Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 1 mai 2018

Vous bossez aujourd’hui ?


Moi, non…

D’ailleurs, ça fait plusieurs jours que je suis « en vacances » (vous vous n’êtes rendu compte de rien, n’est-ce pas ?) à « flotter » probablement par « temps passable » (de ce qu’en prévoyait la météo marine, qui reste quand même une des plus sûre avec celle des tours de contrôle aérienne).
Du coup, je profite de ce break pour reprendre un vieux post (du 16 septembre 2008) auquel je fais parfois allusion sur ce blog-ci : L’arbitrage « Tapis » !
On a les rancunes que l’on peut.

Les 45 millions d'euros qui me sont restés en travers de la gorge...

La réforme à 29,5 milliards

Si « Nanar » devait vivre centenaire (ce que je lui souhaite, naturellement, pour mieux le voir vieillir et devenir sénile), il aurait reçu 1.232 euros tous les jours de sa vie pour le prix de son « honneur », de son « préjudice moral ».
8.081 ex-francs Pinay par jour. 1.000 balles et quelques par heure ouvrée, depuis sa naissance !

L’homme qui valait 29,5 milliards (d’anciens francs) ! Payés sur fonds publics, par l’impôt…
Presque 10 fois plus fort que la série télévisuelle débile de « l’homme bionique », celle qui annonçait déjà il y a quelques décennies les « AGM » (Athlètes Génétiquement Modifiés) qu’on nous promet pour les olympiades de Londres dans 4 ans !

Vous connaissez déjà mes propositions de réformes de l’Institution judiciaire de mon pays, le jour où j’en serai le Président.
Il ne s’agit pas que de réformer une fois de plus le Code pénal, ni celui de la procédure pénale. Je n’y vois a priori aucun inconvénient, sauf que j’estime qu’un rythme de 5 ans par réforme, c’est beaucoup pour un « droit naturel » pluriséculaire qu’est celui de protéger la sureté des personnes, en marge de la protection de la première des libertés publiques, celle de vivre sans être agressé.

Tout juste, sur le plan pénal, si c’était possible (mais je ne sais pas encore comment), un délinquant, un criminel, reconnu coupable des faits délictueux ou criminels qui lui sont reprochés, il a à purger sa peine derrière les barreaux, jusqu’au bout et sans remise, sauf exception… exceptionnelle (et non pas comme d’une habitude devenue… habituelle), puis il va se faire pendre ailleurs à la première récidive (et après peine re-purgée).
C'est valable pour tout le monde, mais seulement pour les adultes (car foutre en taule des gamins tueurs de bébé du haut des remparts de Bonifacio, c’est du ridicule le plus torride, d’autant que même dans le centre de rétention ouvert de Belgodère, ils n’ont pas reçu, dans un premier temps, le droit de rencontrer leurs parents : On ne punit sûrement pas l’imbécilité mortelle, même sur les routes, par le ridicule…).

Vous savez déjà, lecteurs assidus, que le pilier des réformes que j’engagerai est de fusionner les deux ordres de justice, l’ordre judiciaire et l’ordre administratif, en un seul.
Cette dichotomie ancestrale, si elle pouvait – à peine – se justifier il y a deux siècles, n’a plus lieu d’être, que s’en est devenue une de ces « exceptions culturelles » que le monde entier nous envie… pas du tout !

Mais je m’attacherai aussi à rendre indépendant le pouvoir régalien de justice : On élit bien nos députés, indirectement notre gouvernement qui en est issu et nos sénateurs qui font les lois, que le pouvoir exécutif s’attèle à appliquer (sinon à télécommander), comme dans tout régime « présidentiel » et encore plus dans un régime « présidentialiste » tel qu’on le vit actuellement.
Il en va autant pour nos maires, nos conseillers généraux et régionaux, tout autant que nos représentants au Parlement Européen, tous ces gens chargés de gérer la chose commune avec le pognon piqué à chacun. Et de nos représentants du personnel !
Pourquoi ne pas élire les patrons de nos juridictions ?
Entourés de conseillers élus eux aussi ?
Oh, non pas pour rendre des décisions de justice, naturellement : il faut un certain « professionnalisme » particulièrement bienvenu pour se faire correctement.
Mais pour garantir l’indépendance des juges qui y bossent, tout simplement.

Parmi les décisions « techniques », il sera une loi, qui n’aura pas de numéro mais un nom, comme pour mieux passer dans l’Histoire avec un « grand H », l’infamie de la « République des coquins » : La loi « Tapie ».

Tous les articles du Code civil, du Code douanier, du Code des impôts, du Code de la Sécurité social, du Code rural et forestier, du Code de commerce, du Code du travail et des divers codes de procédures, s’ils restent z’ouverts aux procédures « d’amiable composition », d’arbitrage et autres « clauses compromissoires », ou transactionnelles exigeront que les décisions de « médiation », d’arbitrage, de compromission, de transactions devront désormais être validés par un juge pour avoir une quelconque valeur juridique exécutable obligeant les parties, quelles qu’elles soient, quel que soit leur objet, leur nature.
Un peu comme si le Code civil ne reconnaît jamais les dettes de jeu…
Ce qui ne gêne personne, jusque-là, même pas les fifrelins !
Exactement comme dans une procédure de divorce amiable, dans celle d’un licenciement, dans la fixation d’un loyer, d’une pension, etc.

C'est ce qui a manqué dans l’affaire « Tapie ».
Je ne conteste pas une décision de justice passée en force de chose jugée (il ne me viendrait même pas à l’esprit de le faire) même si pour certain il s’agit d’une décision de « justice privée », car s’en est une « vraie », par assimilation légale ;
Je ne conteste même pas la quotité d’un préjudice matériel (je n’ai pas le dossier en main, et cette décision en vaut une autre) ;
Je ne conteste même pas le principe de l’indemnisation des « larmes et des pleurs » : On indemnise, certes nettement plus faiblement, la perte d’un être cher pour cause d’accident ou de crime (j’ai dû recevoir 5 francs, même pas un euro, d'indemnisation « morale » suite à l’assassinat de l’auteur de mes jours : Je les ai refilés aux œuvres de la police au guichet de mon commissariat local, un peu surpris !
La vie de mon père ne valait évidemment pas l'aumône que la République lui faisait ainsi à titre posthume !).
À raison de 150 K€ le préjudice causé par la perte d’un être cher (genre les victimes d’attentat télécommandé depuis la Libye), le seul « Honneur de Nanar » vaut le prix de 300 personnes déchiquetées en plein vol !

Je n’adhère pas (c’est ma liberté de citoyen) à la décision d’enterrer le dossier « Tapie/CDR » au motif suranné des coûts d’avocats et de procédure à assumer par la phynance publique, par défaut de motivation surannée.
Décision éminemment « hors du bon sens », décision de coquins !
Mais cette contestation personnelle, voire collective, ne peut pas être reçu devant l’Ordre administratif. Elle l’aurait été devant la Cour de Cassation, soit à travers la constitution d’une association de citoyens pour la défense des intérêts de la République, soit à travers la « Class Action » toute neuve.
Après tout, tout cet argent m’appartient (quoique je ne paye plus grand-chose et j’ai bien raison), au moins autant qu’à vous (qui continuez de « payer » l’homme qui valait « 30 milliards ») !

Avec ma proposition, un juge sera forcément requis pour valider la décision du tribunal arbitral. Sa décision pourra être prise aux vues des éléments de procédure et de fait qui justifie du bien-fondé de la décision arbitrale et de plus, pourra être contestée par appel et cassation éventuelle.
Les associations de citoyens pourront, en tout cas dans le cas d’espèce puisque ça concerne avant tout l’impôt de tous, émettre un avis sollicité.

« Loi Tapie » !
Ce sera son nom, le nom de l’infamie, le nom de la « République des coquins » : elle aura déjà coûté près de 300 milliards !
Pourvu qu’elle ne coûte pas plus…

Un post qui n’aura pas trop vieilli : Pas tout-à-fait dix ans après, la justice de mon pays aura pu décider de faire « rendre gorge » à l’impudent, par un biais procédural qui était alors inimaginable…
Quand on refera les livres d’Histoire, il y aura tellement à dire sur tout ce qui vous aura été occulté.

Allez, bonne « manif’-unitaire » à toutes et tous : Il y aura d’autres « reprises » plus tard.

I3

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