Je suis vraiment un auteur comblé !
Presque béni
des dieux, même… et à en croire les efforts de mon
ange gardien pour me maintenir en vie et mes diverses
tribulations romanesques, que ce blog-ci n’existe que pour ça, pour
ce « destin-là », absolument pas choisi de ma part !
Bien au
contraire : J’aurai une vie plus calme et confortable sans.
Passons et je
vous explique.
D’un côté,
j’en viens à me mêler de choses (publiques) qui ne me regardent pas, d’autant
que je n’ai absolument aucune ambition politique (hors l'accès à la cave de l'Elysée, mais depuis qu'elle a été dévalorisée, je ne sais plus...), et tente de démêler par
raisonnement « inductif/déductif », une série de réflexions
« hypothético-déductives », les
fameux détournements de « Mythe-errant » dans les années
90.
Un
« truc » qui prend racine avec la guerre Irako-koweïtienne et se
termine en « Gauloisie-pacifique » par le recyclage de ces
arsouilleries dans le grand-emprunt de « Bling-bling » de 2009 :
Convergence des montants, mais aussi de l’opération de « maquillage »
qui va avec (le type empruntait 35 milliards d’euros pour en rembourser « entre 12 et 13 milliards »
immédiatement dus !)
Comme si ce
genre de détail nécessitait d’en faire trois fois plus, alors que l’agence
« Transe-Trésor » en fait toutes les semaines sans en faire tout un
plat devant la presse politique…
Passons.
À force de
compter et de recompter, je m’aperçois qu’il en manque : Je m’étais
globalement planté sur les cours de conversion de devises et des taux d’intérêt
pratiqués à l’époque sur les marchés…
Sur des sommes
qui ont servi vraisemblablement à financer la réunification allemande, mais à
des taux de 5,90/6,00 %, pas à nos taux négatifs actuels !
Ce n’est pas
pour rien que c’était le « sherpa » de « Mythe-errant » qui
a été nommé à la tête de la BERD, à Londres, dont il a couvert le siège de
marbre, le fameux « D’jack-@Thalys » : Rien de hasardeux,
puisque c’est lui avec la complicité de « Déesse-Khâ », alors
ministre de l’industrie, qui « invente » la manip’ du détournement.
« Déesse-Khâ »
qui est le même qui va partir en Chine « blanchir » ses avoirs en
« levant » 2 milliards d’euro pour sa banque, LSK, qui va faire
faillite avant de commencer, avec à la clé le suicide du
« fondateur », à Tel-Aviv, dont chacun sait qu’il s’agit d’un agent
dormant lié au Mossad.
Et puis en
fouillant, notamment grâce aux travaux de « l’Ami-râle »
épaulé par « Basanix »
et un quarteron de vétérans de la Division Daguet et de Bosnie, dont
« Vincent », qui harcèlent les autorités gouvernementales depuis
1998, constatant également tout le poids des « étoilés » installés
dans les états-majors des armées de mon pays depuis l’arrivée du
« Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois », ceux-là finissent par
retrouver la trace d’un milliard de dollar versé officiellement par
le Koweït à mon pays au tout début de l’offensive terrestre de l’opération
« Tempête du désert ».
Une bataille
de 100 heures !
De mon côté,
en fouillant encore, je constate que les avoirs du Koweït, avant l’invasion du
pays sont de 248 milliards de dollars éparpillés à travers des participations
dans les pays occidentaux et du Golfe, plus … 48 milliards de dollars dans les
coffres de la banque centrale de la monarchie, en attente d’utilisation :
Quelques jours de recettes pétrolières qui servent aux « menues
dépenses » !
Mais qu’à la
fin du conflit, les coffres sont vides et que l’Irak de Saddam ne restitue
qu’une faible partie…
Je ne sais pas
combien : Entre 8 et 10 milliards en billets de 100 dollars, la plus
grosse coupure, soit autant de tonnes de papier.
