Je
n’ai pas chômé…
Une « revenue », très enrichie, pour commencer.
Par un beau matin ensoleillé…
Jean-Marc à Jean-Charles :
« – Salut, voisin, c’est une
belle journée pour emménager.
– Oui, et les gens par
ici ont l’air très sympathiques.
– Oui. Et qu’est-ce que
vous faites dans la vie ?
– Je suis professeur à
l’Université. J’enseigne la logique déductive.
– Ah ? … C’est quoi la
logique déductive ?
– Laissez-moi vous donner
un exemple. Je vois que vous avez une niche, là dans votre jardin…
– Oui.
– J’en déduis que vous
avez un chien.
– Ben… Oui.
– Si vous avez un chien,
vous avez probablement des enfants.
– En effet.
– Si vous avez des
enfants, j’en déduis que vous avez, ou que vous avez eu, une femme.
– Ben, oui, je suis
marié.
– Si vous avez une femme,
j’en déduis que vous êtes hétérosexuel…
– Ouais, c’est sûr, ça !
– Eh bien, voilà ; c’est
ça la logique déductive.
– Ah oui ! Cool ! »
Un peu plus tard en fin de journée, Jean-Marc retrouve Jean-Paul au
« Tourne-bouchon », un bar où ils ont leurs habitudes :
« – J’ai rencontré mon nouveau
voisin, très sympa !
– Ah oui ? Et qu’est-ce
qu’il fait dans la vie ?
– Il fait un truc cool ;
il enseigne la logique déductive.
– Ah ??? … C’est quoi, ça
?
– Attends, je te montre
sur un exemple. T’as une niche dans ton jardin ?
– Ben … Non.
– Alors t’es pédé… »
Jean-Marc est au restaurant avec son fils de 5
ans lorsque ce dernier avale une pièce de 10 centimes qui traînait sur la
table.
Il s’étouffe, devient bleu et toutes les tentatives du papa restent
vaines.
À la table d’à côté, une femme qui lisait tranquillement son journal, pas
pressée du tout, s’approche.
Sans dire un mot, très sûre d’elle, elle prend les testicules du petit
garçon et se met à serrer de plus en plus fort.
Le gamin hurle, s’étouffe, devient mauve, violet et comme de fait, recrache soudain la
pièce de monnaie que la dame attrape au vol d’un geste souple.
« – Wow ! Formidable ! » s’écrie Jean-Marc, « Je n’ai jamais vu ça !
Vous êtes
médecin ?
– Non, pas du tout. Je
travaille pour le fisc. »
Un dimanche, Jean-Marc et son
fils se promènent dans un parc. Soudain l’enfant de cinq ans tombe en arrêt
devant deux chiens l’un sur l’autre.
Il demande à son père de lui expliquer ce qu’ils font.
« – Tu vois, mon fils, ils sont
en train de faire un petit bébé chien.
– Ah bon… c’est donc
comme ça qu’on fait des bébés chiens.
– Oui ! »
Trois jours plus tard, le mercredi soir, le gamin a du mal à s’endormir.
Il se lève au milieu de la nuit et entre sans prévenir dans la chambre de
ses parents les surprenant dans leurs ébats amoureux.
« Qu’est-ce que vous faites,
papa et maman ? »
Jean-Marc, sans perdre de vue l’expérience pédagogique que cela peut
représenter pour son gamin répond :
« Tu vois fiston, maman et papa
sont en train de te fabriquer un petit frère… »
Et le gamin répond :
« Demande à maman de se
retourner, je préférerais un petit chien… »
La prof demande :
« – Qu’est-ce qui est le plus près,
la Lune ou Marseille ?
– La Lune bien sûr !
– Comment peux-tu penser
ça ?
– Ben… la Lune on peut la voir d’ici, et pas Marseille ! »
Au sortir d’une réunion syndicale, Jean-Marc
interpelle Jean-Paul, son camarade de lutte de toujours.
« – Tu ne m’ôteras pas de
l’idée que les patrons, c’est tous des salauds !
– Bah, n’exagères pas non
plus. J’en connais des sympas, moi, de patrons !
– Ah oui ? Donne-moi un
exemple, un seul…
– Eh bien il y en a qui,
avant de partir en week-end te proposent d’aller dîner au restaurant pour
discuter de la lutte des classes. Et puis ensuite, très gentiment, ils te
proposent de continuer la discussion chez eux, dans leur maison de campagne…
– Arrête de déconner Jean-Paul,
t’en connais pas des patrons comme ça !
– Ben, moi
personnellement non, mais ma sœur, oui ! »
« Jean-Marc, où est le
travail que tu devais faire à la maison ? » demande l’institutrice,
d’un ton déjà teinté de reproches.
« – C’est mon chien.
– Jean-Marc, ça fait plus
de dix ans que je suis institutrice. Tu penses vraiment que tu vas me faire
avaler ça ?
– Mais si, c’est vrai
maîtresse, je vous le jure ! J’ai dû le forcer, mais il l’a tout mangé !
C’est vrai ! »
En entrant dans la cuisine, Jean-Marc
dit à sa femme :
« – Qu’est-ce que tu es en
train de faire ?
– Comme tu vois : La
vaisselle.
– Voyons chérie, tu ne
vas pas faire la vaisselle le jour de ton anniversaire. Je ne le permettrai
pas.
– OH ! Merci mon chéri ! Comme
c’est gentil… Tu v… !
– Allez, colle tout ça
dans l’évier. Tu la feras demain ! »
Jean-Marc, en bon catholique pratiquant a un
petit défaut : Il adore parier aux courses.
Aujourd’hui, comme tous les jours, il va sur le champ de courses…
En se baladant dans le paddock, il remarque un rabbin qui est en train de
bénir un cheval qui n’a aucune chance pour la course suivante car c’est une
poire.
Jean-Marc se dit : « Tiens,
tiens, je vais miser 50 € sur ce cheval. On ne sait jamais. »
Jean-Marc fait sa mise, puis il part regarder la course, et là, miracle,
son cheval gagne !
Il empoche 4.500 € ! Super !
Le lendemain, il retourne sur champ de courses et voit le même rabbin qui
donne à nouveau sa bénédiction à un cheval côté à 90 contre un.
Encore prudent, Robert mise cette fois 100 € sur ce cheval, puis il part
regarder la course.
Et vlan : C’est encore son cheval qui gagne !
La bête n’avait pourtant aucune chance mais il empoche 9.000 €.
« Hé ! Hé ! Ça annonce
bien. »
Bien entendu, le lendemain, le rabbin est encore là.
Une fois de plus, il s’occupe d’un cheval n’ayant a priori aucune chance de gagner.
Cette fois, sûr de son coup, Jean-Marc mise tous ses gains précédents sur le
tocard.
La course commence, et le cheval est tout de suite bon dernier, puis on
voit ses jambes flageoler et le bourrin s’écroule sur la piste.
Raide mort !
Jean-Marc, fou de rage, court voir le rabbin :
« – Alors rabbin, qu’est-ce qui
s’est passé ? Vous venez de bénir ce cheval et paf ! Le voilà qui meurt à peine
le départ donné… Qu’est-ce que ça veut dire ?
J’avais tout misé sur
lui, moi !!!
– Vous les catholiques,
vous ne faites pas la différence entre une BÉNÉDICTION et un KADISH ! »
(Kadish : prière pour les morts.)
Notez qu’il existe une autre version où le joueur est feuj
et la bénédiction l’extrême onction étant donnée par un prêtre « papiste ».
Jean-Marc philosophe au « Tourne-Bouchon »,
un troquet où il a ses habitudes :
« Certains hommes aiment
tellement leur femme que, pour ne pas l’user, ils se servent de celle des
autres. »
« – Qu’est-ce qui est pire
qu’une pierre dans la chaussure ?
– Un grain de sable dans
le préservatif » lui répond
Jean-Paul.
Un chimiste, un physicien et un économiste se retrouvent sur une île
déserte après avoir fait naufrage. Ils craignent de mourir de faim, mais dans
les débris du bateau ils trouvent une caisse remplie de boîtes de conserves.
Nos trois compères ne sont pas sauvés pour autant, car ils n’ont pas
d’ouvre-boîtes.
Le chimiste leur propose :
« Nous sommes entourés d’eau de
mer, pourquoi ne pas mettre les boîtes dans la mer ? En effet, l’eau salée est
corrosive, les boîtes vont rouiller et nous pourrons alors manger leur contenu. »
Le physicien rétorque :
« Non, ça prendra beaucoup trop
de temps. Voyez plutôt, il y a ici une falaise de 13 mètres, comme chaque boîte
a une masse de 512 g, si on lâche les boîtes sur les rochers depuis la falaise,
le choc et l’énergie qui en découle fera éclater les boîtes et nous pourrons
manger leur contenu. »
Sur ce, l’économiste prend la parole :
« Non, non, non, tout le
contenu des boîtes va s’éparpiller entre les rochers, se mêler au sable et nous
n’aurons quand même rien à manger. Posons plutôt l’hypothèse que nous avons un
ouvre-boîtes… »
Jean-Marc et sa femme entrent dans un restaurant
très chic.
