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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 17 février 2025

Le mystère de la vie sur Terre enfin résolu ?

Ce serait « une découverte incroyable »
 
À ce qu’il paraît : C’est que depuis toujours, les scientifiques (dument rémunérés à cette effet) cherchent à élucider le mystère de la vie.
Au fil des décennies, ils ont élaboré pas mal de scénarios.
On a même imaginé récemment en allant « spectrométrer » des poussières d’astéroïde ramenées après un rodéo spatial pas possible, que nous sommes des poussières d’étoile (ce qui est vrai, mais des antérieures, de celles qui ont disparu avant de reformer notre Soleil et son cortège de déchets qui gravitent autour), et que les briques de la vie-vivante et biologique imprègnent l’espace un peu partout pour finir par se développer, presque par erreur mais probablement par nécessité statistique, sur notre caillou…   
Sauf que des « trouveurs-putatifs » pensent aujourd’hui avoir trouvé une autre réponse, celle à l’une des questions clés qui restaient toujours en suspens : Comment des molécules primordiales ont-elles pu former spontanément des éléments constitutifs de la vie ?
Ici ou par ailleurs dans le cosmos, n’est-ce pas…
 
Il y a naturellement la théorie biblique des « créationnistes » (que j’aime bien parce qu’elle ne s’embarrasse pas de spéculations mathématiques et chimiques) mais, même si c’est écrit comme ayant valeur de loi sempiternelle, elle est fausse et là, ça « froisse » (pour ne pas dire autre chose de plus vexant et de plus brutal) mon bon sens (naturel et forcément « près de chez moâ, comme dans la pub…).
Et puis il y a les tentatives d’explications « scientifiques » jusque-là pas nécessairement plus convaincantes. Toutefois, au fil du temps et des études successives, on en est venu à conclure que la vie était apparue dans les océans, sans pour autant réussir à expliquer les mécanismes chimiques qui avaient mené des molécules primordiales aux éléments constitutifs de la vie.
Sauf qu’aujourd’hui, n’en déplaise à « Trompe », des chimistes de l’université Purdue (États-Unis) lèvent enfin le mystère.
 
Pour bien comprendre, il faut sans doute préciser que les acides aminés bruts, ces molécules primordiales qui ont pu être amenées sur Terre très régulièrement par des météorites, peuvent réagir pour former des peptides – des sortes de « patates » sous le microscope – qui sont en réalité les éléments constitutifs des protéines et donc, de la vie.
Mais ce processus nécessite la perte d’une molécule d’eau.
Difficile à imaginer dans un milieu aussi humide que les océans dans lesquels les chercheurs envisagent – et des preuves le confirment – que la vie a émergé sur notre Planète.
 
Or, pour se développer, la vie semble donc avoir besoin, à la fois d’un environnement avec de l’eau en abondance et, dans « le même temps® » d’un environnement… sans eau !
C’est ce dilemme que les chimistes de l’université Purdue semblent avoir résolu.
L’essence de leur solution (sans user d’alcool sorti des alambics du moment, ou un quelconque autre hydrophobe ou même un catalyseur improbable…) ?
Bé il se trouve que « l’eau n’est pas mouillée partout. »
Comprenez que là où une goutte d’eau rencontre l’atmosphère, il peut se produire des réactions incroyablement rapides.
Des réactions qui lient les acides aminés en peptides, justement !
 
Ce qui a mené les chercheurs à cette conclusion, ce ne sont pas moins de dix années (je ne te vous raconte pas les sommes  colossales englouties…) à étudier au spectromètre de masse les réactions chimiques qui se produisent dans les gouttelettes d’eau.
«Les taux de réactions dans les gouttelettes sont de cent à un million de fois plus rapides que ceux des mêmes produits chimiques réagissant dans une solution "en vrac"», commente Cooks, (le professeur de chimie qui commente les conclusions de son étude), dans un communiqué de l’université Purdue.
«Nous faisons, pour la première fois, la démonstration que des molécules primordiales, de simples acides aminés, forment spontanément – sans nécessité de catalyseur – des peptides, éléments constitutifs de la vie, dans des gouttelettes d’eau pure. C’est une découverte incroyable.»
Elle montre en tout cas que le début de l’histoire de la vie sur Terre est sans doute à chercher dans les embruns qui volent dans les airs, ou bien dans les vagues qui martèlent la terre, ou encore là où l’eau douce dévale une pente et fait des éclaboussures.
 
Et si ces travaux éclaireront sans doute aussi la recherche de la vie ailleurs dans l’Univers, ils pourraient également révolutionner la compréhension que les scientifiques ont de la synthèse chimique.
Une compréhension capitale pour ceux qui développent, par exemple, de nouveaux traitements pour les maladies : «Les expériences des chimistes de synthèse sont tellement lentes… Mais la chimie des gouttelettes change la donne», explique-t-il encore.
De quoi imaginer accélérer grandement la synthèse de nouveaux produits chimiques et, potentiellement, surtout, de nouveaux médicaments.
Peut-être même un futur Prix Nobel de Chimie…
 
Ceci dit, maintenant qu’on sait de façon définitive qui de l’œuf ou de la poule est apparu en premier (« en même temps® » dans une éclaboussure ou un embrun tempétueux), je me suis occupé d’en savoir un peu plus sur sa transmission.
Il se trouve que Dieu, s’Il existe, nous aura fait vivipare bisexué. J’aurai été lui, je n’aurai pas procédé comme ça, mais bon, ça a certains côtés jouissifs indéniables pour transmettre nos gamètes et autres acides aminés de génération en génération.
Et finalement, ça me convient tout autant, même si ce n’est pas assez souvent.
D’ailleurs, c’était l’époque de la Saint Valentin, et pour m’être déjà reproduit, je sais comment on féconde une Valentine.
En revanche, la « chimie de l’amour » garde encore quelques mystères pour mon unique neurone encore en fonction (celui du nerf honteux, qui part des restes de mon encéphale archaïque et se prolonge jusqu’au bout de mon gland qui lui commande à tout le reste quand il se réveille…).
 
Et mes recherches (oh, vous pouvez être sûrs et certains qu’il ne s’agit pas du travail d’un cerveau électronique « en marche® », réputé être « intelligence artificielle », parce que quel que soit l’outil adopté, il répond par périphrases quand il daigne répondre… même à un majeur-vacciné et qui a fait ses classes), m’ont guidé sur ce dont on pourrait être friand, mais qui est en fait une maladie du comportement.
À savoir, le terme – est inapproprié – de nymphomanie, derrière lequel se cache un trouble psychique qui s’exprime au travers d’une hyperactivité sexuelle compulsive, une sorte de TOC (Trouble Obsessionnel Compulsif).
Jamais satisfaite, et handicapante au quotidien, dit-on.
Je ne vois pas où, mais bon…
La science l’aura remplacé par le terme « hypersexualité » car cela touche aussi bien les femmes que les hommes.
Et cette hypersexualité est à rapprocher de l’addiction au sexe, souvent associée à des troubles obsessionnels compulsifs et autres carences affectives et troubles psychiques.
Comme que je vous disais…
 
Venant du mot « nymphe » (qui renvoie à des divinités de la mythologie grecque associées à la nature ou aux petites lèvres de la vulve) et de « mania » (la folie), la nymphomanie traîne toujours derrière elle un sens péjoratif, la faisant parfois se confondre avec une « simple » libido exacerbée me fait-on savoir dans quelques « livres savants » (les trucs en papier avec une couverture cartonnée et parfois illustrée).
« C’est pourtant une réelle pathologie », explique ainsi une sexologue.
(Est-elle vraiment une experte de « la chose » pour avoir de tels jugement sans appel ?)
 
Et on m’explique que la nymphomanie se traduit par cycles : L’obsession, la ritualisation, l’agir sexuel et le désespoir. Dans un premier temps, la femme concernée va être littéralement envahie par ses pensées sexuelles (chouette ! Je fais encore parfois cet effet-là…).
Elle vit généralement des difficultés bien plus profondes qui amènent à ce que ce sujet prenne le dessus sur sa psyché (mésestime de soi, insécurité affective, dépression…) et le sexe devient un exutoire et lui donne le sentiment d’exister.
(Je te vous dis, c’est Dieu, s’il existe, qui en a décidé ainsi, que si j’avais été lui…)
Dans un second temps, elle met en place une stratégie tant corporelle que psychique pour arriver à ses fins (la phase « la louve se love », « la biche se fait chienne de chasse »…)
Et dans le troisième temps de la valse, le passage à l’acte permet le soulagement de la tension globale, effaçant l’espace d’un moment, la ou les cause(s) initiale(s) de la souffrance.
Enfin, quand la valse est arrêtée, les notions de culpabilité, de honte, de dégoût font surface créant un sentiment récurrent d’insatisfaction.
Et on recommence pour un tour…
Comme quoi, c’est bien du « n’importe quoi » : Ça n’a rien d’une maladie handicapante, ou alors, il faut monter un dossier auprès de la Commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH) de son département…
 
« Dans la pathologie, il y a une idée d’angoisse, de dépendance à l’acte sexuel… » persiste-t-on à m’embobiner. Une forte libido, quant à elle, est le fait d’habiter son corps avec joie et intensité.
Certes, mais pas que…
Le désir sexuel, quand il est vécu dans l’idée d’un partage, d’un épanouissement (personnel et/ou de couple), d’une découverte, qu’il est contrôlable… va être source de potentielle recherche de partenaires aussi avides que soi. Ou comment enfoncer les portes ouvertes…
Et j’apprends ainsi que pour différencier les deux états, il convient de s’interroger : « La sexualité est-elle une obsession pour vous ? ».
Pour moâ, oui, mais pas quand je suis en petite forme ou que je dors…
« Les rapports sexuels sont-ils une réponse à un état d’anxiété, de dépression, de colère… ? ». Pas du tout…
« La multiplication et l’intensité des rapports sexuels restent-elles insatisfaisantes pour moâ ? » Ça y contribue plutôt à l’effet inverse, mais pas seulement…
Et pour le spécialiste, il est estimé que la majorité des personnes souffrant d’hypersexualité (il en parle comme du satyriasis pour les kouillus) pourrait souffrir de TOCs, de surconcentration hormonale, d’un dysfonctionnement cérébral, de troubles bipolaires, etc.
Ou peut-être de simple phobie administrative arrosée de phobie fiscale…
« Il est clair, en tout cas, qu’il y a souvent une carence affective pesante, la sexualité devenant un refuge pour combler ce manque ».
Bref, pour reprendre un refrain que les « forces de progrès » adorent, ce n’est pas la faute du malade, mais de son environnement, c’est bien connu : Nous sommes tous des victimes de la société sclérosante et castratrice depuis l’Émile de J-J-Rousseau.
 
Avantage des personnes nymphomanes (ce ne sont que les femmes, puisque les meks sont des satyromanes) peuvent vivre en couple mais le risque de relations extra-conjugales est évidemment plus fort.
Ah bon ?
Pourtant une nympho et un satyre sont en couple, ça doit pulser un maximum pour une entente parfaite et de tous les instants… Le rêve d’une vie !
Toutefois, un addictologue peut aider à comprendre les mécanismes de dépendance, et le sexologue, lui, va permettre de retrouver une sexualité satisfaisante tant sur le plan corporel que psychique.
« À côté d’une prise en charge médicamenteuse, une sexothérapie peut aider à travailler sur le manque d’estime de soi, ce qui est essentiel ».
Tout de suite !
On irait jusqu’à te castrer chimiquement pour retrouver ton estime de soi : C’est tout de même assez extraordinaire que chez ces « gens-là », dès qu’on n’est pas dans leurs normes, on doit être soigné comme un… « anormal » !
L’activité coïtale est pourtant une nécessité vitale pour l’espèce, et ça depuis que les peptides sont apparus dans les embruns et autres éclaboussures…
Sans ça, vous ne seriez pas là pour me lire, ni moâ pour l’écrire…
 
Ça m’apprendra à aller chercher midi à quatorze heures.
Autant assumer ses propres tares et faiblesses soi-même, c’est plus simple et aussi efficace, car on se rappelle que ce qui ne te tue pas te rend plus fort… (Goethe ou Nietzsche, il y a controverse historique…).
 
Bonne semaine à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org) 

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