Question :
Où est donc passé le reste ?
Et c’est
l’objet du prochain roman (si les dieux – ou les « Mains
invisibles » – consentent à me laisser le temps d’en clore
l’écriture).
Car là encore,
à force de fouiller, je découvre par hasard que si la
« Gauloisie-corrompue » vit honorablement de différentes magouilles à
vocation plus ou moins « politique » (on se rappelle du
« Bling-bling-au-thon » financé avec de l’argent venu de nulle part,
en tout cas pas de « généreux donateurs » qui auraient dû faire jouer
leur droit à crédit d’impôt attaché à leur générosité et dont beaucoup ont
renvoyé leur carte de membre d’honneur du parti de « Bling-bling »,
mais aussi de quelques seconds couteaux chopés par la douane avec des mallettes
de 500.000 euros dans les mains à la gare du nord), la vertueuse Amérique-unie
du nord n’est pas mal non plus : Ce sont des dizaines, voire des centaines
de milliards de dollars qui ont disparu des finances publiques au fil du
temps !
Et on verra ça
cet été, quand je serai planqué en Méditerranée…
Un écheveau
qui aurait dû prendre la forme d’une tornade dévastatrice sur les institutions
de mon pays (celui que j’aime tant et qui ne mérite pas tout ça), à l’occasion
du centenaire du « maître du verbe » en la personne de
« Mythe-errant », et qui … n’est pas sorti comme prévu !
Au lieu et
place, s’est mise en marche une machine infernale états-unienne qu’on n’a
pas vraiment vu venir, même si je l’ai déjà abordée partiellement par ailleurs.
–
Premièrement, une doctrine maintenant en place des autorités monétaires et
gouvernementales des USA, considère que les autorités ont droit de regard sur
tout ce qui est libellé en dollar à travers le monde, parce que le dollar leur
appartient !
Et ils en ont
profité pour faire régner la terreur dans les milieux financiers, avec fortes
amendes à payer, pour faire régner les embargos successifs décidés par leurs
autorités ;
–
Deuxièmement, une lutte sans merci contre le blanchiment d’argent, d’abord
contre les cartels de la drogue : La DEA peut bloquer n’importe quel
compte à travers le monde, si ça lui chante, même sans l’aide d’un juge.
Puis contre
l’évasion fiscale.
En oubliant
que le Delaware (et quelques autres), État fédéré des USA est un excellent paradis fiscal à portée
d’avion et de train de tout le pays !
–
Troisièmement : La loi FACTA ! Tout citoyen américain, où qu’il
réside dans le monde, doit signaler ses avoirs et revenus pour y être
éventuellement imposés. La fiscalité américaine est mondiale (comme la nôtre
d’ailleurs) et universelle.
Tout résident
étranger est soumis aux mêmes règles déclaratives.
Toute
personne, même non-résident, doit souscrire les mêmes déclarations, si ses
avoirs et/ou revenus aux USA sont supérieurs à 60.000 dollars, crois-je me souvenir.
–
Quatrièmement : Des accords d’échanges de données sur la situation fiscale
et les flux financiers avec tous les pays sont conclus à l’arraché !
Même la
Suisse, qui viole ainsi sa propre loi fondamentale qui tient lieu de
constitution, a été obligée de signer, sans quoi ses banques étaient privées de
licence d’opérer aux USA et/ou sur du dollar…
Le Grand-Duché
du Luxembourg, le Lichtenstein et même Monaco aussi, dans le cadre des accords-types de l’OCDE
sur la transparence réclamée par « Bling-bling » au sommet de Londres
de 2008.
Mais si.
Et tous s’y
sont pliés, même la plupart des « paradis-fiscaux », sauf une poignée :
Bahreïn, le Vanuatu, Nauru et … Panama qui persistent à refuser de lever leur
secret bancaire (et à extrader ses résidents), alors que les îles Vierges
britanniques et les Seychelles sont plus ou moins sous tutelle des banques
anglo-saxonnes.
