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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 5 février 2025

L’ADME aura récemment fait polémique !

Auto-rebaptisée « Agence de la transition écologique ».
 
Créée en 1991, son budget est passé de 800 millions en 2020 à 3,5 milliards d’euros l’an dernier. Et après on se demande où passe nos impôts…
 
L’ADEME, qui s’est fait depuis des années du militantisme « écolologiste » parfois jusqu’à la caricature pour être parfois et toujours plus dans une logique purement idéologique… à la fois contre le nucléaire, contre l’automobile et pour la décroissance, fait donc polémique plus récemment !
Les ayatollahs qu’elle abrite (et qu’elle nourrit : 1.000 fonctionnaires) sont allés jusqu’à expliquer à ces « ignares-gauloisiens-acéphales » que nous sommes tous, à peine sortis de l’âge des cavernes, qu’il ne faut pas acheter des produits neufs dans les magasins et même, plus récemment, au bout de combien de jours d’usage nous devons laver nos différents vêtements !
 
Elle s’est aussi rendue tristement célèbre pour avoir réalisé en 2018, à la demande express « Lili-Bête-Borgne », alors son « sinistre de tutelle », une étude anti-nucléaire bâclée pour démontrer que produire 100 % d’électricité renouvelable d’ici 2060 était tout à fait possible.
Ce qui reste techniquement, politique une utopie ruineuse et impossible à réaliser financièrement. L’Académie des Technologies (des gens un peu plus sérieux… de ceux qui forment nos ingénieurs et ceux des pays avancés) avait heureusement « descendu » en flammes ce document…
 
Mais le mois dernier, les poids lourds de la droâte s’en sont pris soudain à l’ADEME. Le président du Sénat, « Gégé-l’Archer », dans sa chasse aux « comités Théodule » (qui se sera épuisée rapidement tellement il y en a : Jusqu’à 1.200 si ce n’est pas 1.500 !) aura lancé la charge dans une interview au Parisien : Il a dénoncé les « 4 milliards de budget et près de 1.100 équivalents temps plein » de l’établissement public ajoutant que « la question de l’efficacité́ de la dépense publique se pose ».
Il n’a rien compris où nous prend pour des billes : Le principe directeur de la finance publique dans mon beau pays, c’est « tu dépenses, donc tu existes ».
Naturellement, tu dépenses du pognon piqué dans la poche des pov’-kons de cons-tribuables qui ne demande qu’à vivre heureux, même ruinés, jamais le tien.
Si tu ne dépenses rien, tu n’existes pas… et tu fous la paix à tout le monde…
 
Diantre ! C’est « Valy-Paic-Resse », la présidente de la région « Île-de-Gauloisie », qui aura pris le relais et suggéré sa suppression pure et simple. Enfin, après le discours de politique générale du « Premier sinistre » « Bébé-roux-de-secours », c’est le président du groupe « LRd » à lAssemblée nationale qui a dénoncé les agences et établissements publics dont lADEME à l’« utilité́ douteuse » et au « coût bien réel ».
 
Car les critiques contre l’ADEME, plutôt contre la façon dont depuis plus de trente ans elle mène sa mission avec une efficacité souvent contestable et une logique avant tout militante et idéologique, sont effectivement légitimes… mais bien tardives !
D’autant plus que budget prévisionnel pour 2024 était de 4,2 milliards et celui de 2025 devrait être de l’ordre de 4 milliards.
Pour être précis, l’agence est présidée par un ancien député « Mac-MoDem » (2017-2022), un hasard, n’est-ce pas, depuis recasé là pour « beaux et loyaux services rendus à la République ». C’est une agence gouvernementale avec trois sites principaux et 17 directions régionales.
Son budget annuel est donc de 140 millions d’euros (dont 25 pour les frais de fonctionnement et 106 pour les dépenses de personnel). Un budget fort modeste, comparé aux sommes qu’elle brasse et qui ruissellent au travers de « budgets incitatifs » : Additionnés, les dizaines de millions atteignent le milliard qui s’ajoute lui-même aux 8,4 milliards d’euros du plan « Gauloisie-2030 », géré principalement par l’ADEME. Il faut bien éduquer le peuple aux fruits et légumes de saison !
 
