Je
n’ai pas chômé…
Et on se demande pourquoi les hommes sont plus heureux que les femmes :
« – Leur nom de famille ne
change pas.
– Le garage entier est à
eux.
– Les mariages se
préparent eux-mêmes sans que ces messieurs aient à participer à la préparation.
– Le chocolat est un snack
comme un autre.
– Ils peuvent devenir
président.
– Ils ne peuvent jamais
être enceinte.
– Ils peuvent porter un
T-shirt blanc dans un parc aquatique sans aucune crainte.
– Ils peuvent même ne pas
porter de T-shirt du tout dans un parc aquatique.
– Les mécaniciens leur
disent la vérité.
– Le monde est leur
urinoir.
– Ils n’ont jamais à
conduire jusqu’à une autre station essence pour faire pipi parce que les
toilettes de la précédente étaient trop dégueulasses.
– Ils ne sont pas obligés
de réfléchir au sens dans lequel un écrou doit être tourné.
– Même travail, plus de
paye.
– Les rides leur donnent
de la personnalité.
– Robe de mariée 3.000 €,
location de smoking 100 €.
– Les gens ne fixent pas
leur poitrine quand ils leur parlent.
– Les chaussures neuves
ne leur donnent pas d’ampoules.
– Une seule humeur, tout
le temps.
– Les conversations
téléphoniques sont finies en 30 secondes.
– Ils savent des choses
sur les chars d’assaut…
– Ils n’ont besoin que
d’une valise pour des vacances de cinq jours.
– Ils peuvent ouvrir leur
propre pot de confiture.
– Le moindre geste
agréable de leur part leur vaut de la reconnaissance.
– Si quelqu’un oublie de
les inviter, cette personne peut quand même rester leur ami(e).
– Leurs sous-vêtements
coûtent au plus 15 € pour un paquet de 3.
– Trois paires de
chaussures sont plus que suffisantes.
– Ils n’ont presque
jamais de problèmes de bretelles en public.
– Ils sont incapables de
voir si leurs vêtements sont froissés.
– Tout sur leur visage
reste de la même couleur tout le temps.
– La même coupe de
cheveux dure des années, peut-être même des décennies.
– Ils n’ont que leur
visage à raser.
– Ils peuvent jouer avec
des joujoux toute leur vie.
– Un seul sac ou
portefeuille et une paire de chaussures.
– Une seule couleur pour
toutes les saisons.
– Ils peuvent se promener
en short, quel que soit l’état de leurs jambes.
– Ils peuvent s’arranger
les ongles avec un canif de poche.
– Ils ont le libre choix
concernant le port d’une moustache.
– Ils peuvent faire les
courses de Noël pour 25 personnes en 25 minutes le 24 décembre. »
Un architecte : C’est quelqu’un de pas assez macho pour être ingénieur, et
pas assez « gay » pour être designer.
Un auditeur : C’est une personne qui arrive après la bataille, et marche
sur les blessés.
Un avocat : C’est une personne qui écrit un document de 10.000 mots et l’intitule
« Sommaire ». (Franz Kafka)
Un banquier : C’est une personne qui te prête un parapluie par beau
temps, et qui te le reprend lorsqu’il commence à pleuvoir… (Mark Twain)
Un comptable : C’est une personne qui connaît le prix de toute chose,
et la valeur de rien.
Un consultant : C’est quelqu’un qui vous prend votre montre à votre
poignet pour vous donner l’heure, et qui vous fait payer le service.
Un diplomate : C’est quelqu’un capable de vous dire « d’aller
vous faire voir chez les Grecs ! » d’une telle manière que vous aurez hâte de
faire le voyage…
Un économiste : C’est un expert qui saura demain pourquoi ce qu’il a
prédit hier n’est pas arrivé aujourd’hui.
Une institutrice : C’est une femme qui pensait aimer les enfants et
qui a perdu ses illusions.
Un physicien quantique : C’est un aveugle dans une chambre noire qui
est à la recherche d’un chat noir qui n’est même pas là.
Un programmeur : C’est une personne qui résout un problème que vous
n’aviez pas, d’une façon que vous ne comprenez pas.
Un psychanalyste : C’est quelqu’un qui vous pose beaucoup de
questions en vous demandant beaucoup d’argent… Autant de questions que votre
femme (ou votre mari) vous aurait posé gratuitement !
Un psychologue : C’est un homme qui, lorsqu’une jolie fille pénètre
dans une pièce, regardera tout le monde sauf la jolie fille.
Après avoir créé l’univers, Dieu créa donc l’homme et la femme…
Et pariant sur l’avenir de la race humaine, Dieu avait entrepris
d’enseigner à ses deux nouvelles créatures les rudiments de l’amour.
« Adam, tu vas emmener Eve dans
le petit buisson là-bas et tu vas lentement déplacer ta main sur son corps. »
Dix minutes plus tard, Adam revient avec un air joyeux et dit :
« – C’est vraiment très
agréable, comment ça s’appelle ?
