Retour sur le « grand-oral »
de « Jupiter ».
Vous le
savez, dimanche en 8, je n’ai
pas pu tout voir de l’interview « du chef ». Il paraît d’ailleurs
que j’aurai loupé différents « trucs » importants.
Admettons.
Je ne
pouvais donc pas savoir qu’il n’aurait pratiquement pas parlé d’Europe.
Étonnant
pour un président qui n’avait il y a encore peu, que ce mot là à la bouche…
Que c’est
« mon boss à moi-même » qui m’a fait agiter mon « unique-neurone »
sur la question : Ce n’est effectivement pas normal.
D’autant
que dans les « médias-officiels », ils ont aussi assez généralement
zappé « le blanc ».
Étonnant.
En
effet, à part une rapide confirmation de l’« importance » qu’il accorde à l’Union
européenne, le sujet n’a pas été évoqué.
Rappelons
aussi que si la campagne présidentielle a été tant suivie à l’étranger, c’est
avant tout parce que les « Gauloisiens » étaient invités à décider s’il
continuerait à appliquer la politique pro-européenne établie depuis trente ans ou
s’il en choisirait une autre, en tentant de forcer un changement d’orientation
massif de l’UE sous menace de la quitter façon « Brexit », ce à quoi
elle ne pouvait pas survivre.
Et ils
ont décidé de faire encore un tour de manège : Voilà ce qui intéressait,
et parfois passionnait à l’étranger.
Le résultat
a été sans équivoque : Au premier tour les candidats représentant sans
ambiguïté la continuation regroupaient 50,4 % des exprimés, tandis que les
candidats qui proposaient de forcer un changement totalisaient dans leur
diversité 46,5 %. Le résultat fut encore amplifié au second tour – 66,1 %
contre 33,9 %.
Une
fois élu (et on verra comment et pourquoi en décembre prochain) sa mission
reste assez claire : Le nouveau président ne devait pas manquer de faire
des propositions aux autres pays européens, et avant tout à l’Allemagne la
première puissance économique européenne, pays dont l’influence directrice sur
la politique de l’UE s’est affirmée depuis une bonne décennie.
L’objectif
de ses propositions est clair : Il s’agit de s’assurer que l’euro soit géré non
dans la seule optique dite « ordo-libérale », dont l’expérience a
prouvé que ses conséquences étaient catastrophiques pour l’économie d’un nombre
toujours plus grand de pays (PIGGS), mais d’une manière qui soit profitable de façon
« équilibrée » à tous les pays de la zone euro avec toutes leurs
différences.
Ce qui
est aussi et à l’évidence une condition indispensable au succès de la politique
d’ensemble du nouveau président de la République.
Ce n’est
d’ailleurs pas la première fois « Jupiter » défend cette nécessité
d'un rééquilibrage de la gestion de l’euro. Lors de la négociation autour de la
dette grecque en 2015, il argumenta contre des mesures d’austérité trop
écrasantes, allant jusqu’à comparer le diktat fait à la Grèce à « une version moderne du Traité de Versailles
», ce qui indisposa la chancelière allemande qui exigea de « Tagada-à-la-fraise-des-bois »
qu’il sorte son jeune ministre de l’Économie des salons des négociations.
De ce
que j’en décrypte (pas tout seul, rassurez-vous…) pour l’essentiel et à
travers le détail des propositions et mécanismes envisagés ou envisageables, le
changement souhaité dans la gestion de l’euro peut se résumer à ces deux points
: S’orienter davantage vers l’investissement, en modérant au moins la recherche
prioritaire d’équilibre financier quelles que soient les conséquences, même si « Manu-Mak-Rond »
se donne pour objectif immédiat de « rentrer dans les clous » pour
mieux négocier la suite ; et faire accepter une plus grande solidarité
économique entre les différents pays européens.
Or,
chacun de ces deux points est en contradiction frontale avec la politique que l’Allemagne
non seulement trouve plus saine, mais encore dont elle considère qu’elle est la
racine de ses succès économiques actuels.
S’y
mêle une méfiance largement répandue outre-Rhin envers la tendance prêtée à d’autres
partenaires à se mettre dans une situation financière délicate puis à attendre que
d’autres les aident !
