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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 24 février 2025

Il y a un peu plus de 10 ans…

On changeait d’adresse sans déménager…
 
I – C’est le 3 septembre 2014 qu’une équipe internationale de « trouveurs » annonçait une découverte majeure : Celle de Laniakea, une immense structure contenant des centaines de milliers de galaxies… dont la nôtre !
Ils venaient de créer la première carte d’un superamas colossal de galaxies connues sous le nom de « Laniakea » qui abrite la Voie lactée et bien d’autres galaxies.
C’est dans la revue Nature qu’une équipe internationale du CNRS et du CEA révélait la découverte de Laniakea. Il s’agit d’une extraordinaire structure de plusieurs centaines de milliers de galaxies, à la périphérie de laquelle nous logeons, nous humains, sur notre planète Terre en orbite autour du Soleil, dans l’un des bras en spirale de notre propre galaxie et ses milliards d’autres étoiles… Vertigineux !
 
« Nous réalisons qu’avec cette découverte, nous ajoutons une nouvelle ligne sur notre adresse cosmique : « « Paris-sur-la-plage » (comme exemple de ville), « Gauloisie-impériale », Europe, Terre, Système Solaire, Bras d’Orion, Voie lactée, Groupe Local, Laniakea », c’est notre adresse postale complète, affirmait alors « Dany-Pommade-raide », astrophysicien à l’Institut de recherche sur les lois fondamentales de l’Univers (CEA), et co-auteur de ces travaux.
Imaginez donc un instant, un gigantesque regroupement de galaxies d’un diamètre de 500 millions d’années-lumière de diamètre et d’une masse d’environ 100 millions de milliards de fois la masse du Soleil…
Et nous, perdus au milieu de cette immensité à peine concevable.
Cet amas de galaxies, c’est le nôtre.
Et en 2014, ce sont de nouvelles mesures de la vitesse des galaxies voisines qui ont permis à ces scientifiques d’identifier ce superamas dans lequel est logée la Voie lactée.
 
Parce que dans l'Univers, les galaxies sont regroupées par paquets de dizaines, constituant ce qu’on appelle des « amas de galaxies ». Ces amas sont eux-mêmes reliés par un réseau de filaments qui, lorsqu’ils se rencontrent, forment des superamas : Les plus grandes structures de l’Univers.
Celui qu’on voit et détecte, pas celui de la matière noire dans lequel tout le monde baigne sans pouvoir l’identifier et de l’énergie noire, celle qui serait répulsive, au contraire de la gravitation, dont on ne saisit pas vraiment le quoi et le pourquoi mais qui explique l’accélération de l’expansion de « tout l’univers »… et de ses composants.
Ces ensembles vertigineux contiennent la quasi-totalité de la matière : Celle qui forme les atomes constituant les planètes et les étoiles, mais également la très mystérieuse matière noire…
 
Notre superamas est si gigantesque que les « trouveurs » l’ont baptisé « Laniakea », un terme hawaïen qui signifie « horizon céleste immense » (probablement en souvenir de leurs vacances au cœur du Pacifique…).
Mais aussi, heureux hasard, un hommage à cette petite île (Hawaï) qui abrite quelques-uns des plus gros télescopes terrestres utilisés pour cette recherche.
Les autres sont au Chili (Pinochet, Allende et tout ça).
Les scientifiques qui l’ont délimité estiment qu’il contient environ 100.000 grosses galaxies et près d’un million plus petites.
Ce qui fait du monde à proximité…
 
Mais le plus intéressant n’est pas là : Au sein de Laniakea, les galaxies s’écoulent comme des cours d’eau vers un point central : Le « Grand Attracteur » (qui n’a rien à voir avec « Poux-tine » ou « Giorginetta-Mélodie »), sur lequel les astronomes s’interrogent depuis trente ans.
Les chercheurs montraient en 2014 que cette région qui semblait attirer toutes les galaxies voisines, sans paraître pourtant plus dense, apparaît finalement comme un très large vallon où se déverse la matière, un peu comme les ruisseaux de montagne s’écoulent au fond de la vallée.
C’est tout ce qu’ils ont trouvé.
Il va leur falloir comprendre comment l’énergie noire repousse la matière (visible) au fond de ces vallées pour aller plus loin dans leurs explications…
 
Mais c’est d’ailleurs une méthode similaire à celle employée pour la recherche de bassin versants alluviaux qu’ils ont utilisé, déjà en 2014, pour analyser la vitesse de 8.000 galaxies.
D’où il ressort que dans notre univers local, tous les mouvements des galaxies sont dirigés vers l’intérieur et suivent des courants gravitationnels.
Ce sont ces courants qui ont permis de déterminer l’architecture du superamas « Laniakea », au sein duquel notre Voie lactée n’est qu’un tout petit élément.
 
