Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 26 février 2025

Korruption en Ukraine, ce fléau (2/3)

La formule « ukrainienne » de la baisse de la corruption
 
Néanmoins, étant tout-à-fait soucieux de démontrer les bons résultats de la lutte contre la corruption, le pouvoir installé à Kiev a trouvé la solution qui ne peut être qualifiée autrement que « lumineuse » : Faire diminuer le nombre de poursuite en justice et de condamnation pour corruption.
La formule est très simple : Pas de condamnation = pas de corruption !
 
Si encore en 2021, ce sont 6.860 personnes qui ont été condamnées pour faits de corruption, en 2023, même ce chiffre déjà tout-à-fait dérisoire vis-à-vis de la réelle quantité de personnes directement impliquées dans la corruption en Ukraine est passé à 2.420 personnes !
Soit une baisse spectaculaire de 65 % de condamnation.
Par ailleurs, il est à noter que même en 2021, soit avant le début de la guerre, le chiffre mentionné de 6.860 condamnations n’a guère été lié à des résultats d’un réel travail de lutte contre la corruption, mais, principalement, à des constatations d’irrégularités au niveau des déclarations annuelles obligatoires fiscales et de propriété des fonctionnaires.
Tout comme récemment le patron des services psychiatriques de l’armée, signalé dans le billet d’hier, et ses voitures de luxe et appartements divers situés en « Teutonnie ».
Ainsi, les 75,9 % des condamnations ont eu lieu sur la base déclarative d’après la NAZK (l’Agence nationale de prévention de la corruption en Ukraine).
 
À la suite de l’abolition de l’obligation pour les fonctionnaires à réaliser les déclarations annuelles des bénéfices et de la propriété individuelle qui a eu lieu en février 2022 – en 2023, ce chiffre est passé de 75,9 % à 1,6 % du total des condamnations.
Ce qui n’est guère étonnant, vu que même les peu nombreuses déclarations soumises par les fonctionnaires dorénavant à titre volontaire ne faisaient plus l’objet d’aucune inspection par l’Agence nationale de prévention de la corruption en Ukraine, dont l’action est devenue, tout simplement, inexistante.
 
De toute façon, aujourd’hui, le niveau de la corruption en Ukraine est probablement nettement supérieur à celui de l’époque des six présidents précédents et de leurs gouvernements respectifs qui étaient déjà connus, à juste titre, pour la profondeur abyssale du niveau de leur corruption.
En connaissant un peu l’Ukraine, les observateurs rapportent qu’on peut même affirmer qu’avec les événements de 2014, dont l’une des raisons hautement affichées était le niveau inégalé de corruption du président renversé Viktor Ianoukovytch, l’Ukraine a basculé vers le régime du président Petro Porochenko qui est devenu très vite et sensiblement encore plus corrompu que celui de son prédécesseur.
Il suffit de consulter les réels avis de l’échantillon représentatif des entreprises et de la population du pays pour reconnaitre cette réalité sur la sensible aggravation de l’état de corruption omniprésente et incontournable au sein de chaque organisme et cellule de l’État sans aucune exception.
 
Après cinq années du règne du président P. Porochenko, l’arrivée de « Zèle-en-ski » au pouvoir a été en partie conditionnée par un niveau record dans l’histoire de l’Ukraine de la corruption du pouvoir sortant.
En votant pour « Zèle-en-ski », je vous rappelle que les trois-quarts des électeurs ont surtout voté non pas pour ce dernier, mais contre le président Porochenko, en considérant que la corruption qui s’est installée au pays entre 2014 et 2019 avait déjà atteint son apogée et que le changement de la gouvernance ne pouvait donc que la faire diminuer.
D’autant que c’était le thème de ce candidat, qui fait normalement « bouffon télévisuel » dans le civil, sans aucune réelle expérience du pouvoir politique.
 
Du coup, faute d’expérience du pouvoir, la désillusion a été rapide et brutale. Avec l’arrivée de ce nouveau régime, selon l’avis objectif des représentants des entreprises et de la société ukrainienne, une fois de plus, la situation au niveau de la corruption s’est aggravée davantage, les nouveaux visages du pouvoir se laissant déborder par leur amateurisme.
Cela étant, en mentionnant ces appréciations, il est à souligner qu’elles datent de la période de 2019 à 2022, soit avant l’entrée des « Popovs » en guerre.
Car dès le déclenchement de la phase active des hostilités en février 2022 et jusqu’à ce jour, selon de nombreux témoignages ukrainiens (mais là encore, il vaut mieux douter de tout), le niveau de la corruption dans le pays s’est approfondi, une fois de plus, en se transformant en une véritable frénésie qui agit comme un rouleau compresseur non seulement vis-à-vis de l’économie du pays en général, mais également vis-à-vis de la quasi-intégralité des citoyens à tous les niveaux de leur vie.
 