Sans surprise, la contre-offensive en faveur de l’ADEME a été immédiate. En « Gauloisie-dogmatique », l’efficacité et la légitimité de la dépense publique ne sont jamais des questions qui méritent d’être posées. Il suffit que les intentions soient louables… Ce qu’elles sont toujours. Et le ministère de la Transition écologique, qui a la tutelle de l’ADEME, a immédiatement dénoncé des « critiques simplistes » (voire « populiste ») autour d’un « prétendu gaspillage d’argent public ».
Je rigole : Le problème n’est même pas là…
 
L’ADEME était à l’origine l’Agence de l’environnement et de la maitrise de l’énergie qui gère effectivement et entre autres le « fonds chaleur renouvelable » – 800 millions d’euros – et « l’économie circulaire » – 300 millions d’euros – mais opère également, nous l’avons dit, une partie du plan « Gauloisie-2030 » (le fameux « agenda » de l’ONU) – à hauteur de 8,3 milliards sur une enveloppe totale de 54 milliards d’euros.
L’ADEME a ainsi alloué l’an dernier 1,6 milliard à la décarbonation de l’industrie, la moitié, 800 millions, allant à l’indien ArcelorMittal, pour rendre « plus vert » ses hauts fourneaux de Dunkerque.
Même si depuis, ArcelorMittal a mis le projet en suspens…
 
En réalité, le problème de l’ADEME n’est pas sa mission, mais la façon dont elle la mène au point de faire du militantisme écolologiste parfois jusqu’à la caricature et d’avoir été longtemps considérée comme un « foyer d’accueil » pour les soixante-huitards indécrottables et vieillissants dont la faillite des dogmes est patente depuis des décennies (mais ils sont bien les seuls à ne pas encore y croire …).
L’ADEME a été, et parfois est toujours, en mission idéologique contre le nucléaire, contre l’automobile et se doit de promouvoir la décroissance, la seule façon, semble-t-il de faire mourir le capitalisme-bourgeois honni, au motif de sauver la planète (et ses « petits-zoziaux ») et à l’occasion, peut-être, peut-être seulement, l’espèce humaine « écocide », destructrice aveugle et lamentable de son environnement.
 
Et ils ont commencé par nous faire peur, non pas avec le « Conard-virus » (là, il faut des spécialistes qui ont des kouilles et des neurones, ce qui n’est pas donné à tout le monde dès la naissance) mais à nous expliquer comment sont fabriqués nos vêtements (puisque nous ne sommes pas « nés de naissance » avec pelage, plume ou écaille)…
Moâ, je sais, « maman pique et papa coud », le tisserand tisse, ma grand-mère tricotte et les sorcières filent avec leur rouet. Autrement dit il y a le cuir, la maille et le tissu.
Mais eux de nous expliquer que les industriels (et autres artisans) utilisent beaucoup d’eau et de produits chimiques. Ce qui n’est pas gentil pour la nature…
 
Et de nous faire avaler que la fabrication d’un vêtement nécessite des centaines de litres d’eau douce : Pour cultiver le coton et les différentes matières naturelles qui peuvent servir à fabriquer les vêtements fibres (le bois, le bambou, le lin…), pour la préparation des fibres naturelles et synthétiques, pour la teinture et le blanchiment du tissu. Plus de 2.000 litres d’eau nécessaires pour fabriquer un t-shirt en coton, soit un mois de consommation d’eau d’une personne pour boire et se laver.
Scandaleux, juste pour un t-shirt !
Et d’affirmer qu’en plus de puiser d’énormes quantités d’eau, la production de vêtements est responsable d’atroces pollutions de l’eau : Au cours des étapes de culture des fibres, de préparation des fils, de la teinture et du blanchiment, plusieurs produits chimiques sont utilisés et se mélangent à l’eau (pesticides, solvants…). Dans de nombreux pays producteurs, l’eau est mal ou pas retraitée. Les produits chimiques sont évacués avec les eaux usées et se déversent dans les cours d’eau.
Pas chez nous, puisque tout est réglementé, même les pollutions.
Et chez les pov’, les cours d’eau sont filtrés soit pour atteindre la nappe phréatique locale, soit sont déversés dans les océans…
Perdue à jamais !
Comme partie pour l’espace, devenue inutilisable, voyons donc…
Parce que hein, chez les « écololos », il ne pleut jamais de la pluie évaporée, bien sûr. Même que les inondations, ça n’existe que quand il s’agit de « catastrophe naturelle », c’est évident !
 
Par conséquent, il faudrait ne pas acheter trop de vêtements. Il faudrait les faire durer le plus longtemps possible , les ravauder jusqu’à la trame : Plus ils sont portés et plus leur empreinte sera faible. Il faudrait réparer ses vêtements dès que possible. Il serait dommage de se débarrasser d’un vêtement pour une couture défaite, une fermeture éclair à changer ou un petit trou dans le tissu, n’est-ce pas. Même les SDF portent mes vêtements abimés, pourquoi pas moi ?
Quant à laver des vêtements, s’ils sont à peine sales, quelle idée bourgeoise et rétrograde.
Je ne te vous raconte pas le délire « écocide » que tout cela représente.
 
Et l’ADEME se permet ainsi de publier un « guide officiel » pour nous conseiller sur le nombre de fois qu’il faut porter différents vêtements avant de les laver : « Nous avons tendance à laver nos vêtements plus tôt que nécessaire ».
Il est ainsi conseillé de porter ses sous-vêtements un seul fois jour avant de les laver (et encore…). À l’inverse, l’ADEME recommande de porter un jean entre… 15 et 30 fois avant de le laver ! Pour être complet, changer de vêtement pour les laver c’est, pour les sous-vêtements 1 fois par jour (et encore…) car mais ça peut tenir 7 jours à être remis pour un soutif !
1 semaine également pour un pyjama. On peut le remettre 1 à 3 fois un vêtement de sport, selon le degré de transpiration, avant qu’il ne devienne « raide de crasse ».
Un top en coton c’est 4 à 5 fois avant de passer à la machine. Un pull en laine : 10 à 15 fois. Une robe : 4 à 6 fois, un jean : entre 15 et… 30 fois !
Du-konno, va !
 
Moâ, c’est simple : Je me change tous les jours (comme je lave ma tignasse, à chaque fois que je me douche). Mais je ne mets mes fringues « du dessus » à laver que quand ils puent. Ce qui arrive fréquemment, finalement.
J’entasse dans le panier à linge sale, qui correspond grosso modo à une lessive (une heure quinze) qui correspond à un tancarville de séchage, qui demande deux jours d’étendage si la pèce est bien ventilée et correctement chauffée : Je ne peux pas aller plus vite ou en faire plus, sauf si j’étale à l’air libre quand je suis sûr qu’il ne pleuvra pas…
Soit environ 130 à 150 lessives par an, un baril de poudre à saloper la flotte tous les 6 à 8 semaines.
Là où la moyenne des « Gauloisiens-cradingues » font tourner en moyenne 200 fois leur machine à laver par an. Même les « ricains » n’en font pas autant.
(Alors que leurs lessives ne lavent bien qu’avec de l’eau déjà chaude au robinet…)
Car des lavages trop fréquents ont aussi un impact sur le budget entre la consommation d’eau, d’électricité et de lessive, et sur la qualité des vêtements car chaque passage dans la machine à laver fragilise les fibres des tissus.
 
Autrement dit, la puissance publique nous infantilise désormais tellement qu’elle suppose que nous dilapidons nos fortunes respectives en lessives et fringues tel que nous râlons quand il s’agit de payer l’impôt qui sert à financer l’ADEME, qu’on est vraiment trop kon de faire des choix si stupides.
C’est terrifiant ces dérives technocratiques ubuesques : En venir à te dire combien de fois tu dois laver ton soutif ou ton slip !
Les ayatollahs se mêlent vraiment de tout…
Il s’immisce dans tous les détails de notre vie privé et vont bientôt nous expliquer la meilleure, la seule façon efficace de faire l’amour, la position idoine du Kama-Sûtra, pour se reproduire…, le reste deviendra superflu voire une perte de temps et d’énergie (qui se dissipe inutilement dans l’atmosphère réchauffée « à donf’ » !)
Ainsi, « Big brother » devient peu à peu omniprésent, omnipotent et il permet à une caste d’auto-élus (ou seulement recyclée pour services rendus à la République) particulièrement débiles qui le représente et de fonctionnaires assermentés parfaitement ridicules, de justifier ainsi leurs existences.
 
Le premier problème est certes le coût de cette agence, née pour nous pondre de telles âneries, qui devrait interroger notre représentation nationale. Hélas, globalement ce sont les mêmes, forts heureux de pouvoir se recaser eux-mêmes dans l’un de ces « machins » lorsqu’ils ont perdu leurs mandats électifs.
Le second sujet c’est la liberté. L’État n’a pas à nous dire comment vivre : C’est même l’inverse ! C’est à nous d’intimer à l’État de faire ce qu’on attend de lui !
Il y a évidemment toujours une bonne raison pour nous dire comment manger, comment pratiquer du sport, comment se vacciner, puis comment trier nos poubelles, comment faire notre lessive, comment mettre ses doigts dans son nez et comment et où partir en vacances (bien méritées) quand on a fini de payer tout ce qu’on nous impose d’assumer, puis un jour sans que nous nous en rendions vraiment compte on va nous expliquer aussi comment bien penser.
 
Et c’est évidemment déjà le cas : Il y aura les « bonnes pensées » et les « mauvaises pensées », comme au catéchisme où les curetons te vous demandaient si on avait eu des « mauvaises pensées ». Il s’agissait de détecter des enfants « déviants », pervers et obnubilés par le sexe : Tu penses qu’à 11 ans, tu es forcément un pervers, déjà obnubilé par le sexe des filles avec des couettes alors que tu es en culotte courte, chez les curetons !
Ou pire : Obnubilé par les culottes courtes des garçons ou les dessous de soutanes…
Soit les « mauvaises pensées », tu les connais très bien et tu t’autocensures pour éviter les problèmes, bien évidemment, soit tu es assez écervelé pour ne même pas savoir que ça existe (comme moi à 11 ans chez les curés papistes).
Alors, tu penses bien, la pensée politiques de mes « ex-profs’ de science-pot », je préférai nettement celles de mes profs’ de droât : Au moins, il y avait matière, et méthodes, à repérer les déviances de loin…
 
La réalité c’est qu’un peuple qui tient à sa liberté s’offusquerait vraiment de ce genre d’intrusion dans notre vie privée jusqu’à nous demander de nous signer à nous-mêmes une autorisation de sortie pour être consigné d’autorité en garde-à-vue domiciliaire durant 55 jours à être présumé coupable de génocide par virus interposé !
Naturellement, ça n’existe que dans les romans, ces « trucs-là ».
Et encore, ce n’est même pas crédible…
Pourtant, c’est là où nous en étions il y a 5 ans, et ils persistent à nous expliquer combien de fois on doit se laver les dents et se torcher le kul !
 
Nous nageons en plein délire. Le délire d’une économie et d’une vie administrée.
Mon prof’ de d’économie appelait ça « l’économie-mixte ».
Foutaise : Elle était déjà nationalisée et il faut être un gros contributeur pour pouvoir peser sur ses orientations… Et encore, à la marge.
L’économie administrée, c’est exactement ce que propose le socialisme-appliqué, celui de Marx, de Lénine de Staline et désormais de « Poux-tine ».
C’est exactement cela l’Union Soviétique.
En Union Soviétique, une caste de camarades commissaires s’est arrogée le droit (pour être du bon côté du fusil) de distribuer les tickets de rationnement pour faire face aux pénuries que son incompétence avait créé.
Et continue de générer…
 
Bref, a-t-on besoin de l’ADEME pour laver son slip ?
Probablement pour ouvrir les yeux aux borgnes qui nous gouvernent…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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