Démonstration
encore toute la semaine avant-dernière…
Et encore la semaine passée. Il y a maintenant plus de 10 ans, j’ouvrais mon premier blog (avec les
anciens de « l’ordre du Tartuffe ») et avais suggéré dans l’en-tête la
mention : le « bonheur des autres
avec le pognon des autres »…
Elle y est toujours.
Déjà, on nous bassinait clairement avec des « politiques » qui
tapaient dans la caisse, entre Urba et Cie, les commissions et
rétro-commissions qui pourrissaient notre démocratie, les délits d’initié, les
corruptions, les prises illégales d’intérêt, les trafics d’influence, les
favoritismes, les délits de concussion, etc.
Ils seraient plus de 400 à avoir eu des démêlés avec la justice…
Et c’est sans compter tous les autres, les plus malins qui ne se sont pas
faits piquer mais qu’on retrouvera peut-être dans le tout récent « Panama
Papers ».
Pour ma part, je n’ai pas le temps de compter et je n'ai pas appris
pour avoir été un « enfant de l’ékole-pue-plique ».
Plus tard, ils se sont emballés avec les financements occultes de partis
ou même de campagnes, tel qu’il a fallu inventer le « Bling-bling-au-thon »
pour sauver l’UMP (depuis rebaptisé « Les Républicains-Démocrates »,
l’excellente trouvaille, trouve-je pour ma part…), campagne de
« Bat-La-Mou » ou fonds de « Kad-A-Fui » ou non, où les 26
lignes téléphoniques de l’ex payées à vos frais !
On a eu les pompes à « Acqua-Mort-est-now », les phobies
administratives de « T’es-venu-d’où » et les comptes-Suisses du
ministre de la fraude-fiscale, le fameux « Caca-zut-Hack », un expert
en la matière !
Et les virées en scooteur du
« Capitaine-de-pédalo-à-fraise-des-bois » : On boxe dans la
catégorie que l’on peut…
Dans le tas, il ne faut pas oublier « Marinella-tchi-tchi » et
les magouilles de son « micro-parti », « Jeanne-d’Arc » au
détriment de ses propres militants, ces masochistes !
Il y en a d’autres, bien sûr, et je ne vous referai pas l’historique des
« Milliards disparus de la division
Daguet » (vous n’avez qu’à
acheter le bouquin).
Je vous passe aussi les détails de la gestion du président du perchoir
quand il était à la tête du « Neuf-Trois » et les prêts toxiques
qu’il a fait souscrire à son département…
Ce qui me fait justement penser à « Miss Iceberg », quand elle
était à la tête du Poitou-Charentes, déjà cocue mais aussi la « Cruchitude-absolue »,
devenue ministre des écolos et des relations-durables (il l’emmène
partout à travers le monde) du développement renouvelé…
J’ai lu, je ne sais plus où que comme elle ne voulait pas endetter sa
région en vue de sa brillante réélection, vu son « excellent-bilan »,
que son successeur en appelle justement non seulement à la Cour des comptes
régionale, mais en plus à un cabinet d’auditeurs pioché parmi les « Fat
fours », pas les moins chers, pour comprendre comment l’électeur a été
capable de payer des intérêts hors de prix, justement avec des prêts dits
« structurés » à 9,35 %, (quasi-usuraire à l’époque) dont encore un
de 20 millions qui restent à rembourser et engendre plus de 1,6 million d'euros de
remboursement de capital mais aussi … 781.000 euros d'intérêts par an, soit pas
loin de la moitié du capital.
J’ai cru comprendre qu’il y en aurait encore pour plus de 65 millions… et
finalement décider de payer des loyers de crédit-bail pour éviter d’alourdir le
passif comptable…
72 autres millions d'euros hors taxes, comme il est précisé dans une
délibération du 8 juillet 2011, la région opte pour une formule de crédit-bail.
La dette (en fait un peu plus de 70 millions d'euros) est donc sortie du
bilan – c'est la règle. Mais il faudra bien la payer, et cher : L'engagement «
hors bilan » de 2014 fait état d'une somme totale à payer (capital plus
intérêts) de près de 134 millions d'euros à échéances dispersées, soit près du
double de la somme initialement annoncée, et votée en 2010 !
Il est vrai que, chaque année, les redevances dues par la région pour les
dix rames s'alourdissent de près de 100.000 euros, et ce, pendant la durée du
contrat, soit 34 ans au total !
Notons que ce contrat s'ajoute à un précédent crédit-bail contracté en
2007 pour l'achat de 22 rames de TER (facture : 220 millions d'euros).
Cher, très cher crédit-bail...
Passons, passons : Ce n’est pas eux qui payent, mais les Picto-charentais,
alors elle peut tout se permettre.
Après tout, les « locaux », ils n’avaient qu’à pas faire confiance à
des manipulateurs !
Et sont tombés dans le panneau quelques artisans locaux : La facture
des impayés se monterait, selon Alain Rousset, à 132 millions d'euros pour
l'année 2015 !
« Cela va d'une note de 2.000 euros
pour un menuisier à 270.000 euros pour une entreprise de BTP », confie
un dirigeant de la Capeb, le syndicat des artisans qui lève le lièvre. « Deux mille euros pour une région, ce n'est
pas grand-chose, mais pour un menuisier seul qui doit payer son apprenti, c'est
un manque à gagner qui met en danger son entreprise. »
« Cette pratique dure depuis
des années, et elle s'est accélérée depuis trois ans environ. Mais les
entreprises n'osaient rien dire, de peur de perdre les marchés publics. »
La Capeb vise donc aussi la présidence de « Ségololo » : « Ces impayés, c'était une forme de cavalerie ».
« Venez à moi, les petits-enfants », bras ouverts de madone vêtue
de blanc immaculé, lançait-elle durant des mois en 2008…
Et on ne vous parle pas des ardoises cachées laissées dans son
sillage : Les participations de la région dans diverses entreprises du
cru, ainsi que les garanties d'emprunt qu'elle leur a apportées. Évalués à plus
de 93 millions d'euros, ces engagements sont sans doute légitimes. D'ores et
déjà, plusieurs de ces entreprises ont fermé, comme Eco & Mobilité,
Buroform ou Mia. Cette dernière société, issue d'Heuliez, a été tenue à bout de
bras par « Miss-iceberg » à coup de millions d'euros (12 au total) « pas
à elle ». Elle a mis la clé sous la porte il y a quelques mois. Adieu la
voiture électrique made in Poitou-Charentes dans laquelle les millions investis
sont définitivement perdus !
Et après, on s’étonnera que les tribunaux du cru n’imprime plus leurs
jugements, faute de budget pour acheter les ramettes de papier et l’encre des
imprimantes…
Mais c’est encore une autre affaire qui se recoupe seulement par les
montants en cause : 160 millions d’euros !…
Durant ses dix années de présidence, « Ségololo » n'a cessé de vanter le
« laboratoire » du
Poitou-Charentes : Un fiasco total !
C’est qu’on ne compte pas, quand ce n’est jamais avec ses sous mais avec « l’argent
de autres », dépensé pour le « bonheur des autres » qui se
termine en enfer…
Non, aujourd’hui je pense à ce « peine-à-jouir » de
« Xav’-Berre-trans », président de la nouvelle région
« Hauts-de-transe » élu grâce au retrait de la gôche : Il n’a
pour opposition que des frontistes, et il se permet un double salaire, parce
que vous comprenez, avec seulement un seul mandat, il a du mal à boucler ses
fins de mois !
C’est minable, après les envolées républicaines du « moi-je »,
moi-je ne cumulerai pas et d’ailleurs je démissionne de tout pour m’occuper
exclusivement de ma région !
Ah oui, mais le cumule des salaires, là, il ne peut pas s’en passer !
Magnifique…
Je ne sais pas moi, quand j’exerçais plusieurs mandats de gérant pour mon ex-patron,
plus d’une quinzaine en même temps, je n’ai jamais eu qu’un seul salaire,
puisque ces mandats et fonctions étaient attachés à ma qualité de salarié.