C’est
bien d’ailleurs ainsi qu’ont été présentés les différents plans d’aide « à la
Grèce », alors que ces plans étaient en réalité des plans d’aide aux grandes
banques créditrices de ce pays.
« Jupiter »
compte sur une rigueur plus importante dans les dépenses de l’État et l’application
plus déterminée d’une plus grande partie des recommandations économiques de l’UE,
mais aussi sur l’élan qu'il estime incarner pour convaincre et l’Allemagne, et
encore les autres pays d’avancer sur les pistes qu’il propose.
Ce que
n’a pas su incarner « Gras-Nul-Laid » alors que les « PIGS »
attendait beaucoup de lui.
Néanmoins,
« le plan » commence à prendre eau avec les résultats des récentes
élections allemandes qui rendront plus difficile à la « sortante-rentrée »
de former une coalition viable pour gouverner, surtout cette coalition promet
de créer des obstacles supplémentaires dans le cas où la chancelière envisagerait
de faire quelque concession significative à la « Gauloisie-précaire ».
Son équation
est simple : Pour former un gouvernement stable, il s’agit de mettre d’accord
trois partis en plus du sien la CDU :
– La CSU de droite conservatrice, le partenaire de
longue date de la CDU en Bavière, qui a été mise en danger sur ses terres alors
que des élections régionales y auront lieu l’année prochaine, et aura à cœur d’obtenir
des concessions significatives sur le sujet des migrants.
Mais de
telles concessions rebuteraient les Verts, qui voudraient plutôt peser dans
l’autre sens.
– Les Verts, « écololos de gôche »,
demanderont des concessions sur le diesel.
Mais
cela gênerait gravement l’industrie automobile allemande qui prend son virage « électrique »
sur les « chapeaux-de-roues » mais rebuterait fortement le FDP, le
parti préféré des milieux d'affaires.
– Le FDP, libéral, exigera le respect des lignes rouges
habituelles de la politique européenne de l’Allemagne, une chose qui ne
gênerait aucun autre parti indispensable à l’équilibre de la coalition, ni la
CSU évidemment, ni les « Grünen ».
La
seule coalition réaliste est la formule « Jamaïcaine » :
Noir-Jaune-Vert…
Oui,
mais l’Allemagne commence à entrer dans une phase de troubles politiques qui la
poussent à se replier davantage sur ses préoccupations internes.
Pour
faire des concessions aux autres Européens dans le cadre d’une vraie
négociation, il faudrait avoir la liberté d’action que procurerait un
gouvernement uni. C’est ce que l’Allemagne avait jusqu'ici et c’est ce qu’elle
aura beaucoup moins qu’avant.
Du
coup, la « Gauloisie-jupitérienne » prenant une direction claire dès
le printemps dernier, disposant d’un nouveau président déterminé appuyé sur une
confortable majorité parlementaire, est quant à elle en position de faire des
concessions.
Nul
doute que le locataire précaire du Palais-Élyséen y sera appelé et il n’a guère
d’autre choix dans un premier temps.
En
revanche, dans un second temps toutes les options sont envisageables.
Vous
aurez alors noté que le président de la République a lâché au détour d’une phrase sa
stratégie personnelle (il a encore un « plan de carrière » devant lui)
: Il attend les premiers résultats tangibles de sa politique « d’ici deux ans ».
C’est un
délai raisonnable pour qu’un changement même profond ait le temps de produire
ses effets… et un point de rendez-vous à mi-mandat, qui lui laissera encore le
temps pour effectuer un ajustement s’il s'avérait nécessaire.
L’objectif
est là : 2019 !
Découpant
ainsi son mandat en deux moitiés, dont la première est occupée par l’application du
programme présidentiel approuvé par les « Gauloisien ».
