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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 27 octobre 2017

Collecte de l’été 2017 (5)

Je n’ai pas chômé…

Une « revenue », très enrichie, pour commencer.
 
Par un beau matin ensoleillé…
Jean-Marc à Jean-Charles :
« – Salut, voisin, c’est une belle journée pour emménager.
– Oui, et les gens par ici ont l’air très sympathiques.
– Oui. Et qu’est-ce que vous faites dans la vie ?
– Je suis professeur à l’Université. J’enseigne la logique déductive.
– Ah ? … C’est quoi la logique déductive ?
– Laissez-moi vous donner un exemple. Je vois que vous avez une niche, là dans votre jardin…
– Oui.
– J’en déduis que vous avez un chien.
– Ben… Oui.
– Si vous avez un chien, vous avez probablement des enfants.
– En effet.
– Si vous avez des enfants, j’en déduis que vous avez, ou que vous avez eu, une femme.
– Ben, oui, je suis marié.
– Si vous avez une femme, j’en déduis que vous êtes hétérosexuel…
– Ouais, c’est sûr, ça !
– Eh bien, voilà ; c’est ça la logique déductive.
– Ah oui ! Cool ! »
Un peu plus tard en fin de journée, Jean-Marc retrouve Jean-Paul au « Tourne-bouchon », un bar où ils ont leurs habitudes :
« – J’ai rencontré mon nouveau voisin, très sympa !
– Ah oui ? Et qu’est-ce qu’il fait dans la vie ?
– Il fait un truc cool ; il enseigne la logique déductive.
– Ah ??? … C’est quoi, ça ?
– Attends, je te montre sur un exemple. T’as une niche dans ton jardin ?
– Ben … Non.
– Alors t’es pédé… »
 
Jean-Marc est au restaurant avec son fils de 5 ans lorsque ce dernier avale une pièce de 10 centimes qui traînait sur la table.
Il s’étouffe, devient bleu et toutes les tentatives du papa restent vaines.
À la table d’à côté, une femme qui lisait tranquillement son journal, pas pressée du tout, s’approche.
Sans dire un mot, très sûre d’elle, elle prend les testicules du petit garçon et se met à serrer de plus en plus fort.
Le gamin hurle,  s’étouffe, devient mauve, violet et comme de fait, recrache soudain la pièce de monnaie que la dame attrape au vol d’un geste souple.
« – Wow ! Formidable ! » s’écrie Jean-Marc, « Je nai jamais vu ça ! Vous êtes médecin ?
– Non, pas du tout. Je travaille pour le fisc. »
 
Un dimanche, Jean-Marc et son fils se promènent dans un parc. Soudain l’enfant de cinq ans tombe en arrêt devant deux chiens l’un sur l’autre.
Il demande à son père de lui expliquer ce qu’ils font.
« – Tu vois, mon fils, ils sont en train de faire un petit bébé chien.
– Ah bon… c’est donc comme ça qu’on fait des bébés chiens.
– Oui ! »
Trois jours plus tard, le mercredi soir, le gamin a du mal à s’endormir.
Il se lève au milieu de la nuit et entre sans prévenir dans la chambre de ses parents les surprenant dans leurs ébats amoureux.
« Qu’est-ce que vous faites, papa et maman ? »
Jean-Marc, sans perdre de vue l’expérience pédagogique que cela peut représenter pour son gamin répond :
« Tu vois fiston, maman et papa sont en train de te fabriquer un petit frère… »
Et le gamin répond :
« Demande à maman de se retourner, je préférerais un petit chien… »
 
La prof demande :
« – Qu’est-ce qui est le plus près, la Lune ou Marseille ?
– La Lune bien sûr !
– Comment peux-tu penser ça ?
– Ben la Lune on peut la voir dici, et pas Marseille ! »
 
Au sortir d’une réunion syndicale, Jean-Marc interpelle Jean-Paul, son camarade de lutte de toujours.
« – Tu ne m’ôteras pas de l’idée que les patrons, c’est tous des salauds !
– Bah, n’exagères pas non plus. J’en connais des sympas, moi, de patrons !
– Ah oui ? Donne-moi un exemple, un seul…
– Eh bien il y en a qui, avant de partir en week-end te proposent d’aller dîner au restaurant pour discuter de la lutte des classes. Et puis ensuite, très gentiment, ils te proposent de continuer la discussion chez eux, dans leur maison de campagne…
– Arrête de déconner Jean-Paul, t’en connais pas des patrons comme ça !
– Ben, moi personnellement non, mais ma sœur, oui ! »
 
