Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 27 avril 2016

Les guignols…


Une semaine fabuleuse !

Vous habitez la « Gauloisie du déjantage » ? Mais quelle chance vous avez !
Pensez donc : On y a tellement l’habitude de découvrir des ministres qui jouent aux ripoux (avec assez d’amateurisme pour se faire piquer), d’autres taper dans la caisse (noire des pôv’-flics comme « Gué-An »), quelques-uns de culbuter des minettes à en passer pour des « chimpanzé en rut » (Déesse-Khâ), ou bien se faire fumer « le gland » par plusieurs à la fois (et en intermittence), avec des sur « le retour» et d’autres, justement intermittente du spectacle, toute jeunettes et encore un peu fraîche (le « Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois » sur son scooter), quand ce n’était pas « Bling-bling » qui découchait avec la pouliche d’autrui, voire encore d’autres d’ouvrir leurs fesses à n’importe qui tel qu’il faille des tests ADN judiciaires pour finalement savoir qui est le père fécondant (Rachi-dada-mimi), voire certains de se casser en Helvétie avec le fruit de leurs rapines sous le bras (Caca-zut-hack), que j’en passe et forcément des meilleurs (notamment « Mac-Rond » qui reste fidèle à sa prof de gaulois, son aînée de presque plusieurs décennies), qu’on est tout étonné quand un autre « claque le string » d’un kul-dénudé qui se présente gracieusement à portée de main !

Un peu de décence quoi : On demande poliment la permission avant, non mais !
On reste dans le pays de la galanterie gauloise, vantée depuis des lustres par tous les littérateurs du monde entier.
À croire qu’ils sont tous devenus des gougnafiers !
D’ailleurs, ça a fait scandale !
C’est vrai, quoi : Depuis quand sous prétexte qu’on est une journaliste, on se balade avec un jean « taille-basse », à en exhiber ses fesses dans les sommets internationaux ?
Même nos « hôtesse-de-l’air » mettront le foulard pour servir les passagers à destination de pays musulmans : Un peu de décence, s’il vous plaît !
Mais ce n’est pas tout !

Le « bon goût-près de chez vous » nous avait fait marrer en « socialie » et mai 2014 : Nous avions eu droit à une « journée de la jupe », cautionnée par l’académie de Nantes.
À l’invitation du conseil académique à la vie lycéenne, il s’agissait de proposer aux filles et garçons, élèves et adultes, de porter une jupe afin de manifester contre les discriminations, et notamment le sexisme.
Une affiche, portant le label du ministère de l’Éducation nationale, avait même été réalisée, avec pour slogans « Ce que soulève la jupe » (c’est quand même mieux que de passer sous les soutanes), « Vendredi 16 mai 2014, femmes, hommes, portons l’égalité ! ».
L’égalité va se nicher en des endroits parfois inattendus…
Passons !
Eh bien, après la jupe pour tous, nos futures élites, élèves de Science-Pô, dans un grand élan de soumission, nous ont offert cette semaine-là une journée du voile pour tous, baptisé « Hijab Day ».
On se demande, du reste, pourquoi l’on ne pourrait pas coupler ces deux journées-là, que ça aurait eu de la gueule !
De grands dadais pubères, coiffés d’un voile et affublés d’une jupette, tous en string « taille-basse » et mettant en valeur leurs pattes velues, nous aurait donné une belle image de la jeunesse de ce pays (que j’aime tant), bien « post-moderne ».

Cela dit, la journée de la jupette ne semblait pas du goût de tout le monde : On sait que dans certaines banlieues, il n’est pas recommandé de charrier avec ça.
Ainsi, vendredi 22 avril, Le Parisien révélait qu’une jeune fille avait récemment été rouée de coups à Gennevilliers par un groupe d’adolescentes qui lui reprochaient de porter une jupe (même pas « mini »).
Et dans le cadre de la « novlangue » de la pensée unique, le quotidien s’empressait de préciser que « selon les premiers éléments de l’enquête, l’agression n’aurait pas un fond religieux ».
Étonnant, tout de même, qu’aujourd’hui l’on soit obligé d’apporter ce genre de précision, ne trouvez-vous pas ?…
Nous eûmes autrefois le complot de la Cagoule. Serait-ce aujourd’hui celui de la Culotte ?
Ou celui de la « jupette » ?
Décidément, la fête du slip bat son plein dans ce pays-là !
Mais ce n’est pas tout.

