pas de tuer directement, mais est d’entraîner une augmentation du nombre de patients nécessitant des soins hospitaliers, ce qui pourrait provoquer l’effondrement du système médical de l’ennemi.
 
Le député « ricain » en constate plus : « La Chine a contrecarré toutes les tentatives de réglementation et de police de ses laboratoires où une telle expérimentation a pu avoir lieu ».
Et ce document, reprend l’idée que de nouvelles espèces de virus artificiels en tant qu’armes biologiques génétiques sont déjà créés : « Suite aux développements dans d’autres domaines scientifiques, il y a eu des progrès majeurs dans la distribution d’agents biologiques, par exemple, la nouvelle capacité de lyophiliser des micro-organismes a permis de stocker des agents biologiques et de les aérosoliser lors d’attaques. »
Jusque-là, on peut toujours y croire, notamment si c’est pour débloquer des fonds…
 
Mais c’est sans compter que le directeur exécutif de l’Australian Strategic Policy Institute a également fait part de ses inquiétudes quant à la recherche biologique de la Chine sur les coronavirus potentiellement militarisée à l’avenir.
L’Australie, après une période d’amour fantasque pour Pékin est désormais en froid avec les autorités chinoises, rappelons-le.
On peut donc dire des choses qu’il fallait auparavant cacher sous le tapis.
Et, rappelons-le, l’adhésion de Canberra à l’Otan poursuit son processus.
« Il n’y a pas de distinction claire pour la capacité de recherche, car le fait de savoir si elle est utilisée de manière offensive ou défensive n’est pas une décision que ces scientifiques prendraient », a-t-il déclaré.
« Si vous développez des compétences apparemment pour protéger votre armée d’une attaque biologique, vous donnez en même temps à votre armée la capacité d’utiliser ces armes de manière offensive. Vous ne pouvez pas séparer les deux. »
C’est clair, bien entendu.
 
Et puis seulement cette semaine, le président brésilien « Bol-à-sono » a semblé critiquer fortement la Chine en l’accusant d’avoir créé le « Conard-virus » pour déclencher une « guerre » chimique.
Rigolo, va…
Ces commentaires ont été formulés lors d’une conférence de presse mercredi de la semaine dépassée alors que le dirigeant cherchait à se distancier davantage des attaques croissantes contre sa gestion nationale d’une pandémie qui a produit le deuxième plus grand nombre de morts au monde.
« C’est un nouveau virus. Personne ne sait s’il est né dans un laboratoire ou parce qu’un humain a mangé un animal qu’il n’aurait pas dû ».
Ou l’art d’enfoncer les portes ouvertes…
Mais il a aussi ajouté que : « Mais les faits sont là. L’armée sait quelle guerre chimique, bactériologique et radiologique. Ne sommes-nous pas confrontés à une nouvelle guerre ? Quel pays a le plus augmenté son PIB ? Je ne vais pas vous dire. »
Un peu facile pour un mek qui aura laissé mourir ses vieux et sa jeunesse…
Car la Chine était le seul membre du G20 dont le PIB a affiché une croissance pendant la pandémie en 2020, augmentant de 2,3 %.
 
Par ailleurs, un certain Tedros Adhanom Ghebreyesus (Dégé de l’OMS pour ceux qui ne suivent pas) a déclaré que toutes les hypothèses étaient sur la table (quant à l’origine du « Conard-virus ») et nécessitaient une enquête plus approfondie après avoir lu le rapport de la mission de ses experts internationaux à Wuhan.
Même si ses commentaires sont venus quelques heures à peine après la publication dudit rapport, rejetant la théorie des fuites en laboratoire et affirmant que la transmission du virus des chauves-souris à l’homme via un autre animal était le scénario le plus probable.
Quoique vous aurez noté que ce rapport de l’OMS a été retardée à plusieurs reprises, soulevant la question de savoir si la partie chinoise essayait de fausser les conclusions pour éviter que la responsabilité de la pandémie ne retombe sur la Chine.  
 