C’est devenu comme un réflexe de survie dans une économie exsangue ravagée par une guerre impitoyable menée par les « ruskofs »
Ainsi, il convient de signaler une enquête menée par la « Plate-forme sociologique ukrainienne », du 7 au 14 octobre 2023, parmi les citoyens de l’Ukraine âgés de plus de 18 ans, où près de 90 % des habitants de l’Ukraine disent avoir constaté une augmentation du niveau de corruption dans le pays après le début du conflit armé.
Les classements publiés par des OGN, tels que Transparency International ne sont pas que des sophismes ou des études approximatives qui ne représentent que le ressentiment général d’un échantillon non représentatif vis-à-vis de la corruption qui ne reflèteraient guère toute la profondeur du désastre de la réalité que la société ukrainienne est en train de vivre.
La corruption serait ancrée au niveau quasi-génétique.
 
L’activité politique en Ukraine, mais aussi pour tout autre slave, presque par essence, est de générer d’importants revenus financiers personnels. C’est une activité lucrative comme une autre, qui vaut celle de producteur de spectacles de téléréalité.
Or, les revenus qu’elle génère ne peuvent être atteints sans le recours à la corruption à grande échelle. Et ceci est, semble-t-il, absolument vrai à tous les niveaux hiérarchiques : En commençant par les petits élus municipaux dans les villages et en terminant par la présidence du pays, en passant par les nombreuses couches politico-administratives intermédiaires qui les séparent.
Ce serait dû à la culture slave car on retrouve la même chose en Russie où tout le monde est redevable de quelqu’un et ne survit que grâce à la corruption, petite ou grande.
Une mentalité mafieuse qui fait de « Poux-tine » et de ses oligarques des personnes richissimes à milliard…
Et c’est aussi le cas dans bien des pays d’Europe centrale alors que dans les pays de culture occidentale, « la pieuvre » est combattue, en Europe orientale elle est souvent entretenue.
Une question atavique : Si ça a toujours fonctionné comme ça, c’est comme ça que ça doit persister à fonctionner, il n’y a aucun vice dans la tradition.
Une culture où finit par germer du « national-populisme » pour survivre. 
 
Il est ainsi fort probable que l’intégralité des postes de décisionnaires dans les administrations d’État et dans la fonction politique ukrainienne sont occupés exclusivement soit par ceux qui les ont achetés, soit par ceux qui y ont été placés/« élus » par de puissants protecteurs qui placent leurs pions, afin d’atteindre les objectifs qui sont les leurs.
Les chances d’accéder au pouvoir en Ukraine par un autre moyen seraient, mathématiquement, proches de zéro absolu, paraît-il.
Un peu comme en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » quand on laisse faire « mes cousins » entre eux. C’est la raison pour laquelle l’État « Gauloisien-responsable » préempte les postes régaliens pour des « fonctionnaires » volontaires et au-dessus de tout soupçon de clanisme et que les « cousins-autonomistes » aimeraient bien « en croquer » un peu plus…
Il est ainsi fort probable que des postes dans les administrations et des places dans la fonction politique au niveau local, départemental, régional et national s’achètent, se monnayent et sont considérés en tant que véritable investissement financier.
Exactement comme en Russie, comme en Chine, avec leur « nomenclatura »… ou chez les empereurs sahéliens…
 
Si c’est un investissement, il doit générer des bénéfices concrets. Des bénéfices qui n’ont rien à voir avec les salaires officiels totalement dérisoires attachés aux postes en question.
Notamment, on rapporte que le prix d’un siège au Virhovna Rada (le parlement ukrainien) se monnaie de 1 à 5 millions de dollars « ricains » (pas le canadien, puisqu’il va disparaître et que le Hong-kongais ne vaut pas grand-chose : 0,12 €).
Et ce barème est identique pour tous les partis politiques confondus qui y siègent.
C’est-à-dire qu’en Ukraine, une personne qui n’a rien à voir avec la politique, mais disposant de fonds financiers considérables provenant, en général, de son activité d’affaires et/ou de la corruption sur les postes occupés précédemment, peut à tout moment devenir député « élu du people » d’une manière garantie au sein de n’importe quel parti politique tant au niveau régional qu’au niveau national.
Ce n’est qu’une question de prix.
Quand le peuple ne dit pas non.
Et il ne dit pas non si lui-même est corrompu : Je sais, ça fonctionne même de la sorte en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » où les votes sont finalement achetés par l’intermédiaire des chefs de clan, les Sgio…
 