La « patrie des droits de l’homme » a réformé sa loi électorale dans le silence des maladies honteuses : Les candidats à l’élection présidentielle auront dorénavant deux semaines d’égalité de temps de parole au lieu de cinq.
Avant cette période, c’est « chacun pour sa gueule » dans une « équité » garantie par le CSA selon des critères... disons opportuns.
Au moins, ils deviendront un peu plus inaudible à faire moins d’ombre aux leaders des « grands-partis » : Pas touche à ma chasse-gardée !
Ceux-là n’admettent même plus qu’on puisse leur faire l’ombre et ils ont tous été d’accord pour voter la mesure… au nom de la démocratie qu’ils représentent.
« … Hors des campagnes électorales, ce sont les partis et les idées dominantes qui monopolisent l’attention politique dans les médias. Les courants et les idées minoritaires ne disposaient d’une tribune que dans le laps de temps très court de la campagne : 5 semaines sur les 260 d’un quinquennat » en dit un prof de « science-pô-voilé ». Désormais, ce ne sera que 2 !
Seul « Du-pont-gnan-gnan » s’indigne : « Derrière cette réforme, c’est la suppression du premier tour de l’élection. Les débats à la télévision seront organisés uniquement entre les candidats du second tour supposé. »

De plus et désormais, les noms des élus parrainant un candidat seront tous publiés « au fur et à mesure de leur réception, au moins deux fois par semaine ».
« Cette nouvelle règle gênera peut-être les petites formations. J’en doute tout de même. Mais il est normal qu’une personne qui exerce un mandat rende des comptes. »
Va y avoir de moins en moins de chance de voir des « candidats-Hare-Krishna »…

Les bureaux de vote continueront à fermer à 20 h dans les grandes villes. Par contre, pour les autres, l’heure de fermeture est repoussée de 18 à 19 h. L’objectif avoué des députés est de mettre fin aux estimations à la sortie des urnes.
Une pratique interdite en « Gauloisie-libérale-avancée », mais qui faisait tout le sel de tous les médias étrangers les soirs d’élections gauloises.
« Je ne pense pas que cette mesure ait un impact particulier. En 2002, les Guignols sur Canal + avaient annoncé que Jean-Marie Le Pen serait au deuxième tour dès 19 h 45. Cela n’avait pas eu d’effets ».

Enfin bref, une fois de plus, on ne s’est pas interdit de tordre le cou encore un peu plus aux lois organiques relatives aux élections, avant et pas après, lesdites élections.
Franchement, est-ce bien responsable ?
Mais il y a pire.

L’apartheid renaît de ses cendres sous les clochers « rince-doigt », figurez-vous !
Ce « camp (de « décoloniaux ») s’inscrit dans la tradition des luttes d’émancipations décoloniales anti-capitalistes et d’éducation populaire. »
RDV du 25 au 28 août 1016, en camp d’été en Champagne-Ardenne, près de Reims.
Mais si, la kapitale des sacres royaux de l’ancien régime, je vous le dis.
Je suis allé voir ça via internet où on vous promet « des bus de toute la France s’y rendent pour des tarifs débutant à 2 € l’aller. »
Tarif : 170 € tarif normal / Gratuit pour les moins de 6 ans !
Arf : Quelle rigolade !
« Ze veux aller à Disneyland ». Sale gosse : « T’es bien le fils de ton père, toi ! Tu iras chez les décoloniaux, ils sont plus rigolos ! »
Hébergement pour 4 jours/3 nuits et pension complète.

« Q : Je ne subis pas le racisme d’État à titre personnel, je souhaite m’inscrire, juste pour observer sans participer, est-ce possible ?
NON ! (…)
Q : Je suis une personne subissant le racisme d’État et je souhaite venir avec un.e ami.e/proche qui n’est pas dans cette situation. Est-ce possible ?
NON ! (…)
Q : Je ne subis pas le racisme d’État à titre personnel, mais des personnes très proches de moi (partenaires/enfants/ami.e.s) le subissent, puis-je participer ?
NON ! (…) »
VTFF (Va Te Faire Foutre) ! Faut être black, beur, jaune (ou Corse), non-blanc de peau quoi, pour être accepté à l’entrée.
Je sens que ça va avoir un vif succès, cette affaire-là !
Parce que moi, quand je prends le soleil, je vire au bleu-cerise avant de faire « pain-d’épice » cramé en fin d’été.
J’ai toujours cru qu’elles aimaient que je sente le « sable-chaud », figurez-vous !

Des proches des « Indigènes de la République » réinvente donc l’apartheid jusqu’à Reims et ont donc lancé un camp de… « formation à l’antiracisme » réservé uniquement aux personnes souffrant du « racisme d’État ».
Euh… un exilé, ça peut faire ?

Une revendication de non-mixité de plus en plus présente dans les milieux de gauche radicale !
« Cette dérive identitaire, qui consiste à penser que certains critères de notre identité sont surdéterminants est commune à l’extrême droite et à l’extrême-gauche, qui s’entretiennent dans une surenchère. C’est le signe d’une déstructuration complète de la politique », en dit un universitaire.
Quand je vous raconte que c’est blanc-bonnet et bonnet-blanc, jusque dans le programme économique (et hors deux sujets : L’Europe et la migration)…

Un point de vue que partage le président de la LICRA qui s’est fendu d’un billet sur son blog pour dénoncer « la non-mixité racisée » comme un « racisme qui ne dit pas son nom ».
Et il a raison, pour une fois.
« La logique folle et prétendument « anti-système » qui préside à l’organisation de ce type d’événement (une allusion à l'organisation de « Paroles non-blanches » à Paris VIII) est exactement la même qui conduit les identitaires d’extrême droite à l’affirmation d’une France « blanche » : les extrêmes, chacun à leur manière, organisent le séparatisme et véhiculent la même logique d’apartheid. Sous couvert d’antiracisme, notre pays risque de voir émerger des « Ku Klux Klan inversés » où le seul critère qui vaille sera la couleur de peau. »
Pas moi qui vous le dis, mais le mek de la LICRA !

Une forme de surenchère mimétique qu’assument d’ailleurs les militants. « Vous savez, plus l’État et nos adversaires se radicalisent, plus on se radicalise. », confiait ainsi Sihama Assbague dans Libé (ce torchon).
D’ailleurs, sur leur compte twitter, les organisateurs du « camp d’été décolonial » utilise le hashtag #TeamGrandRemplacement, en référence à la théorie des identitaires du « Grand remplacement », revendiquée et assumée.

Conclusion, il existe bien aussi un racisme d’extrême gauche et anti-blanc, qui bénéfice, lui, d’une étonnante bienveillance dans une partie de la gauche voire au-delà.
Imaginons que l’extrême « droâte-racialiste » organise un évènement réservé aux blancs de peau, même sans l’assumer ouvertement, ce camp serait logiquement critiqué, vilipendé, dénoncé et sans doute interdit.
De fait, cette fois le propos va au-delà de la promotion théorique du racialisme, puisque cette interdiction d’inscription pour les personnes blanches de peau constitue un acte de discrimination raciale interdite par la loi !
Où sont les critiques ? Où sont les demandes d’interdiction ?
Et ce n’est pas tout…

La « Nuit debout » se radicaliserait de son côté (même s'ils n'ont rien dans la tête d'après « Bling-bling » : On va y revenir une prochaine fois, tellement il est à côté de la plaque). Pour faire court, ces militants estiment que les Occidentaux sont ontologiquement des oppresseurs, et ne conçoivent l’histoire du monde qu’en une succession de rapports de domination. Le dominant étant, dès l’origine, l’homme blanc « cisgenre » (c’est ainsi que les hétérosexuels sont désignés dans leur jargon).
Qu’ils en viennent même à interdire certaines plateformes de discussion de « poulies-fendues » place de la République (et ailleurs) qui s’adressent aux « femmes cisgenres et transgenres noires/métisses africaines et afro-descendantes », bref à tous les « kouillus-poilus » qui s’y présenteraient !