Un garçon s’approche…
« – Madame, Monsieur, que
désirez-vous pour boire ?
– Laissez », dit la dame, « C’est moi qui passe la commande ! Ça sera du
champagne pour moi, du rose, et un soda pour mon mari. »
Le garçon est un peu étonné, mais bon il n’est pas là pour faire des
commentaires.
Après une quinzaine de minutes, le garçon revient.
« – Avez-vous fait votre choix.
– Oui » dit la dame. « Pour moi ce sera en entrée, du foie gras,
ensuite je prendrai du canard à l’orange, du fromage et une tarte aux fraises.
Et servez-vous une demi-bouteille de Pétrus 89.
– Et pour monsieur ce
sera ?
– Monsieur n’a pas à
répondre, » dit la dame. « C’est moi qui passe sa commande. Alors… pour
monsieur nous dirons en entrée des carottes râpées, ensuite des carottes
bouillies, en boisson du jus de carottes et en dessert une bonne petite glace à
la carotte.
– Monsieur est
probablement au régime, je suppose ?
– NON ! MAIS TANT
QUE MONSIEUR BAISERA COMME UN LAPIN, MONSIEUR MANGERA COMME UN LAPIN ! »
Une vieille dame rencontre son docteur pour son examen médical annuel.
Quand le médecin lui demande de ses nouvelles, elle lui dit :
« – Ho ! Ça va bien, mais
j’aimerais avoir un renouvellement de pilules contraceptives.
– Mais… excusez-moi Madame,
vous avez 75 ans… C’est impossible pour vous de devenir enceinte à votre âge,
quelle utilité auraient ces pilules pour vous ?
– Elles m’aident à mieux
dormir la nuit.
– Mais comment des
pilules anticonceptionnelles pourraient vous aider à mieux dormir ?
– J’en mets une chaque
matin dans le jus d’orange de ma petite-fille avant qu’elle parte pour l’école,
et je dors beaucoup mieux. »
Quelques définitions ?
– GYNECOLOGUE : Personne qui travaille là où les autres s’amusent.
– NYMPHOMANE : Terme utilisé par certains hommes pour désigner une femme
qui a envie de faire l’amour plus souvent qu’eux.
– PSYCHOLOGUE : C’est celui qui regarde les autres quand une jolie femme
entre dans une pièce.
Un jour, un curé débordé de travail demande à son bedeau de le remplacer
pour officier une rencontre avec un mourant. Le bedeau hésite, ne sachant trop
que faire.
Le curé lui dit :
« Prends le Saint-Chrême, la
ouate et l’eau bénite… Fais des onctions sur le corps du mourant en disant
n’importe quoi, pourvu que ça finisse par ‘‘OUS’’ comme ‘‘Sanctus’’, ‘‘Orémus’’,
‘‘Deus’’… »
Lorsqu’il arrive auprès du mourant, le bedeau s’approche de lui, l’asperge
un peu anxieux et dit ce qui lui passe par la tête :
« Fais ta trousse, mon
ti-mousse, tu pars pour une course de secousses, agnous déous ».
Un colosse entre dans un bar et hurle :
« – Y a quelqu'un qui s'appelle
Maurice, ici ?
– Oui, moi ! Pourquoi ? »
Alors le bestiau s’approche du gars, le chope par le col, lui met un coup
de boule, des coups de poings et de genoux. Puis, il jette le pauvre type au
sol, et s’en va.
Le patron du bar aide le malheureux à se relever et lui dit :
« – Oh la vache ! Je ne sais
pas qui est ce gars, mais il vous a bien eu…
– Ben non ! C’est
moi qui l’ai bien eu ! Je m’appelle Jean-Paul ! »
Apprenez-la par cœur pour lundi matin :
« Notre Père qui est au bureau,
Que le travail soit
léger,
Que les patrons partent
en vacances,
Que notre volonté soit
faite
Au bureau comme à la
maison
Donne-nous aujourd’hui un
jour de congé,
Une semaine de
récupération,
Et un mois de réflexion.
Pardonne-nous nos
absences
Comme nous pardonnons
aussi
À ceux qui nous font
travailler.
Ne nous soumet pas aux
observations,
Aux baisses de salaire,
Aux embargos et aux
heures supplémentaires.
Mais délivre-nous de cet
enfer.
Car c’est à toi
qu’appartient le pouvoir
D’augmenter notre salaire
et nos jours de congé,
Tout en diminuant notre
travail,
Amen »
(Je ne me souviens plus si c’est une « revenue »
ou non…)
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
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