C’est
incroyable, parce que bon, les deux îles indépendantes du pacifique sont
faciles à cerner à tout moment ; Bahreïn, c’est un peu plus compliqué à
réaliser, mais avec du temps et les efforts de la diplomatie, ça pourra le
faire.
Les
Îles-Vierges et les Seychelles, c’est plus facile, un peu comme Saint-Martin,
les Îles-anglo-normandes, Serk, Hong-Kong, Singapour et Cie.
En revanche,
Panama, il faut quand même se rappeler son histoire pour comprendre que ça
aurait dû être bien plus facile que n’importe où ailleurs.
Panama
n’existe en tant qu’État indépendant qu’après plus de 3 ans de guerre menée par
un groupe d’indépendantistes discrètement soutenus par les États-Unis, et se
déclare indépendante de la Colombie le 3 novembre 1903.
Alors même que
le pays est resté coupé géographiquement en deux, puisque les USA ont gardé la
souveraineté sur le canal de Panama (dont la construction fut commencée en 1881
sous l’impulsion de Ferdinand de Lesseps et qui fut inauguré en 1914) par un
accord à perpétuité signé la même année.
Depuis, de
nombreux troubles sociaux et politiques agitèrent cette république monocamérale
qui connut des régimes plus ou moins autoritaires :
– Le général
Omar Torrijos renégocia en 1978 l’accord sur la zone du canal (Traités de
Torrijos-Carter).
– À sa mort en
1981, le général Manuel Noriega, commandant la garde nationale (qui fut à une
période rémunéré par la CIA), s’est mis, dans les faits, à contrôler le pouvoir
en accentuant le caractère populiste, nationaliste et très anti-américain de sa
politique.
En juillet
1987, les États-Unis ont tenté d’obtenir l’extradition de Noriega, pour trafic
de drogue, puis ont soumis le pays à des sanctions économiques sévères.
Noriega, en
dépit d’une opposition civile vigoureuse, s’est maintenu au pouvoir avec l’aide
du Japon, un allié indéfectible des USA, intéressé par la construction d’un
nouveau canal.
Jusqu’à
l’opération « Just Cause » lancée en décembre 1989 par l’armée
américaine pour le capturer.
– Il est
ensuite remplacé par Guillermo Endara, son concurrent à l'élection
présidentielle de 1989, que Noriega avait annulée.
La Zone du
canal de Panama fut rendue au Panama le 31 décembre 1999, suite aux Traités de
Torrijos-Carter. Et depuis le référendum du 22 octobre 2006, les Panaméens ont
décidé d’agrandir le canal, pour faire face à la hausse du trafic et rester
compétitifs sur le transbordement.
Il faut dire
que le canal est la principale ressource de ce pays qui ne consacre pas plus de
1 % de son PIB pour assurer sa défense nationale : Il reste sous
protection états-unienne et la monnaie locale, le balboa, n’existe que sous
forme de pièces, les billets en circulation sont uniquement des dollars !
On ne peut
guère faire mieux en matière de « protectorat », limite
« colonie »…
Et
globalement, l’économie panaméenne se résume à trois « activités »
qui représentent plus de 80 % du PIB national : Le transbordement entre
deux océans, les pavillons de complaisance des navires et l’activité
financière, sous forme de « conseil » en gestion !
Dont le cabinet
d'avocats Mossack-Fonseca incriminé : Ce n’est ni le plus gros, ni le plus petit de
ces « conseils », juste du « secrétariat juridique » des
plus simples (création d’une personne morale dans un paradis fiscal, formalité d'enregistrement et ouverture
d’un compte bancaire) qui se compte en quarteron sur place, et qui n’a même pas
d’activité bancaire, donc échappe aux mesures de rétorsion toujours possibles,
mais sait user pour quelques milliers de dollars, à travers ses quelques 40
agences réparties dans le monde, des facilités proposées par ailleurs pour les
clients de toutes les banques du monde entier !
Alors là, on
peut se poser quelques questions de bon sens quant aux révélations sur la
place publique de son « fichier-client » (qui remonte à 1977) :
– Est-ce une
tentative de « déstabilisation » des USA contre le
« petit-business » local ?
C’est possible
mais semble totalement disproportionné et contre les intérêts américains qui
feraient bien à la fois de s’occuper de ses propres
« paradis-fiscaux » sis sur son territoire et qui ne font rien pour
étrangler les autres et vrais paradis fiscaux partout ailleurs comme ils en ont
les moyens.
Rappelez-vous
qu’on estime l’enjeu à quelques 21.000 milliards de dollars, plus que le PIB
des USA et du Japon réunis !
Et notons au
passage que les « échanges de renseignements », le travail
« d’intelligence » fonctionnent désormais relativement bien à travers
le monde, mais que, même en matière d’anti-terrorisme, le partenaire américain
oublie souvent le principe de réciprocité…
Ce n’est pas
dans leur culture.
– Pourtant, il
y a bien eu fuites (Leaks). Et ciblées sur une seule société de conseil
panaméenne : Si ce n’est une action d’envergure, c’est donc le résultat
d’une action isolée.
Un pirate,
mais comme on parle de plus de 210.000 dossiers, 2,6 téraoctets de données,
soit l’équivalent de 34.665 épisodes de séries télévisées donc des milliers de DVD ou des centaines de
clés USB, voire deux disques-durs externes complets : Via internet, c’est
infaisable sans qu’une alarme ne se déclenche.
Donc une
action individuelle, ou coordonnée, mais en interne.
Rocambolesque,
mais on a bien vu Hervé Fariani, l’informaticien de HSBC se tirer avec quelques
dizaines de DVD sous le bras jusque chez le juge en solex de la baie des
anges qui regroupaient tous les fichiers-clients de quelques milliers de
personnes et sociétés : Il en a dit qu’il avait « une mission »,
persuadé que son employeur trichait de façon éhontée en pleine crise des
subprimes…
– D’autant
qu’un « inconnu » a contacté, dès l’été 2015 diverses autorités
fiscales pour leur vendre ses fichiers.
On sait que
les allemands ont été preneurs et que ça s’est traduit par le paiement d’une
forte amende de la CommerzBank en octobre dernier. On parlait d’1,45 milliard
de dollars (1,37 milliard d'euros) en mars 2015 pour avoir violé plusieurs
embargos et de 17 millions d’euros infligés par le procureur de Cologne en
octobre 2015, après « qu'une enquête »
ait révélé que l'établissement permettait à ses clients de cacher de l'argent,
notamment via une filiale au Luxembourg.
Là, il s’agit
bien du même dossier panaméen.
Et puis sans doute lassé
de ne pas pouvoir revendre ses fichiers à d’autres pays contre monnaie sonnante
et trébuchante, notre bonhomme a lâché le tout gratuitement au Süddeutsche Zeitung, un
quotidien munichois politiquement au centre droit et résolument pro-OTAN, qui
cause de 11,5 millions de documents, 214.000 sociétés « fictives » et
de (seulement) 14.000 « clients » !
C’est
tellement énorme qu’il coopère avec le Guardian, la BBC, Le Monde, le
Consortium international des journalistes d’investigation et d’autres organes
de presse qui sont tous des partisans avérés de l’Establishment.
Mais avec
aucun situé aux USA : Curieux non ?
Et on va en
avoir pour plusieurs semaines de Une, jusqu’au 17 avril, nous promet-on…
Là, rien ne
vous étonne, vous ?
Parce que
faites juste une règle de trois de tête (ou avec la calculette-Windows) :
On nous balance à peine quelques 140 noms de « personnalités » et
même si on en attend, le double, 300, voire 1.000, c’est quoi par rapport au
13.000 autres qui vont très vite être oubliés ?