– La caresse. À présent
tu vas retourner dans le buisson et tu vas délicatement poser tes lèvres sur
les lèvres d’Eve. »
Aussitôt dit, Adam s’en retourne dans le buisson et revient dix minutes
plus tard, l’air radieux :
« – C’est encore plus agréable,
comment ça s’appelle ?
– Le baiser. Cette fois,
tu vas retourner là-bas, pratiquer la caresse, le baiser et laisser aller
l’envie qui montera en toi. »
Guilleret, Adam s’en retourne dans son buisson favori mais revient dix
minutes plus tard, l’air désabusé.
« – Ça, c’est pas agréable du
tout, comment ça s’appelle ?
– La migraine », répond Dieu.
Un beau matin, le gamin demande à son père :
« – Les abeilles, les fleurs,
les choux, la p’tite graine… Tout cela est bien dépassé. Soyons modernes
s’il-te-plaît papa. Dis-moi : Comment suis-je réellement né ?
– Très bien mon fils ! » fait Jean-Marc. « Il fallait
bien que l’on en parle un jour…
Papa et maman se sont ‘‘copiés/collés’’
dans un Chat sur MSN. Papa a fixé un rendez-vous via E-mail à maman et ils se
sont retrouvés dans les toilettes d’un Cybercafé. Lorsque papa fût prêt, maman
a fait quelques Downloads du Memory stick de papa, mais, après le téléchargement,
nous avons découvert que nous n’avions pas mis de Firewall. Grave erreur !
Comme il était trop tard
pour faire Delete, neuf mois plus tard, le p’tit virus apparaissait et
bousillait tout : Est-ce assez moderne pour toi ? »
Deux enfants font un bonhomme de neige avec leur grand-père.
Au moment de mettre la tête sur le corps du bonhomme, le vieillard se
penche pour ramasser la boule qui servira de tête et, l’effort aidant, laisse
échapper un gaz.
Très vite l’hilarité naturelle des enfants se transforme en une joie que
le vieil homme a du mal à comprendre. « Youpi,
on va pouvoir y aller ! » crient les enfants.
« Aller où ? » demande
le grand-père.
« – En Floride, on va enfin
pouvoir aller en Floride.
– Comment ça ?
– C’est maman qui nous
dit souvent que si Pépère veut ben péter une durite, on va aller en Floride. »
Jean-Marc rencontre son vieux pote Jean-Paul.
« – Et alors, ton divorce ?
– Non.
– Non, quoi ?
– On est toujours
ensemble.
– Ah oui, après tout ce
qu’elle t’a fait ?
– C’est ça…
– Qu’est-ce qui s’est
passé ?
– Elle est de plus en
plus grosse et je n’arrive pas à lui enlever sa bague à diamant. Alors, je
reste. Ce n’est pas possible qu’elle me vole comme ça. »
« Dis à un homme qu’il y a un
milliard d’étoiles, et il te croit.
Dis-lui que la peinture
est fraîche sur le banc, et il va le toucher. »
« – Pourquoi les cannibales ne
mangent pas de clowns ?
– Parce qu’ils trouvent
que ça un drôle de goût »…
« – Qu’a dit Dieu après avoir
créé l’homme ?
– Je peux sûrement faire
mieux ! »
« – Pourquoi Jésus ne peut pas
mettre de suppositoire ?
– Parce que les voies du
Seigneur sont impénétrables ! »
Jésus, pour faire son malin, est en train de marcher sur les eaux du Lac
Tibériade. Pierre est à ses côtés et nage pour traverser le Lac.
Arrivant près de Jésus, il lui dit :
« Eh Jésus ! Tu ne sais pas ce
que tu manques … elle est vachement bonne. »
C’est dimanche et le Père Grégoire a décidé de frapper un grand coup.
À l’heure de la messe, il rentre dans le café du village et s’approche du
bar où plusieurs hommes sont accoudés.
Il s’adresse à l’un deux :
« – Dis-moi Jean-Paul, n’as-tu
pas envie d’aller au Paradis ?
– Oui, bien sûr, Monsieur
le curé.
– Alors mets-toi là
contre ce mur ! »
Puis le père Grégoire s’adresse à un deuxième gars :
« – Et toi Jean-Jacques,
n’as-tu pas envie d’aller au Paradis ?
– Mais oui…
– Alors, toi aussi, aligne-toi
contre le mur ! »
Puis il se tourne vers Jean-Marc.
« – Et toi Jean-Marc, dis-moi,
n’as-tu pas envie d’aller au Paradis ?
– Ah ça, non m’sieur
l’curé !
– Quoi ? Tu veux dire
qu’à l’heure de ta mort ça ne te fera rien de ne pas aller au Paradis rejoindre
ta famille et tous ceux que tu aimes ?