Un capharnaüm postmoderne idéologique qui se nourrit de toutes les confusions contemporaines engendrées par les sociétés complexes, multiethniques et multiculturelles ! Nous assistons à une véritable surenchère victimaire et narcissique : Genre, comportement sexuel, ethnie…
Laquelle surenchère profite d’une impunité totale. Les propagandistes de l’anti-Gauloisie peuvent tout dire : Ils ont pignon sur rue !
Et de plus, leur haine est niée au sommet de l’État.
En témoigne la campagne à 100 millions d’euros, financée par vos impôts, qui ne fait jamais mention du racisme anti-blanc, vous livrant à la vindicte de personnages revanchards.

Deux choses interpellent particulièrement dans ce phénomène. D’abord, la prise en otage des gaulois noirs ultramarins, sommés de se solidariser à des luttes qui leur sont profondément étrangères.
Ensuite, la collusion contre nature entre ces idéologies et l’islam politique, pourtant à mille lieues de ces thèses, démontrant que nous sommes proches d’une insurrection.
Ce sont les suites logiques d’une déliquescence complète de la pensée de gôche traditionnelle.

La fin d’un règne trop rigolote pour ne pas s’esclaffer, au moins dans la pensée, qui en dit long sur son côté absurde depuis l’origine.
L’absence dramatique de toute colonne vertébrale aux mouvements politiques en « Gauloisie-de-gôche » laisse un vaste champ d’expériences possibles, notamment à l’extrême-gôche qui ne sait plus où combattre « l'ordre-bourgeois honni », détesté, haïe, là où elles ont toujours été bouillonnantes mais jusqu’à présent contenues par des appareils un minimum outillés pour les canaliser.
Concrètement et de façon progressive, on assiste à un phénomène inquiétant où les franges extrêmes du pays se radicalisent encore plus qu’elles ne l’étaient déjà, et l’affichent de plus en plus ouvertement, quasiment prêtes à en découdre, physiquement.
Et d’ici que ça se termine en émeutes et effusions de sang, y’a pas loin : Un bilan formidablement rigolatoire pour « François III ».

La non-réaction de l’État, ou, pire encore, sa réaction biaisée et asymétrique n’augurent rien de bon pour l’avenir proche.
Franchement, cette fin de quinquennat est désespérante pour mon pays (celui que j'aime tant), après les lois « renseignements », « Sécurité liberté » qui ont précédé la loi « état d’urgence » en voie de renouvellement (comme nous le pressentions) après un matraquage fiscal comme encore jamais vu depuis la dernière année de « Bling-bling », c’est fabuleux de toxicité pour l’avenir !
Et ne règle absolument aucun des problèmes du quotidien de chacun…
Bravo les « soces » !
Ils vont à la reconquête de l’opinion en rangs serrés à ce qu’on m’en a dit, derrière des statistiques opportunes du chômage en trompe-l'œil.
Ça ressemble plus au dernier carré de la garde à Waterloo.

2 commentaires:

  1. Vraiment bon !
    On marche vraiment sur la tête…
    Cela ne peut jamais durer bien longtemps…
    Bien à vous !...
    Haddock

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  2. C'est sûr que même en s'aidant des mains, on finit par se casser la gueule ou le crâne, dans cette position-là !
    Notez que si c'est "nuit debout", comme ils n'ont rien dedans, ça ne salira même pas les trottoirs.
    On y revient demain.
    Quant à "Bling-bling", malgré une profession de foi (et un bouquin), il revient tout droit à ses travers d'origine : Pas assez fort le vaccin d'un quinquennat !
    On y reviendra peut-être...

    Bien à vous !

    I-Cube

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