Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 11 mai 2021

Deuxième slave des « militareux »…

On en parle. Mais l’avez-vous lue ?
 
Je veux parler de la seconde tribune des porteurs d’uniforme, tenus tous au devoir de réserve, mais qui n’en pensent pas moins.
Alors, pour s’éviter des problèmes et sanctions futures, ils signent anonymement à plus de 36.000 signatures au compteur…
 
« Monsieur le Président de la République,
Mesdames et Messieurs les ministres, parlementaires, officiers généraux, en vos grades et qualités (*),
 
On ne chante plus le septième couplet de la Marseillaise, dit « couplet des enfants ». Il est pourtant riche d’enseignements. Laissons-lui le soin de nous les prodiguer :
 
« Nous entrerons dans la carrière
quand nos aînés n’y seront plus.
Nous y trouverons leur poussière,
et la trace de leurs vertus.
Bien moins jaloux de leur survivre
que de partager leur cercueil,
nous aurons le sublime orgueil
de les venger ou de les suivre »
 
Nos aînés, ce sont des combattants qui ont mérité qu’on les respecte. Ce sont par exemple les vieux soldats dont vous avez piétiné l’honneur ces dernières semaines. Ce sont ces milliers de serviteurs de la France, signataires d’une tribune de simple bon sens, des soldats qui ont donné leurs plus belles années pour défendre notre liberté, obéissant à vos ordres, pour faire vos guerres ou mettre en œuvre vos restrictions budgétaires, que vous avez salis alors que le peuple de France les soutenait.
Ces gens qui ont lutté contre tous les ennemis de la France, vous les avez traités de factieux alors que leur seul tort est d’aimer leur pays et de pleurer sa visible déchéance.
 
Dans ces conditions, c’est à nous, qui sommes récemment entrés dans la carrière, d’entrer dans l’arène pour avoir simplement l’honneur d’y dire la vérité.
 
Nous sommes de ce que les journaux ont nommé « la génération du feu ». Hommes et femmes, militaires en activité, de toutes les armées et de tous les grades, de toutes les sensibilités, nous aimons notre pays. Ce sont nos seuls titres de gloire. Et si nous ne pouvons pas, réglementairement, nous exprimer à visage découvert, il nous est tout aussi impossible de nous taire.
 
Afghanistan, Mali, Centrafrique ou ailleurs, un certain nombre d’entre nous ont connu le feu ennemi. Certains y ont laissé des camarades. Ils ont offert leur peau pour détruire l’islamisme auquel vous faites des concessions sur notre sol.
 
Presque tous, nous avons connu l’opération Sentinelle. Nous y avons vu de nos yeux les banlieues abandonnées, les accommodements avec la délinquance. Nous avons subi les tentatives d’instrumentalisation de plusieurs communautés religieuses, pour qui la France ne signifie rien -rien qu’un objet de sarcasmes, de mépris voire de haine.
 
Nous avons défilé le 14 juillet. Et cette foule bienveillante et diverse, qui nous acclamait parce que nous en sommes l’émanation, on nous a demandé de nous en méfier pendant des mois, en nous interdisant de circuler en uniforme, en faisant de nous des victimes en puissance, sur un sol que nous sommes pourtant capables de défendre.
 
Oui, nos aînés ont raison sur le fond de leur texte, dans sa totalité. Nous voyons la violence dans nos villes et villages. Nous voyons le communautarisme s’installer dans l’espace public, dans le débat public. Nous voyons la haine de la France et de son histoire devenir la norme.
 
Ce n’est peut-être pas à des militaires de dire cela, arguerez-vous. Bien au contraire : parce que nous sommes apolitiques dans nos appréciations de situation, c’est un constat professionnel que nous livrons. Car cette déchéance, nous l’avons vue dans bien des pays en crise. Elle précède l’effondrement. Elle annonce le chaos et la violence, et contrairement à ce que vous affirmez ici où là, ce chaos et cette violence ne viendront pas d’un « pronunciamento militaire » mais d’une insurrection civile.
 
