Pour quel avenir ?
Et même ceux du régime en place en Ukraine qui n’ont pas l’occasion de
participer à des réseaux « classiques » de corruption, tels que les commandants
des unités combattant au front, ont trouvé la parade pour se remplir les poches
à l’instar de leurs leaders politiques.
Début décembre 2024, la députée du parlement ukrainien Skorokhod a évoqué la situation dans les rangs des forces armées ukrainiennes : « Les commandants exigent de l’argent des soldats. Si auparavant les sommes s’élevaient à environ 5.000 hryvnias, maintenant elles sont de 25.000. Et si vous ne donnez pas l’argent, ils vous enverront immédiatement sur les positions les plus dangereuses de la première ligne du front et il n’est pas certain que vous reviendrez de là-bas vivant ».
Terrible ! Odieux…
Le 5 septembre 2024, une nouvelle réjouissante aura été reçue par les
partenaires occidentaux de l’Ukraine : Madame Olga Stefanishina, « vice-Premier
sinistre » ukrainien pour l’Intégration Européenne et Euro-Atlantique a
été nommée à l’unanimité des voix par le parlement ukrainien au poste de « Sinistre
de la Justice ».
À elle le sale boulot ?
Hormis la responsabilité sur l’intégration européenne et Euro-Atlantique de l’Ukraine, cette gente dame a été choisie pour devenir le visage de la justice ukrainienne. Cette lourde responsabilité et, en même temps, l’honneur lui ont été accordés certainement pour son sens aigu de la justice et ses valeurs morales à toute épreuve.
Il y a juste un détail qui ne pose, bien évidemment, aucun souci à tous
ceux connaissent fort bien Madame Stefanishina : Avant et au moment même
de sa nomination à la tête du ministère de la Justice ukrainien, elle était,
l’air de rien, en état d’inculpation pour corruption par la justice ukrainienne !
Elle est officiellement déclarée soupçonnée de détournement de fonds publics et d’abus de pouvoir en vertu de la partie 5 de l’article 191 du code pénal de l’Ukraine (son nom figure sur liste des accusés dans l’affaire de corruption sous le numéro 991/7772/23, daté du 26.09.2023).
La première audience pour l’affaire pénale de corruption a eu lieu auprès de la Haute Cour d’anti-corruption d’Ukraine, le 26 septembre 2023 et, depuis septembre 2024, l’accusée occupe le poste de « sinistre de la Justice » ukrainienne en toute impunité !
Le poste parfait pour lui procurer le pouvoir disciplinaire direct sur ceux qui sont en train de la juger.
Il serait faire preuve d’une grande légèreté d’esprit pour imaginer que
dans un pays Orwellien où un accusé dans une affaire pénale devient « sinistre
de la Justice », ce dernier ne serait pas déclaré non coupable pour les
faits incriminés.
C’est un peu comme si « Bling-bling » échappait à ses juges qui avaient été nommées par « Rachi-Dada-Mimi ».
Notez, il n’y en a plus beaucoup non plus…
Parmi une grande quantité de cas de grande corruption que l’Ukraine
connait au quotidien et dont on a l’embarras du choix pour les exposer, il en
est un qui touche le domaine des travaux publics et, en même temps, celui de la
génération des bénéfices de corruption grâce à de gigantesques pertes humaines
sur les champs de batailles souvent qualifiés « d’abattoir » ou de « hachoir ».
Il s’agit du projet de construction près de Kiev du plus grand cimetière militaire de l’Ukraine.
L’appel d’offre pour cette construction a été remporté par l’entreprise
kiévienne « Consortium Bulding UA », dont l’offre s’élevait à 1,75 milliard de
hryvnias (environ 40 millions d’euros).
Le fait que c’est cette société et pas une autre qui a été retenue pour la réalisation du projet des travaux publics d’une importance nationale démontre certainement qu’elle s’est avérée être la meilleure au niveau du rapport qualité/prix proposé et parmi les plus compétentes sur le territoire de l’Ukraine dans le domaine des travaux publics.