Aujourd’hui, la corruption en Ukraine en serait au stade d’une absolue frénésie qui s’explique directement par l’absence de vision sur l’avenir politique du pays, même à moyen terme, et donc sur la pérennité de l’investissement réalisé dans les sièges de responsabilité politique et de la haute fonction : Chacun faisant partie du « système » essaie de générer un maximum de bénéfices financiers avant la plongée dans l’inconnu que connaîtra leur carrière personnelle, due à l’effondrement politique, économique et sociétale du pays qui approche à grand pas et d’une manière imminente, quelle que soit l’issue de la guerre qui leur a été imposée de l’extérieur : Dans un cas comme dans l’autre, de toute façon, il faudra bien « rembourser », les dégâts ou les efforts financiers consentis et financer la reconstruction des destructions : Ce sera encore mille et une façon de faire fonctionner la machine à corruption au profit des uns ou des autres…
 
L’enquête mentionnée précédemment, menée en 2023 par la « Plate-forme sociologique ukrainienne » parmi les citoyens de l’Ukraine, révèle également que la majorité écrasante des Ukrainiens estime que les autorités anticorruptions elles-mêmes sont profondément corrompues et contribuent à l’augmentation de la corruption dans le pays !
Le système de corruption en Ukraine serait donc totalement inébranlable à chacun de ses niveaux, car constitué de réseaux hiérarchiques interdépendants, dont le partage de bénéfices financiers et la sécurisation mutuelle vis-à-vis des menaces externes est son élément constitutif.
Chaque « sinistre », « députacrouille », juge, haut fonctionnaire des administrations, de la police et de la SBU (service de la sécurité intérieure) fait partie d’un réseau d’une manière obligatoire.
De même que chacun des responsables se situant sur une échelle plus basse des structures sous leurs juridictions respectives.
Nulle place pour les « dissidents » qui puissent oser menacer le système d’autant que la guerre gronde aux frontières.
 
La majorité écrasante des cas de succès de la « lutte » anti-corruption rendus public, afin d’afficher la prétendue existence de cette dernière, sont probablement ceux, dont les figurants ont commis de graves fautes non pas vis-à-vis de la loi, mais vis-à-vis de la hiérarchie du système de corruption, notamment, en étant malhonnête dans les partages financiers des fruits de la corruption adressés à leurs supérieurs hiérarchiques.
Ainsi les « brebis galeuses » sont sévèrement punies et remplacées.
Rares sont les cas quand les faits de corruption sont découverts par des personnes ou organismes tierces au « système » qui sont rendus publics avant d’être étouffés.
Et même dans ces cas de « force majeure », les coupables ne sont que très rarement punis par la loi : Les affaires sont remises entre les mains de juges faisant partie du système de corruption et aboutissent souvent à une décision judiciaire de non-lieu ou à des condamnations tout à fait dérisoires.
Ainsi, les spécialistes locaux savent, par le type et la sévérité de la condamnation d’un fait de corruption reconnaitre très précisément l’appartenance de l’inculpé à l’une des deux catégories ci-dessus citées : Une « brebis galeuse » qui a commis une faute vis-à-vis de ses supérieurs ou une victime de « force majeure ».
 
Et hélas, nos médias (occidentaux), en parlant de la corruption en Ukraine ne font que déformer et transgresser la réalité. Un simple exemple parmi d’autres, parues dans la presse « Gauloisienne-tricolore » : « …Volodymyr Zelensky affiche en ce sens (vis-à-vis de la corruption) une tolérance zéro. Son nouveau ministre de la Défense, nommé en septembre (2023) après la chute dans le cadre d’un scandale de corruption de son prédécesseur, doit mener de front une lutte contre la corruption et une lutte contre l’agresseur russe.
Car lorsque la guerre s’achèvera, il faudra que l’Ukraine soit capable de gérer les flux d’argent pour la reconstruction, sans que ces aides soient détournées par ses élites ».
Alors que le travail d’u journaliste aurait dû se poser une seule question : Si le fait de la corruption du « sinistre de Défense » déchu (Oleksiy Rezniko) s’est avéré confirmé et largement connu par le grand public (le ministère de la Défense ukrainien a conclu des contrats pour un montant supérieur à 350 millions de dollars avec des fournisseurs de nourriture pour l’armée, en déboursant de deux à trois fois le prix pratiqué sur le marché, dont l’unique raison plausible d’une telle activité est la perception d’une rétrocommission), comment expliquer que cette personne n’a jamais été ni mise en examen par la justice ukrainienne, ni dérangée de quelque manière que cela soit ?
Au lieu de poursuites judiciaires et d’une peine de prison, ledit personnage a tranquillement pris sa retraite et mène ouvertement une vie de multimillionnaire, notamment à Londres et ceci après avoir perçu un salaire dérisoire de « sinistre » qui était d’environ 2.400 euros par mois, toutes primes incluses…
 
Ma « petite-sœur » en conclurait qu’il y a une quantité titanesque de travail d’éducation à fournir pour que ce peuple de slaves parvienne à nos standards, qui eux aussi restent perfectibles tellement nous sommes nous-mêmes gangrénés par quelques voyous (dont on juge actuellement quelques fameux…).
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire