Une
semaine fabuleuse !
Vous habitez la « Gauloisie du déjantage » ? Mais quelle
chance vous avez !
Pensez donc : On y a tellement l’habitude de découvrir des ministres
qui jouent aux ripoux (avec assez d’amateurisme pour se faire piquer), d’autres
taper dans la caisse (noire des pôv’-flics comme « Gué-An »),
quelques-uns de culbuter des minettes à en passer pour des « chimpanzé en
rut » (Déesse-Khâ), ou bien se faire fumer « le gland » par
plusieurs à la fois (et en intermittence), avec des sur « le retour» et d’autres, justement intermittente du spectacle, toute jeunettes et encore un peu fraîche (le
« Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois » sur son scooter), quand ce n’était pas
« Bling-bling » qui découchait avec la pouliche d’autrui, voire encore
d’autres d’ouvrir leurs fesses à n’importe qui tel qu’il faille des tests ADN
judiciaires pour finalement savoir qui est le père fécondant (Rachi-dada-mimi), voire
certains de se casser en Helvétie avec le fruit de leurs rapines sous le bras
(Caca-zut-hack), que j’en passe et forcément des meilleurs (notamment
« Mac-Rond » qui reste fidèle à sa prof de gaulois, son aînée de
presque plusieurs décennies), qu’on est tout étonné quand un autre
« claque le string » d’un kul-dénudé qui se présente gracieusement à
portée de main !
Un peu de décence quoi : On demande poliment la permission avant, non
mais !
On reste dans le pays de la galanterie gauloise, vantée depuis des lustres par tous les littérateurs du monde entier.
On reste dans le pays de la galanterie gauloise, vantée depuis des lustres par tous les littérateurs du monde entier.
À croire qu’ils sont tous devenus des gougnafiers !
D’ailleurs, ça a fait scandale !
C’est vrai, quoi : Depuis quand sous prétexte qu’on est une
journaliste, on se balade avec un jean « taille-basse », à en exhiber ses fesses dans les
sommets internationaux ?
Même nos « hôtesse-de-l’air » mettront le foulard pour servir
les passagers à destination de pays musulmans : Un peu de décence, s’il
vous plaît !
Mais ce n’est pas tout !
Le « bon goût-près de chez vous » nous avait fait marrer en
« socialie » et mai 2014 : Nous avions eu droit à une « journée
de la jupe », cautionnée par l’académie de Nantes.
À l’invitation du conseil académique à la vie lycéenne, il s’agissait de
proposer aux filles et garçons, élèves et adultes, de porter une jupe afin de
manifester contre les discriminations, et notamment le sexisme.
Une affiche, portant le label du ministère de l’Éducation nationale, avait
même été réalisée, avec pour slogans « Ce
que soulève la jupe » (c’est quand même mieux que de passer sous les
soutanes), « Vendredi 16 mai 2014,
femmes, hommes, portons l’égalité ! ».
L’égalité va se nicher en des endroits parfois inattendus…
Passons !
Eh bien, après la jupe pour tous, nos futures élites, élèves de Science-Pô,
dans un grand élan de soumission, nous ont offert cette semaine-là une journée du
voile pour tous, baptisé « Hijab Day ».
On se demande, du reste, pourquoi l’on ne pourrait pas coupler ces deux
journées-là, que ça aurait eu de la gueule !
De grands dadais pubères, coiffés d’un voile et affublés d’une jupette, tous
en string « taille-basse » et mettant en valeur leurs pattes velues,
nous aurait donné une belle image de la jeunesse de ce pays (que j’aime tant),
bien « post-moderne ».
Cela dit, la journée de la jupette ne semblait pas du goût de tout le
monde : On sait que dans certaines banlieues, il n’est pas recommandé de
charrier avec ça.
Ainsi, vendredi 22 avril, Le Parisien révélait qu’une jeune fille avait
récemment été rouée de coups à Gennevilliers par un groupe d’adolescentes qui
lui reprochaient de porter une jupe (même pas « mini »).
Et dans le cadre de la « novlangue » de la pensée unique, le
quotidien s’empressait de préciser que « selon
les premiers éléments de l’enquête, l’agression n’aurait pas un fond religieux
».
