Je
n’ai pas chômé…
Dieu et l’informatique…
C’est Dieu au Paradis qui ouvre son ordinateur et puis son logiciel de
messagerie.
Le logiciel dit :
« Vous avez 154 nouvelles prières.
»
Dieu ouvre la première, ça dit :
« Seigneur pourquoi ne
réponds-tu pas à mes appels et à mes prières ? Je t’ai prié avec tout mon
désespoir s’il te plaît aide-moi.
Amen ! »
Dieu prend un air sévère, ferme le message et gueule :
« Tu parles d’une bande de
caves, comment voulez-vous que je vous réponde si vous signez tous Amen ! »
Un jeune apprenti débute chez un pharmacien.
Il découvre, sur une étagère, un bocal dont on a noté sur l’étiquette :
<>.
Il demande :
« – À quoi sert ce médicament ?
– Ah ça, c’est ce que
l’on donne aux clients lorsqu’on n’arrive pas à lire l’ordonnance ! »
Un brocanteur se rend dans une ferme, dans l’espoir d’y trouver quelques
meubles ou bibelots anciens.
Il entre et voit un petit chat qui est en train de boire son lait dans un
bol chinois de l’époque Ming. Aucun doute possible, le bol est authentique.
Arrive le paysan :
« – Bonjour monsieur »,
dit le brocanteur. « Je vois que
vous avez un bien joli petit chat. Voulez-vous me le vendre ?
– Mais bien sûr c’est 50
euros. »
Le brocanteur donne un billet de 50 euros, puis rajoute :
« – Vous pouvez aussi me vendre
son bol ? Comme il a l’habitude de boire son lait dans ce bol, autant que je
l’emporte aussi.
– Ah non monsieur, le bol
du chat n’est pas à vendre.
– Mais pourquoi ?
– Parce qu’avec ce bol de
l’époque Ming, j’arrive à vendre 2 à 3 chatons par semaine… »
Un jour, chez le vétérinaire, un client rentre furibard :
« C’est incroyable ! Vous avez
vu le prix que vous avez demandé pour cette opération ? »
La secrétaire tente de calmer le propriétaire du chien opéré, mais celui-ci
ne veut rien savoir et le ton continue à monter.
Finalement, le vétérinaire sort de la salle de consultation et s’adressant
au client irascible, il dit calmement :
« Monsieur, calmez-vous, vous
savez ce que l’on fait aux mâles trop agressifs ici ? »
Un étudiant d’université se pensant assez génial engage la conversation avec
un monsieur d’un certain âge.
Il essaie de lui expliquer pourquoi il est impossible aux vieux de
comprendre la nouvelle génération.
« Vous avez grandi dans un
monde différent que je qualifierais, aujourd’hui de primitif.
Les jeunes d’aujourd’hui
ont grandi avec la télévision, les avions, les ordinateurs, les voyages dans
l’espace, la marche sur la Lune, la pilule anticonceptionnelle. Nous avons
l’énergie nucléaire, l’électricité, les autos à l’hydrogène, et l’internet. »
Le vieux lui répond :
« Tu as parfaitement raison jeune-homme
! Quand nous étions jeunes, nous n’avions pas toutes ces choses que tu as
mentionnées.
C’est pourquoi nous avons
dû les inventer.
Maintenant mon ptit’gars,
qu’allez-vous bien pouvoir faire pour la prochaine génération ? »
Une fée dit à un couple marié :
« Pour avoir été un couple si
exemplaire depuis 25 ans, je vous accorde à chacun un vœu… »
La femme dit alors :
« Je voudrais faire le tour du
monde avec mon mari adoré. »
La fée agite sa baguette magique, et abracadabra, des billets d’avion
apparaissent dans la main de la femme.
Maintenant c’est au tour du mari :
« Euh… C’est un instant très
romantique, mais une opportunité comme celle-là n’arrive qu’une fois dans la
vie. Alors je suis désolé ma chérie, mais j’aimerais avoir une femme 30 ans
plus jeune que moi. »
La femme est terriblement déçue, mais un vœu est un vœu.
La fée fait un cercle avec sa baguette magique…
Abracadabra et soudain le mari a 90 ans !
Lors d’une expérience de Sociologie a été réalisée à l’université de la
Sorbonne (Paris I), on a demandé aux étudiants et aux étudiantes qui suivaient
le cursus, d’écrire une phrase de 100 mots maximum employant le mot « sexe » et
le mot « amour » ou ses dérivés.
Après analyse des résultats, la phrase la plus communément citée par les
étudiantes a été :
« Quand deux personnes sont
passionnément amoureuses l’une de l’autre et qu’elles se respectent, il est
tout naturel qu’elles s’engagent plus avant physiquement et que leurs
sentiments les conduisent à prolonger leur communion dans le sexe. »
99 % des mecs ont simplement écrit :
« J’aime le sexe. »
C’est Jean-Marc qui visite
régulièrement une péripatéticienne.
Après sa petite gâterie, il donne une petite tape sur les fesses de la
fille en lui disant :
« – Allez ! Je reviendrai dans
un mois.
– Petit vicieux, tu ne
penses décidément qu’à ça ! »
« – Mon amie m’a référée à un hypnotiseur et il m’a dit de me tenir
devant un miroir en répétant : « Je n’ai
pas mal à la tête, je n’ai pas mal à la tête, je n’ai pas mal à la tête ».
Et ça marche ! Mes maux
de tête sont disparus.
– Fantastique ! » répond Jean-Marc.
« Tu sais, tu n’es pas trop
performant au lit, depuis quelques temps », enchaîne sa femme. « Peut-être devrais-tu le consulter toi aussi
? »
Après avoir consulté l’hypnotiseur, Jean-Marc revient à la maison, enlace sa
femme, l’entraîne dans la chambre, la couche sur le lit et lui dit :
« Ne bouge pas, je reviens dans
quelques minutes. »
Il s’enferme ensuite dans la salle de bain.
Quelques minutes plus tard, il honore sa femme avec une passion peu
commune.
Sa femme est aux anges.
« – Tu es merveilleux mon
amour.
– Ne bouge pas, je
reviens dans quelques minutes. »
Il retourne dans la salle de bain, et revient quelques minutes plus tard
pour la prendre à nouveau.
Sa femme est épuisée, mais ravie.
Jean-Marc dit alors :
« Ne bouge pas, je reviens dans
quelques minutes »
Il retourne dans la salle de bain.
Cette fois, sa femme le suit intriguée.
Elle le découvre debout devant le miroir qui répète : « Elle n’est pas ma femme, ce n’est pas ma femme,
elle n’est pas ma femme. »
La belle-mère de Jean-Marc vient
de mourir et il doit s’occuper des arrangements funéraires :
« – Alors, qu’est-ce qu’on fait
? » demande le croque-mort. « On
l’embaume ? On l’enterre ou on l’incinère
?
– Mieux vaut ne pas
prendre de risque. Faites-lui les trois. »
Jean-Marc et Jean-Paul se rencontrent :
« – Alors vieux, ça va ?
– Ouais plus ou moins… Ma
belle-mère est morte la semaine passée.
– Oh, c’est terrible, ça.
Qu’est-ce qu’elle avait ?
– Pfff, ne m’en parle pas…
Seulement quelques vieux bijoux. »
Une belle-mère vient rendre visite à sa fille.
Jean-Marc ouvre la porte et s’exclame :
« Bonjour belle-maman ! Ça fait
longtemps qu’on ne vous avait vue ! Alors combien de temps allez-vous rester
parmi nous ? »
La belle-mère, voulant plaisanter :
« – Oh, eh bien jusqu’à ce que
vous soyez fatigué de me voir.
– Mais oui, mais oui,
c’est bien. Mais vous allez quand même prendre de le temps de boire un café… »
C’est Jean-Marc et Jean-Paul. L’un
a une Ferrari et l’autre une vielle R5.
Le propriétaire de la R5 propose à son pote de monter dans la voiture.
Il frotte le volant et un génie apparaît :
« Génie, je veux un verre de
thé pour moi et mon ami » et le génie s’exécute.
Stupéfait, Jean-Marc lui propose d’échanger sa Ferrari contre sa voiture.
Arrivé devant chez lui avec la R5, il klaxonne sa femme qui ne comprend
pas de voir son mari dans une vielle voiture. Il lui dit :
« Monte, ne t’inquiète pas, tu vas
voir la bonne affaire que j’ai faite ! »
Là, il frotte le volant et dit au génie :
« Je veux un sac de bijoux pour
ma femme. »
Là, le génie lui répond :
« Désolé, je ne sais faire que
le thé… »
Jean-Marc s’adresse à sa copine :
« – On va vraiment pouvoir se
la couler douce ce soir, j’ai pris trois places pour le théâtre !
– Ben, on n’a pas besoin
de 3 places, deux suffisent, non ?
– Mais non, une place
pour ton père, une pour ta mère et une pour ta petite sœur ! »
Jean-Marc marche dans la rue et hèle un taxi.
Ce dernier s’arrête immédiatement. Jean-Marc monte dans la voiture, et le
chauffeur lui dit immédiatement :
« – Quel parfait timing. Vous
êtes vraiment comme Roger vous.
– Qui ça ?
– Roger. C’est un type
qui faisait tout bien. Comme vous à l’instant. Vous avez levé la main pour
avoir un taxi, et hop, me voilà qui arrive. Vous n’avez pas eu à attendre une
seconde. Avec Roger, ça se serait passé pareil !
– Oh… Il y a toujours
quelques nuages dans le ciel. Personne n’est parfait.
– Ah mais non. Pas pour
Roger. C’était un sportif formidable. Il aurait pu jouer dans le circuit pro au
tennis. Il pouvait rivaliser avec Tiger Woods au golf. Il a aussi fait baryton
à l’opéra, et a même failli faire danseur étoile à l’Opéra de Paris.
– Ce n’est pas possible,
vous me charriez ?
– Il avait une mémoire
d’éléphant. Il pouvait se rappeler l’anniversaire de n’importe qui. Il
connaissait tout sur le vin, et il savait avec quelle fourchette on devait
manger tel plat. Et ce n’est pas tout. C’était un excellent bricoleur. Il
pouvait tout réparer.
– Ce n’est pas comme moi.
Moi, je change un fusible et paf, tout le quartier est dans le noir ! Pas
étonnant que vous ayez toujours ce Roger à l’esprit.
– Ouais, mais vous savez,
je ne l’ai jamais rencontré ce Roger !
– Alors comment en
savez-vous autant sur lui ?
– J’ai épousé sa veuve. »
Une histoire vraie ?
Un avocat de la ville de Charlotte (Caroline du Nord) aurait acheté une
boîte de 24 cigares très rares et très chers et les a ensuite assurés contre le
feu entre autres. Dans le mois qui suivit, ayant consommé son entière réserve
de cigares et après avoir payé la prime d’assurance, l’avocat envoya une
réclamation à sa compagnie d’assurance.
Dans sa réclamation, l’avocat indiqua que les cigares avaient été « perdus dans une série de petits incendies ».
La compagnie d’assurance refusa de payer en citant la raison évidente : L’homme
avait consommé les cigares de façon normale. L’avocat intenta une poursuite.
ET LA GAGNA !
En délivrant son verdict le juge fut d’accord avec la compagnie
d’assurance que la réclamation était de nature tout à fait frivole.
Le juge indiqua cependant que l’avocat détenait une police de la compagnie
qui garantissait que les cigares étaient assurés et que ces derniers étaient
absolument protégés contre le feu sans définir ce qui constituait un incendie «
acceptable ».
Le juge déclara donc la compagnie dans l’obligation de rembourser
l’avocat.
Au lieu d’avoir à endurer des procédures d’appel longues et coûteuses, la
compagnie d’assurance accepta le jugement et paya donc 15.000 dollars à
l’avocat pour sa perte de ses précieux cigares dû aux regrettables incendies !
Mais une fois que l’avocat eut encaissé le chèque, la compagnie
d’assurance le fit arrêter pour 24 chefs d’accusation d’INCENDIES CRIMINELS !
Avec sa propre réclamation d’assurance ainsi que son témoignage du procès
utilisés contre lui, l’avocat fut accusé d’avoir volontairement incendié une
propriété assurée afin de toucher le montant d’assurance.
Il fut condamné à 24 mois de prison ainsi qu’à une amende de 24.000
dollars.
Une histoire vraie qui mérita la première place aux « Criminal
Lawyers Award ».
Une petite revenue (rapidement) :
L’institutrice explique la relativité des choses, et de la propriété.
Julie lève le doigt :
« Moi madame, mon papa il a
tout : La télé, le magnétoscope, le DVD… »
La maîtresse :
« – Oui, mais est-ce qu’il a un
bateau ?
– Euh…, non !
– Alors tu vois, c’est
bien ce que je disais, on ne peut pas tout avoir.
– Moi », dit Jean-Marc, « mon papa il
a tout : La télé, le magnétoscope, le DVD, un bateau.
– Oui, mais est-ce qu’il
a un avion ?
– Euh… Non !
– Eh bien, tu vois, on ne
peut pas tout avoir. »
Jean-Paul lève le doigt et dit :
« Moi, madame, mon papa il a
tout. La preuve, quand samedi ma grande sœur lui a présenté son petit ami
Mohamed, papa il a dit : « Il nous manquait juste ça ! ».
Bon week-end à toutes et tous !
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