C’est qui le « cocu » ? Moâ !
Jupiter va finir par prendre mon poing dans la tronche
et mon genou sur les restes de ses « bijoux de famille ».
Je suis furax depuis qu’il est allé trouver la femme du
premier ministre australien « délicious » : La gaffe devant le
Premier ministre australien, le neurone en pelote face à Lucy Turnbull, une
« jeunette »…
Elle ne pète pas trois pates à un canard, mais elle a
le « nez-pointu ».
Du coup il s’en est pris plein la gueule par presse
australienne interposée (« Pépé le putois », un séducteur un peu
collant desservi par sa mauvaise odeur…) avant d’aller se frotter au kanaks. Le
Daily Telegraph local le décrit comme ayant « murmuré à l’oreille des premières dames du monde entier » (rhôôôô,
Melania…) et « charmé les dirigeants
grâce à son charisme français ».
À Sydney il aurait même « flirté avec Gladys Berejiklian », une femme politique locale,
et « ébloui tous ceux qui croisaient
son chemin de son sourire de mangeur de fromage ».
Mais ce n’est pas ça qui m’a rendu furieux.
Car figurez-vous que ce n’est pas le plus important de
mon point de vue. Je me suis barré de la « Gauloisie-des-lumières »
et de son enfer fiscal à la fin du premier semestre 2014 : Bien trop
dangereux pour mes abattis, pressentant que mes « cousins-F.Haine »
(et oui, j’en ai aussi) n’allaient pas tarder à me tailler des croupières, sûrs du
résultat des élections qui approchaient.
Je les connais plutôt bien et sais combien ils sont
kons et violents.
Et j’ai une sainte horreur de cette
« race-là », prompte à exécuter ce qui ne leur plait pas pour des
histoires dogmatiques. Dogmes d’ailleurs « copiés/collés » issus tout
droit de la « gôche-la-plus-kon-du-monde » (Cf. leur programme, si
vous ne me croyez pas : Ici et
les 7 posts suivants, dans le détail), à l’euro près, c’est dire le
délire (qu’on sait depuis le « Brexit »). Je sais, pour les avoir
fréquentés, à la fac, « au village » et même « en
famille » : Je suis leur « ennemi » pré-désigné, un
« ennemi de classe ».
Du coup, j’ai fait comme le « cousin »
Bonaparte (celui qui « a réussi » et dort aux invalides dans son septuple
cercueil entouré de ses maréchaux) et je suis parti en exil à Portoferraio
(Île-d’Elbe).
Un joli coin, pas très loin de mon maquis de
« Corsica-Bella-Tchi-Tchi ».
L’endroit idéal.
Et pour compléter le tableau, j’ai vendu tout ce que
j’avais sur le continent (hors les indivisions-familiales), meubles et
immeubles.
Bé figurez-vous que c’est parce que j’étais dans le
champ de « l’exit-tax » de « Bling-Bling », l’enfoiré…
De « potentielles » mes maigres
« plus-values » sont devenues « réelles » du fait de ma
décision d’exiler, et l’impôt sur celles-ci les a avalées.
Et avec le solde, j’ai pu payer un voilier, une masure
à Portoferraio, une autre pour « ma nichée » (où je planque mes
« serveurs-perso ») et, plus tard, des droits sur un « cruttiu »
monégasque.
Fiscalement domicilié un temps en
« Ritalie », puis désormais (provisoirement) en
« Grande-Britannie », je suis quand même nettement mieux traité qu’au
pays.
Passons, j’ai payé – dans la douleur – une fois, je me
propose de ne pas prendre le risque de payer une deuxième fois, même si
« Jupiter » supprime ladite taxe sur les imbéciles (dont je peux
être…) et « autres-cocus ».
Il y a des konnards qui surgissent n’importe
quand : Il vaut mieux se méfier…
Mais ce qui me rend dingue, c’est la façon dont cela a
été présenté (et décidé : Ce n’était pas dans le programme de
« Jupiter ») alors qu’il y a encore peu, on déroulait encore le tapis
rouge aux exilés-fiscaux en Angleterre.
Désormais ils déroulent des
« lettres-d’amour » à tous ceux qui seraient tenter de rentrer chez
eux et j’ai pu faire plein de « prospects » pour encore
« boss-à-moâ » aux frais du contribuable britannique (on va y
revenir).
Et pour reprendre le cas de la
« Gauloisie-fiscale », d’après le ministère, les départs à l'étranger
des contribuables dont le revenu est supérieur à 100.000 euros annuels ont
encore augmenté. Ils ont été trois fois plus nombreux en 2015 qu’en 2010. Ce
n’est pas non plus « Exodus ».
Les dernières données disponibles montrent en tout état
de cause que les expatriations des contribuables aisés sont restées très
dynamiques sous le précédent quinquennat, malgré l’existence de cette « exit-tax
» depuis 2011.
Seulement 4.326 foyers-fiscaux ont quitté la « Gauloisie-fiscale »
en 2015, en progression de 5 % par rapport à 2014. La tendance serait également
à la hausse chez les contribuables dont le revenu est supérieur à 300.000
euros, où l’on note 634 départs en 2015, contre 589 l’année précédente
(maigre-pêche).
La « pause fiscale » décrétée à la mi-mandat par
« Tagada-à-la-fraise-des-bois » n’a donc pas eu d’effets sur les
décisions des contribuables.
Concernant l’ISF, 754 départs de redevables ont été
constatés en 2015, après 837 en 2014.
Mais comme l’ISF n’existe plus…
D’un autre côté, on sait que la progression est plus
rapide que pour l’ensemble des foyers fiscaux (+ 130 % sur cinq ans), sachant
que la population des gauloisiens de l’étranger a augmenté à un rythme annuel
moyen de + 3,4 % sur les dix dernières années. Les sondages des réseaux
consulaires montrent le plus souvent que ce sont les opportunités
professionnelles qui poussent à partir, plus que les motivations fiscales.
Moi, j’en connais, c’est aussi le sexe… mais ils ne le
disent pas.
Chaque année, c’est 300 à 400 déclarations d’« exit-tax », dans laquelle le
contribuable déclare ses plus-values latentes. En 2015, leur montant déclaré s’élevait
à 2,9 milliards d’euros de plus-values.
À ce niveau-là, ce ne sont plus « les
riches », mais les « super-très-riches » parce que faire 7,25 M€
de plus-values par tête de pipe, il faut quand même en accumuler un paquet…
Passons.
Et restons sérieux : L’abandon de l’exit-tax est
une rigolade. Il s’agit d’une mesurette qui a concerné une hyper-minorité d’un maximum
de 300 personnes par an et qui aura rapporté moins de 100 M€/an au fisc (70
millions d’euros en 2017). C’est assez loin des conséquences d’une autre
décision « jupitérienne », à savoir le maintien de la taxe et surtaxe
d’habitation aux résidences secondaires, qui laisse aux maires le pouvoir de l’augmenter
jusqu’à + 60 %…
Là, c’est plus « fumeux ».
Résultat : Paris, Nice, Bordeaux et St-Jean-de-Luz ont
déjà annoncé des augmentations de 40 à 60 %. Et comme vous le savez, il y a 3,3
millions de résidences secondaires au pays !
(Il faut que je me renseigne sur la Balagne…)
« Jupiter » aura fait cette déclaration dans
une interview au magazine Forbes considérant tout d’un coup que cet impôt
envoie un « message négatif aux
entrepreneurs, plus qu’aux investisseurs », car elle signifie qu’« au-delà d’un certain seuil, vous êtes
pénalisé si vous quittez la France ».
« C’est une
grave erreur pour nos start-up parce que nombre d’entre elles, quand elles
considéraient la France moins attractive, décidaient de lancer leurs projets en
partant de zéro à l’étranger dans le but d’éviter cet impôt », a ajouté le
chef de l’État.
Admettons…
Mais j’avoue ne pas bien comprendre : Toutes les
conventions bilatérales (et européennes) de nature fiscale prévoit une taxation
des plus-values dans le pays où elles sont faites. Tu es aux USA, citoyen
américain, tu vends ta boîte en faisant une plus-value sise en Gauloisie, tu payes
en « Gauloisie ».
L’objet de ces conventions, c’est que comme tu es
« ricain », tu payes aussi en « Ricanie », puisque l’impôt
y est mondial, et tu imputes ce que tu as déjà payé via un crédit-d’impôt (pour
ne pas payer deux fois).
Et l’inverse se vérifie pour obéir aux mêmes règles.
Ce qu’il y avait de scandaleux, c’était de payer sur
des « plus-values virtuelles », pas encore faites…
Ça, c’est du vol !
Le reconnaître c’est bien, y remédier c’est mieux, mais pourquoi si tard ?
Le reconnaître c’est bien, y remédier c’est mieux, mais pourquoi si tard ?
Parce que « plus-value-virtuelle » d’un
jour, « moins-value-réelle » le lendemain.
D’autant que ça ne s’impute sur rien dans le pays
d’accueil : Tous kons, peut-être, mais pas au point de rembourser le
racket du fisc Gauloisien !
C’est vous dire si je suis furieux.
C’est vous dire si je suis furieux.
Mais il en rajoute : « Le message que je veux envoyer aux investisseurs étrangers est que nous
baissons l’impôt sur les sociétés, nous simplifions tout, apportons plus de
flexibilité sur le marché du travail, accélérons la transformation de
l’économie française », a-t-il ajouté.
Selon lui, « l’un
des principaux problèmes du pays était le coût de la défaillance (des
entreprises), mortel pour
l’investissement ». « Dorénavant, il
est plus facile d’échouer et ça ne coûte rien, ce qui est le meilleur moyen
d’encourager les entrepreneurs à se lancer et réussir ».
