On change un peu de registre pour cette fois-ci.
Les ragots du port de Fontvieille au port Hercules,
collectés pour vous :
Donnez une mission à :
– Un fantassin : Il ne comprend pas, il exécute et
rend compte.
– Un cavalier : Il ne comprend pas, part au grand
galop et revient en criant, « tout
est perdu, mais l'honneur est sauf… ».
– Un sapeur : Il sourit, vous croyez qu'il a compris,
non il a trouvé des objections…
– Un aviateur : Il n'écoute pas et part dans sa voiture
de sport boire un gin au mess.
– Un officier d'État-Major : Dès qu'il ouvre la
bouche, foutez le camp !
– Un marin : … Il se démerde !
Un petit dicton marin :
« Quand le goéland
se gratte le gland, c'est qu'il ne fera pas beau temps.
Et
quand il s'gratte le cul, c'est qui f'ra pas beau non plus. »
Un sous-marin est amarré au port au port Hercule et le
grand public y a accès.
Bernard n'arrête pas de poser des questions au marin
responsable de la visite :
Et « c’est
quoi ça ? »
Et « comment
ça fonctionne ce machin ? », et ainsi de suite sans discontinuer…
Jusqu'au moment où la visite arrive dans la chambre
des torpilles du sous-marin.
Et comme depuis le début, Bernard a une question pour le
quartier-maître qui commence à le trouver assez fatiguant :
« – Dites
M'sieur, lorsque la torpille sort du sous-marin, comment se fait-il que l'eau
n'entre pas lorsque vous ouvrez la porte ? »
Et le marin de répondre calmement :
« – Et vous,
quand vous êtes dans votre bain et que vous pètez, est-ce que l'eau rentre ? »
Un pirate entre dans une taverne du port de Fontvieille.
Le tavernier lui demande : « Hé, qu'est ce qui est arrivé à ta jambe ? »
Le pirate répond qu'il attaquait un bateau lorsque que
sa jambe a été arrachée par un boulet de canon…
« T'as été
chanceux, ils t'ont mis une jambe de bois… Mais ta main, tu n'en as plus, c'est
un crochet ! »
Le pirate lui raconte que c'est en attaquant un autre
bateau, un des marins lui a coupé la main juste au poignet et on lui a mis un
crochet à la place…
« – Et ton
carré noir sur l'œil, c'est quoi ?
– Oh…
Ça… J'étais couché à la proue de mon bateau, il faisait beau, le temps était
calme et un oiseau m'a chié dans l'œil pendant que je regardais le ciel…
– Tu
charries, on ne perd pas un œil parce qu'un oiseau nous chie dessus !
– Je
sais… Je sais… Mais c'était ma première journée avec mon crochet… »
Un général et un amiral qui ne peuvent pas se blairer
se retrouvent ensemble chez le barbier de l'état-major chez qui ils se font
raser tous les matins.
Tous les deux ont fini d'être rasé en même temps et le
troufion qui rasait le général s'apprête à lui passer un peu d'après-rasage…
Mais le général s'écrie :
« PAS DE CE
MACHIN SUR MOI MALHEUREUX ! SINON MA FEMME VA CROIRE QUE JAI ÉTÉ CHEZ LES PUTES… ! »
Alors l'amiral se tourne vers son troufion-barbier et
lui dit :
« Vas-y, tu
peux m'en mettre à moi. Ma femme ne sait pas ce que ça sent une pute ! »
Sur le port de La Rochelle, une jeune femme, les
larmes aux yeux regarde les navires à quai.
« – Vous
aimez les bateaux à ce point-là ? » demande un marin.
« – Non je
n'y connais rien. Je rêve seulement de m'embarquer pour l'Amérique, mais je
n'ai pas d'argent…
– Écoutez, » fait le
marin, « ça pourrait s'arranger. Mon
bateau appareille ce soir pour New-York. Si vous voulez, je vous cache dans une
chaloupe, et je vous apporte à manger tous les soirs. Seulement en échange, il
faudra être gentille et me faire des gros câlins.
– D'accord, » dit la
jeune femme enthousiaste.
Le marin la cache au fond d'une chaloupe, lui apporte
chaque nuit de la nourriture, et chaque nuit, elle le paye en nature.
Au bout de 5 jours, le commandant entend du bruit en
provenance de la chaloupe, et finit par découvrir la jeune fille.
« – Je vous
en supplie », dit-elle, « ne
me dénoncez pas aux autorités américaines, laissez-moi débarquer à New-York !
– Qu'est-ce
que c'est que cette histoire de New-York ? » fait le commandant.
« Vous êtes
sur le bac de l'île de Ré… »
Garde à vue à la PJ, salle des interrogatoires :
« Tu vas
avouer salopard ! »
Le type est assis sur une chaise au milieu de la pièce
avec les lampes allumées en plein dans la tronche depuis 12 heures.
Il est impassible.
Tous transpirent sauf lui.
Le patron, The commissaire, en a plein les pompes :
« Bon les
gars, je vais aller faire dormir les yeux…
Tâchez
de le faire avouer…
Employez
les grands moyens…
Balancez-lui
les watts plein la gueule…
Il me
faut ses aveux demain matin. »
Le lendemain, le patron, The Commissaire, entre dans
la salle :
« – Alors
les gars… Il a avoué ?