Et on se démerdait comme ça avec des « management-fees » entre
sociétés pour éviter d’avoir à être recalé au pénal pour abus de biens sociaux.
Idem pour nos administrateurs et leurs jetons de présence : Juste
dans la holding de tête !
Hors les tantièmes quand ils assuraient une mission spéciale dans les
filiales, parce qu’on ne peut pas faire autrement…
Bon, ça emmerdait tout le monde, de la comptable aux inspecteurs des
impôts en passant par le CAC qui faisait rapport sur tout ça et le consolideur
à qui j’expliquais et réexpliquais les maniements comptables et juridiques,
mais au moins, le proc’ il n’est jamais venu nous chatouiller…
Bé pas lui, et sans honte bue. Le tout pour 30 K€/an, figurez-vous…
62,4 K€/an, ça ne lui suffisait pas, il lui en fallait 48 % de plus !
Ah la vie d’un homme politique, je vous jure !
Des pingres, pisse-minables, qui trouvent cela « normal » :
C’est l’électeur qui régale, une fois de plus…
On a raison de dire que l’absence de sanction en démocratie, c’est déjà le
début de la tyrannie !
Et il y en a qui osent : Renoncer aux fonctions, mais pas aux « avantages-acquis »…
Et ce sont justement les mêmes, de ceux qui n’ont jamais créé ni une
activité pérenne, ni le moindre emploi avec leur propre chemise et leur
pantalon (et ne venez pas me parler de « De-La-Nuée », ex-maire des
parigots sur la Seine, soi-disant « éditeur-imprimeur », du temps où
il faisait sénateur « soce », pour son parti des … « soces »
avec les budgets « communication » du PS) qui viennent critiquer la
rémunération de Carlos Tavares, le boss exécutif de PSA !
Non mais je me marre là, tellement c’est trop drôle : Pensez donc,
là, c’est le client qui fait le choix de payer, alors que démocratiquement,
quand il s’agit de deniers publics, le payeur n’a pas de choix, ou seulement
une fois de temps en temps d’aller voter…
Un monde incompréhensible pour tous ces fats-là !
On
a déjà évoqué ce gars-là l'autre fois, qui arrive à la tête d’un
groupe au bord de la faillite, et, se retranchant derrière un « moralisme
des affaires » auxquels ils ne comprennent rien, même pas « Monte-et-bourre-la »,
ex-ministre du « dressement-reproductif » qui en a encloqué
« Filli-Péti » ils se permettent de lui faire la leçon : « Tout geste, toute attitude, qui s’éloigne
d’une forme d’exemplarité [et donnerait] le sentiment de ne pas être connecté à
la réalité que vivent les Français, est un mauvais signal, » en a dit
« Menuet-Valse », sur le ton sentencieux du type qui ne sait pas
qu’il est chef d’un gouvernement qui est actionnaire (vous encore) de la dite
« boutique » et qu’il participe comme d’autres aux décisions de son
Conseil d’Administration qui fixe effectivement à la fois les objectifs et la
rémunération, conditionnelle donc, du patron !
Quel niais !
Réplique : « Il faudrait que
les hommes politiques, au-delà des postures et des coups de menton, fassent
preuve d’un peu de réalisme pour comprendre les contraintes des entreprises
», avait témoigné le PDG d’Orange, dont l’État est aussi le premier actionnaire
et a réussi à faire capoter sa fusion avec « Bouy-Gue »…
Le niveau de rémunération n’a rien d’indécent dans l’univers mondial de
l’automobile – les patrons de Fiat-Chrysler et Volkswagen gagnent
respectivement deux et trois fois plus que lui.
Surtout, l’État est parfaitement hypocrite sur le sujet : Car s’il est
vrai que ses représentants votent systématiquement contre des rémunérations qui
se montent en millions d’euros dans les conseils d’administration où ils sont présents, c’est sans jamais démissionner pour autant. Encore une « posture ».