– Maintenant
il y aurait bien d’autres questions à se poser, issues de l’enchaînement
(puisque rien n’arrive jamais par hasard, hors les calamités naturelles) :
- Vol des données des « Panama papers » : Autour du début 2015.
- Vol des données des « Panama papers » : Autour du début 2015.
- Ventes de celles-ci aux autorités fédérales
allemandes (pour « certification » ?) : Fin du printemps
2015.
- Contact du Süddeutsche Zeitung : Juin 2015.
- Début des travaux des « journaleux » du Ciji :
Été 2015.
- Première question parlementaire relatives aux « Milliards
disparus de la Division Daguet » : 15 septembre 2015 (n° 88412,
Patrick Hetzel).
- Condamnation de la CommerzBank : 15 octobre 2015
(Validation des données…).
- Attentats de Paris : 13 novembre 2015 !
- Début de la campagne des primaires américaines : Hiver
2015.
- Attentat de Londres : 5 décembre 2015 (j’y étais
et tout le monde n’a parlé que de ceux « au couteau » du lendemain,
dans le métro).
- Retrait de « Jeb-Boubouche », l’héritier du
tonton républicain : Mi-février 2016 !
- Depuis, « Il-a-ri-Pine-Tonne »
n’a plus comme concurrent sérieux que « Trompe », républicain « de
pointe »…
- Mars 2016 : Début effective de la dernière ligne
droite de l’élection du Président de la République des gaulois, si nous avions
gardé le septennat…
- « Panama-Papers » : 3 avril 2016.
- Octobre 2016 :
Centenaire de la naissance de « Mythe-errant ».
Je vous l’ai
mis dans l’ordre en omettant sciemment les simagrées du Coréen du Nord et l’offensive
russe en Syrie, puis son retrait, même si ces deux-là sont visés directement par
les « Panama-papers » : Ce n’est pas dirimant et même presque
lamentable parce que ça n’apporte rien de plus que ce que tout le monde sait déjà.
C’est un peu
comme de lâcher le nom de « Caca-Zut-hack » après la bataille, voire
de JJ-Augier (comme nous le rappelait hier notre « Comtesse-au-pied-nu »
en commentaire, impatiente d’en savoir plus).
On nous aurait
balancé que « Ségololo » avait profité de son passage sur la muraille
de Chine pour ouvrir un compte offshore, ou encore que « Bling-bling »
en avait un aussi (ou mieux « Carlita », ou sa belle-famille, ce qui ne fait pas de doute, mais c'est plus discret que ça...), ça aurait été plus croustillant.
Mais même pas,
hors des « proches de Marinella-tchi-tchi », dont je rappelle que le « Paquebot
du Borgne de San-Cloud » a été vendu à des chinois sans que les militants
et cadres ne voient passer tous les sous que ça représentait…
Rien de
stupéfiant, en somme.
Et je vous
laisse « planer » comme je le fais, pour bâtir le scénario de mon
prochain « roman d’été ».
Parce que là, c’est
« du caviar » que j’en plane de bonheur, tellement tout s’articule à
merveille !
Et vous savez
quoi ?
Ça eu été la
même chose au moment de l’écriture « d’Opération
Juliette-Siéra » et de « Mains
Invisibles I » & II…
Pensez, l’actualité
qui se donne la peine de venir me donner un coup de main, à moi qui n’ai hélas
aucune imagination !
Bien sûr, nous
reviendrons sur les épisodes suivants des dites révélations : C’est même
pour ça que j’ai numéroté ce post « zéro ».
Parce qu’il va
y avoir un bal des faux-kuls assez splendide à venir.
Hier soir,
vous aurez eu la chance de suivre « TF 2 » qui consacre presque trois
heures d’antenne à cette affaire.
Moi, je la
verrais en streaming ce soir seulement : On en reparle ensuite !
Bien à toutes
et tous !
I-Cube
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