Des critiques, dont l’ex-président « McDo-Trompe », ont accusé l’OMS d’être le perroquet la propagande chinoise sur le virus depuis que l’épidémie a été annoncée pour la première fois au monde.
Et on se rappelle également que pendant ce temps-là, le Dr Anthony Fauci, conseiller médical en chef du président « Baille-daigne », a révélé qu’il était préoccupé par la mission d’enquête controversée de l’OMS.
« Nous avons de réelles inquiétudes concernant la méthodologie et le processus qui ont suivi ce rapport, y compris le fait que le gouvernement de Pékin a apparemment aidé à l’écrire », a également déclaré le secrétaire d’État américain Antony Blinken.
La Chine a rejeté cette critique et a accusé les États-Unis d’« exercer une pression politique » sur les experts de la mission d’enquête.
De la polémique stérile ?
 
Pas seulement : Des scientifiques qui étudient les maladies des chauves-souris dans le laboratoire à sécurité maximale de la Chine à Wuhan se sont engagés dans un projet de grande envergure pour enquêter sur les virus animaux aux côtés de hauts responsables militaires.
Des documents obtenus par « The Mail on Sunday » révèlent qu’un programme national, dirigé par un organe étatique de premier plan, a été lancé il y a neuf ans pour découvrir de nouveaux virus et détecter la matière noire de la biologie impliquée dans la propagation des maladies.
Un scientifique chinois de premier plan, celui qui a publié la première séquence génétique du virus « Conard-virus » en janvier de l’année dernière, a découvert 143 nouvelles maladies au cours des trois premières années du projet.
 
Le fait qu’un tel projet de détection de virus soit dirigé par des scientifiques civils et militaires semble confirmer les allégations incendiaires des États-Unis alléguant une étroite collaboration entre le Wuhan Institute of Virology (WIV) et les 2,1 millions de soldats des forces armées du pays.
Ou on apprend ainsi que parmi les cinq chefs d’équipe du programme sont présents Shi Zhengli, la virologue du WIV surnommée « Bat Woman » pour ses voyages à la recherche d’échantillons dans des grottes, et Cao Wuchun, un officier supérieur de l’armée et conseiller du gouvernement sur le bioterrorisme.
La professeure Shi a nié les allégations américaines le mois dernier, déclarant : « Je ne connais aucun travail militaire au WIV ».
Ok. Sauf que…
 
Le colonel Cao est répertorié dans les rapports de projet en tant que chercheur de l’Académie des sciences médicales militaires de l’Armée populaire de libération, et travaille en étroite collaboration avec d’autres scientifiques militaires tout en assurant aussi la direction du Comité militaire d’experts en biosécurité.
Cao, c’est l’épidémiologiste qui a étudié à l’Université de Cambridge, et qu’il siège même au conseil consultatif de l’Institut de virologie de Wuhan. C’était le commandant en second de l’équipe militaire envoyée dans la ville sous la direction du général de division Chen Wei, réputé être le plus grand expert en bio-défense du pays, pour répondre au nouveau virus et développer un vaccin.
 
Le département d’État américain a également fait part de ses préoccupations concernant les expériences risquées de gain de fonction pour manipuler les coronavirus au laboratoire de Wuhan et a suggéré que les chercheurs étaient tombés malades avec des symptômes de type « Conard-virus » des semaines avant que l’épidémie ne se déclare plus largement dans la ville chinoise.
Le mois dernier, la Grande-Bretagne, les États-Unis et 12 autres pays ont d’ailleurs critiqué Pékin pour avoir refusé de partager des données et des échantillons clés après que l’étude conjointe de l’OMS et de la Chine sur les origines de la pandémie ait rejeté une fuite de laboratoire comme extrêmement improbable.
 