II – Depuis, les mêmes « trouveurs » progressent, mais dans un autre domaine. Ils cherchent et du coup ils trouvent parfois des choses « de grand » dans le monde de la physique théorique.
Des « trouveurs » viennent de mettre au point un nouveau cadre mathématique qui montre que la relativité générale d’Albert Einstein s’accorde parfaitement avec les principes de la physique quantique.
Je n’en doutais absolument pas, pour ma part, mais je n’ai ni le bagage ni les compétences pour le démontrer : C’est juste de l’instinct.
Et leur découverte pourrait bien combler le fossé entre ces deux piliers de la science et éclairer des phénomènes physiques encore mystérieux.
 
Je résume (une fois de plus) : La relativité générale, c’est cette théorie qui nous explique comment l’espace, le temps et la gravité fonctionnent à grande échelle et justifie des étoiles, des galaxies des amas locaux, des superamas et de notre nouvelle adresse postale, « Laniakea ».
Comme il est dit ci-avant.
De l’autre côté, on a la physique quantique qui s’occupe des petites particules comme les électrons ou les photons et de leurs composants et mécanismes.
Le nouveau cadre mathématique crée donc « un pont » entre ces deux mondes, reliant ainsi le macroscopique au microscopique.
Et d’imaginer ainsi de pouvoir expliquer aussi bien la matière noire que les photons émis par votre téléphone !
 
Depuis un bail, les physiciens essaient d’unir ces théories pour avoir une vision complète de l’univers.
Les concepts complexes comme les trous noirs ou le Big Bang demandent une théorie qui intègre à la fois relativité générale et physique quantique.
Jusqu’à maintenant, aucune n’avait fait consensus pour tout expliquer. Mais ce nouveau modèle pourrait bien chambouler nos connaissances actuelles.
 
Dans leur démarche innovante, les chercheurs/trouveurs ont repensé des notions clés comme la masse et la charge des leptons en considérant comment l’énergie du champ interagit avec la courbure de l’espace-temps.
L’équation obtenue respecte toutes les règles (elle est covariante dans l’espace-temps) et simplifie notre univers à deux mesures fondamentales : Longueur et temps de Planck. Et ça, ils connaissent. Ce sont même des constantes de l’univers.
Ce qui pourrait vraiment transformer aussi notre compréhension des lois naturelles.
Leur équation prouverait que celle d’Einstein est égale à une équation quantique relativiste, offrant enfin des réponses à pas mal de questions restées sans réponse : Pourquoi les trous noirs ne s’effondrent-ils pas ?
Quelles étaient les conditions initiales du Big Bang ?
Comment marche l’intrication dans l’espace-temps ?
Etc.
 
Mais, James Webb, le télescope, confirme-t-il cette nouvelle théorie ?
Bé justement, le télescope spatial James Webb a observé récemment des galaxies vieilles de seulement 300 millions d’années après le Big Bang, ce qu’on croyait impossible jusqu’à présent selon nos modèles classiques.
Et voilà que cette nouvelle théorie éclaire ces observations étonnantes !
Les « trouveurs » expliquent : « Ces dernières années, James Webb a vu plusieurs phénomènes… Notre théorie proposée rend compte parfaitement de cela ».
Publiée dans le journal scientifique Astroparticle Physics, cette étude marque donc une étape importante vers une théorie unifiée capable de révolutionner notre compréhension du cosmos.
Cette avancée prometteuse montre bien qu’il faut continuer à explorer et remettre en question nos savoirs établis pour mieux saisir notre place dans cet univers complexe et fascinant.
Alors restons curieux face aux mystères qui nous entourent !
Et finançons à fonds inépuisables les travaux de « ces gens-là » : Ils nous promettent le meilleur de la connaissance de notre monde.
On saura bien capable, in jour ou l’autre d’en tirer le pire…
 
III – Enfin, pour commencer cette semaine par un bonne nouvelle, les industriels vont pouvoir nous fabriquer des amures du futur, avec un matériau encore plus solide que le Kevlar, comptant jusqu’à 100.000 milliards de liaisons par cm².
J’en suis ravi !
 
Le premier matériau « impossible à couper » directement inspiré de la peau de… pamplemousse et de la nacre.
Il faut être « ricains » pour réussir à créer un matériau composé de couches en deux dimensions entrelacées, avec plus de 100.000 milliards de liaisons mécaniques au cm² qui pourrait permettre la création de gilets pare-balles et autres armures bien plus résistants.
 