« Jean-Marc, où est le travail que tu devais faire à la maison ? » demande l’institutrice, d’un ton déjà teinté de reproches.
« – C’est mon chien.
– Jean-Marc, ça fait plus de dix ans que je suis institutrice. Tu penses vraiment que tu vas me faire avaler ça ?
– Mais si, c’est vrai maîtresse, je vous le jure ! J’ai dû le forcer, mais il l’a tout mangé ! C’est vrai ! »
 
En entrant dans la cuisine, Jean-Marc dit à sa femme :
« – Qu’est-ce que tu es en train de faire ?
– Comme tu vois : La vaisselle.
– Voyons chérie, tu ne vas pas faire la vaisselle le jour de ton anniversaire. Je ne le permettrai pas.
– OH ! Merci mon chéri ! Comme c’est gentil… Tu v… !
– Allez, colle tout ça dans l’évier. Tu la feras demain ! »
 
Jean-Marc, en bon catholique pratiquant a un petit défaut : Il adore parier aux courses.
Aujourd’hui, comme tous les jours, il va sur le champ de courses…
En se baladant dans le paddock, il remarque un rabbin qui est en train de bénir un cheval qui n’a aucune chance pour la course suivante car c’est une poire.
Jean-Marc se dit : « Tiens, tiens, je vais miser 50 € sur ce cheval. On ne sait jamais. »
Jean-Marc fait sa mise, puis il part regarder la course, et là, miracle, son cheval gagne !
Il empoche 4.500 € ! Super !
Le lendemain, il retourne sur champ de courses et voit le même rabbin qui donne à nouveau sa bénédiction à un cheval côté à 90 contre un.
Encore prudent, Robert mise cette fois 100 € sur ce cheval, puis il part regarder la course.
Et vlan : C’est encore son cheval qui gagne !
La bête n’avait pourtant aucune chance mais il empoche 9.000 €.
« Hé ! Hé ! Ça annonce bien. »
Bien entendu, le lendemain, le rabbin est encore là.
Une fois de plus, il s’occupe d’un cheval n’ayant a priori aucune chance de gagner.
Cette fois, sûr de son coup, Jean-Marc mise tous ses gains précédents sur le tocard.
La course commence, et le cheval est tout de suite bon dernier, puis on voit ses jambes flageoler et le bourrin s’écroule sur la piste.
Raide mort !
Jean-Marc, fou de rage, court voir le rabbin :
« – Alors rabbin, qu’est-ce qui s’est passé ? Vous venez de bénir ce cheval et paf ! Le voilà qui meurt à peine le départ donné… Qu’est-ce que ça veut dire ?
J’avais tout misé sur lui, moi !!!
– Vous les catholiques, vous ne faites pas la différence entre une BÉNÉDICTION et un KADISH ! »
(Kadish : prière pour les morts.)
Notez qu’il existe une autre version où le joueur est feuj et la bénédiction l’extrême onction étant donnée par un prêtre « papiste ».
 
Jean-Marc philosophe au « Tourne-Bouchon », un troquet où il a ses habitudes :
« Certains hommes aiment tellement leur femme que, pour ne pas l’user, ils se servent de celle des autres. »
 
« – Qu’est-ce qui est pire qu’une pierre dans la chaussure ?
– Un grain de sable dans le préservatif » lui répond Jean-Paul.
 
Un chimiste, un physicien et un économiste se retrouvent sur une île déserte après avoir fait naufrage. Ils craignent de mourir de faim, mais dans les débris du bateau ils trouvent une caisse remplie de boîtes de conserves. Nos trois compères ne sont pas sauvés pour autant, car ils n’ont pas d’ouvre-boîtes.
Le chimiste leur propose :
« Nous sommes entourés d’eau de mer, pourquoi ne pas mettre les boîtes dans la mer ? En effet, l’eau salée est corrosive, les boîtes vont rouiller et nous pourrons alors manger leur contenu. »
Le physicien rétorque :
« Non, ça prendra beaucoup trop de temps. Voyez plutôt, il y a ici une falaise de 13 mètres, comme chaque boîte a une masse de 512 g, si on lâche les boîtes sur les rochers depuis la falaise, le choc et l’énergie qui en découle fera éclater les boîtes et nous pourrons manger leur contenu. »
Sur ce, l’économiste prend la parole :
« Non, non, non, tout le contenu des boîtes va s’éparpiller entre les rochers, se mêler au sable et nous n’aurons quand même rien à manger. Posons plutôt l’hypothèse que nous avons un ouvre-boîtes… »
 
