Je
n’ai pas chômé…
Un curé de campagne se fait voler sa bicyclette.
Alors il dit à son bedeau :
« Dimanche je vais réciter les
10 commandements de Dieu et pendant ce temps tu regarderas les visages des gens
dans l’église et tu trouveras le voleur. »
Alors le dimanche suivant le curé commence à réciter les commandements et
à un moment le curé arrête la récitation avant la fin.
Après la messe le bedeau va voir le curé et lui demande pourquoi il avait
arrêté avant la fin ?
Et le curé de lui rétorquer un peu gêné :
« C’est que… Rendu au « l’œuvre
de chair ne désirera qu’en mariage seulement », je me suis souvenu où j’avais
laissé ma bicyclette. »
La petite Germaine déménage à la campagne et achète un âne à un vieux
fermier pour 1.000 euros. Le fermier doit livrer l’âne le lendemain mais
justement, le lendemain…
« – Désolé ma petite dame, mais
j’ai une mauvaise nouvelle pour vous : L’âne est mort cette nuit.
– Bien alors, rendez-moi
mon argent.
– Je ne peux pas faire
ça. Je l’ai déjà tout dépensé…
– OK alors, vous n’avez
qu’à m’apporter l’âne.
– Qu’est-ce que tu vas
faire avec?
– Je vais le faire gagner
par un tirage au sort à une tombola.
– Tu ne peux pas faire
tirer un âne mort !
– Certainement que je
peux. Je ne dirai à personne qu’il est mort. »
Dans sa situation, le fermier se dit qu’il ne peut pas vraiment refuser.
Il apporte le cadavre de l’âne à la petite Germaine.
Un mois plus tard, il revient la voir :
« – Qu’est devenu mon âne mort ?
– Comme je l’ai dit, je
l’ai fait tirer au sort à la tombola du village. J’ai vendu 700 billets à 2 euros.
Ça m’a fait une recette de 1.400 €.
– Et personne ne s’est
plaint ?
– Si. Mais seulement le
gars qui a gagné. Ça fait que je lui ai rendu ses 2 euros. »
(Notez qu’à une époque reculée, j’avais un pote dans le
Loiret qui avait gagné un cochon mort : On a été prié d’aller chez lui
pour une rillette-saucisse-party gigantesque… !)
Un jeune novice arrive au monastère.
La tâche qui lui est assignée est d’aider les autres moines à recopier les
anciens canons et règles de l’église.
Il remarque que ces moines effectuent leur travail à partir de copies et
non des manuscrits originaux.
Il va voir le père-abbé, lui faisant remarquer que si quelqu’un a fait une
petite erreur dans la première copie, elle va se propager dans toutes les
copies ultérieures.
Le père-abbé lui répond :
« Cela fait des siècles que
nous procédons ainsi, que nous copions à partir de la copie précédente, mais ta
remarque est bonne, mon fils. »
Le lendemain matin, le père-abbé descend dans les profondeurs du sous-sol
du monastère, dans une cave voûtée où sont précieusement conservés les
manuscrits et parchemins originaux.
Cela fait des siècles que personne n’y a mis les pieds et que les scellés
des coffres sont intacts.
Il y passe la journée toute entière, puis la soirée, puis la nuit, sans
donner signe de vie.
Les heures passent et l’inquiétude grandit.
À tel point que le jeune novice se décide à aller voir ce qui se passe.
Il descend et trouve le père abbé complètement hagard, les vêtements
déchirés, le front ensanglanté, se cognant sans relâche la tête contre le mur
de pierres vénérables.
Le jeune moine se précipite et demande :
« – Père-abbé, que se
passe-t-il donc ?
– C’est pas chasteté dans
l’original, c’est charité ! »
C’est un psychiatre qui fait une tournée dans un asile, en passant devant
une chambre, avec un confrère, il y avait un monsieur qui pleurait à en fendre
l’âme et criait :
« Rose ! Rose ! « Ma » Rose ! »
Le Psy demande à son confrère :
« Qu’a-t-il ce pauvre homme ? »
Son confrère répond :
« Étant jeune, il a fréquenté
une femme nommée Rose… Elle l’a quitté un jour pour épouser un autre homme et
il est comme ça depuis ce temps… »
La visite continue… Plusieurs chambres plus loin, un autre monsieur criait
et sacrait :
« – *#&!*#%*& ! de Rose
! Rose ! Espèce de *&#*?&#*&?% de Rose !
– Et celui ci, qu’a-t-il
?
– Oh ! Justement, c’est
lui qui a épousé Rose ! »
Jean-Marc et Jean-Paul profitent de leurs
vacances pour se rendre à Chamonix et tenter une ascension difficile.
Malheureusement, lorsqu’ils arrivent, la tempête est telle qu’ils sont
contraints de se réfugier dans le premier chalet venu.
Coup de chance, la maison est splendide.