Étonnant, tout de même, qu’aujourd’hui l’on soit obligé d’apporter ce
genre de précision, ne trouvez-vous pas ?…
Nous eûmes autrefois le complot de la Cagoule. Serait-ce aujourd’hui celui
de la Culotte ?
Ou celui de la « jupette » ?
Décidément, la fête du slip bat son plein dans ce pays-là !
Mais ce n’est pas tout.
La « patrie des droits de l’homme » a réformé sa loi
électorale dans le silence des maladies honteuses : Les candidats à
l’élection présidentielle auront dorénavant deux semaines d’égalité de temps de
parole au lieu de cinq.
Avant cette période, c’est « chacun pour sa gueule » dans une
« équité » garantie par le CSA selon des critères... disons opportuns.
Au moins, ils deviendront un peu plus inaudible à faire moins d’ombre aux
leaders des « grands-partis » : Pas touche à ma
chasse-gardée !
Ceux-là n’admettent même plus qu’on puisse leur faire l’ombre et ils ont
tous été d’accord pour voter la mesure… au nom de la démocratie qu’ils
représentent.
« … Hors des campagnes
électorales, ce sont les partis et les idées dominantes qui monopolisent
l’attention politique dans les médias. Les courants et les idées minoritaires
ne disposaient d’une tribune que dans le laps de temps très court de la
campagne : 5 semaines sur les 260 d’un quinquennat » en dit un prof de
« science-pô-voilé ». Désormais, ce ne sera que 2 !
Seul « Du-pont-gnan-gnan » s’indigne : « Derrière cette réforme, c’est la suppression du premier tour de
l’élection. Les débats à la télévision seront organisés uniquement entre les
candidats du second tour supposé. »
De plus et désormais, les noms des élus parrainant un candidat seront tous
publiés « au fur et à mesure de leur
réception, au moins deux fois par semaine ».
« Cette nouvelle règle gênera
peut-être les petites formations. J’en doute tout de même. Mais il est normal
qu’une personne qui exerce un mandat rende des comptes. »
Va y avoir de moins en moins de chance de voir des
« candidats-Hare-Krishna »…
Les bureaux de vote continueront à fermer à 20 h dans les grandes villes.
Par contre, pour les autres, l’heure de fermeture est repoussée de 18 à 19 h.
L’objectif avoué des députés est de mettre fin aux estimations à la sortie des
urnes.
Une pratique interdite en « Gauloisie-libérale-avancée », mais
qui faisait tout le sel de tous les médias étrangers les soirs d’élections
gauloises.
« Je ne pense pas que cette mesure
ait un impact particulier. En 2002, les Guignols sur Canal + avaient annoncé
que Jean-Marie Le Pen serait au deuxième tour dès 19 h 45. Cela n’avait pas eu
d’effets ».
Enfin bref, une fois de plus, on ne s’est pas interdit de tordre le cou encore
un peu plus aux lois organiques relatives aux élections, avant et pas après,
lesdites élections.
Franchement, est-ce bien responsable ?
Mais il y a pire.
L’apartheid renaît de ses cendres sous les clochers « rince-doigt »,
figurez-vous !
Ce « camp (de « décoloniaux ») s’inscrit dans la tradition des luttes d’émancipations
décoloniales anti-capitalistes et d’éducation populaire. »
RDV du 25 au 28 août 1016, en camp d’été en Champagne-Ardenne, près de
Reims.
Mais si, la kapitale des sacres royaux de l’ancien régime, je vous le
dis.
Je suis allé voir ça via internet où on vous promet « des bus de toute la France s’y rendent pour
des tarifs débutant à 2 € l’aller. »
Tarif : 170 € tarif normal / Gratuit pour les moins de 6 ans !
Arf : Quelle rigolade !
« Ze veux aller à Disneyland ».
Sale gosse : « T’es bien le
fils de ton père, toi ! Tu iras chez les décoloniaux, ils sont plus
rigolos ! »
Hébergement pour 4 jours/3 nuits et pension complète.
« Q : Je ne subis pas le
racisme d’État à titre personnel, je souhaite m’inscrire, juste pour observer
sans participer, est-ce possible ?
NON ! (…)
Q : Je suis une personne
subissant le racisme d’État et je souhaite venir avec un.e ami.e/proche qui
n’est pas dans cette situation. Est-ce possible ?
NON ! (…)
Q : Je ne subis pas le
racisme d’État à titre personnel, mais des personnes très proches de moi
(partenaires/enfants/ami.e.s) le subissent, puis-je participer ?
NON ! (…) »
NON ! (…) »
VTFF (Va Te Faire Foutre) ! Faut être black, beur, jaune (ou
Corse), non-blanc de peau quoi, pour être accepté à l’entrée.
Je sens que ça va avoir un vif succès, cette affaire-là !
Parce que moi, quand je prends le soleil, je vire au bleu-cerise avant de
faire « pain-d’épice » cramé en fin d’été.
J’ai toujours cru qu’elles aimaient que je sente le
« sable-chaud », figurez-vous !
Des proches des « Indigènes de la République » réinvente donc l’apartheid
jusqu’à Reims et ont donc lancé un camp de… « formation à l’antiracisme »
réservé uniquement aux personnes souffrant du « racisme d’État ».
Euh… un exilé, ça peut faire ?
Une revendication de non-mixité de plus en plus présente dans les milieux
de gauche radicale !
« Cette dérive identitaire, qui
consiste à penser que certains critères de notre identité sont surdéterminants
est commune à l’extrême droite et à l’extrême-gauche, qui s’entretiennent dans
une surenchère. C’est le signe d’une déstructuration complète de la politique
», en dit un universitaire.
Quand je vous raconte que c’est blanc-bonnet et bonnet-blanc, jusque dans
le programme économique (et hors deux sujets : L’Europe et la migration)…
Un point de vue que partage le président de la LICRA qui s’est fendu d’un
billet sur son blog pour dénoncer « la non-mixité racisée » comme un « racisme qui ne dit pas son nom ».
Et il a raison, pour une fois.
Et il a raison, pour une fois.
« La logique folle et prétendument «
anti-système » qui préside à l’organisation de ce type d’événement (une allusion à l'organisation
de « Paroles non-blanches » à Paris VIII) est
exactement la même qui conduit les identitaires d’extrême droite à
l’affirmation d’une France « blanche » : les extrêmes, chacun à leur manière,
organisent le séparatisme et véhiculent la même logique d’apartheid. Sous
couvert d’antiracisme, notre pays risque de voir émerger des « Ku Klux Klan
inversés » où le seul critère qui vaille sera la couleur de peau. »
Pas moi qui vous le dis, mais le mek de la LICRA !
Une forme de surenchère mimétique qu’assument d’ailleurs les militants. « Vous savez, plus l’État et nos adversaires
se radicalisent, plus on se radicalise. », confiait ainsi Sihama Assbague dans Libé (ce torchon).
D’ailleurs, sur leur compte twitter, les organisateurs du « camp
d’été décolonial » utilise le hashtag #TeamGrandRemplacement, en référence
à la théorie des identitaires du « Grand remplacement », revendiquée et
assumée.
Conclusion, il existe bien aussi un racisme d’extrême gauche et anti-blanc, qui
bénéfice, lui, d’une étonnante bienveillance dans une partie de la gauche voire
au-delà.
Imaginons que l’extrême « droâte-racialiste » organise un
évènement réservé aux blancs de peau, même sans l’assumer ouvertement, ce camp
serait logiquement critiqué, vilipendé, dénoncé et sans doute interdit.
De fait, cette fois le propos va au-delà de la promotion théorique du
racialisme, puisque cette interdiction d’inscription pour les personnes blanches
de peau constitue un acte de discrimination raciale interdite par la loi !
Où sont les critiques ? Où sont les demandes d’interdiction ?
Et ce n’est pas tout…
La « Nuit debout » se radicaliserait de son côté (même s'ils n'ont rien dans la tête d'après « Bling-bling » : On va y revenir une prochaine fois, tellement il est à côté de la plaque). Pour faire
court, ces militants estiment que les Occidentaux sont ontologiquement des
oppresseurs, et ne conçoivent l’histoire du monde qu’en une succession de
rapports de domination. Le dominant étant, dès l’origine, l’homme blanc « cisgenre »
(c’est ainsi que les hétérosexuels sont désignés dans leur jargon).
Qu’ils en viennent même à interdire certaines plateformes de discussion de
« poulies-fendues » place de la République (et ailleurs) qui
s’adressent aux « femmes cisgenres et
transgenres noires/métisses africaines et afro-descendantes », bref à tous les
« kouillus-poilus » qui s’y présenteraient !
Un capharnaüm postmoderne idéologique qui se nourrit de toutes les
confusions contemporaines engendrées par les sociétés complexes, multiethniques
et multiculturelles ! Nous assistons à une véritable surenchère victimaire
et narcissique : Genre, comportement sexuel, ethnie…
Laquelle surenchère profite d’une impunité totale. Les propagandistes de
l’anti-Gauloisie peuvent tout dire : Ils ont pignon sur rue !
Et de plus, leur haine est niée au sommet de l’État.
En témoigne la campagne à 100 millions d’euros, financée par vos impôts,
qui ne fait jamais mention du racisme anti-blanc, vous livrant à la vindicte de
personnages revanchards.
Deux choses interpellent particulièrement dans ce phénomène. D’abord, la
prise en otage des gaulois noirs ultramarins, sommés de se solidariser à des
luttes qui leur sont profondément étrangères.
Ensuite, la collusion contre nature entre ces idéologies et l’islam
politique, pourtant à mille lieues de ces thèses, démontrant que nous sommes
proches d’une insurrection.
Ce sont les suites logiques d’une déliquescence complète de la pensée de
gôche traditionnelle.
La fin d’un règne trop rigolote pour ne pas s’esclaffer, au moins dans la
pensée, qui en dit long sur son côté absurde depuis l’origine.
L’absence dramatique de toute colonne vertébrale aux mouvements politiques
en « Gauloisie-de-gôche » laisse un vaste champ d’expériences
possibles, notamment à l’extrême-gôche qui ne sait plus où combattre « l'ordre-bourgeois honni », détesté, haïe, là où elles ont toujours été
bouillonnantes mais jusqu’à présent contenues par des appareils un minimum
outillés pour les canaliser.
Concrètement et de façon progressive, on assiste à un phénomène inquiétant
où les franges extrêmes du pays se radicalisent encore plus qu’elles ne
l’étaient déjà, et l’affichent de plus en plus ouvertement, quasiment prêtes à
en découdre, physiquement.
Et d’ici que ça se termine en émeutes et effusions de sang, y’a pas
loin : Un bilan formidablement rigolatoire pour « François
III ».
La non-réaction de l’État, ou, pire encore, sa réaction biaisée et asymétrique
n’augurent rien de bon pour l’avenir proche.
Franchement, cette fin de quinquennat est désespérante pour mon pays (celui que j'aime tant),
après les lois « renseignements », « Sécurité liberté » qui
ont précédé la loi « état d’urgence » en voie de renouvellement
(comme nous le pressentions) après un matraquage fiscal comme encore jamais
vu depuis la dernière année de « Bling-bling », c’est fabuleux de
toxicité pour l’avenir !
Et ne règle absolument aucun des problèmes du quotidien de chacun…
Bravo les « soces » !
Ils vont à la reconquête de l’opinion en rangs serrés à ce qu’on m’en a dit, derrière des statistiques opportunes du chômage en trompe-l'œil.
Bravo les « soces » !
Ils vont à la reconquête de l’opinion en rangs serrés à ce qu’on m’en a dit, derrière des statistiques opportunes du chômage en trompe-l'œil.
Ça ressemble plus au dernier carré de la garde à Waterloo.
Vraiment bon !
RépondreSupprimerOn marche vraiment sur la tête…
Cela ne peut jamais durer bien longtemps…
Bien à vous !...
Haddock
C'est sûr que même en s'aidant des mains, on finit par se casser la gueule ou le crâne, dans cette position-là !
RépondreSupprimerNotez que si c'est "nuit debout", comme ils n'ont rien dedans, ça ne salira même pas les trottoirs.
On y revient demain.
Quant à "Bling-bling", malgré une profession de foi (et un bouquin), il revient tout droit à ses travers d'origine : Pas assez fort le vaccin d'un quinquennat !
On y reviendra peut-être...
Bien à vous !
I-Cube