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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 13 février 2025

« Zuck-man », vous connaissez ?

C’est le « Top-Bain » du moment…
 
La taxe Tobin, ou taxation des transactions financières, a été suggérée au lendemain de la crise de 1929, par l’économiste John Maynard Keynes – fondateur de la macroéconomie et défenseur d’un certain interventionnisme – qui aura ruiné nos pays en facilitant la création de monnaies de singe…
Déjà à son époque, il envisageait bien que ses politiques de relance par la dette, créerait tôt ou tard trop d’argent, qui lui-même fabriquerait de l’inflation (ruinant les bourgeois) : Tu empruntes avec de la « monnaie forte » et tu rembourses avec de la monnaie de m… » (étron). Autrement dit tu voles les classes moyennes au profit des entrepreneurs du « Das Groβ Kapital »… en écrasant sous les ruines laissées au passage, les « prolos » qui croyaient à « l’argent facile ».
Mais bon, comme au moment de rembourser, « on sera tous morts », il avait eu l’idée d’une taxe dans le but de ralentir, au moins à la marge et dans les temps intermédiaires (tant qu’on n’est pas encore mort), les opérations spéculatives des investisseurs.
 
L’idée a été reprise en 1972 et développée par un autre économiste keynésien, « James Top-Bain ». Le but était de frapper la spéculation sur les marchés des changes fragilisés par l’effondrement du système monétaire international de Brettons Woods qui imposait une parité fixe des changes.
Déjà à cette époque-là, on invente une taxe pour régler un problème qu’on a créé sui generis sans demander rien à personne !
Vous pensez bien qu’on s’ennuierait, sans cela, n’est-ce pas…
Et à quoi servirait un économiste qui ne propose rien, pas même une explication de son environnement économique… auquel, en général, il ne comprend rien pour lui rester imprévisible ?
 
Ce projet est d’abord tombé dans l’oubli, jusqu’en 1998, date de fondation de l’association ATTAC – Association pour la taxation des transactions financières et l’aide citoyenne, une création purement « Gauloisienne-fantastique » qui aura essaimé à travers 98 pays et qui regroupait « écolologistes », « soces-bon-teint-bon-genre », « cocos-staliniens », « trotskistes-lambertistes » et même des « chrétiens-sociaux-démocratouilles » mais également des syndicats, des journaux (ces torchons comme « Le Monde » et « Libé » notamment), des associations, comme SUD, AC, DAL, CFDT-Banques, FSU, Politis, même la Confédération paysanne, les Amis de la Terre, le MRAP (mais si !)… pour un budget d’1,6 M€ dans les meilleurs moments.
L’objectif était de lutter contre la spéculation, qui cette fois-ci accablait les pays émergents, certains altermondialistes intégrant cette taxe dans un ambitieux projet politique.
 
« James-Top-Bain » avait imaginé d’imposer chaque opération d’achat et de vente de devise, à 0,1 %. Il s’agissait de décourager les cambistes – les opérateurs sur les marchés de change – et leurs multiples va-et-vient journaliers. En effet selon ses calculs, le montant annuel de la taxe serait supérieur au gain espéré par les spéculateurs.
La « taxe Top-Bain » est revenue sur le devant de la scène lors de la crise des subprimes en 2007-2008. Elle correspondait à deux nécessités : Lutter contre la spéculation à l’échelle internationale, et dans le cadre de la crise des finances publiques, trouver de nouvelles sources de financement pour les États. Dès qu’il s’agit de « l’argent des autres », le personnel politique du pays se sent légitime pour le « spolier légalement » !
Un véritable concours Lépine à l’imagination débridée, surtout en « Gauloisie-fiscale »…
 
Ainsi, en septembre 2011, la Commission européenne dépose un projet de directive visant à taxer toutes les transactions financières, sauf celles sur les marchés de change, comme par hasard…
On attend de cet impôt nouveau qu’il collecte entre 50 et 60 milliards d’euros par an à l’échelle des 27 pays membres. Une révolution, puisque la commission était jusque-là opposée à toute taxe financière pouvant restreindre la libre circulation des capitaux, liberté fondamentale du marché unique, son credo du moment.
En « Gauloisie-spoliatrice », le projet est porté par « Bling-bling » et sa mise en musique sera le fait de son successeur (« Moâ je… »), « Tagada-à-la-fraise-des-bois ».
En janvier 2012, l’Assemblée Nationale vote le projet de loi d’une taxe sur les transactions financières. Finalement adoptée en mars 2012, pour une mise en œuvre en août 2012, cette TTF vise les échanges d’actions des entreprises dont le siège est en « Gauloisie-prospère » et dont la capitalisation boursière dépasse 1 Md €, à condition qu’il y ait transfert de propriété, ce qui exclut de fait les transactions intra-day, la spéculation du « speed-trading », quoi…
Son taux est fixé à 0,3 % et en 2022, elle aurait rapporté seulement de 2 Mds €.
On est loin des 60 milliards à 27…
Et puis on rappelle que l’impôt de bourse, supprimé en 2008 par le même « Bling-bling », collectait entre 2 et 3 milliards d’euros par an. Autrement dit on a supprimé un outil pour le remplacer par un autre moins performant et tout le monde est content !
Du moment que « l’intra-day », le cœur de la spéculation sur les marchés boursiers, est exclue…
Bref, impact mineur pour avoir noyé le poisson dans son bocal !
 
D’ailleurs, on note que l’expérience a déjà été menée en période de crise dans des petits pays émergeants comme le Chili au cours des années 1992-93, et la Malaisie à la fin des années 1990. Ces pays avaient toutefois mené, à côté de la taxation, des politiques d’accompagnement afin de lutter contre la spéculation, comme par exemple une régulation du taux d’intérêt. Après maints travaux, les économistes, les universitaires, mais aussi le Fond Monétaire International ont reconnu à cette condition, l’efficacité du procédé.
D’autres opposants, dont feu Milton Friedman – prix Nobel d’économie en 1976 –, craignaient un coup porté contre un bon fonctionnement des marchés. Il pensait que cette taxe allait réduire la liquidité des marchés – c’est-à-dire réduire le nombre d’acheteurs et/ou de vendeurs et détruire le bon fonctionnement des marchés.
Un argument devenu obsolète car le marché est aujourd’hui confronté, en fait, à une surliquidité notamment due par exemple aux transactions à haute fréquence.
Ces dernières sont des opérations informatiques réalisant des achats et des ventes à la vitesse de la lumière sur de très grands montants afin de tirer profit des écarts d’intérêt infinitésimaux.
Des opérations qui sont largement reconnues comme dangereuses pour générer une volatilité inutile sur les marchés financiers.
Et justement, le but des projets comme celui d’Attac ou de la Commission européenne est de réduire, voire d’annihiler, ces transactions à haute fréquence afin de stabiliser la valeur sur toutes les « choses cotées » (bulbe de tulipe, baril de pétrole, lingot de cuivre, mètre-carré viabilisé, coton sur pied, tourteaux de soja, kilowatt/heure, carcasse de porc, AK 47 ou pinot-des-Charentes du Bordelais…).
 
En réalité, ce n’est jamais qu’une taxe de plus, « vendue » à l’opinion publique comme un bénéfice de « lutte contre la spéculation », une bonne occasion de se montrer attentif, fraternel et solidaire, « social » même puisqu’on vole « les riches » pour ne pas taxer les « sans dents » qui « puent la clope et le diesel »…
Moâ j’adore ce genre de considérations, parce que ça n’a jamais empêcher la spéculation, même l’intra-day, ni la volatilité des marchés, ni les crises financières, ni « les riches » de devenir encore plus riche.
Ni de réduire les taxes sur « les clopes et le diesel » des manants, loin de là et au contraire, peut-on remarquer, les povs’ devenant par la même occasion toujours plus pov’… en tout cas, ils sont exclus de l’enrichissement des « premiers de cordée », sans espoir de « ruissellement »…
 
Donc, comme ça ne suffit pas, et que « les riches » s’inquiètent parfois de ne pas payer assez d’impôt – dont quelques-uns aux USA – il faut inventer autre chose.
Pas bloquer la fluidité du business des spéculateurs avec une taxe « Top-Bain » fixée à un niveau dément qui mettrait tout le monde sur la paille. Et c’est là que l’économiste « Gaby-Zuck-man » intervient avec sa taxe éponyme.
L’idée est portée en « Gauloisie-fiscale », ce paradis, par le groupe « écolologiste et social » qui aura présenté le 12 février 2025 en commission des Finances un texte soutenu par « Cléclé-ment-il-Haute-Tain » et « Éva-Sas-de-décompression », et vise à instaurer un impôt plancher de 2 % sur le patrimoine des « ultra-riches ».
Précisément, ceux dont la valeur du patrimoine dépasse les 100 millions d’euros.
Ouf… J’ai eu peur (pour être dans le premier décile du pays par le stock de richesses à disposition, mais dans le dernier décile du pays en terme de revenus qui reviennent, pov’ parmi les povs’… en tout cas officiellement sous le seuil des « sans dents », même si je ne pue plus le diesel et ne fume plus non plus…)
Et re-pan, même dégoulinade de « bons arguments-sociaux » : Il y a de quoi générer, selon les deux députées, entre 15 et 25 milliards d’euros de recettes annuelles dans le budget grâce à ce dispositif inspiré de la taxe « Zuck-man ».
Ce sera autant de moins qu’on ne sera pas obligé d’extorquer aux plus povs’ et kons que soi qui survivent (difficilement) dans ce pays…
 
« Zuck-man » est en fait plutôt un critique (acerbe et zélé) des banques d’affaires et de la haute-finance qui en ont fait une tête de proue du bloc de gôche. Il est de gôche comme moâ je suis « bandit-corsu ». Ce trentenaire, économiste passé par la London School of Economics et l’université Berkeley aux États-Unis, enseigne actuellement à l’ENS et la Paris School of Economics. Pas vraiment des instituts prônant le djihad, même économique ni une pépinière d’élite de gôchistes échevelés…
En fait, le gamin, il essaye de survivre dans ce monde de dément en revendant sa soupe, et si ce n’est pas la sienne, il ne fait que recracher ce qu’on aura tenté de lui apprendre dans ses grandes ékoles.
C’est un peu comme « Pique-et-t’y », mais ce dernier en fait des pavés illisibles et bourrés d’erreurs, d’approximations et de contre-vérités. Et tant que personne ne relit son « kaka-mentale », ça peut passer et ça déforeste un peu plus…
« Zuck-man », lui, il n’écrit encore que des articles… confidentiels, des tribunes et des pétitions.
 
Je vous raconte la belle histoire : En mars 2023 d’abord, la députée « soce », « Eau-Rore-La-Luck » fait signer une tribune rédigée par « Zuck » par 130 eurodéputés, dans laquelle ils appellent à taxer le patrimoine des milliardaires, la même démarche que pour la taxe sur les transactions financières (dite « Top-Bain »).
En octobre suivant, un rapport de l’Observatoire européen de la fiscalité (probablement une création subventionnée) dirigé par le même, porte à nouveau cette mesure et l’étaye comme il peut.
Puis en juin dernier, après une commande du Brésil, le pays hôte du G20 du moment, « Zuck » aura remis aux dirigeants du sommet un rapport préconisant l’instauration d’une taxe de 2 % sur le patrimoine des milliardaires (milliardaires, pas millionnaires même à centaine).
Comme quoi, c’est une idée qui marche… Le gamin s’en sort plutôt bien : C’est « vendeur ».
 
La nouveauté, puisque l’ISF a disparu et que les biens professionnels en étaient déjà exonérés, c’est de ne pas viser les revenus mais bien le patrimoine, le « stock ».
Pour défendre son idée, « Zuck » évoque notamment les procédés de suroptimisation des « flux » (les revenus qui reviennent) qui permettent aux ultra-riches de limiter leur exposition à la fiscalité, en s’affranchissant par exemple le plus possible de l’impôt sur les revenus au profit de la fiscalité sur les sociétés, mieux-disante.
C’est donc du revenu dit « professionnel », mais on ne le dit pas encore.
Quasiment un an pile après qu’il ait remis son rapport aux dirigeants du G20, « Sciences-pôt » remet à son tour un rapport illustrant comment « les plus riches parmi les plus riches » ne paient quasiment pas d’impôt sur le revenu : « Le taux d’imposition globale (…) atteint en effet 46 % pour les foyers les 0,1 % des plus riches puis descend à 26 % pour les 0,0002 % les plus riches ».
Génial la stat des économistes en herbe : Sur 40,7 millions de foyers fiscaux, on va bâtir un mécanisme fiscal qui n’en concerne qu’une petite centaine… 81 personnes exactement.
On peut dire que c’est vachement significatif, là !!!!
 
De plus c’est parfaitement logique quand on compte la totalité des prélèvements obligatoires : Si l’impôt n’est jamais plafonné (selon la règle immatérielle du « Bienvenu-qu’apporte »), ce n’est pas le cas des charges sociales… Le taux de prélèvement augmente jusqu’à la tranche C, avec parfois des charges sur les charges, puis disparaissent arrivées à la tranche D, sauf pour l’assurance-maladie (qui restent parfaitement perdus).
Ce qui explique qu’il faut être kon ou cinglé pour ne pas inventer et mettre en place des mécanismes d’optimisation, d’autant plus quand la loi fiscale elle-même le prévoit et l’encourage… parce que le Trésor ne peut pas tout financer et que « les riches » sont les bienvenus pour compléter là où il y a des carences (les Dom, le foncier locatif, le cinéma, les zones franches, etc.)
 
Une logique qui fait affirmer, sans broncher à « Gaby-Zuck-man », que la « Gauloisie-infernale » est « un paradis fiscal » !
Oui, d’accord, mais que pour quelques « happy-few » qui vivent ailleurs et pour les agriculteurs, et encore, même pas tous !
En aucun cas pour tous les autres…
En revanche, il a raison d’en conclure que « si tous nos milliardaires partaient demain s’installer aux îles Caïmans, leur facture fiscale baisserait peu (car elle est très faible). La perte de recettes fiscales pour le Trésor public français serait négligeable (de l’ordre de 0,03 % du PIB) », détaillait-il sur « Xxxl ».
C’est effarant ce qu’on peut faire dire aux chiffres : 0,03 % du PIB, c’est vraiment négligeable, n’est-ce pas et autorise à prendre ce risque proprement improbable, vous en êtes d’accord, n’est-ce pas ?
 
Oui, surtout si c’est au nom de la « justice fiscale » (que je ne sais pas ce que c’est sinon de payer ce qu’on doit) mais il semble que comme « Zuck » ne sait pas compter (dommage pour soi-disant un économiste), 0,03 % du PIB ça aurait fait tout de même 87,522 milliards d’euros en moins en 2024, là où on cherche tout de même 4 fois moins, 20 à 25 milliards, pour les payes de nos fonctionnaires en 2025.
Or, comme il ne sait toujours pas compter, 87,5 milliards de PIB en moins, globalement taxé à plus de 50 %, ça aurait fait un trou de 45 milliards dans les comptes publics.
Impressionnant, tout de même…
Heureusement qu’il n’est pas « ministre », ni des comptes publics ni de l’éducation nationale, celui-là !
 
Tellement qu’il est nul, il aura d’ailleurs salué la proposition des deux députées de gôche (les champions de la spoliation généralisée au nom de l’intérêt supérieur de tout le monde, du moment que eux peuvent s’en mettre plein les fouilles en gérant le pactole, comme aux Mutuelles de Bretagne), jugeant que le taux de 2 % « relativement modeste par rapport à la rentabilité du patrimoine des ultra-riches, aux alentours de 7 % par an ».
Là, j’en aurai perdu mon dentier si j’en avais eu un. Tu vous êtes assis ?
Si 87,5 milliards ça fait que 7 %, le stock est donc valorisé à 1.250 Mds€ !
Or, la fortune des seuls milliardaires « Gauloisiens-réciproques » est évaluée à 15.000 Mds€, soit globalement dix fois plus…
D’autant que ce gars-là doit vivre avec des maths modernes pipotées, parce que pour avoir du 7 % de rendement annuel net à distribuer, il faut en brasser du pognon et sortir au moins du 10 à 15 % avant impôts et charges pour y parvenir !
Or, je ne connais pas d’industrie capable d’en cracher autant tous les ans.
Peut-être encore des rentes immobilières, je veux bien qu’on atteigne du 5 % bruts dans quelques cas exceptionnels, mais c’est déjà imposé à l’IR, à l’IFI, aux fonciers, à la taxe sur les assurances obligatoires, etc. etc.…
Ou alors le mek ne sait décidément pas compter… qu’il faudrait qu’on se cotise pour lui acheter une calculette Windows (celle qui connait tous les résultats de toutes les opérations avec tous les chiffres possibles et imaginables…)
 
Bref, quand on raconte n’importe quoi, « Paradis fiscal », « taxation des ultra-riches »…, le vocabulaire employé pourrait bien froisser le socle commun et ses commandements en matière d’attractivité. Et pourtant, même la « marcheuse-en-rêve » de la première heure, « Âme-Élie-de-mon-gros-Câlin », désormais « sinistre des Comptes publics » (à elle la calculette qui manque à « Zuck »), ne cache pas sa sensibilité à l’argumentaire (quand on a une case en moins, hein…). Sauf que dans son viseur, entre autres, les holdings, mais là pour des raisons purement techniques, de « technique fiscale » à savoir le régime des société « Mère/fille » inventer pour éviter les doubles impositions (niveau fille, puis niveau mère, puis grand-mère, puis arrière-grand-mère des groupes compliqués avec plein de sœurs et de cousines, qui veulent pouvoir céder facilement des bouts quand ça urge pour payer le fisc).
 
Sans pour autant se réclamer de « Gaby », le gouvernement de « Bébé-roux-de-secours » dans son accord de non-censure avec les socialistes, a mis en échange sur le tapis une nouvelle « taxe différentielle sur les hauts patrimoines ».
Mais on préfère parler de « taxe anti-optimisation » dans le cadre de la « justice fiscale » (la justice, une fois de plus… et moâ qui croyait qu’on était tous égaux…).
Et heureusement, les retombées économiques ne seront pas du tout les mêmes puisque Bercy évoque plutôt un taux à 0,5 % et des recettes supplémentaires de 2 milliards d’euros par an…
En bref, l’exécutif « recycle » le propos et on va droit vers un enterrement de première classe, notamment parce le calendrier demeure encore très flou.
La mesure portée par « Sas-de-décompression » et « Haute-Tain » a, elle, en revanche, peu de chance d’aboutir telle qu’elle étant donné l’équilibre des forces à l’Assemblée.
Toutefois, la graine est lancée aux quatre vents : Comme la « Taxe Top-Pain », elle va bien retomber quelle que part et germer d’ici à quelques années.
 
De toute façon ça correspond bien au « Calendrier 2030 » et aux dires des gourous de Davos : « Vous ne posséderez rien, et vous serez heureux ! » On vous prendra tout, via les taxes, pour pouvoir vous subventionner et que vous veniez à la soupe assumer votre soumission !
Big Brother se chargera de tout à votre place…
Le paradis socialiste de la phase « supérieure du communisme » rêvé par Marx (Karl, pas Groucho) et tous ses supporters, quoi…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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