– Ouais, si c’est pour
quand je mourrai, ça va. Je croyais que vous formiez un groupe pour partir
maintenant… »
En route pour visiter des amis à l’occasion des fêtes, Jean-Marc et son épouse s’arrêtent dans
un restaurant.
À la fin du repas, ils reprennent la route.
Au bout d’une cinquantaine de kilomètres, la femme prend le bras de son
mari et lui dit :
« Mon Dieu, Jean-Marc ! J’ai
oublié mon sac sur le banc du restaurant ! »
Jean-Marc est hors de lui…
Il fait demi-tour, et pendant presqu’une heure et cinquante de kilomètres, sa femme en entend
des vertes et des pas mûres.
Dans le genre : « Tu ne penses
jamais à rien ! Alzheimer te guète ! » Etc.
Une fois dans le parking du restaurant, quand sa femme descend de la voiture,
il lui dit :
« Tu regarderas de mon côté,
mon téléphone devrait être là ! »
Les « revenues » de ce moment-là :
Jean-Marc et son épouse, un vieux couple se rend
chez son médecin pour la visite annuelle. Le médecin les accueille et fait
d’abord passer le mari. Après l’examen, il annonce :
« – Mais vous êtes en pleine
forme, cher monsieur !
– Pas étonnant, je ne
fume pas, je bois pas, et le bon Dieu veille sur moi.
– Voyez-vous ça…
– Oui ! Tenez, hier par
exemple, je me suis levé en pleine nuit pour aller aux toilettes et Il a allumé
la lumière pour moi !
– Merveilleux ! Quelle
chance. Bon, je vous revois l’année prochaine. »
Le médecin renvoie le vieux dans la salle d’attente et fait passer sa
femme dans son cabinet.
« – Oh, moi, vous savez, je ne
fume pas, je ne bois pas.
– Et le bon Dieu veille
sur vous, c’est ça ?
– Hein ? Pourquoi vous
dites ça ? Je n’en ai rien à foutre du bon Dieu.
– Bien, c’est votre mari
qui m’a dit ça. Il m’a même raconté qu’il était allé aux toilettes pendant la
nuit et que le bon Dieu lui avait fait de la lumière.
– Ah, le vieux con, il a
recommencé à pisser dans le frigo ! »
« Si la bourse va mal, faites-vous
tatouer un Euro sur le sexe !
Cela vous procurera au
moins 4 avantages qu’aucun autre produit ne peut vous offrir :
1) Vous ferez croître
facilement votre investissement…
2) Vous prendrez plaisir
à toucher votre argent.
3) Vous serez le seul à décider
où vous le placez.
4) Vous ne verrez aucun
inconvénient à ce que votre femme vous pompe vos économies. »
L’histoire se déroule en Afrique.
Un bonobo, obsédé sexuel, et un peu inconscient, saute d’arbre en arbre
quand, brusquement, il aperçoit au sol un lion qui fait la sieste.
Une drôle d’envie le prend. Il descend de son arbre, s’approche du lion,
lui soulève la queue et commet l’irréparable.
Le lion se réveille en sursaut. Rugit. Le singe s’enfuit à toutes jambes !
Arrivé à un croisement, il cherche à se cacher car le lion le poursuit.
Il trouve un journal par terre, et se cache derrière, en faisant semblant
de lire.
Le lion, très énervé, arrive…
« – Eh le p’tit derrière son
journal ?
– Ouais… ?
– T’aurais pas vu passer
un singe ?
– Celui qui s’est tapé un
lion ?
– Maudit… C’est déjà dans
le journal ! »
Jean-Marc est très excité car il s’en va à la
chasse à l’ours.
Il aperçoit un petit ours brun qu’il tire.
C’est alors qu’il reçoit une tape sur l’épaule.
Il se retourne pour voir qui est derrière lui.
Un gros ours noir le regarde et lui dit :
« Tu as deux choix, ou je te
bats à mort ou bien je te sodomise. »
Jean-Marc choisit la vie.
Après deux semaines de convalescence, Jean-Marc veut sa revanche.
Il va en forêt, traque et tire enfin l’ours noir.
On lui tape encore sur l’épaule…
Un énorme grizzly lui dit :
« Je pense que tu as fait une
erreur. Je te propose deux choix : Ou je te bats à mort ou bien nous avons
ensemble une séance de sexe brutal. »
Épouvanté, Jean-Marc choisit encore la vie…
Après 3 mois de soins intensifs, il veut sa revanche sur le grizzly.
Rendu dans le bois, il trouve enfin l’ours qu’il tire.
Il est satisfait quand quelqu’un lui tape encore sur l’épaule…
Cette fois c’est un ours polaire géant qui lui dit :
« Admets-le, Jean-Marc, tu ne
viens pas vraiment ici pour la chasse… »
Merci à toutes et à tous d’être passés et bon week-end !
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