Quant à
la seconde, si ses propositions pour la réforme de l’UE ne débouchent sur rien
de concret, parce qu’elles sont refusées, ou plus probablement qu’elles seront
vidées de leur substance pour surtout ne rien changer (le « Monde d’avant »),
le président devra probablement s’attendre à ce que sa réforme d’ensemble, la «
transformation » du pays qu’il entend
mener ne puisse déboucher sur des résultats suffisamment positifs…
Et encore,
si elle ne se révèle pas tout simplement un boulet supplémentaire pour le pays,
comme l’ont été toutes les transformations profondes qu’ont entreprises la « Ritalie »
et « l’Hispanie » au début des années 2010 sur injonction des
autorités européennes, avec des résultats pas particulièrement miraculeux.
À ce
jeu-là, il n’y a vraiment que l’Irlande qui, sans faire de bruit, a su tirer
son épingle du jeu avec son taux d’IS jalousé par tout le monde (sauf le Luxembourg).
Notez
aussi que l’Islande s’en sort avec les honneurs en justement n’adhérant pas à l’UE…
Qu’est-ce
qu’il va se passer en 2019 ? La question n’est pour l’instant qu’en pointillé,
car si la chancelière allemande ne change pas ou s’avère prochainement très
différente de ce qu’elle a été durant ses douze premières années de mandat, les
choses pourraient bien « basculer » du tout au tout.
Je
rappelle que « Manu-Mak-Rond » a en main – outre son avenir politique
– quelques « munitions-nucléaires » à tirer.
Toujours
les mêmes d’ailleurs (celles dont disposait « Bling-Bling » contre « Déesse-Khâ »,
qu’il n’a pas jugé utile d’utiliser contre le candidat « Flanby » et
dont les « Républicains-démocrates » ont perdu les codes de
mise-à-feu depuis. Idem chez « les Soces » d’ailleurs.)
Il faut
dire que ça pourrait faire des ravages sur tout l’hémisphère-nord de la planète
politique du moment et que par conséquent, chacun est conscient qu’une arme de
dissuasion, ça ne sert plus à rien si on l’utilise : C’est qu’elle n’était
pas assez dissuasive !
« On »
en était là en 2012 et « Déesse-Khâ » a été exécuté sur les
boulevards de New-York.
« On »
a évité le pire 5 ans plus tard et les deux concurrents de 2012 se sont fait
jeter comme des malpropres…
Pour
ouvrir la voie à « Manu-Mak-Rond ». Et lui menace manifestement de s’en
servir, mais « en son temps » :
Ça, je l’ai entendu « en direct » dans ma TV-satellitaire
londonienne, dimanche en 8, j’en suis certain.
D’ailleurs,
en matière de « dissuasion », il reprend peu-à-peu la main :
Après avoir poussé son Chef d’état-major des armées à la démission, il vient de
« rétrograder » la semaine dernière son Chef d’état-major personnel,
alors qu’il est de tradition séculaire qu’il soit nécessairement le second
personnage du « Palais de l’Élysée ».
Un
futur démissionnaire lui aussi ?
Qu’est-ce
qui se passe donc ?
Simple :
Un refus de se voir imposer un calendrier qui n’est pas le sien.
Le sien
passe par 2018/2019 et son futur « coup d’État » (je l’ai déjà évoqué
et on en reparlera).
Reste à
savoir s’il sera « appuyé », « encouragé » ou bien « contrarié »,
« empêché » par ses propres commanditaires.
Pour l’heure,
je ne saurai pas encore dire, mais ça avance, aucun doute là-dessus.
bonjour, pourriez vous être plus clair s'il vous plaît? Merci pour votre travail! Bon courage.
RépondreSupprimerComment être plus clair ?
Supprimer1er : "je ne saurai dire".
2ème : L'échéance est en revanche clairement pour la rentrée 2018 ou premier semestre 2019.
3ème : On pourrait avoir à faire face à une sorte de "coup d'Etat" institutionnel à ce moment-là. Probablement en "Gauloisie-imprévisible", mais tout autant en "Europe-versatile".
Une certitude : Le destin de "Manu-Jupiter" se jouera à ce moment-là.
Il prépare déjà 2022.
Il faut qu'il sait lire et il a vu ça et la façon de faire dans mon ancien blog, rubrique "Si j'étais le président".
C'est d'ailleurs tout autant ce qui est décrit dans ce blog dans la rubrique "Le front du refus" de juin 2014.