Pour ergoter sur la forme de la tribune de nos aînés au lieu de reconnaître l’évidence de leurs constats, il faut être bien lâche. Pour invoquer un devoir de réserve mal interprété dans le but de faire taire des citoyens français, il faut être bien fourbe. Pour encourager les cadres dirigeants de l’armée à prendre position et à s’exposer, avant de les sanctionner rageusement dès qu’ils écrivent autre chose que des récits de batailles, il faut être bien pervers.
 
Lâcheté, fourberie, perversion : telle n’est pas notre vision de la hiérarchie.
L’armée est au contraire, par excellence, le lieu où l’on se parle vrai parce que l’on engage sa vie. C’est cette confiance en l’institution militaire que nous appelons de nos vœux.
 
Oui, si une guerre civile éclate, l’armée maintiendra l’ordre sur son propre sol, parce qu’on le lui demandera. C’est même la définition de la guerre civile. Personne ne peut vouloir une situation aussi terrible, nos aînés pas plus que nous, mais oui, de nouveau, la guerre civile couve en France et vous le savez parfaitement.
 
Le cri d’alarme de nos Anciens renvoie enfin à de plus lointains échos. Nos aînés, ce sont les résistants de 1940, que, bien souvent, des gens comme vous traitaient de factieux, et qui ont continué le combat pendant que les légalistes, transis de peur, misaient déjà sur les concessions avec le mal pour limiter les dégâts ; ce sont les poilus de 14, qui mouraient pour quelques mètres de terre, alors que vous abandonnez, sans réagir, des quartiers entiers de notre pays à la loi du plus fort ; ce sont tous les morts, célèbres ou anonymes, tombés au front ou après une vie de service.
 
Tous nos aînés, ceux qui ont fait de notre pays ce qu’il est, qui ont dessiné son territoire, défendu sa culture, donné ou reçu des ordres dans sa langue, ont-ils combattu pour que vous laissiez la France devenir un État failli, qui remplace son impuissance régalienne de plus en plus patente par une tyrannie brutale contre ceux de ses serviteurs qui veulent encore l’avertir ?
 
Agissez, Mesdames et Messieurs. Il ne s’agit pas, cette fois, d’émotion sur commande, de formules toutes faites ou de médiatisation. Il ne s’agit pas de prolonger vos mandats ou d’en conquérir d’autres. Il s’agit de la survie de notre pays, de votre pays. »
 
Et voilà comment on se laisse déborder par la troupe ?
Peut-être, peut-être pas.
Car, comme pour beaucoup de vaccin, il faut parfois y remettre un « rappel ».
Et là, ça prend tout d’un coup une autre dimension : Celui d’hommes qui sont allés combattre le terrorisme islamique hors de nos frontières, qui participent tous les jours à l’opération Vigipirate, comparent les situations rencontrées et « témoignent ».
Pour en faire un amer constat.
On comprend pourquoi on nous avait affirmé que l’entourage de « Jupiter » redoutait cette nouvelle tribune qui circulait déjà dans les couloirs, les « milieux bien informés ».
Informés par qui (*) ?
Deux « * » pour vous signaler le lien…
Le vocable d’une part, les réseaux médiatiques d’autre part, la signature est claire et vous confirme que l’armée est bien celle des « frangins trois-points »…
 
D’ailleurs une autre confirmation de mes propos précédents : Ce n’est pas une opération « putschiste » de quelques « factieux félons » comme on l’aura affirmé à l’occasion du premier appel « des généraux » retraités.
Non.
Il est affirmé que « si une guerre civile éclate, l’armée maintiendra l’ordre sur son propre sol, parce qu’on le lui demandera.
C’est même la définition de la guerre civile. »
Autrement dit, c’est le pouvoir civil, politique, qui déclenchera les hostilités…
Pas les « porteurs d’uniforme ».
Voilà qui est clair !
Vous avez compris, j’espère ?
Eux, ils obéissent. C’est dans l’essence même de la condition de militaire.
C’est tout.
 