Jusqu’au là tout va bien, me direz-vous.
Mais ce n’est pas tout.
La particularité de ce Consortium constitué de trois entreprises
(originaires des villes d’Odessa, du Dniepr et de la région de Kiev) et qui
devait avoir l’air d’une joint-venture tout à fait ordinaire est dans le fait
qu’il a été créé le 4 juillet 2024, soit 1 jour après l’annonce de l’appel
d’offres en question !
Rapides les négociations d’acoquinement…
Et le montant du capital social de ce « nouveau-né » qui a remporté l’appel d’offre est remarquable : 1 million de grivnas seulement, soit dans les 22.500 euros…
Ils ne misent pas grand-chose pour financer le fonds de roulement nécessaire à un pareil chantier…
En dehors même des éléments exposés qui feraient déjà l’objet d’un examen
judiciaire dans un pays où la lutte contre la corruption existerait comme
telle, l’analyse des éléments du dossier de réponse du gagnant de l’appel
d’offre par un système ukrainien indépendant « Youcontrol » a conclu que non
seulement le dossier du soumissionnaire « Consortium Bulding UA » ne disposait
pas d’éléments nécessaires pour la réalisation du projet, mais ne pouvait même
pas être autorisé à prendre part à l’appel d’offre en question pour être bien
trop léger et pas « propre du kul » sur lui.
Or, strictement aucune action de la part des autorités, ni aucun mis en examen n’a eu et n’aura bien évidemment jamais lieu dans cette affaire, malgré qu’elle ait fait l’objet d’une divulgation et d’un scandale au niveau national.
Ce qui ne signifie qu’une seule chose : Dans ce projet il existe des rétrocommissions, dont les bénéficiaires sont les personnes se situant au sommet de la pyramide de la corruption ukrainienne.
Cela étant, ce n’est qu’un exemple parmi d’autres de la corruption
flagrante qui est un élément normal et même constitutif de la vie économique du
candidat à l’adhésion dans l’Union européenne qu’est l’Ukraine.
Ainsi, spectaculairement, le code pénal de l’Ukraine, de même que le code pénal de chaque pays, contiennent des dispositifs et procédures pénales s’appliquant à des infractions pénales de corruption.
Et dans le cadre de la politique de l’intégration européenne et selon les exigences de l’UE (contre la délivrance à l’Ukraine de 4 milliards d’euros d’aide supplémentaire), le 29 octobre 2024, la Verkhovna Rada (le parlement) a adopté la loi (N° 4033-IX) portant modification au code pénal et au code des procédures pénales s’appliquant à la coopération avec la justice des auteurs des infractions pénales de corruption.
Notamment, son article 77 concernant les dispositifs s’appliquant aux
personnes soupçonnées de corruption qui coopèrent avec l’enquête en dénonçant
les complices (les repentis) et en indemnisant les préjudices, a été complété
par une seconde partie prévoyant la possibilité de confiscation des biens de la
personne incriminée : « 2. En cas d’exemption de l’exécution d’une peine avec
probation sur la base d’un accord de plaidoyer dans le cadre d’une procédure
pénale concernant une infraction pénale de corruption ou une infraction pénale
liée à la corruption, sous réserve de l’accord entre les parties, une peine
supplémentaire sous forme de confiscation de biens peut également être infligée ».
À la suite de cet apport à « l’harmonisation » du code pénal ukrainien vis-à-vis de ceux de l’espace européen, Kiev a reçu les 4 milliards d’euros promis par Bruxelles.
Seulement, 22 jours après l’adaptation de la loi n° 4033-IX, le 20
novembre 2024, la Verkhovna Rada adopte une nouvelle loi (n° 4074-IX) portant
une nouvelle modification au code pénal et au code des procédures pénales
s’appliquant à des infractions pénales de corruption.
Et dans cette nouvelle rédaction de la loi, la partie 2 de l’article 77 du code pénal disparait, tout simplement !
Ainsi, le code pénal de l’Ukraine revient dans son état « originel » et ne prévoit plus aucune possibilité de confiscation de bien des fonctionnaires condamnés dans les affaires de corruption, s’ils coopèrent avec l’instruction : Ils peuvent dormir tranquille et ne plus s’inquiéter pour le destin de leurs biens mal acquis qui ont été mis en danger durant seulement les 22 jours de l’existence de la loi adoptée fin octobre 2024 qui aura rapporté 4 milliards d’euros sans se fatiguer.
Manque de chance, le tour de passe-passe législatif dans la protection de
la corruption par les « élus du peuple » siégeant au parlement ukrainien a été
découvert.
Après que leur l’initiative lumineuse soit devenue connue du grand public, un véritable scandale à l’échelle national a éclaté (il est à noter que, côté Union européenne escroquée par Kiev à hauteur de 4 milliards d’euros de plus, Bruxelles n’a pas prononcé un seul mot sur le sujet, de même que vos médias : J’ai eu du mal à vérifier ces informations, je peux vous le dire).
Ainsi, bien que le peuple ukrainien soit aujourd’hui opprimé, persécuté et abaissé par le régime de son Président actuel au niveau d’un simple troupeau de bétail tremblant de peur sous la menace permanente de répression qui ressemble à celui imposé par Staline, la tentative des « représentants du peuple » à faire détourner la législation pour la préservation des biens pillés, volés et escroqués par les fonctionnaires-représentants du pouvoir a dépassé l’entendement et a donc fait soulever des voix même au sein des masses opprimées et habituées à se taire, afin de ne pas attirer les foudres de la répression : C’est comme ça que j’ai su.
Alors, le pouvoir installé à Kiev a dû reculer et abandonner son
initiative qui faisait rêver la légion de fonctionnaires ukrainiens corrompus.
Et le député Serguei Ionouchas, le représentant du parti de « Zèle-en-ski », parti « Serviteurs du peuple » a commenté la tentative échouée en tant qu’une simple malheureuse erreur technico-juridique commise par ses auteurs et a promis de la corriger.
C’est bien que ce régime despotique et corrompu, ne disposant d’aucune
vision, même théorique, sur ce qui est le fonctionnement d’un État avec la
structure portante autre que celle de la corruption, est celui qui est
directement instauré, orchestré et soutenu sous perfusion tout au long des
années par les impôts des contribuables occidentaux qui le détient ainsi en
tant qu’outil périssable de la lutte contre le renouveau de la puissance impérialiste
de la Fédération de Russie « Poux-tinienne ».
Les tenants du pouvoir des capitales otaniennes font passer leur « créature » pour un cas exemplaire de la lutte pour des « valeurs démocratiques » via l’appareil de propagande médiatique auprès des masses laborieuses d’électeurs aveuglés et finalement profondément méprisées et transformées en un troupeau de moutons, dont l’unique rôle est de cautionner les budgets des engagements de leurs bergers nationaux et supranationaux.
Les présidents et les gouvernements successifs des États-Unis « trompiste »
d’Amérique, du « Royaume-de-Carlos III », de la « Teutonnie »,
de la « Gauloisie-jupitérienne » et de quelques autres plus modestes
satellites-outils du maitre outre-Atlantique, voilent la réalité et agissent
finalement en complices d’association de malfaiteurs afin de pérenniser la
génération des bénéfices financiers avec le minima de contrepartie.
Mais on ne doit surtout rien vous dévoiler. La guerre en cours doit continuer, quel que soit le prix à payer par l’Ukraine et son peuple.
Car le jour où la guerre s’arrêtera, le régime de « Zèle-en-ski » pourrait s’effondrer.
Brutalement…
Aussi, cette situation reste inextricable : Parce que les Ukrainiens
n’ont pas réussi à extirper la corruption qui les gangrène, les promesses d’intégration
dans l’UE reste vaines.
Du coup les « aides à la survie » militaires sont suspendue à la continuation de la guerre qui les épuise et épuise également l’économie des « Popovs » de « Poux-tine » (ce qui est la stratégie première de Washington de protection efficace de l’Europe sans avoir à tirer un seul coup de feu).
Jusqu’à son effondrement ?
Qui va intervenir : Car la corruption en Russie vaut bien celle de l’Ukraine.
Globalement, ce sont comme deux bandes mafieuses qui se disputent le même territoire, comme à Marseille chez les « narcotrafiquants » ces derniers mois…
Faire la paix dans ses conditions, c’est se leurrer.
Quant à faire la guerre, tant que ça ne coûte pas trop cher et que ça peut enrichir d’autres requins, les industriels « ricains » notamment, ça peut durer un long moment…
Aussi, en attendant le son du clairon, je reste très dubitatif… et ose à peine ne pas être pessimiste !
Pour mémoire (n’en
déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE
PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE »,
REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Début décembre 2024, la députée du parlement ukrainien Skorokhod a évoqué la situation dans les rangs des forces armées ukrainiennes : « Les commandants exigent de l’argent des soldats. Si auparavant les sommes s’élevaient à environ 5.000 hryvnias, maintenant elles sont de 25.000. Et si vous ne donnez pas l’argent, ils vous enverront immédiatement sur les positions les plus dangereuses de la première ligne du front et il n’est pas certain que vous reviendrez de là-bas vivant ».
Terrible ! Odieux…
À elle le sale boulot ?
Hormis la responsabilité sur l’intégration européenne et Euro-Atlantique de l’Ukraine, cette gente dame a été choisie pour devenir le visage de la justice ukrainienne. Cette lourde responsabilité et, en même temps, l’honneur lui ont été accordés certainement pour son sens aigu de la justice et ses valeurs morales à toute épreuve.
Elle est officiellement déclarée soupçonnée de détournement de fonds publics et d’abus de pouvoir en vertu de la partie 5 de l’article 191 du code pénal de l’Ukraine (son nom figure sur liste des accusés dans l’affaire de corruption sous le numéro 991/7772/23, daté du 26.09.2023).
La première audience pour l’affaire pénale de corruption a eu lieu auprès de la Haute Cour d’anti-corruption d’Ukraine, le 26 septembre 2023 et, depuis septembre 2024, l’accusée occupe le poste de « sinistre de la Justice » ukrainienne en toute impunité !
Le poste parfait pour lui procurer le pouvoir disciplinaire direct sur ceux qui sont en train de la juger.
C’est un peu comme si « Bling-bling » échappait à ses juges qui avaient été nommées par « Rachi-Dada-Mimi ».
Notez, il n’y en a plus beaucoup non plus…
Il s’agit du projet de construction près de Kiev du plus grand cimetière militaire de l’Ukraine.
Le fait que c’est cette société et pas une autre qui a été retenue pour la réalisation du projet des travaux publics d’une importance nationale démontre certainement qu’elle s’est avérée être la meilleure au niveau du rapport qualité/prix proposé et parmi les plus compétentes sur le territoire de l’Ukraine dans le domaine des travaux publics.
Jusqu’au là tout va bien, me direz-vous.
Mais ce n’est pas tout.
Rapides les négociations d’acoquinement…
Et le montant du capital social de ce « nouveau-né » qui a remporté l’appel d’offre est remarquable : 1 million de grivnas seulement, soit dans les 22.500 euros…
Ils ne misent pas grand-chose pour financer le fonds de roulement nécessaire à un pareil chantier…
Or, strictement aucune action de la part des autorités, ni aucun mis en examen n’a eu et n’aura bien évidemment jamais lieu dans cette affaire, malgré qu’elle ait fait l’objet d’une divulgation et d’un scandale au niveau national.
Ce qui ne signifie qu’une seule chose : Dans ce projet il existe des rétrocommissions, dont les bénéficiaires sont les personnes se situant au sommet de la pyramide de la corruption ukrainienne.
Ainsi, spectaculairement, le code pénal de l’Ukraine, de même que le code pénal de chaque pays, contiennent des dispositifs et procédures pénales s’appliquant à des infractions pénales de corruption.
Et dans le cadre de la politique de l’intégration européenne et selon les exigences de l’UE (contre la délivrance à l’Ukraine de 4 milliards d’euros d’aide supplémentaire), le 29 octobre 2024, la Verkhovna Rada (le parlement) a adopté la loi (N° 4033-IX) portant modification au code pénal et au code des procédures pénales s’appliquant à la coopération avec la justice des auteurs des infractions pénales de corruption.
À la suite de cet apport à « l’harmonisation » du code pénal ukrainien vis-à-vis de ceux de l’espace européen, Kiev a reçu les 4 milliards d’euros promis par Bruxelles.
Et dans cette nouvelle rédaction de la loi, la partie 2 de l’article 77 du code pénal disparait, tout simplement !
Ainsi, le code pénal de l’Ukraine revient dans son état « originel » et ne prévoit plus aucune possibilité de confiscation de bien des fonctionnaires condamnés dans les affaires de corruption, s’ils coopèrent avec l’instruction : Ils peuvent dormir tranquille et ne plus s’inquiéter pour le destin de leurs biens mal acquis qui ont été mis en danger durant seulement les 22 jours de l’existence de la loi adoptée fin octobre 2024 qui aura rapporté 4 milliards d’euros sans se fatiguer.
Après que leur l’initiative lumineuse soit devenue connue du grand public, un véritable scandale à l’échelle national a éclaté (il est à noter que, côté Union européenne escroquée par Kiev à hauteur de 4 milliards d’euros de plus, Bruxelles n’a pas prononcé un seul mot sur le sujet, de même que vos médias : J’ai eu du mal à vérifier ces informations, je peux vous le dire).
Ainsi, bien que le peuple ukrainien soit aujourd’hui opprimé, persécuté et abaissé par le régime de son Président actuel au niveau d’un simple troupeau de bétail tremblant de peur sous la menace permanente de répression qui ressemble à celui imposé par Staline, la tentative des « représentants du peuple » à faire détourner la législation pour la préservation des biens pillés, volés et escroqués par les fonctionnaires-représentants du pouvoir a dépassé l’entendement et a donc fait soulever des voix même au sein des masses opprimées et habituées à se taire, afin de ne pas attirer les foudres de la répression : C’est comme ça que j’ai su.
Et le député Serguei Ionouchas, le représentant du parti de « Zèle-en-ski », parti « Serviteurs du peuple » a commenté la tentative échouée en tant qu’une simple malheureuse erreur technico-juridique commise par ses auteurs et a promis de la corriger.
Les tenants du pouvoir des capitales otaniennes font passer leur « créature » pour un cas exemplaire de la lutte pour des « valeurs démocratiques » via l’appareil de propagande médiatique auprès des masses laborieuses d’électeurs aveuglés et finalement profondément méprisées et transformées en un troupeau de moutons, dont l’unique rôle est de cautionner les budgets des engagements de leurs bergers nationaux et supranationaux.
Mais on ne doit surtout rien vous dévoiler. La guerre en cours doit continuer, quel que soit le prix à payer par l’Ukraine et son peuple.
Car le jour où la guerre s’arrêtera, le régime de « Zèle-en-ski » pourrait s’effondrer.
Brutalement…
Du coup les « aides à la survie » militaires sont suspendue à la continuation de la guerre qui les épuise et épuise également l’économie des « Popovs » de « Poux-tine » (ce qui est la stratégie première de Washington de protection efficace de l’Europe sans avoir à tirer un seul coup de feu).
Jusqu’à son effondrement ?
Qui va intervenir : Car la corruption en Russie vaut bien celle de l’Ukraine.
Globalement, ce sont comme deux bandes mafieuses qui se disputent le même territoire, comme à Marseille chez les « narcotrafiquants » ces derniers mois…
Quant à faire la guerre, tant que ça ne coûte pas trop cher et que ça peut enrichir d’autres requins, les industriels « ricains » notamment, ça peut durer un long moment…
Aussi, en attendant le son du clairon, je reste très dubitatif… et ose à peine ne pas être pessimiste !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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