Carlos Ghosn, dont les émoluments confortables (7,25 millions de
rémunération en 2015 chez Renault, sans compter Nissan : Il cumule, lui)
ont fait l’objet plusieurs fois d’un vote négatif des représentants de l’État
au conseil d’administration depuis l’arrivée des soces au pouvoir, a ainsi reçu
à chaque fois, par un autre canal, un tout autre message, du style : « Ne voyez dans ce vote aucun acte hostile,
mais comprenez notre position face à l’opinion… » Quel courage, mais quel
courage quand il s’agit de l’argent du client !
Et puis c’est bon pour le fisc et sa cascade d’impôts, ISF compris, et les
régimes sociaux qui font le plein…
Sans compter les dividendes à en attendre pour les actionnaires… même
publics !
Après 5 ans de perte, sortir des résultats qui font bondir la
capitalisation du constructeur, début 2014, par au moins deux, ce n’est pas
rien : Une bonne affaire pour tout le monde et tout le monde devrait
applaudir, y compris les « syndicaleux » à qui on a ainsi sauvé la
mise et les salariés, primes, participation et intéressement en sus !
Pensez : Bénéfice net après impôts de 1,9 milliard d’euros, ventes en
hausse de près de 6 %, marge opérationnelle de 5 % du chiffre d’affaires – du
jamais vu depuis 2002…
Louis Gallois assume, lui : « Beaucoup
plus rapide qu’escompté », le redressement est dû « largement à l’action de Carlos Tavares, et il est tout à fait normal
que sa rémunération en bénéficie » histoire de le motiver encore, a tenu à souligner le président du
conseil de surveillance de Peugeot-Citroën. Il sait que « le marché international des dirigeants existe », et que si « vous proposez une rémunération divisée par
deux, vous auriez un problème pour recruter des patrons d’entreprise ».
Notez qu’ils ne sont pas les seuls à faire les guignols pour amuser la
galerie, nos « princes-smicard » de la politique, car on peut revenir
maintenant à la guerre du Golfe !
Si les vétérans ont réussi à mobiliser quelques députés et qu’on va finir
par retrouver quelques bribes des « financements manquants », pas les
milliards disparus, bien sûr, y’en a d’autres qui se sont assis sur leurs
obligations éthiques.
En août 1990, alors que les chars de Saddam Hussein sillonnaient les
avenues vides de Koweït-City, le gouvernement de « Michou-Roro-Card »
décidait le gel des avoirs irakiens, conformément à la résolution prise par les
Nations unies.
Des enquêtes sur des mouvements suspects, en marge des questionnements de
députés, ayant affecté ces capitaux, commandées par le ministre de l'Économie
et des Finances, se sont achevées ces dernières semaines et concluraient à des
infractions.
Quelles infractions ? Trois grandes banques de la place auraient
discrètement saisi l'an dernier plusieurs centaines de millions de francs
d'avoirs appartenant à des banques irakiennes et gelés chez elles, pour solder
d'autres comptes débiteurs de ces mêmes clients irakiens, dont elles supportaient
la charge depuis août 1990 !
Autrement dit, elles ont bouché un trou avec leur argent irakien, pour
diminuer leur exposition nette sur l'Irak. Des opérations de compensation
classiques et normales, expliquent ces banques, comme du temps de « Nanar Tapis ».
Mais le ministère des Finances les juge anormales. Et pour trois raisons.
Elles ont été effectuées sans demander l'autorisation du Trésor, seul juge de
l'application du gel des avoirs irakiens – dont le montant est classé secret
d'État.
(Je surligne à l’adresse que quelques correspondants, dont notre « Ami-Râle » et ses
compères, parce qu’il y a donc encore des « choses à cacher » en
matière de « pognon des autres »).
