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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 28 février 2025

Où on commence par une « revenue » !

C’est l’histoire d’un arabe…
 
… d’un anglais et d’un allemand. Ils dinent dans une brasserie bavaroise.
Et Jésus en personne apparaît.
Le silence se fait dans l’établissement et Jésus glisse vers eux trois.
L’anglais se lève avec précaution est respect…
«  Vous êtes Jésus ?
 Oui…
 J’ai mal au poignet, Seigneur… Pouvez-vous me guérir ?
 Oui. »
Et Jésus passe sa main au-dessus du poignet du britannique et celui-ci n’a plus mal à son articulation…
Jésus se tourne vers l’Allemand…
«  Et toi, crois-tu en moi ?
 Moi… oui. D’ailleurs j’ai mal au dos. Si vous pouviez faire quelque chose… »
Et Jésus passe sa main dans le dos de l’allemand et l’allemand est immédiatement soulagé de son mal au dos…
Jésus se tourne vers l’arabe.
« Par Allah ! N’approche pas et ne me touche pas ! Moi, je ne crois pas en toi, je suis musulman et je suis en arrêt-maladie ! »
Dans l’original, c’était une histoire de Dumè qui se passait dans le café de son village…
 
Jean-Marc, en train de draguer :
«  … Et le génie m’a demandé si je préférai une grande mémoire ou un grand pénis !
 Et quel a été ton choix ?
 Je ne m’en rappelle plus… »
 
Germaine tente de se rabibocher avec Jean-Marc :
« — Finalement, je te trouve très beau et toujours aussi sexy…
— Merci.
— Je voudrais qu’il y ait de nouveau quelque chose de fort entre nous…
— Moi aussi !
— Comme quoi ?
— Comme un mur infranchissable ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul :
« — Monsieur et Madame, Gina ont eu un fils…
— Ah oui ? Et il s’appelle comment ?
— Laurent !
— Il doit être complètement secoué, à cette heure-ci ! »
 
Plus tard, les mêmes parents, en consultation chez le pédopsychiatre :
« — Votre fils est très doué.
L’inconvénient, c’est qu’il confond les modèles que vous lui imposez à force de le secouer !
— Comment ça ?
— Il joue au foot comme Einstein et il est intelligent comme Ribéry… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, devant leur bière matinale au comptoir du bar :
«  Tu sais, ceux qui nous prennent le chou l’hiver… et bin ce sont les mêmes qui prennent le melon l’été !
 Au moins, ils respectent les saisons… »
 
Les mêmes, un peu plus tard :
« Hier soir, ça n’a pas loupé » prétend Jean-Paul.
« — Quoi ?
— Oh tu sais, quand tu te relaxes dans ton bain, tu es toujours dérangé par quelque chose ou quelqu’un.
— Oui, peut-être… Je préfère les douches.
— Eh bien, hier soir, c’est mon voisin qui est venu me demander de sortir de chez lui !
— Mais qu’est-ce que tu foutais dans sa baignoire ?
— J’attendais que sa femme rentre de son boulot ! »
 
C’est l’histoire d’un petit garçon qui s’adresse à sa mère :
« — Maman, je veux un petit frère !
— Oui mon chéri… Je vais demander à la cigogne si elle peut nous amener un !
— Tu ne veux pas d’abord essayer avec une bite ? »
 
Jean-Marc se fait arrêter au volant de sa voiture par la maréchaussée :
« — Papiers !
— On peut dire que vous êtes un sacré veinard, vous !
J’en ai toujours un rouleau dans la voiture !
Moi, c’est comme vous : quand je picole trop, ça me donne la chiasse ! » 
 
Conseil de Jean-Marc à Jean-Paul :
« Surtout, quand une femme te regarde droit dans les yeux et te dit, « fais ce que tu veux »…
Crois-moi d’expérience :
Ne fais surtout pas ce que tu veux !
Ne bouge pas !
Ne cligne même pas des yeux !
Évite de respirer !
Ne répond rien !
Fais le mort !
Sans ça, tu pourrais passer un très mauvais quart-d’heure… »
 
Jean-Marc fait face à un inconnu aux abords de son bureau.
Celui-ci l’invective :
« — Est-ce qu’il y a moyen de vous entretenir deux secondes ?
— Naturellement, c’est à quel sujet ?
— C’est parce que je suis passé par hasard devant la devanture de votre boutique…
— Oui, tout-à-fait…
— Et que j’ai vu que vous avez tripoté une jolie petite poulette blonde…
— Oui, une demoiselle blonde, tout ce qu’il y a de plus attractif, je vois…
— Une poulette bien trop jolie pour vous.
— Une jeune fille blonde, comme il en existe d’autres… Et alors ?
— C’est au sujet que c’est me fille et que je vais vous mettre un pain dans la gueule, mais quelque chose de violent…
— Mais tout-à-fait ! Je comprends parfaitement et je dois vous avertir que mon genou pourrait partir en réaction dans vos noisettes de façon assez soudaine et que ça pourrait éventuellement vous faire sortir les baloches par les oreilles très violemment. Mais n’y voyez aucune malice de ma part ! »
 
Plus tard, leçon de mathématique de Jean-Paul…
« C’est mathématique !
Un cocu, c’est un entier qui perd sa moitié pour un tiers ! »
 
Jean-Marc en est d’accord et rajoute :
« Mais forcer sa femme à baiser, c’est un viol.
En revanche, forcer son mari à lui donner de l’argent, c’est un braquage. »
 
Jean-Marc à l’aéroport avec Germaine :
« Tu te rends compte, que si on perd la valise à notre destination… on sera arrivé à bout d’habits ! »
 
Le lendemain matin, de Jean-Paul à Jean-Marc, déjà attablé à siroter sa première bière matinale :
« — Oh là ! Tu as l’air mal, mon ami ! Tu as mal dormi…
— Oui je vais mal… On s’est engueulé hier soir avec Germaine.
Elle s’énerve pour n’importe quoi !
— Ah bon ? Raconte !
— On était bien, tranquille à la maison, enlacés sur le canapé en train de regarder un navet à la télé.
On a eu envie de faire l’amour.
Elle a enlevé son jean puis son chemisier et là, je lui ai demandé pourquoi elle avait le même soutien-gorge que sa sœur… »
 
Marie-Chantal chez le coiffeur, au printemps dernier, qui lui rince les cheveux :
« — Pas trop chaude ?
— Oh si ! Je pourrais sucer tout ce qui bouge…
— Je parlais de l’eau ! »
 
Jean-Gabriel à Jean-Marc :
« — Patron, est-ce que je peux y aller ? Je vais être papa !
— Félicitations ! Mais bien sûr, vas-y ! »
Le lendemain, Jean-Marc croise Jean-Gabriel dans l’atelier :
« — Alors, fille ou garçon ?
— Ah ça, je ne sais pas encore patron… Il faut attendre neuf mois ! »
 
Germaine engueule Jean-Marc :
« — J’en ai marre !
— Quoi ?
— Tu sors le chien tous les soirs, et moi jamais !
— Mais, mais… Je ne savais pas que tu aimais pisser dehors toi aussi ! »
 
Conversations non dévoilées entre femmes :
« — Punaise, ça fait longtemps que je n’ai rien fait !
J’ai trop envie, là !
— Tu dis toi ??? Mais moi c’est pire.
J’y pense à chaque seconde !
— Wouah, je te jure, ça me tue ce célibat.
Femme indépendante, oui, mais il me faut un mec.
— Rien à foutre du mec. Je veux juste sa bite !
— Oui, une grosse, bien raide avec des veines ! »
 
Ou encore :
« — Oh oui, je veux lui sauter dessus comme sur un trampoline !
— Moi, je veux une bonne fessée ! Je kiffe trop…
— J’adore quand il y a du monde dans la pièce à côté : ça me rend folle !
— Ouhlala, quand on me tire les cheveux, j’te raconte pas ! Grave !
— Les sex toys, ça va un moment ! »
Ou simple fantasme de mec en manque ?
 
Jean-Marc et Jean-Paul, en fin de journée de travail, au comptoir de leur bar préféré sur la route qui mène chez eux…
« — Tu rends compte…
— De quoi ?
— On vit une époque assez extraordinaire…
— Pourquoi tu dis ça, tout d’un coup ?
— Parce que je viens de remarquer que le seul acteur de cinéma qui n’est jamais été poursuivi pour agression sexuelle, c’est quand même Rocco Siffredi !
— Oui, quelle époque invraisemblable… »
 
Le chat de ma « petite-sœur » communique, désemparé :
« Mon chalut à tous et à toutes !
C’est très grave les chamis !
Je suis pensif… Je m’interroge…
Qu’est ce qui cloche chez ma tortue de gueuse ?
J’ai peur…
Je vous raconte :
Suite à tous vos fameux conseils pour affirmer mon autorité suprême, je ne peux pas en appliquer un !
Le vomito !!!
J’ai essayé 2 ou 3 fois en huit ans et c’est flippant…
La réaction de la gueuse n’est pas celle attendue…
Au contraire, cette folle se mets à couiner les yeux larmoyants en répétant sans cesse « ooooh… Mon bébé t’as bobo… »
Et ça, c'est rien, et vas-y qu'elle essaie de m’attraper pour me bizouiller…
Beurk !
Après, elle me regarde avec des yeux de merlans frits toute la journée, me surveillant même pendant mes petites siestes de 4 heures.
Plus de friandises, plus de pâtée sous prétexte que ce serait à cause de ce que j’ai mangé…
L’effet inverse, en somme !
Elle est insupportable !!!
Alors, j’ai décidé de ne plus pratiquer le vomito.
Mais par quoi le remplacer ???
Je vous écoute les chamis…
Bon règne à vous.
Loulou 1er dominateur du royaume Chémoi »
 
« Note qu’une femme… » intervient Jean-Paul, devant sa dernière bière vespérale, « Ça peut mouiller sans toucher l’eau…
Ça peut saigner sans se blesser !
Ça peut donner du lait sans manger d’herbe !
Et même te casser les couilles sans les toucher ! »
 
« Tu as raison, Jean-Paul » lui répond Jean-Marc.
« — Tu savais qu’il y a deux sortes de con ?…
— Non ! Tu dis ça pour moi ?
— Pas du tout… Tu vas voir.
— Quelles sortes alors ?
— Il y a les cons qui sont doués : ils connaissent tout sur rien. En principe ils ont fait l’ENA.
Tu n’as pas fait l’ENA ?
— Non, ils n’ont pas voulu de moi…
Et la deuxième espèce ?
— Ce sont les cons surdoués : ils ne connaissent rien sur tout !
Ce sont souvent des politicards… Mais pas seulement !
Tu fais de la politique ?
— Non !
— Alors tu vois… »
 
Une revenue pour finir :
C’est l’histoire de ce touriste un peu perdu qui interroge un passant :
« — Pardon Monsieur, ne connaîtriez-vous pas par hasard le nom de la préfecture des Deux-Sèvres ?
— Si ! C’est Niort !
— Ah flûte… Un espagnol ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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