Filippa Lentzos, experte en biosécurité au King’s College de Londres, a par ailleurs déclaré que les dernières révélations correspondaient au modèle d’incohérences venant de Pékin : « Ils ne sont toujours pas transparents avec nous », a-t-elle affirmé.
« Nous n’avons pas de données concrètes sur les origines de la pandémie, qu’il s’agisse d’un débordement naturel d’animaux ou d’une sorte de fuite accidentelle liée à la recherche, mais nous ne pouvons pas obtenir de réponses claires et cela n’inspire tout simplement pas confiance. »
Or, les documents obtenus par The Mail on Sunday détaillent un projet majeur appelé ‘‘la découverte d’agents pathogènes d’origine animale transportés par des animaux sauvages’’, qui visait à trouver des organismes susceptibles d’infecter les humains et d’étudier leur évolution.
Un projet lancé en 2012 et financé par la National Natural Science Foundation of China. Ce projet a été dirigé par Xu Jianguo, qui s’est vanté lors d’une conférence en 2019 qu’un réseau géant de prévention et de contrôle des maladies infectieuses est en train de prendre forme…
 
Le professeur a également dirigé le premier groupe d’experts enquêtant sur l’émergence de la Covid à Wuhan. Et bien sûr il a nié la transmission humaine dans un premier temps, malgré les preuves des hôpitaux, puis a insisté à la mi-janvier sur le fait que « cette épidémie est limitée et prendra fin s’il n’y a pas de nouveaux cas la semaine prochaine ».
Or, là encore, un examen de son projet de recherche de virus a admis « qu’un grand nombre de nouveaux virus ont été découverts, ce qui suscite de vives inquiétudes au sein de la communauté virologique internationale ».
Il a même ajouté que si les agents pathogènes se propageaient aux humains et au bétail, ils pourraient provoquer de nouvelles maladies infectieuses faisant naître une grande menace pour la santé humaine et la sécurité des personnes, et pourraient entraîner des pertes économiques majeures, voire affecter la stabilité sociale !
Pas en « Gauloisie-ruinée » en tout cas, hors les manœuvres et manipulations de « Jupiter », quelques violences ici ou là, la stabilité sociale n’a jamais été mise en danger…
Elle s’est même renforcée depuis la disparition des « Gilets-jaunes » et les black-blocks.
 
De plus, une mise à jour en 2018 indiquait que les équipes scientifiques - qui ont publié nombre de leurs découvertes dans des revues internationales - avaient découvert quatre nouveaux agents pathogènes et dix nouvelles bactéries tandis que « plus de 1.640 nouveaux virus ont été découverts à l’aide de la technologie de métagénomique ».
Ces recherches sont basées sur l’extraction de matériel génétique à partir d’échantillons tels que ceux recueillis par le professeur Shi à partir de fèces et de sang de chauves-souris dans les réseaux de grottes du sud de la Chine.
Un tel échantillonnage a conduit à la révélation rapide par la professeure Shi l’année dernière du RaTG13, le génome le plus proche connu par rapport à la nouvelle souche de « Conard-virus » qui occasione la Covid.
Il a été stocké au laboratoire de Wuhan, le plus grand dépôt de coronavirus de chauve-souris en Asie.
Et, curieusement, il est apparu plus tard qu’elle avait changé le nom d’un autre virus identifié dans un article précédent, obscurcissant ainsi son lien avec trois mineurs décédés d’une étrange maladie respiratoire qu’ils avaient attrapée en train de nettoyer les excréments de chauves-souris…
La Chine protège ses secrets.
 
La professeure Shi a également admis que huit autres virus du SRAS non identifiés avaient été collectés dans la mine. L’institut a mis sa base de données d’échantillons de virus hors ligne en septembre 2019, quelques semaines à peine avant l’explosion des cas de la Covid à Wuhan.
Un commentaire a été laissé sur les réseaux sociaux après que le colonel Cao ait publié un article sur une morsure mortelle de tique, affirmant que lui et le professeur Shi peuvent toujours trouver un virus qui n’a jamais été trouvé chez l’homme, ajoutant même : « Je soupçonne que c’est une autre soi-disant « recherche scientifique » réalisée en laboratoire ».
Effectivement, ces dernières années, l’armée chinoise a intensifié le recrutement de scientifiques après que le président « Xi-Ping-Pong » a déclaré qu’il s’agissait d’un élément clé de la marche du pays pour la suprématie mondiale.
 