Elles seraient contraires aux règles édictées par le ministère des
Finances, ne permettant des mouvements qu'entre des comptes irakiens d'une même
nature et d'une même personne (la simple application du code civil). En
l'occurrence, les banques auraient pompé sur des comptes de provisions pour
crédits documentaires afin de remplir des comptes à vue dans le rouge. Enfin,
en agissant de la sorte, les banques se seraient comportées en créanciers
privilégiés de l'Irak, se servant en premier dans les avoirs, alors même que
d'autres créanciers de Bagdad doivent supporter qu'on ne leur paie pas leur dû…
Alors, une volonté de dissimulation ou de protection des actifs irakiens,
afin d'éviter que d'autres créanciers de de ce pays ne mettent la main sur ce
pactole ? Depuis 1989, l'Irak doit environ 40 milliards de francs aux
gaulois…
Une dette qui a peu de chances d’être remboursée malgré les efforts de la
CINU de Genève.
Une seule entreprise Gauloise, Dumez, a obtenu à ce jour une décision de
tribunal lui reconnaissant le droit de recouvrer son dû.
Avant la guerre du Golfe, le groupe de BTP avait, à Bagdad, fait condamner
l'État irakien à lui payer une facture de 22,9 millions de dollars, pour des
travaux réalisés en 1987. Le 9 octobre 1991, le tribunal de grande instance de
Nanterre confirmait la validité de la créance. Immédiatement, le ministère des
Finances autorisait Dumez à procéder à une saisie-arrêt sur des avoirs irakiens
gelés.
« Encore fallait-il les trouver
! Nous sommes partis à la pêche ! », explique-t-on chez Dumez.
Depuis le début de 1992, le groupe envoie des huissiers frapper aux portes des
banques, avec copie du jugement.
Certains établissements, dont la BNP et la Société générale, ont refusé
d'ouvrir, contestant juridiquement la saisie-arrêt. Il a fallu plusieurs
décisions du tribunal de grande instance de Paris (en août et en décembre 1992)
pour casser cette argumentation bancaire.
Ces contentieux entre créanciers sont de deux natures. Les premiers sont
liés aux 25 milliards de francs prêtés par des banques gauloises pour financer
des grands contrats – civils ou militaires – en Irak avec la bénédiction de l'État,
via la Coface. La Compagnie gauloise d'assurances pour le commerce extérieur
avait garanti ces contrats à hauteur de 90 %. Dès la fin de 1989, face à des
Irakiens mauvais payeurs, la Coface a enregistré les sinistres et remboursé les
banques, qui devaient assumer 5 % du risque. Tandis qu'une vingtaine
d'entreprises bénéficiaires de contrats se voyaient contraintes d'éponger les 5
% restants, en application des clauses de la Coface.
Ces exportateurs ont toujours protesté contre cette ponction étatique de
plusieurs centaines de millions de francs. « On nous plume pour sauver les ardoises bancaires », proteste
l'un d'eux.
Des banques se sont-elles servies dans des comptes irakiens, en attendant
l'issue juridique de ce bras de fer ?
La colère des entreprises est d'autant plus vive que certaines avaient
pris des risques supplémentaires de plusieurs milliards de francs – une
quinzaine au total – sur l'Irak, et ce juste avant le début de la guerre du
Golfe.
Faute de couverture de la Coface – alors très réticente –, ces
exportateurs avaient discrètement offert leur propre garantie aux banques pour
qu'elles fassent crédit à l'Irak. Les commandes affluaient, ils ne doutaient
pas des règlements irakiens…, se souvient un observateur.
Ce jeu dangereux aurait coûté plusieurs centaines de millions de francs à
l'Aérospatiale et à Interagra. Car, dès que les sinistres se sont déclarés, les
banques ont appelé les entreprises en garantie. Non sans se heurter à quelques
résistances. Ce qui pourrait expliquer les tentatives bancaires de recouvrement
sur le magot irakien en « Gauloisie-de-la-carambouille ».
Décidément, où qu’on se tourne, on ne peut que constater que nous vivons
dans un monde où les rapports avec l’argent restent … « nerveux ».
Enfin… euh… avec « l’argent des autres » seulement !
Parce que quand il s’agit du sien propre, là, on ne rigole plus du tout,
jusqu’à en faire hold-up pour le récupérer…
Et on retiendra surtout que « l’argent des autres », des
« électeurs-kon-tribuables » les rend tous dingues, sans retenue
aucune.
Et ce depuis que je suis né…
Drôle d’époque, finalement.
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