Pour le moment, j'ai "tout juste" : On passe l'essentiel des mesures par voie d'ordonnances, de celles qui vont pouvoir museler toute opposition et on fait le jeu de façade d'une démocratie "vivante".
Pour le reste, je n'avais pas prévu qu'on aie aussi à dire "MERCI" !
Ca, c'est nouveau...
Bien à vous !
I-Cube
J’ajoute que le 22 août dernier, « l’Etna » a annoncé qu’un nouveau directeur de la CDC sera nommé.
RépondreSupprimerJe rappelle que c’est la CDC qui a organisé le placement des fonds de la guerre du Golfe récupérés par « Bling-bling ».
Son image va être sérieusement écornée si le dossier des indemnités de la Division Daguet est rendu public.
Alors quelle stratégie adopter s’il y a divulgation volontaire ou pas ?...
Que faire de la Caisse des dépôts et consignations, une institution bicentenaire, née en 1816 pour protéger l'épargne et financer l'Etat, et qui s’est transformée en structure mafieuse ?
Le 21 octobre, on annonce que le financier Eric Lombard, ancien patron de l'assureur italien Generali France, remplacerait Pierre-René Lemas.
Que faut-il y voir, outre les questions sur l’adaptation à la modernité de la CDC ?...
Est-ce qu’une partie des fonds serait encore disponible dans le PIA d’ici une année ?...
Loin d’être sûr, et le calendrier des militaires ne serait vraiment pas le même que celui de Manu !...
Alors, de très fortes tensions vont-elles apparaître sachant que « Manu » a encore "bogué" avec les militaires en n’appliquant pas la recommandation européenne sur les 11 heures journalières de travail ?...
Parce que là, il faut noter une incroyable incohérence : « Manu » veut créer une Europe jacobine mais il ne prend que ce qui l’arrange !...
Mauvais départ !...
Tout ce qui faut pour faire monter la grogne dans les mess et les coursives !...
Bien à vous !...
Haddock
La CDC (même receleuse : C'est son métier, même auprès des notaires...) restera "neutre". L'argent n'a pas d'odeur, c'est bien connu.
SupprimerUne façon comme une autre d'officiellement "blanchir" le pognon reçu.
De toute façon, ces sommes étaient déjà utilisées pour "peser" à la baisse sur les marchés des taux offerts quand il s'agissait pour le pays d'emprunter.
Ca, ça va disparaître et on s'attend à quelques "remontées" de taux dans les mois qui viennent (plantant au passage les prévisions sur le sujet).
Ceci dit, je vous expliquerai cet été que la décision a été actée après le 11 juillet dernier.
Et c'est probablement ce qui explique le départ du CIMA "Deux-Villes-Liées" : Il ne pouvait plus "peser" sur "Manu-Mak-Rond-Jupiter" puisque sa bombe a été désamorcée sous son nez.
Dans cette hypothèse, il n'y aura pas "révélation" pour le moment : Il faudra attendre l'échéance du prochain "putsch" institutionnel, soit "Cap sur 2019" !
Tout cela reste cohérent, finalement.
Bien à vous !
I-Cube
La Chancelière allemande récolte simplement ce qu’elle a semé.
RépondreSupprimerPouvait-elle ouvrir les portes à un million d’émigrés musulmans sans avoir l’accord du peuple allemand ?...
Sur le dossier du Golfe, j’ai été surpris de votre information entendue sur une télé londonienne selon laquelle « Manu » « menace manifestement de s’en servir, mais « en son temps ».
Il a été menaçant envers les destinataires qui ont dû prendre le message.
Très surprenant !...
Dans un cas comme celui-là, il ne faut pas menacer, il faut agir !...
C’est ce que n’a pas compris « Béré » à l’Assemblée en agitant une liste de personnes corrompues.
Un an après, il était "suicidé"…
Alors, « Manu », après une telle menace, risque de se prendre un missile s’il est trop dangereux.
En fait c’est conforme au personnage : je me méfie du manque de logique de « Manu ». Il prend des risques inconsidérés comme un « ado-tout-puissant » qui n’a jamais connu l’échec et se voit au centre du monde.