Jean-Marc et sa femme entrent dans un restaurant très chic.
Un garçon s’approche…
« – Madame, Monsieur, que désirez-vous pour boire ?
– Laissez », dit la dame, « C’est moi qui passe la commande ! Ça sera du champagne pour moi, du rose, et un soda pour mon mari. »
Le garçon est un peu étonné, mais bon il n’est pas là pour faire des commentaires.
Après une quinzaine de minutes, le garçon revient.
« – Avez-vous fait votre choix.
– Oui » dit la dame. « Pour moi ce sera en entrée, du foie gras, ensuite je prendrai du canard à l’orange, du fromage et une tarte aux fraises. Et servez-vous une demi-bouteille de Pétrus 89.
– Et pour monsieur ce sera ?
– Monsieur n’a pas à répondre, » dit la dame. « C’est moi qui passe sa commande. Alors… pour monsieur nous dirons en entrée des carottes râpées, ensuite des carottes bouillies, en boisson du jus de carottes et en dessert une bonne petite glace à la carotte.
– Monsieur est probablement au régime, je suppose ?
– NON ! MAIS TANT QUE MONSIEUR BAISERA COMME UN LAPIN, MONSIEUR MANGERA COMME UN LAPIN ! »
 
Une vieille dame rencontre son docteur pour son examen médical annuel.
Quand le médecin lui demande de ses nouvelles, elle lui dit :
« – Ho ! Ça va bien, mais j’aimerais avoir un renouvellement de pilules contraceptives.
– Mais… excusez-moi Madame, vous avez 75 ans… C’est impossible pour vous de devenir enceinte à votre âge, quelle utilité auraient ces pilules pour vous ?
– Elles m’aident à mieux dormir la nuit.
– Mais comment des pilules anticonceptionnelles pourraient vous aider à mieux dormir ?
– J’en mets une chaque matin dans le jus d’orange de ma petite-fille avant qu’elle parte pour l’école, et je dors beaucoup mieux. »
 
Quelques définitions ?
 
– GYNECOLOGUE : Personne qui travaille là où les autres s’amusent.
 
– NYMPHOMANE : Terme utilisé par certains hommes pour désigner une femme qui a envie de faire l’amour plus souvent qu’eux.
 
– PSYCHOLOGUE : C’est celui qui regarde les autres quand une jolie femme entre dans une pièce.
 
Un jour, un curé débordé de travail demande à son bedeau de le remplacer pour officier une rencontre avec un mourant. Le bedeau hésite, ne sachant trop que faire.
Le curé lui dit :
« Prends le Saint-Chrême, la ouate et l’eau bénite… Fais des onctions sur le corps du mourant en disant n’importe quoi, pourvu que ça finisse par ‘‘OUS’’ comme ‘‘Sanctus’’, ‘‘Orémus’’, ‘‘Deus’’… »
Lorsqu’il arrive auprès du mourant, le bedeau s’approche de lui, l’asperge un peu anxieux et dit ce qui lui passe par la tête :
« Fais ta trousse, mon ti-mousse, tu pars pour une course de secousses, agnous déous ».
 
Un colosse entre dans un bar et hurle :
« – Y a quelqu'un qui s'appelle Maurice, ici ?
– Oui, moi ! Pourquoi ? »
Alors le bestiau s’approche du gars, le chope par le col, lui met un coup de boule, des coups de poings et de genoux. Puis, il jette le pauvre type au sol, et s’en va.
Le patron du bar aide le malheureux à se relever et lui dit :
« – Oh la vache ! Je ne sais pas qui est ce gars, mais il vous a bien eu…
– Ben non ! C’est moi qui l’ai bien eu ! Je m’appelle Jean-Paul ! »
 
Apprenez-la par cœur pour lundi matin :
« Notre Père qui est au bureau,
Que le travail soit léger,
Que les patrons partent en vacances,
Que notre volonté soit faite
Au bureau comme à la maison
Donne-nous aujourd’hui un jour de congé,
Une semaine de récupération,
Et un mois de réflexion.
Pardonne-nous nos absences
Comme nous pardonnons aussi
À ceux qui nous font travailler.
Ne nous soumet pas aux observations,
Aux baisses de salaire,
Aux embargos et aux heures supplémentaires.
Mais délivre-nous de cet enfer.
Car c’est à toi qu’appartient le pouvoir
D’augmenter notre salaire et nos jours de congé,
Tout en diminuant notre travail,
Amen »
(Je ne me souviens plus si c’est une « revenue » ou non…)
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3

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