Elles sont de plus en plus courantes…
C’est une enseignante dans la ville de Tulle qui demande à ses élèves
combien d’entre eux sont des fans de François Hollande.
Ne sachant pas vraiment ce qu’est un fan de Hollande, mais voulant être
interrogé par le professeur, tous les élèves lèvent la main, sauf le petit de Jean-Marc.
L’enseignante lui demande :
« – Mais pourquoi ne lèves-tu
pas le bras, comme tous tes petits camarades ?
– Je ne suis pas un fan
de Hollande.
– Mais pourquoi ?
– Parce que je suis fan
de Sarkozy », répond Jean-Marc.
L’enseignante lui demande des explications.
« Ben ma maman est une fan de Sarkozy,
mon papa est un fan de Sarkozy, donc je suis fan de Sarkozy. »
L’enseignante est un peu énervée, parce qu’elle est dans la ville de Tulle,
celle de Hollande.
« Et, si ta mère était stupide
et ton père un idiot, qu’est-ce que tu serais » demande la prof ?
« Ben cela me rendrait forcément
fan de hollande ! »
Et encore une « revenue » :
Une femme publia une petite annonce :
« Je cherche un homme »
Le lendemain, elle reçut plus de 1.000 lettres.
Toutes disaient la même chose :
« Viens chercher le mien !
»
L’avion du « Capitaine Haddock » s’apprête à atterrir.
Il demande l’autorisation au contrôleur.
Celui-ci lui répond :
« – Donner-moi votre hauteur et
votre position, s.v.p.
– Je mesure 1,75 m et je
suis assis ! »
Le fils de Jean-Marc et son
père prennent leur petit-déjeuner.
« – Dis papa, est-ce que tu
continues de grandir ?
– Non ! Pourquoi ?
– Parce que ton crâne
dépasse de tes cheveux ! »
« Nous venions d’acquérir la
télé couleur, et ma fille s’émerveillait de la différence par rapport à
l’ancienne en noir et blanc.
Un jour que nous
circulions en voiture en campagne, nous sommes passés devant un terrain de jeu
où se déroulait un match.
Ma fille : ‘‘ Papa,
regarde le match est en couleur ! ’’ »
Jean-Marc qui embrasse sa blonde-conquête du
moment :
« – Chérie, sens-tu l’appel de
mon amour.
– Non chéri, je ne sens que
la pelle et terriblement le manche. »
Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Quel est le chiffre
chanceux des femmes ?
– C’est le 7…
– Et pourquoi donc ?
– Parce que quand la
femme part, elle part avec le 7 de salon, le 7 de chambre, le 7 de cuisine,
etc. »
« – Quelle est la différence
entre un pet et Jupiter ?
– Aucune, ils sont tous
les deux constitués de gaz ! »
C’est une maîtresse d’école qui demande à ses élèves de faire une phrase
dans laquelle il y a l’expression ‘‘ je présume ’’.
Une petite fille dit alors : « Hier,
maman lavait la vaisselle à la main; je présume que le lave-vaisselle était en
panne. »
« Très bien » dit la
maîtresse.
Un autre dit : « Ce matin, papa
est sorti du garage avec la Volkswagen. Je présume que la BMW ne voulait pas
démarrer. »
« Très bien » dit la
maîtresse.
Le petit Jean-Marc, assis au
dernier rang de la classe lève la main et dit ensuite : « Hier, j’ai vu grand-papa sortir de la maison
et se diriger vers le bois avec le journal sous son bras. Je présume que… »
« – Je t’arrête » dit la maitresse « parce qu’ici tu ne peux rien présumer.
– Maitresse, laissez-moi
finir ma phrase » proteste Jean-Marc.
« OK » répond la
maitresse.
« Hier, comme je viens de vous
le dire, j’ai vu grand-papa sortir de la maison et se diriger vers le bois avec
le journal sous son bras. Je présume qu’il allait ‘‘ chier ’’ parce qu’il ne sait
pas lire ».
Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Tu sais, vers 50 ans, chez
la femme, il y a la ménopause…
Et chez l’homme, il y a
le syndrome de l’oignon !
– Et c’est quoi ?
– Ils prennent de la
bedaine, ils s’arrondissent, ils ont la queue qui sèche, et quand ils se
déshabillent, leurs femmes se mettent à pleurer ! »
Germaine dit à son mari :
« Quand un homme perd ses
cheveux sur le devant, ça veut dire qu’il est un grand penseur. Et quand un
homme perd ses cheveux à l’arrière, ça veut dire qu’il est un amant
extraordinaire. »
Jean-Marc la questionne :
« – Oui, mais moi… Je perds mes
cheveux sur le devant et en arrière… Qu’est-ce que ça veut dire ?
– Ca veut dire que tu
penses être un amant extraordinaire. »
Mademoiselle Jeanne, l’institutrice du CP, décide, pour son dernier examen
de l’année, de poser des questions très simples à ses élèves :
« – Xavier, quel son produit
une vache ?
– Meuuuuu », répond Xavier !
« – Joël, quel son produit un
chat ?
– Miaouuuu », répond Joël.
« – Très bien ! Jean-Paul, quel
son produit un chien ?
– Woof », répond Jean-Paul.
« – Jean-Marc, quel son produit la souris ?
– Click, click… »
Cours d’Histoire des mathématiques (extrait) :
Encore aujourd’hui, de nombreuses personnes, en écrivant le chiffre
sept, utilisent une barre supplémentaire horizontale au milieu du chiffre.
La plupart des typographies l’ont fait disparaître aujourd’hui, comme vous
pouvez le constater ici : 7
Mais savez-vous pourquoi cette barre a survécu jusqu’à nos jours ?
Il faut remonter bien loin, aux temps bibliques.
Lorsque Moise eut gravi le mont Sinaï et que les 10 commandements lui
furent dictés, il redescendit vers son peuple et leur lut, à haute et forte
voix, chaque commandement.
Arrivé au septième, il annonça :
« Tu ne désireras pas la femme
de ton prochain. »
Et là, de nombreuses voix s’élevèrent parmi le peuple lui criant :
« Barre le sept, barre le sept ! »
Un vétérinaire tombe malade.
Sa femme appelle le médecin. Celui-ci l’ausculte et lui pose des questions
pour éclaircir son diagnostic :
« Où avez-vous mal ? Quelle
douleur ressentez-vous ? Depuis combien de temps ? »
Le vétérinaire reste de marbre.
« Eh bien répondez »,
s’énerve le médecin.
Alors le vétérinaire s’exclame :
« Oh dites, quand les animaux
sont malades, personne ne m’aide, moi. Alors débrouillez-vous ! »
Le médecin établit la prescription médicale, la tend à sa femme et lui dit
:
« Vous lui donnerez ça pendant
sept jours et si ça ne va pas mieux… vous le faites piquer ! »
« Un groupe d’hommes armés
occupe les locaux d’une usine de whisky.
Cela fait 5 jours que les
terroristes n’arrivent pas à formuler leurs exigences. »
La maîtresse demande :
« Par quelle lettre commence ‘‘ hier ’’ ? » Jean-Marc lève la main :
« – Par un ‘‘ d ’’, madame.
– Tu fais commencer «
hier » par un ‘‘ d ’’ ? » s’étonne la
maîtresse.
« Ben, hier, on était bien dimanche. »
Au cours d’une leçon consacrée au sens de l’observation, un instituteur
s’aperçoit qu’il a mis deux chaussures différentes.
Il retourne discrètement derrière son bureau et termine son cours sans
bouger de place, soulagé que ses élèves n’aient apparemment rien remarqué.
Le lendemain, l’enseignant fut bien surpris d’avoir en face de lui une
classe d’enfants, tout sourire, qui portaient tous des chaussures dépareillées…
Pendant leur nuit de noces, Germaine, la jeune mariée se réveille, soupire
et secoue son mari, Jean-Marc qui
lui demande :
« – Qu’est-ce que tu as ? Tu
n’arrives pas à dormir ?
– Non, je ne peux pas. Tu
sais lorsque j’étais petite et que je n’arrivais pas à dormir, ma mère
m’embrassait, me câlinait et je m’endormais…
– Non… Et puis quoi
encore ! Tu ne veux tout de même pas que j’aille chercher ta mère en pleine
nuit ! »
Le policier :
« Vous êtes un chasseur
dangereux. Comment avez-vous pu confondre la dame d’en face avec un sanglier ? »
Le chasseur :
« Avouez qu’il y a matière à
confusion. »
Le policier :
« Peut-être mais elle portait
un chapeau ! »
Le chasseur :
« Oui, certes mais j’ai cru que
c’était une ruse… »
Pour la rassurez, Jean-Marc, nouveau
locataire rencontre son bailleur, une dame âgée.
« – Quand j’ai quitté mon
dernier logement, ma propriétaire était en pleurs.
– Eh bien cette fois ça
n’arrivera pas, jeune homme car voyez-vous, je fais toujours payer le loyer
d’avance ! »
Cette comédienne plus très jeune fête son anniversaire.
Elle est entourée de personnages très en vue dans les médias.
L’une d’elle s’approche pour la féliciter :
« – Chère amie, merci d’être
venue », dit la comédienne, « je
te débarrasse de ton manteau ?
– J’ai un peu froid,
répond l’arrivante, mais rassure-toi chérie cela ira beaucoup mieux quand on
aura allumé toutes les bougies de ton gâteau… »
Dans un asile, un nouveau pensionnaire arrive.
Alors que deux infirmiers essayent de le ceinturer, il hurle :
« Mais lâchez-moi ! Je suis
l’envoyé de Dieu ! »
Un autre fou qui passe à côté lance :
« Ne le lâchez surtout pas, je
n’ai envoyé personne… »
Après quinze ans de mariage et de fréquentes disputes, Jean-Marc et Germaine se décident à
consulter un conseiller conjugal.
Germaine se lance immédiatement dans une longue tirade passionnée où elle
détaille chaque petit problème de couple survenu pendant ces 15 années.
Et encore, et encore, et encore : « Il ne m’aime plus, il me néglige, il me laisse seule, il ne me donne
pas d’affection », etc. etc.
Finalement, après l’avoir patiemment écoutée, le thérapeute se lève, fait
le tour de son bureau, demande à Germaine de se lever et il l’embrasse longuement,
avec fougue et passion.
Germaine, enfin silencieuse, se rassoit calmement, l’air béat, comme sur
un nuage.
« Voilà », dit le
thérapeute à Jean-Marc, « ce dont
votre épouse a besoin, chaque jour … Et j’insiste
: Chaque jour de la semaine ! Sommes-nous bien d’accord ? »
Jean-Marc, après quelques instants de réflexion finit par expliquer : « Du lundi au vendredi, pas de problème, je
peux vous l’amener ici chaque matin, mais le week-end je joue au golf. »
Bon week-end à toutes et à tous !
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