C’est vraiment ce qui m’a surpris dans ses décisions : on dirait qu’il a du mal à anticiper les conséquences de ses actions.
Alors, une stratégie à deux ans, pourquoi pas ?... Mais est-il maître du jeu sachant que le jour où « De-Villiers » a démissionné, un texte en arabe était mis en ligne sur un site libanais et provoquait de sérieux remous dans les relations avec le Proche et le Moyen-Orient ?...
D’autre part, s’il avait été clairvoyant, il n’aurait jamais relancé l’idée d’une Europe étatique alors que l’Histoire actuelle montre la résurgence des nations et même des Régions.
D’ailleurs, il n’en parle plus !...
« Manu » a montré son manque de clairvoyance sur la situation européenne, sa capacité à humilier des individus, ou même à blesser des catégories de personnes, et comme l’a dit « Bling-bling » : « Il ne s'adresse qu'à la France qui gagne, pas à celle qui perd » et « même ça va très mal finir !... ».
Il y a plus de deux siècles, le peuple est descendu dans la rue et ça s’est très mal terminé.
Et il n’y aura même pas besoin des « affaires du Golfe », il va faire cela tout seul !...
Bien à vous !...
Haddock
J'avoue que la "minette" germanique, elle en a avec cette décision d'impatrier 1 million de réfugiés.
SupprimerD'une autre côté, il faut bien trouver de la main-d'œuvre active, qui paye des cotisations pour ses vieux, qui consomment et font tourner le commerce, bossent dans ses usines : Une belle opportunité pour un peuple vieillissant.
Aptes le coup de la réunification des deux Allemagnes, qui a boosté le pays, c'est finalement assez bien vu.
Effectivement, ça a un coût politique, mais elle va probablement "surmonter" la difficulté : Elle a 4 ans pour ça.
C'était bien une télé londonienne, "Sumsung" en fait, mais captant LCI via le câble. Vous n'avez pas pu louper si vous faisiez pareil que moi, sachant que moi je suis arrivé avec un bon quart d'heure de retard.
Mais c'est vrai qu'on a du mal à suivre le "fil rouge" avec un pareil "zigoto" : Il a une stratégie, c'est évident, qu'il déroule à son rythme parfois hallucinant, parfois en pointillé et de façon poussive.
Probablement que ce n'est pas la sienne propre : Il n'a pas pu l'élaborer à lui tout seul.
Il est donc en "mission commandée" par d'autres qui lui balisent le chemin.
Ceux-là ont-ils vraiment "pesé" les résistances ?
Avec la loi anti-terroriste, il prend quand même soin de se préparer des défenses actives. En amont des problèmes à survenir : C'est assez fin en soi.
Et puis la remise "dans les rangs" de "Deux-Villes-Liées" suppose qu'il a des atouts-maître en poche, ou alors lui et toute sa clique sont des inconscients.
Ce qui serait contradictoire avec les autres éléments précités.
C'est vrai en revanche qu'après le coup des Catalans, puis celui du vote de dimanche dernier en "Ritalie", "l'affaire des régions", il n'en cause plus.
Ca devrait revenir, mais pas tout de suite.
Je vous le répète, il y a un "coup de force" institutionnel qui se prépare, vraisemblablement amené à travers une refonte de la constitution, genre le référendum raté de 1969, portant sur les régions et le mettant au-dessus de la mêlée pour s'assurer une réélection, non plus au suffrage universel mais à celui proche de l'originel de 1958.
C'est comme ça que je le vois et je vous l'ai déjà expliqué, c'est la technique "éprouvée" depuis un demi-siècle par son prof', Jean-Marc "Beau-Raie-l'Eau".
Et là, il sera "aux manettes" pour encore 2 ou 3 mandats avant d'être rattrapé par l'âge.
Et en plus, nous dirons "MERCI !", comme l'exige les "Maîtres du monde", vous verrez.
Enfin, ni vous ni moi, mais nos gamins.
Tout juste pourra-t-on en dire que nous n'étions pas dupes.
Bien à vous !
I-Cube