Vous avez bien lu : Se planter et laisser des
drapeaux dans son sillage, « ça ne coûte rien » !
Là, j’ai relu deux fois : Comment un énÂrque-diplômé,
qui plus est « banquier », peut raconter que perdre de l’argent, ça
ne coûte rien ?
Que même de noter que pas un seul des
« journaleux » n’a pu relever « la perle ».
Comme quoi, dans ce pays, personne ne sait compter et
tout le monde est shooté…
Avec une palme « dorée sur tranche » méritée
pour le député « P.Soce »n « Beau-rice-Val-Eau ». Je
cite : « Avec Emmanuel Macron, c’est
encore et toujours « exit la taxe » pour les plus fortunés (…) qui pourront désormais s’exiler fiscalement en
toute impunité ».
Des meks investis par un « parti de
gouvernement », élus pour « fabriquer des lois » et qui ignorent
totalement comment la loi fiscale fonctionne.
Franchement, c’est à vomir de rire…
Pour tout vous dire, je préfère les plafonds somptueux
de la salle Locarno au ministère britannique des Affaires étrangères où,
ambassadeur, ministre et fonctionnaires britanniques ont déclamé leur amour
immodéré pour la « Gauloisie-des-Libertés » : « Tous les jours, je constate à quel point les
liens entre nos deux pays sont proches », aura lancé, dans un francilien-natif
parfait, l’ambassadeur britannique, Edward Llewellyn, présent pour l’occasion.
« Nous
apprécions votre valeur, nous voulons que vous restiez, vous enrichissez nos
communautés, nos entreprises », aura enchaîné Robin Walker, sous-secrétaire
d’État au « DexEu » (pour Department for exiting the European Union –
en gros le ministère du « Brexit »). « Notre pays se sentirait appauvri si vous le quittiez », a même
ajouté le ministre à l’adresse des « expat’-gauloisiens » ce soir-là.
Une réponse à
l’anxiété générée par la décision de quitter l’Union européenne pour les
quelque trois millions d’Européens installés au Royaume-Uni, dont environ 300.000
Gauloisiens (je n’en avais pas autant dans mes « screenings »).
Après les discours officiels, trois fonctionnaires – deux
du ministère du « Brexit » et un du ministère de l’Intérieur (Home
Office) –, ont répondu à une rafale de questions, pendant plus de deux heures.
Il faut comprendre : Certain(e)s ont fait leur
vie au Royaume-Uni, y ont épousé des Britanniques, s’y sont reproduits et y
vivent depuis des décennies. Et pour la première fois de leur vie, ils se
retrouvent dans la position de devenir un jour immigré illégal…
Parce que la sortie de l’UE du Royaume-Uni implique
une modification de leur situation. Pour rester en toute légalité au
Royaume-Uni, il leur faudra déposer une demande de « settled status » (statut établi). Cette demande sera accordée si le
requérant a vécu pendant au moins cinq ans au Royaume-Uni et peut le prouver.
Pour ceux qui souhaiteraient s’y installer pour la première
fois, les modalités sont encore à définir : Je ne me suis pas vraiment
senti concerné…
Il faut dire que le scandale de la « génération
Windrush » est dans tous les esprits de ce côté-ci de la Manche. Le
gouvernement britannique a été contraint de s’excuser et de promettre de régler
la situation de milliers de personnes arrivées au Royaume-Uni entre la fin de
la Seconde guerre mondiale et le milieu des années soixante-dix depuis les
Antilles, anciennes colonies britanniques, pour participer à l’effort de
reconstruction du pays. Des dizaines d’entre elles se sont retrouvées menacées
d’expulsion vers des pays où elles n’ont jamais vécu, déniées leurs droits au
travail, aux allocations ou au logement, parce qu’elles ne possédaient pas les
documents nécessaires pour prouver qu’elles étaient britanniques.
Ce scandale est né notamment de l’instauration
officielle au Home Office, sous la direction de « Théière-Mais » qui
était alors ministre de l’Intérieur (entre 2010 et 2016), d’un « environnement hostile » pour
l’immigration.
Difficile dans ces conditions pour les citoyens
européens (et ceux présents ce soir-là) de ne pas ressentir une certaine
anxiété, ce que le ministre Robin Walker a volontiers reconnu.
Je vais leur refiler l’idée : Une « exit-tax-Jupitérienne »
pour tous ceux qui seront obligés de dégager pour être devenus
« illégaux »…
Au moins, ça permettra peut-être de faire toucher du
doigt toute la prétention des « fats »,
« autistes-trisomiques » inguérissables, qui pensent à votre place
votre propre bonheur et vous obligent avec leurs dogmes déjantés…
Je déteste franchement tous ces fachos-là,
figurez-vous…
Je fulmine, en fait…
Un jour, il faudra bien qu’ils désertent et vous nous
foutent la paix.
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