Mais la jolie femme qui les accueille leur précise aussitôt :
« Je suis veuve, vous comprenez
que je ne peux pas me permettre de vous laisser passer la nuit chez moi. Les
voisins jaseraient… »
Jean-Marc répond :
« Pas de problème, nous
passerons la nuit dans la grange si vous nous y autorisez. »
Elle acquiesça et il en fut ainsi.
Neuf mois plus tard, Jean-Paul passe un coup de fil à son ami Jean-Marc :
« – Jean-Marc, tu te souviens
de cette nuit à la montagne où nous avions du dormir dans la grange ?
– Ouais… Je me souviens.
– Tu te rappelles de la
jolie maîtresse de maison qui nous avait accueillis…
– Ouais…
– Par le plus grand des hasards, tu ne te
serais pas levé pendant que je dormais pour aller rejoindre cette femme dans
son lit ?
– J’ai bien peur que si….
– Et tu ne lui aurais pas
dit que tu t’appelais Jean-Paul et non pas Jean-Marc ?
– J’ai bien peur que si… » répondit-il, rouge de
confusion.
« Eh bien je te remercie car
elle vient de mourir et de me léguer toute sa fortune ! »
Un aveugle entre par erreur dans un bar rempli de femmes.
Il réussit à se rendre au comptoir où il s’installe et commande une bière.
Après un moment, pour tenter de se faire des amis, il crie vers la
serveuse :
« – Hé, tu aimerais entendre
une blague sur les blondes ? »
D’un coup, le bar devient tout à fait silencieux. Puis, d’une grosse voix
profonde, la femme assise près de l’aveugle s’adresse à lui et dit :
« – Petit monsieur, avant que
tu t’y mettes, laisse-moi t’apprendre quelque chose :
1 – La serveuse est
blonde ;
2 – La danseuse est
blonde ;
3 – Je mesure 1,80 m,
pèse 85 kg, je suis ceinture noire de karaté… et je suis blonde…
4 – La femme assise à
côté de moi est blonde aussi et c’est une pro de la lutte ;
5 – La femme de l’autre
côté du bar est une blonde championne de poids et haltères.
Maintenant, penses-y
sérieusement, Monsieur. Veux-tu toujours raconter ta blague ? »
Alors, l’aveugle répond :
« Naaan… Pas si je dois
l’expliquer cinq fois ! »
Une bande de gars travaille sur un chantier et mange ensemble avec le contremaître
qui chaque midi leur raconte des histoires d’en rire.
Et toute l’équipe rigole comme des fous.
Un bon midi, il y en a un qui ne rit jamais, le contremaître lui demande
alors pourquoi ?
Et le gars lui répond :
« Oh, dans mon cas ce n’est pas
nécessaire… Je ne travaille pas pour toi, moi… »
Deux gars fauchés sont en manque de bière.
Le premier dit à l’autre :
« J’ai une idée. Puisque l’on a
que 2 euros pour nous deux et que c’est trop peu pour aller dans les bars, on
va aller acheter un hot-dog au coin de la rue… »
Le deuxième gars ne comprend pas bien la technique mais il laisse faire.
Une fois la saucisse achetée, le premier tire le second dans le bar le
plus proche.
Là, ils commandent plusieurs verres qu’ils descendent promptement.
Lorsque le barman arrive dans leur direction avec l’addition, le premier
prend la saucisse, la glisse dans la braguette du second et entreprend de simuler
une fellation de la saucisse !
Le barman est furibond :
« Tirez-vous de mon bar,
espèces de dégénérés ! » et il les jette hors du bar.
Voyant que la technique a fonctionné dans le premier bar, les deux
compères pénètrent dans le deuxième bar le plus proche et répètent le scénario…
Toujours avec le même succès.
Quelques heures et une dizaine bars plus tard, ils ne peuvent plus faire
un pas tellement ils sont pleins, et ils s’écroulent sur un banc.
À ce moment-là, le premier dit au second :
« – Tu as vu ce qu’on peut
faire avec une saucisse ?
– Quelle saucisse ? On
l’a perdue après le premier bar… »
À Bagdad, un journaliste français est pris d’une soudaine envie de faire
pipi.
Il fausse compagnie à son équipe dans l’espoir de trouver un coin
tranquille pour se soulager la vessie, mais aucune toilette publique à
l’horizon.
Après avoir cherché et cherché encore, il se résout à uriner contre le mur
d’un bâtiment.
Il vient à peine d’ouvrir sa braguette lorsqu’un policier irakien arrive
en courant et l’interrompt :
« Qu’est-ce que vous alliez
faire ? » demande le policier dans un anglais déformé…
« Il faut que je fasse pipi… »,
répond le journaliste le souffle court.
« C’est interdit d’uriner ici.
Suivez-moi ! »
Le policier le prend par le bras et le conduit sur un parterre de fleurs
qui fait face à une énorme bâtisse gardée par des militaires en tenue.
« Voilà, ici, vous pouvez faire
pipi ! »
Le journaliste hausse les épaules et fait son affaire rapidement sur les
fleurs.
« – Ahhhh, ça fait du bien.