L’un des matériaux les plus connus pour la fabrication des gilets pare-balles est le Kevlar. Il est composé d’un polymère thermoplastique dont la force provient des liaisons chimiques entre les atomes d’hydrogène et les chaînes polymères. Le Kevlar est notamment capable de résister à des projectiles et de transférer l’énergie à travers sa structure pour limiter l’impact sur le porteur.
Toutefois, le Kevlar a un certain nombre de défauts, comme sa sensibilité aux rayons UV et à l’humidité, plus une faible tenue à la compression.
Or, des « trouveurs » des universités Northwestern, Duke et de Cornell aux États-Unis ont mis au point un nouveau matériau doté d’une structure en deux dimensions qui utilise des liaisons physiques plutôt que chimiques.
Ce nouveau matériau est composé de monomères (des molécules utilisées pour former des polymères) en forme de X organisés dans une structure cristalline.
Ces « trouveurs » ont fait réagir ces cristaux avec une autre molécule pour créer des liaisons entre les molécules au sein du cristal : Le résultat est une suite de couches de feuilles de polymères en deux dimensions.
Au sein des feuilles, les extrémités des monomères en forme de X sont liées entre elles, puis d’autres monomères passent à travers les intervalles, créant des couches entrelacées.
 
Ce matériau comporte ainsi 100.000 milliards de liaisons mécaniques par centimètre carré : Un record !
Ils le comparent à une cotte de mailles, à la fois flexible et très difficile à déchirer.
Ce matériau composite est constitué à 97,5  % d’Ultem, ou polyétherimide (PEI), de la même famille que le Kevlar, avec seulement 2,5  % de ce nouveau polymère 2D. Cela a suffi à augmenter considérablement la résistance et la durabilité du matériau.
 
Ils en disent que d’autres polymères contenant des liaisons mécaniques se sont révélés difficiles à produire. Ce qui n’est pas le cas ici, puisqu’ils ont déjà pu fabriquer plus d’un demi-kilogramme de ce nouveau polymère et pensent qu’il sera possible de le produire à grande échelle.
Ils espèrent ainsi qu’il pourra être utilisé dans des gilets pare-balles et autres armures anti-projectiles.
 
IV – Enfin signalons que la NASA a révélé dans un article publié sur son site que le robot Curiosity, présent sur la planète Mars depuis 2012, avait fait une découverte étonnante en roulant sur une pierre qui s’est brisée sous son poids.
C’est une découverte qui n’était pas prévue et qui renforce certaines hypothèses.
 
Depuis 2012, le robot Curiosity parcourt la planète Mars en quête d’informations sur la planète rouge. En juillet 2025, alors qu’il explorait une région riche en sulfates, une sorte de sel qui contient du soufre et se forme lorsque l’eau s’évapore, le robot a roulé sur une roche et l’a brisée par inadvertance.
À l’intérieur, la surprise a été étonnante puisque du soufre à l’état pur (ou élémentaire) a été découvert.
Beaucoup de personnes associent le soufre à l’odeur des œufs pourris (le résultat du gaz de sulfure d’hydrogène), mais le soufre élémentaire est, lui, inodore.
« Trouver un champ de pierres faites de soufre pur, c’est comme trouver une oasis dans le désert », a noté, dans un article publié sur le site de la NASA un scientifique du Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la NASA, l’institut de recherche qui dirige le projet Curiosity en Californie.
 
On ne le sait pas toujours, mais le soufre est un élément absolument essentiel à la vie. « Il entre dans la composition de la méthionine qui est un acide aminé essentiel à toutes les formes de vie sur Terre », a expliqué un astrophysicien, alias astronophilos sur son compte « Amstram-gramme-pic-et-pic-et-collégramme », avant d’ajouter : « Cette découverte renforce alors les hypothèses sur une probable habitabilité passée de Mars. »
Passée… Ne nous affolons pas : On ne trouvera pas de fossile de dinosaure de si tôt dans les sous-sols de la planète rouge.
 
« Cela ne devait pas être là, et nous devons maintenant l’expliquer ». Toutes ces traces d’eau continuent de révéler une histoire plus complexe que les premières attentes de l’équipe.
La NASA a estimé qu’il manquait des données dans l’histoire géologique de Mars pour expliquer la présence de ce soufre élémentaire.
Cette découverte est l’une des nombreuses faites par le robot dans le canal de Gediz Vallis, une rainure qui serpente le long d’une partie du mont Sharp, haut de 5 kilomètres, dont le rover gravit la base depuis 2014.
Repéré depuis l’espace des années avant le lancement de Curiosity, le canal de Gediz Vallis est l’une des principales raisons pour lesquelles l’équipe scientifique a souhaité visiter cette partie de Mars.
Chaque couche de la montagne représente une période différente de l’histoire martienne.
La mission de Curiosity est justement d’étudier où et quand les anciens terrains de la planète ont pu fournir les nutriments nécessaires à la vie microbienne, et si celle-ci s’est jamais formée sur Mars.
Le robot a depuis quitté le lieu de sa découverte et s’apprête à explorer d’autres zones dans le canal.
 
Vous voilà informés : Bon début de semaine à toutes et à tous !
Je vous rappelle que je ne suis plus aux commandes de ce blog pour le reste de la semaine pour être en déplacement – sans mes outils – alors soyez sages !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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