Ceci dit et réaffirmé, on va attendre encore un peu pour analyser ensemble la réaction des « politiques ».
On sait déjà que « Mes-Luches » les passera par les armes (dans ses rêves à lui : C’est qui qui a les armes, au juste ?) que d’autres vont s’insurger avec des mots qui seront les leurs et ce qui va être significatif ce sera les « silences », disons les non-dits de « Jupiter » et « Marinella-tchi-tchi »…
À mon sens, ça cogitait ferme tout du long du week-end dernier et dans les premiers jours de la semaine débutante : Car il s’agit bien d’un piège-politique.
Et la question qu’on peut déjà se poser, c’est à qui profite le crime, disons de « lèse-majesté » républicaine ?
 
Là, il vous faire un effort de mémoire pour tenter de comprendre.
Vous souvenez-vous donc de « Jupiter » qui annonçait à des « D’jeuns » que peut-être il ne pourrait pas se présenter en 2022 ?
Tellement le futur restait « incertain »…
C’était sur le média en ligne Brut : « Peut-être que je ne pourrai pas être candidat. Peut-être que je devrais faire des choses dans la dernière année, dans les derniers mois, dures parce que les circonstances l’exigeront et qui rendront impossible le fait que je puisse être candidat. »
Je n’invente rien…
Et nous y sommes.
 
Quelle tactique (électorale) se cache derrière ces derniers développements ?
Probablement faire monter assez fort la pression « putschiste » pour :
Un : Dénoncer le « Air-Haine » qui adore les « bruits de bottes » et appelle depuis toujours à un « grand nettoyage ».
C’est dans ses gènes depuis l’origine du mouvement.
Et « Jupiter » apparaîtra comme l’ultime rempart des institutions républicaines (fondées par quelques « frangins-trois-points » il y a plus de deux siècles de ça. Ils s’en disent même « enfants des lumières » et « humanistes »…)
On rejoue 2017.
Deux : Pousser les autres formations politiques à s’embourber dans leurs confusions idéologiques telles qu’elles ne pourront pas faire autrement que d’accepter le recours à l’armée dont le chef suprême est… « Jupiter » !
Du velours, vous dis-je…
 
Le chemin est tortueux, faut-il reconnaître.
Soit on en passe par des élections, soit on s’en passe.
Puisque l’objectif n’est pas tant de se faire renouveler à ses fonctions mais bien plus de faire barrage au « Air-Haine » pour conforter la place du pays dans le concert des « éclairés » du monde.
Et les options, parfois divergentes, fleurissent sur les deux parcours.
Bref, rien n’est encore joué, au moins dans les détails, mais le calendrier avance.
Il faut, de toute façon et dans les deux cas, créer du désordre.
Il faut faire peur au bourgeois.
Qu’il tremble nuit et jour.
Le « Conard-virus » aura démontré que ça fonctionne très bien : Peur de s’infecter ou peur d’une amende, tout le monde aura plié à l’état d’urgence sanitaire.
On en sort : Il faut donc autre chose de plus menaçant.
 
Et c’est parti pour quelques mois qui vont nous paraître bien longs…
Deux options : Accélérer pour aboutir à un « article 16 » de la constitution (les pleins pouvoirs présidentiels), avant le 2 décembre 2021, 170 ans après Louis-Napoléon et changer la constitution dans l’urgence pour éviter le rendez-vous électoral de mai.
C’est-à-dire dès ce printemps avec une escalade durant l’été et les estives.
Ou bien justement ralentir pour la période estivale et redémarrer à la rentrée tout en sauvant l’apparence « démocratique » de nos institutions.
Et ainsi ressortir grand-vainqueur de l’élection de mai prochain.
Fort, non ?
Oui, mais hasardeux dans les deux cas…
 
À suivre !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire