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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 30 octobre 2017

Bonnes nouvelles !


Le chômage a enfin baissé en septembre !

Le nombre de chômeurs a ainsi connu sa plus forte baisse depuis début 2001 (–64.800, ou – 1,8 %), effaçant les deux hausses consécutives enregistrées en juillet et août pour s’établir à 3,48 millions de personnes en métropole en catégorie A (celle de ceux qui n’ont rien fait).
Notez qu’il recule quasiment dans les mêmes proportions (– 1,7 %) en incluant l’outre-mer, pour un total de 3,73 millions de personnes inscrites sur les listes de Pôle emploi.

Depuis le début de l’année, l’indicateur hésite, alternant mois de baisse et mois de hausse, témoignant de la forte volatilité des statistiques de « Paul-en-ploie ». Pour contourner ce phénomène, le ministère du Travail recommande de « toujours privilégier les évolutions en tendance plutôt qu’au mois le mois ».
Alors, privilégions !
Ainsi, le nombre de chômeurs est quasi-stable sur le 3ème trimestre (– 0,2 %) et depuis le début de l’année (+ 0,2 %) en métropole. Mais il est en légère baisse sur un an (– 0,5 %).
Sur le seul mois de septembre, les chiffres de Pôle emploi baissent également, dans une moindre mesure (– 0,5 %), en comptant les demandeurs d’emploi ayant exercé une activité au cours du mois (catégories B et C), à 5,62 millions en métropole et 5,92 millions en « toute-Gauloisie-confondue ».

En catégorie A, l’éclaircie profite essentiellement aux jeunes (– 5,3 %), alors que la situation des seniors est stable. Pour les « 50 ans ou plus », il s’agit d’un répit dans une tendance à la hausse (+ 3,0 % sur un an), tandis que pour les « moins de 25 ans », ils connaissent une nette amélioration sur un an (– 5,5 %).
Quant au chômage de longue durée, il s’est presque stabilisé en septembre (+ 0,1 %). À la fin du mois, 2,49 millions de demandeurs d’emploi, petite activité comprise, étaient inscrits à Pôle emploi depuis plus d’un an en métropole.
Bref, tout cela est bien, mais ça reste largement insuffisant.

Une baisse de 1,8 % sur un mois, cela représente 3.475.600 personnes, soit 64.800 de moins qu’à la fin août. Sur trois mois, le recul est de – 0,2 %. Alors il est bien sûr trop tôt pour dire si cette tendance va se poursuivre dans les mois qui viennent, mais le point positif est qu’elle rompt avec les mauvais chiffres de ces dernières années.
Il faut dire que tous les indicateurs avancés (y compris les trottoirs et les emballages) sont passés au vert durant cette période, que ce soit le taux de croissance, les créations d’emploi dans le secteur privé ou la baisse du nombre de défaillances d’entreprises. Ce qui encourage le retour sur le marché du travail dune partie des chômeurs entrés en formation suite au plan 500.000 formations mis en œuvre en 2016 qui ternit un peu le tableau. La réinscription à « Paul-en-ploie » de personnes sans emploi encouragés par les bons signaux de l’économie « Gauloisienne » ou encore un effet de la fin de la prime à l’embauche également.

Dans le détail, sur trois mois, le nombre de personnes exerçant une activité réduite courte (78 heures ou moins dans le mois, catégorie B) a lui aussi régressé le mois dernier (– 1 %), après avoir beaucoup augmenté (+ 4 % sur les trois derniers mois). En revanche, le nombre de personnes en activité réduite longue (plus de 78 heures dans le mois, catégorie C) s’est accru de + 3,2 % le mois dernier. Au total, le nombre de demandeurs d’emploi en catégories A, B, C augmente finalement sur trois mois de 1,0 % (+ 53.300).
Même si ce nombre recule de – 0,5 % sur un mois (– 30.100) et progresse finalement de + 2,6 % en un an.
Tout n’est donc pas « au vert ».

Sont tombés le même jour d’autres indicateurs : Le cabinet Markit, dont l’indice mesure mensuellement le dynamisme des économies européennes, annonçait que l’activité du secteur privé en « Gauloisie-du-labeur » est à son plus haut depuis 6 ans…
Wonderful…
L’Acoss-Urssaf mesurait de son côté 686.000 nouvelles embauches (supérieures à 1 mois, et hors intérim) en septembre.
Tout simplement le plus haut niveau « jamais atteint ».
Splendid…
Même l’industrie redevient optimiste ! L’INSEE indique que les industriels anticipent désormais une hausse de la demande.
Forcément, au cours des 3 derniers mois ils ont embauché plus qu’ils n’ont licencié. Une première depuis 2011.
Magnific…

Des explications à ce début d’embellie manifeste ?
Vous qui êtes devenus des « petits-futés » à force de venir sur ce blog, vous en avez sans aucun doute.
L’effet « Mak-Rond » ?
Non pas du tout : Laissez donc ça aux béotiens.
L’effet « Trompe » ?
Pas plus.
L’économie mondiale qui redémarre ?
Probablement mais pas seulement, d’autant qu’elle a redémarré depuis une bonne paire d’année partout, même en Europe, mais pas en « Gauloisie-impétueuse ».
Ou alors il faudrait expliquer le « pourquoi » d’un retard à l’allumage qui n’existe pas vraiment dans les bouquins.
Quoiqu’il y en ait un : Vous allez voir.

Quasiment en même temps, le COE Rexecode (analystes économiques / tendance libérale) sortait la semaine dernière une étude sur la montée de la pression fiscale en « Gauloisie-racketteuse » depuis 2011, c’est à dire depuis que, après la crise des « subprimes », le pays soit revenu dans une trajectoire de réduction de son déficit budgétaire.
Et là, ça devient nettement plus clair.
Depuis 2011, les mesures fiscales nouvelles prises par les gouvernements successifs (« Bling-Bling » sur son crépuscule et « Tagada-à-la-fraise-des-bois » dans son autisme-trisomique d’énÂrque) ont prélevé en cumulé jusqu’à 58,8 Mds€ de plus sur l’économie Gauloisienne…
Une paille !
C’est considérable, puisque c’est nettement plus que la croissance du PIB.

Première conclusion – un peu osée, je le reconnais – ce n’est donc pas la croissance des « impôts/redistributions » qui crée la croissance.
On s’en doutait un peu depuis des années puisqu’hors « effet de levier keynésien », ce sont des jeux « à sommes-nulles ».
Mais il y aurait pu y avoir un « effet de levier ».
Pas de chance, une fois de plus, s’il existe, il doit être « négatif » dans nos économies modernes.
(Mais chuttt ! Personne ne veut encore l’admettre…).

Et voici probablement pourquoi : C’est un effort supplémentaire qui a été supporté jusqu’en 2013 à travers des prélèvements additionnels qui étaient grosso modo répartis entre entreprises et ménages.
Résultat : Moins de moyens pour tout le monde.
Mais à partir de 2014 (« Tagada-à-la-fraise-des-bois » et son Pacte de Responsabilité, son CICE, …) l’arbitrage en faveur des entreprises a été systématique et d’une puissance incroyable signale l’étude.
Résultat : Sur les 59 Mds€ prélevés en plus sur l’économie « Gauloisienne » depuis 2011, 53 Mds ont été à la charge des ménages et seulement 2 Mds€ à la charge des entreprises.
Dit autrement, vous avez contribué à hauteur de 90 % de cet effort, les « boutiques » qui vous livre de quoi manger (vous vêtir, vous soigner, vous loger), à seulement 4 %.
Vous êtes beaux, vous savez…
Moi, j’ai préféré « l’exil » (et je ne suis pas tout seul…)

Qui d’autre aurait fait un effort contributif à la solidarité nationale ?
La dépense publique ?
Pensez donc : De 1.118 Mds€ en 2011 à 1.257 Mds€ en 2017, c’est + 139 Mds€…
Six ans de hausse des prélèvements obligatoires/« redistribués », qui n’ont absolument servi à rien pour la croissance !
Croissance des entreprises anéantie (étouffée) de 2011 à 2014, mise en place des mesures « correctives » courant 2016 = Montée en puissance des dispositifs en 2017 = Recul du chômage 9 mois à 1 an plus tard !
Simple : Ils n’ont pas joué sur la fin du précédent quinquennat sur « la demande », mais sur « l’offre », à l’inverse de la première partie de la période, et ça a redémarré !
Magique…

Maintenant, il s’agit de « consolider » et d’amplifier la formule – comme partout ailleurs c’est déjà fait, ce qui va accélérer le mouvement de reprise – en faisant redémarrer « la demande », donc le pouvoir d’achat (baisse des prélèvements obligatoires des ménages).
Mais ça n’en prend pas forcément la direction, ou alors « à pas comptés »…
Et personne ne pense encore à réellement s’attaquer au « train de vie » du secteur public.
Quand on présentera un budget-équilibré (solde nul, plus de déficit), là je vous garantis que ça va booster.
Peut-être même qu’on parviendra à réduire l’endettement public qui pèse sur la tronche de nos gamins…
Je ne le verrai pas, mais je vous le souhaite à toutes et à tous.

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