Merci. C’est très gentil de votre part de m’avoir amené jusqu’ici. Je suppose
que c’est ça qu’on appelle l’amabilité irakienne ?
– Non. Ça c’est ce qu’on
appelle l’ambassade américaine. »
Jean-Marc et sa femme sont sur le parcours de
golf en train de disputer le septième trou.
Soudain, l’épouse s’écroule par terre, foudroyée par une attaque
cardiaque.
« Chéri, chéri »,
implore-t-elle son mari, « va
chercher un médecin, vite ! »
Jean-Marc part en courant et en criant :
« À l’aide, un médecin, vite ! »
Un bon quart d’heure plus tard, il est de retour.
Il ramasse son club et se met en position pour lancer la balle.
Sa femme, encore couchée sur le sol, lève la tête et lui dit :
« – Non mais, c’est pas vrai…
Je suis en train de mourir et toi, tu vas jouer ?
– Ne t’en fais pas
chérie. J’ai trouvé un docteur sur le deuxième trou qui m’a dit qu’il allait
venir te secourir.
– Sur le deuxième trou ?
Mais bon sang, quand va-t-il arriver ?
– Hé! Je t’ai dit de ne
pas t’en faire », répond Jean-Marc
tout en armant son swing…
« Là-bas, tout le monde était
d’accord pour le laisser jouer d’abord. »
Les conséquences possibles de boire seul une bouteille de 3 litres :
– Peut-être la cause principale des danses qui nous ridiculisent.
– Peut nous laisser croire que nos ex se languissent d’entendre notre voix
à 4 heures du matin.
– Peut nous faire répéter la même histoire encore et encore, jusqu’à ce
que nos amis veuillent nous péter la gueule.
– Peut nous causer un défaut du langage qui nous fait ch’exchprimer comme
cha.
– Peut nous faire dire à notre patron ce que l’on pense réellement de lui
pendant qu’on se photocopie les fesses durant le party de noël.
– Peut nous faire perdre nos sous-vêtements sans s’en rendre compte.
– Peut nous faire se réveiller un bon matin avec quelque chose d’horrible
à nos côtés sans en connaître ni le nom ni le prénom.
– Est la cause principale des éraflures et ecchymoses inconnues au visage.
– Peut nous donner l’illusion d’être plus fort, plus beau, plus
intelligent devant un motard très musclé surnommé « Le Tueur ».
– Peut nous faire croire que les gens rient « avec » nous.
« – Quel est le poisson le plus
stupide ?
– La sardine ! Elle
s’enferme dans une boîte et laisse la clé dehors. »
« – La différence entre un
caniche qui te pisse dessus et un pitbull qui te pisse dessus ?
– Le pitbull, tu le laisses
finir. »
Les revenues :
C’est un « cad’sup » qui ouvre la porte de sa BMW lorsqu’un
camion arrive brusquement et arrache la portière de sa voiture.
Le policier se rendant sur la scène de l’accident voit le BCBG affolé, se
plaignant amèrement des dommages causés à sa dispendieuse voiture :
« Regardez ce qu’ils ont fait à
ma Bé-êêême ! » gémit-il.
Le policier lui répond sèchement :
« – Vous les snobs, vous êtes
tellement matérialistes que cela me rend malade ! Vous pensez tellement à votre
« Béé-êêême » que vous ne vous rendez pas compte que votre bras gauche a été
sectionné !
– NOOOOONNNNN ! » Hurle le bonhomme en voyant son
bout de bras ensanglanté…
« Où est ma Rôôô-LEX ? »
Une petite fille demande à sa mère :
« – Maman, comment l’espèce
humaine est-elle apparue ?
– Dieu fit Adam et Ève et
ils eurent des enfants. C’est ainsi que l’espèce humaine est apparue. »
Deux jours plus tard, la petite fille pose la même question à son père.
« Bien, il y a très longtemps
existaient les singes. Au fil des années ils se transformèrent pour devenir des
hommes. C’est ainsi qu’est apparue l’espèce humaine. »
Confuse, la petite fille retourne voir sa mère :
« – Maman comment se fait-il
que tu m’aies dit que l’espèce humaine a été créée par Dieu et que papa
m’affirme qu’elle vient du singe ?
– C’est que moi je t’ai
parlé de l’origine de ma famille et ton père de la sienne ! »
Une femme se rend au bureau du journal local pour faire publier l’annonce
de son mari qui vient de décéder.
Le responsable dit :
« Pour placer une annonce, il y
a des frais de 0,50 € par mot. »
La dame réfléchit un peu et dit :
« D’accord, dans ce cas,
inscrivez ceci : « Décédé : Fred Leblanc. » »
Le responsable, amusé par la tentative d’économie de la dame, rajoute :
« – Chaque annonce doit avoir
au minimum 8 mots !
– Oh ! Dans ce cas,
inscrivez : « Décédé : Fred Leblanc. Clubs de golf à vendre. » »
Merci encore à toutes et à tous !
Bon week-end !
I3
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