Lianchao Han, un dissident qui travaillait auparavant pour le gouvernement chinois, a déclaré que l’implication de Cao avait soulevé des soupçons selon lesquels des chercheurs militaires experts en coronavirus pourraient également être impliqués dans des opérations de bio-défense.
« Beaucoup travaillent avec des instituts de recherche occidentaux depuis des années pour voler notre savoir-faire, mais la Chine refuse toujours de partager des informations critiques un an après que la pandémie a tué plus de trois millions de personnes ».
 
David Asher, un expert en prolifération biologique, chimique et nucléaire, qui a dirigé les enquêtes du Département d’État sur les origines de « Conard-virus », a déclaré : « Les Chinois ont clairement indiqué qu’ils considéraient la biotechnologie comme une grande partie de l’avenir de la guerre hybride. La grande question est de savoir si leur travail dans ces domaines est offensif ou défensif. »
Clairement, les autorités de Pékin sont de plus en plus ouvertement accusées de préparer des armes biologiques en vue d’un futur conflit majeur. Et elles semblent clairement en avance sur les russes qui ne parviennent même pas à mortellement empoisonner leurs opposants avec leur « Novitchok », pas plus que leurs agents-doubles à Salisbury.
L’arme biologique, c’est une autre dimension.
Et naturellement, c’est formellement prohibé par les traités internationaux.
 
Alors, quelle part « d’enfumage » des « autorités bien informées » et quel crédit donner à ces informations dans cette guerre des communiqués ?
Notons que Formose enregistre actuellement ses premières contaminations de « Conard-virus ».
Que Tokyo s’inquiète de son côté.
Et que les deux appellent à pouvoir se fournir en vaccins.
Alors que le brésilien s’est fâché tout rouge contre Pékin, là où le vaccin chinois est parfois reparti d’où il venait en Amérique latine.
Comme toujours, quand les « fils rouges » forment des faisceaux d’indices, il y a probablement un fond de vrai et un fond de tentative de manipulation des opinions publiques.
 
Personnellement, je ne suis pas trop inquiet : Les systèmes de santé ont été secoués, certes, brutalement même, mais ils ont tenu.
L’apparition des « mutants », ce qu’on appelle des « variants » pour ne pas effrayer les foules, démontre en tout cas que l’épidémie, voulue ou survenue accidentellement, dérape : On en a perdu le contrôle sur le long terme.
Il faudra vivre avec sauf si Pasteur-Sanofi nous file un vaccin qui n’est pas que du « bricolage » de dernière minute, fait à la va-vite en tripatouillant le génome du « Conard-virus », pour en faire un « vaccin OGM ».
Même si la piste est séduisante.
Mais ça ne sera pas avant la fin de l’année.
 
En attendant, après la Corée-du-Nord et l’Iran, le nouveau « vilain » est montré de plus en plus souvent du doigt. Ça tombe bien, pour des tas de raisons géopolitiques, puisque c’est le futur ennemi désigné de l’Occident.
Tout ça pour un ratio délirant : 3 millions de morts pour plus de 7 milliards de moribonds qui s’ignorent, ce n’est jamais que 0,0428 %.
Naturellement, c’est 10 fois plus que les décès sur le réseau routier de la « Gauloisie-imperturbable ».
Autrement dit, énorme : Une (mal)chance sur 2.330 d’y laisser sa peau en comptant même toutes les comorbidités présumées.
Non, c’est peut-être le commencement de la troisième guerre mondiale, totalement « asymétrique » et nous ne l’avons pas vu venir.
Enfin, si à voir les réactions des autorités, justement… presque disproportionnées.
 
Je vous rappelle que l’on compte : 50 millions de morts en 1918 et 1919 pour la grippe espagnole ; 32 millions de morts de 1981 à nos jours pour le sida ; 1,1 million de morts en 1957 et 1958 pour la grippe asiatique et un million de morts pour la grippe de Hong-Kong en 1968 et jusqu’en 1970, etc.
La grippe du canard, celle du cochon, le Mers, Zika, c’est tout juste anecdotique.
C’est à suivre, parce qu’il faut que je vous parle aussi de la seconde source d’information qui vient corroborer le présent dire.
Puisque désormais on n’est plus ni censuré ni taxé de « complotiste délirant » quand on parle de ces sujets…

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