– Ben
patron… tout ce qu'il a avoué, c'est qu'il a été 10 ans gardien de phare ! »
Un petit dicton des quais :
« Peu
importe le cap, du moment qu'il y ait un port devant, et peu importe le port du
moment qu'il y ait une femme dedans ! »
C'est Robert et Bernard, totalement pleins comme des
outres qui sont à l'arrêt du bus, cramponnés au poteau.
Le bus arrive, nos deux compères se hissent péniblement
à l'intérieur du véhicule.
À l'intérieur se trouvent trois matelots et un aspi
qui les regardent d'un air amusé.
Le premier de nos deux buveurs s'adresse à son copain
avec un air paniqué :
« Hé,
Bernard ! Descend vite, on en tient une trop sévère : On s'est
planté, on est monté sur un bateau de guerre ! »
« Dans la
Marine on salue tout ce qui bouge… et on repeint le reste ! »
Deux vieux potes se retrouvent après de longues
années.
Après quelques échanges le premier dit à l'autre :
« Et alors,
tu fais quoi comme métier maintenant ? »
Et l'autre répond :
« Eh bien
moi, je travaille dans la mode, la haute couture, tu vois j'habille les
mannequins … J'emballe les filles quoi !
Et toi
? »
Alors l'autre répond :
« Eh bien
moi c'est presque pareil, tu vois, je suis poissonnier et j'emballe les thons ».
« – Qu'est-ce
qu'un marin bigame ?
– Un
marin qui a deux femmes dans chaque port. »
Quelle est la différence entre un boucher et un marin
?
« Le marin
voit les côtes avant le port et le boucher voit le porc avant les côtes… »
« Quelle
est la différence entre un macho et un pêcheur ?
Avez-vous
déjà vu un macho se vanter d'en avoir pris une grosse ? »
C’est deux Belges qui partent à la pêche en barque.
Pendant la partie de pêche, le premier dit :
« – Cet
endroit regorge de poissons ! On devrait faire une croix dans le fond de la
barque pour marquer le coin ! Comme ça la prochaine fois on revient au même
endroit !
– Tu es
bête où quoi ? On n’aura peut-être pas la même barque la prochaine fois ! »
C'était samedi. Robert venait de passer toute
l'après-midi au bord de la rivière, sous le soleil de plomb, et tout ça pour
rentrer bredouille : Pas un seul poisson n'avait mordu à l'hameçon !
Robert, qui n'a pas l'habitude de rentrer à la maison
sans rien, s'arrête au supermarché pour prendre 4 truites.
Il demande au poissonnier :
« – Prenez-en
quatre grosses, et donnez les moi sans les emballer ni les vider !
– Et
pourquoi ne voulez-vous pas que je vous les prépare ni d'emballage ?
– Parce
que je veux que ma femme croie que c'est moi qui les ai pêchées …
– Ah
d'accord … Mais dans ce cas, je vous suggère de prendre plutôt des gardons.
– Ah
bon ! Et pourquoi ?
– Parce
que votre femme est passée tout à l'heure, et elle m'a dit de vous conseiller
ça si vous passiez par ici : Ce soir elle veut faire de la friture. »
Robert se fait intercepter par un garde-pêche.
Son bac à poissons est rempli à pleine capacité.
Le garde-pêche demande :
« – Avez-vous
un permis pour tous ces poissons ?
– Non
monsieur, ce sont mes poissons domestiques.
– Des poissons
domestiques ?
– Oui, chaque
soir, j'amène mes poissons ici sur le lac, je les laisse nager un bout de temps
librement dans le lac, et lorsque je siffle, ils reviennent tous et sautent
dans le bateau. Je les ramène alors à la maison !
– Mais
c'est ridicule cette histoire, c'est un mensonge pur et simple !
– Non,
pas du tout, je vais vous montrer, ça fonctionne vraiment !
– Ok,
je dois voir ça … »
Robert prend alors son bac à poissons, le vide à
l'eau, et attend debout.
Après quelques minutes, le garde-pêche demande :
« – Alors ?
– Alors
quoi ?
– Quand
allez-vous les faire revenir ?
– Faire
revenir qui ?
– Ben …
vos poissons !
– Quels
poissons ? »
« Pourquoi
les marins se marient-ils ?
C'est
pour avoir une belle mer ».
C'est Mario qui rentre de sa journée de pêche en mer.
Il arrive au Bar de la Marine et commence à raconter
la lutte acharnée qu'il vient de mener avec un poisson d'au moins 30 kilos.
Bernard le prend par la manche pour l'interrompre et
il lui dit :
« – Vé,
arrête un peu tes cagades. Je l'ai vu ta sardine : C'est à peine si elle
fait ses cinq kilos…
– Hé bé
oui ... C'est pas étonnant qu'il ait perdu 25 kilos, ce poisson, après les
trois heures de lutte qu'il a mené contre moi… »
« Qui trop
écoute la météo, fini la journée au bistrot. »
« Capitaine
bourré, bateau à quai. »
« Un homme
qui est heureux sur une petite barque est infiniment plus malin que celui qui
se désespère sur son gros voilier. »
« C'est pas
un mal de mer qui va guérir un autre mal de vivre. »
Petite devinette :« Deux
chèvres, Baba et Babi se trouvent sur un bateau.
L’une
d'elle, Baba tombe à l'eau.
Que se
passe-t-il ? »
« Babi bêle
et baba cool ! »
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
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