« Riz-char-faire-rang » !
Franchement, plus ça va, moins ça va !
À la tête du Conseil constitutionnel, soi-disant le « conseil des sages », en tout cas le gardien désigné de nos élections et de la constitutionnalité des lois votées après débat démocratique par le Parlement… pris « dans son immense sagesse » (selon la formule consacrée), on aura eu, parmi les plus récents parfois encore « actifs », « Deux-braies », « Gens-louis », le fiston à « Michou » le père du texte adopté pour la création de la Vème République, qui aura succédé à Mazeaud (issu d’une grande famille de juriste : J’ai fait quasiment toutes mes études de droit, sauf la fiscalité et l’expertise-comptable, sur leurs bouquins…), qui avait suivi « Yvon-Guai-Nana », un gaulliste pur jus.
Lui-même avait repris le fauteuil de « Du-Mât », l’homme aux « bottines » du scandale des frégates de Taïwan sous l’ère « Mythe-errant », qui en avait hérité de « Bad-Inter », le « brillant » avocat qui aura perdu la tête du dernier condamné à mort du pays… Alors, pour compenser, il aura conduit l’abrogation de l’usage de l’invention du docteur Guillotin, laissant aux seuls voyous et criminels l’immense privilège d’assassiner les contemporains de leur choix !
Sympathique, l’idée…
« Fafa-l’empoisonneur » (en rapport avec le scandale du sang contaminé transfusé sciemment à des gens encore en assez bonne santé) arrive à la fin de son mandat de 9 années complètes : Une « scorie » héritée de « Tagada-à-la-fraise-des-bois », éliminant ainsi de la scène politique un rival qui s’était foutu de sa gueule avant son élection…
« Hollande Président ? » disait-il : « C’est capitaine de pédalo en pleine tempête ! »
Pov’ « Tagada-à-la-fraise-des-bois » : Il a aussi été surnommé « Gras-Nul-Laid »…
Et dire qu’il croit encore à son avenir, celui-là.
Passons, ce n’est pas le propos du jour.
Bref, « Jupiter » aura décidé de nommer son « fidèle parmi
les fidèles », le compagnon de route (pas toutes mais tout de même), proche
parmi les proches (sauf dans les soirées kul), des proches probablement alignés
comme des petit-pois de juges sortis de la casquette des « En
marche » de la belle époque où ils avaient réussi à nous faire croire que
le « Monde d’après » s’ouvrait enfin à nous, celui-là nommé à la
tête de l’institution de la rue de Montpensier, à savoir
« Riz-Char-Faire-rang » !
Non mais allo, quoi !!!
On rêve (mais plus en marche…).
L’ancien président de l’Assemblée nationale devra gérer ceux qui y sont
déjà dont quelques-uns restent, plus « Lolo-Vichy-New-sky »,
l’ancienne juge et le sénateur « Phiphi-Bas-du-gras » nommé pour
la même durée par les présidents des deux chambres.
À condition que leurs nominations soient définitivement entérinées après l’épreuve des auditions parlementaires, incertaine et périlleuse dans le contexte actuel d’instabilité politique du moment.
Il faut dire que la perspective de le voir lui (parce que les deux autres n’ont pas autant de casseroles accrochées au kul) aux manettes jusqu’en 2034, autrement dit largement après que son mentor, contraint de quitter l’Élysée en 2027, soit parti s’exiler à « Cuba-dè-Castro » ou à Brussels (il cherche à acheter un appart’ à « Paris-sur-la-Seine » dit-on, peut-être pour son retour en 2032 : « Bling-bling » y est coincé, mais à mon avis il va libérer le sien dans les beaux quartiers rive-droâte dès qu’il n’aura plus son bracelet électronique), en fait frémir quelques-uns notamment dans la perspective où une « Marinella-tchi-tchi » succéderait à « Jupiter » au « Château »…
(Je n’y crois pas, mais je ne serai plus là pour « faire barrage », et sans moâ, tout peut arriver à mes rejetons…)
Dans cette hypothèse, le rôle politique de ce président-là serait déterminant
et démultiplié. Car on sait que le « Air-haine », et une partie non
négligeable de la droâte la « plus konne du monde » (quoique celle
des « ricains » n’est pas mal non plus…), se sont plusieurs fois
montré hostile à l’égard du Conseil constitutionnel, qu’il juge partial.
Ainsi, sur l’immigration, la formation d’extrême droâte envisage parfois une révision de la loi fondamentale via un recours controversé à l’article 11 (le référendum).
Cette nomination, en retrait de la vie politique, mais au cœur du droit
constitutionnel, depuis sa défaite aux législatives de 2022, fait naturellement
grincer des dents parmi les oppositions.
Remarquez, il n’y a plus que ça : Des oppositions à tout mais qui ne sont pas d’accord pour savoir quand faire sauter « Bébé-roux-de-secours » (qui vient de dépasser sa quatrième motion de censure) et ne forment aucune majorité pour savoir par qui le remplacer éventuellement…
À gôche, on considère que cela va « indubitablement affaiblir la
légitimité d’une institution qui va prendre une importance considérable, étant
donné les circonstances politiques » (pour le PCF) et pour LFI « le
Conseil constitutionnel ne doit pas être l’endroit où on recase ses amis ».
Non mais, tu parles, tu n’y mettras pas « Mes-Luches », même s’il te supplie ?
Les députés communistes ont d’ailleurs déposé une proposition de loi pour encadrer les nominations au Conseil constitutionnel, estimant qu’il faut « en finir avec les nominations qui font polémique et le fragilisent ». Même l’ancien garde des Sceaux « J-J.-Hure-Ô-vas », aujourd’hui prof’ de droit public, estime dans « Libé » (ce torchon) « qu’un
président du Conseil constitutionnel qui porte en bandoulière la connivence
avec le pouvoir politique abîmerait le fondement de toutes les décisions ».
Tu penses, un salaire
« hors-normes »
dans la fonction publique, plus les frais, plus, je ne sais pas comment, du
fric plein les poches (il m’arrive de prendre une bière au café du coin avec Jean-Marc
où « Tonton-Yoyo » paye son café en « Ben-Laden » [500 €
d’un seul tenant] sorti tout droit de la poche de son manteau), on en a encore parlé récemment, pendant 9 ans et en fin de carrière,
c’est plutôt assez sympa comme golden-parachute de la part du Pédégé…
Un truc qui ne se refuse pas, quoi.
Le talent de l’impétrant c’est qu’heureusement que la seule qualité pour
accéder à cette fonction est celle de plaire « au prince » : Pas
d’« exigence de compétence technique ni dans une impartialité, objective
comme subjective, le plaçant au-dessus des contingences politiques » n’est
exigée.
À l’inverse, la députée « Maud-Bourgeon » considère que « Richard Ferrand est un grand connaisseur des institutions ». Elle n’a pas tort : Il en connaît presque intimement jusqu’aux lignes jaunes pour en avoir déjà franchi quelques-unes.
Porte-flingue de « Jupiter », c’est en fait un transfuge (pour
ne pas dire un traître) du « P.Soce » de 1980 jusqu’en 2017. Mais
chez eux, c’est presque une marque de noblesse indispensable, une marque de
fabrique incontournable.
Il est élu conseiller général « soce » du Finistère en 1998, conseiller régional de Bretagne en 2010 et député en 2012 sous l’étiquette et avec le soutien des militants « soces » cocufiés pour l’occasion. À l’Assemblée nationale, il est notamment rapporteur général de la loi « Mac-Rond » qui devait relancer le marché du labeur. C’est probablement là qu’il vire sa cuti.
Ainsi, après avoir fait le guignol à l’aile gôche du « P.Soce » (il y a des dizaines d’ailes et autant de nuances, globalement une par loge de « frangins-trois-points »), il se rapproche alors de « Jupiter » sur un coup de foudre.
Et en 2016, il fait son « coming out » politique, dans le sens de « sortir du placard », en annonçant publiquement qu’il devient secrétaire général du mouvement tout neuf de « En marche » alors cornaqué et adoubé par les « hommes de l’ombre » et autres visiteurs du soir et de bordées de débauche, dont le fameux « Beau-raie-l’eau », « Grand-Gens & Cie » des kamarades de boîte de nuit, mouvement par la suite renommé « La République en marche » (même pas en rêve !).
Sa carrière se poursuit en tant que « sinistre de la Cohésion des
territoires » dans le premier gouvernement « Kung-Fu-Panda » qu’il
quitte quand il devient président du groupe « LREM-même pas-en-rêve »
à l’Assemblée nationale. Puis il succède à « Fanfan-deux-Rugby » au
perchoir et aux langoustes de la même « Conculta ». Et arrive 2022 où
n’est plus rien pour se faire rétamer par l’électeur moyen et breton, comme un
vulgaire anonyme qui n’a pas sa place parmi les bourgeois locaux.
Ah si, entre-temps, il est tout de même sévèrement malmené par la justice de mon pays : On y vient…
C’est qu’en mai 2017, la presse « aux-ordres » révèle que les
Mutuelles de Bretagne (MDB) ont été subventionnées à hauteur de 55.000 euros
par de l’argent public alors que le sieur les dirigeait dans les années 2010. On
prend également conscience que son ex-femme (parce que ce kouillon en a eu
plusieurs), artiste plasticienne, a facturé aux Mutuelles de Bretagne des
travaux d’aménagement d’un Ehpad, situé à Guilers, qui a bénéficié d’une
subvention de 1,66 million d’euros du conseil départemental du Finistère, dont il
était alors vice-président.
« Riz-char » à la reconnaissance du ventre…
Et il affirmera même qu’il n’était « jamais intervenu pour qu’elle obtienne un quelconque contrat » et que « la première fois que les Mutuelles ont fait appel à ses prestations, c’était en 2002, donc 8 ans après notre divorce ».
Ah comme le monde est décidément petit, finalement, surtout en province…
Et puis ça déferle comme dans les 40ème rugissants du Pacifique-Sud
: On apprend que les Mutuelles de Bretagne (la bonne boutique de mutualistes
cocufiés) ont ensuite fait effectuer pour 184.000 euros travaux dans un local
appartenant à sa seconde compagne et mère de sa fille… qui a par ailleurs
facturé régulièrement aux mêmes MDB des services de conseil juridique : C’est
une avocate, comme « Déesse-khâ » qui facturait des honoraires fictifs
et parfois sans facture (je ne te raconte pas la fraude à la TVA avec un « non-assujetti »)
à la MNEF, la mutuelle des étudiants et un repère à haute densité de trotskistes
divers…
Le local de la dame a été évalué à 300.000 € lors d’une transaction ultérieure…
Et une fois élu député, en juin 2012, il aura conservé un poste de chargé
de mission aux mêmes Mutuelles de Bretagne, rémunéré 1.250 euros par mois,
entraînant des soupçons de conflits d’intérêts.
Si seulement… Mais non !
Car « Riz-char » a également embauché comme assistant parlementaire Hervé Clabon, l’amant de son ex-adjointe Joëlle Salaün, devenue directrice générale de qui ? Bé des Mutuelles de Bretagne, voyons donc ! Quand lui est devenu député, puis son fils à soi-même « Et-mille » (Faire-rang) âgé de 23 ans, ce qui n’est pas bien grave, mais sans les déclarer à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique…
Morveux, il ne sait même pas se moucher…
Peut-être est-il lui aussi atteint de « phobie administrative », allez savoir…
En tout cas s’il souffre de « trisomie politique poly-handicapante », ça ne le gêne nullement pour persister à cirer les pompes de son bienfaiteur…
D’ailleurs, dans ces histoires immobilières, plus tôt, il aura signé un
compromis de vente avec le propriétaire d’un local de 379 m², avec une clause
suspensive en cas de non-location ultérieure par les Mutuelles de Bretagne :
Il ne prenait donc objectivement aucun risque financier à devenir propriétaire
de quelques bureaux.
Miracle des choses pressenties : Le conseil d’administration des Mutuelles de Bretagne choisit à l’unanimité la proposition d’une SCI en cours de constitution appartenant à sa compagne du moment qui détient ce local. Sur le procès-verbal de la réunion du conseil d’administration à aucun moment n’est mentionné le nom de la gérante.
Et le 1er juillet 2011, la SCI la Saca achète 402.000 € frais de notaire inclus le bâtiment retenu, grâce à un petit crédit de 110 % remboursable sur quinze ans du Crédit agricole qui finance ainsi intégralement l’achat, sans aucun apport, mais disposant d’un locataire notoirement solvable « dont les revenus sont garantis ».
Revenus garantis de 42.000 €/an de loyers versés (150 % des mensualités de remboursement, de quoi payer les impôts sur le revenu qui vont avec et de s’en garder pour la soif) par… les Mutuelles de Bretagne, dont « Riz-char » n’est jamais que le directeur général !
Il a tout de même le sens des affaires, ce citoyen-là…
C’est tout mieux qu’« Élan-Must » qui fonde une boîte d’intelligence artificiel avec quelques copains, finit par virer le Dégé sur un coup de tête, se défait de ses parts à perte dans la foulée, attend que le Dégé revienne pour faire des pieds et des mains pour racheter l’ensemble en mettant sur la table 97,6 milliards…
Du moment que ce n’est pas son propre argent, mais celui qu’on lui prête…
Ce n’est qu’ensuite que les Mutuelles de Bretagne, pour reprendre le portrait
du bonhomme, futur « sage des Sages », effectuent sans contrepartie,
pour 184.000 euros de travaux dans le local acheté par l’avocate, mère de la
cadette.
Quand cette affaire par laquelle le scandale est déballé en mai 2017, notre héro déclare que l’opération n’a « rien d’illégal » et que l’entreprise de sa compagne offrait « le meilleur prix » parmi les réponses à l’appel d’offres.
Il va jusqu’à affirmer que s’il était directeur général de l’établissement mutualiste à l’époque, il ne siégeait pas à son conseil d’administration.
Mon kul : J’ai siégé à bien des CA dont je n’étais pas membre, y compris dans un établissement financier et justement dans une mutuelle, parce que de toute façon ils ne comprenaient rien de ce qu’on leur expliquait : Je prenais les décisions pour eux seulement avec leur aval… et leur signature consignée au PV de réunion !
Mais « Riz-Char » argue qu’il n’est ni marié ni pacsé avec son avocate (qui vit donc dans le péché : Quelle horreur ! Et on confie la garde de la Constitution à ce type de mécréant créature de Belzébuth ?), qu’ils ne vivent pas sous le régime matrimonial et n’ont pas de patrimoine commun. Il conclut même qu’« on peut se séparer demain, chacun gardera ses biens ».
Ce n’est pas comme le « cousin Jean » (Tiberi) qui était bêtement marié avec ma cousine issue de germain de Xavière et qui s’est fait chopée pour un rapport sur la francophonie (et pas la corsitude, sa spécialité de cortenaise) rémunéré qu’elle n’avait pas écrit (il était bourré de faute d’orthographe, pire que ce que je peux en faire, et elle n’en fait jamais aucune, même à main levée…) : Eux ils étaient mariés et lui était soupçonné de recel de délit de concussion, sur ce coup-là : Une qualification juridique parfaitement valable…
Or, on sait par « les statuts de la SCI mis à jour en février 2017, qu’un
Pacs aurait été conclu entre Richard Ferrand et sa compagne en janvier 2014
».
De plus, Louise, la fille du couple, née en 2004, porte le nom de « Faire-rang » et est détentrice de la SCI à 1 %. Elle est d’ailleurs représentée devant le notaire, par sa mère et son père, « agissant en tant qu’administrateurs légaux des biens de mademoiselle ».
Ils ont donc bien « des trucs » en commun, y compris en chair et en os !
Le 24 mai 2017, on se rappelle aussi que « Benne-jasmin-Gris-veaux »,
celui qui montre sa bite sur les réseaux sociaux, alors, porte-la-parole de « La
République en marche » même pas en rêve, avait affirmé qu’il n’y avait « pas
(eu) d’argent public » dans cette opération immobilière, mais deux
semaines plus tard il est contredit : Il y a bien eu 55.000 € d’argent
public ayant servi à installer les MdB dans le bâtiment loué afin d’abriter un
centre de soins pour personnes âgées.
Bref, heureusement pour notre futur Président du Conseil Constitutionnel,
il y a eu enquête et puis classement pour prescription.
Puis la réouverture d’une autre enquête et remise en examen pour prise illégale d’intérêts, le 18 janvier 2018. L’affaire est délocalisée à Lille en octobre 2018, auprès trois juges d’instruction. Le 11 septembre 2019, le parquet de Lille annonce la mise en examen de l’honneur et de la probité du bonhomme qui affirme ne pas vouloir démissionner et garder « toute la confiance » du président de la République.
Et en octobre 2022, la Cour de cassation confirme la prescription des faits sans conclure sur le fond de l’affaire. L’arrêt de la Cour doit mettre fin aux poursuites.
Je vous passe les détails, les arguties, les plaidoyers d’une candeur
parfois désarmante ou d’une mauvaise foi crasse à faire frémir de terreur un ectoplasme : Un vrai roman ! Le sieur « Faire-Rang », parce qu’il n’est jamais qu’un communiquant,
nullement un énârque ou seulement un juriste, ou encore moins un activiste au
service d’une cause autre que la sienne propre et celle de son nombril, est un amateur en tout, même en
crapulerie, puisqu’il n’est sauvé que par le gong !
Mais de là à avoir le culot d’envisager de le catapulter Pédégé du Conseil Constitutionnel (il n’y rien au-dessus que Dieu, ses saints et ses angelots), c’est tout de même assez fabuleux !
La « Jupitérerie » ne se résumera-t-elle qu’à cette immonde « scorie » de la voyoucratie portée au plus haut niveau ?
Notez bien que c’est dans « l’air du temps », tant du côté de Moscou qui fait main-basse sur les sous-sols Ukrainiens qu’aux USA où des requins vont mettre à sac un pays rayonnant.
Alors, pourquoi pas la « Gauloisie-affligée » ?
Pour mémoire (n’en
déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE
PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE »,
REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
À la tête du Conseil constitutionnel, soi-disant le « conseil des sages », en tout cas le gardien désigné de nos élections et de la constitutionnalité des lois votées après débat démocratique par le Parlement… pris « dans son immense sagesse » (selon la formule consacrée), on aura eu, parmi les plus récents parfois encore « actifs », « Deux-braies », « Gens-louis », le fiston à « Michou » le père du texte adopté pour la création de la Vème République, qui aura succédé à Mazeaud (issu d’une grande famille de juriste : J’ai fait quasiment toutes mes études de droit, sauf la fiscalité et l’expertise-comptable, sur leurs bouquins…), qui avait suivi « Yvon-Guai-Nana », un gaulliste pur jus.
Lui-même avait repris le fauteuil de « Du-Mât », l’homme aux « bottines » du scandale des frégates de Taïwan sous l’ère « Mythe-errant », qui en avait hérité de « Bad-Inter », le « brillant » avocat qui aura perdu la tête du dernier condamné à mort du pays… Alors, pour compenser, il aura conduit l’abrogation de l’usage de l’invention du docteur Guillotin, laissant aux seuls voyous et criminels l’immense privilège d’assassiner les contemporains de leur choix !
Sympathique, l’idée…
« Fafa-l’empoisonneur » (en rapport avec le scandale du sang contaminé transfusé sciemment à des gens encore en assez bonne santé) arrive à la fin de son mandat de 9 années complètes : Une « scorie » héritée de « Tagada-à-la-fraise-des-bois », éliminant ainsi de la scène politique un rival qui s’était foutu de sa gueule avant son élection…
« Hollande Président ? » disait-il : « C’est capitaine de pédalo en pleine tempête ! »
Pov’ « Tagada-à-la-fraise-des-bois » : Il a aussi été surnommé « Gras-Nul-Laid »…
Et dire qu’il croit encore à son avenir, celui-là.
Passons, ce n’est pas le propos du jour.
Non mais allo, quoi !!!
On rêve (mais plus en marche…).
À condition que leurs nominations soient définitivement entérinées après l’épreuve des auditions parlementaires, incertaine et périlleuse dans le contexte actuel d’instabilité politique du moment.
Il faut dire que la perspective de le voir lui (parce que les deux autres n’ont pas autant de casseroles accrochées au kul) aux manettes jusqu’en 2034, autrement dit largement après que son mentor, contraint de quitter l’Élysée en 2027, soit parti s’exiler à « Cuba-dè-Castro » ou à Brussels (il cherche à acheter un appart’ à « Paris-sur-la-Seine » dit-on, peut-être pour son retour en 2032 : « Bling-bling » y est coincé, mais à mon avis il va libérer le sien dans les beaux quartiers rive-droâte dès qu’il n’aura plus son bracelet électronique), en fait frémir quelques-uns notamment dans la perspective où une « Marinella-tchi-tchi » succéderait à « Jupiter » au « Château »…
(Je n’y crois pas, mais je ne serai plus là pour « faire barrage », et sans moâ, tout peut arriver à mes rejetons…)
Ainsi, sur l’immigration, la formation d’extrême droâte envisage parfois une révision de la loi fondamentale via un recours controversé à l’article 11 (le référendum).
Remarquez, il n’y a plus que ça : Des oppositions à tout mais qui ne sont pas d’accord pour savoir quand faire sauter « Bébé-roux-de-secours » (qui vient de dépasser sa quatrième motion de censure) et ne forment aucune majorité pour savoir par qui le remplacer éventuellement…
Non mais, tu parles, tu n’y mettras pas « Mes-Luches », même s’il te supplie ?
Les députés communistes ont d’ailleurs déposé une proposition de loi pour encadrer les nominations au Conseil constitutionnel, estimant qu’il faut « en finir avec les nominations qui font polémique et le fragilisent ». Même l’ancien garde des Sceaux « J-J.-Hure-Ô-vas », aujourd’hui prof’ de droit public, estime dans « Libé » (
À l’inverse, la députée « Maud-Bourgeon » considère que « Richard Ferrand est un grand connaisseur des institutions ». Elle n’a pas tort : Il en connaît presque intimement jusqu’aux lignes jaunes pour en avoir déjà franchi quelques-unes.
Il est élu conseiller général « soce » du Finistère en 1998, conseiller régional de Bretagne en 2010 et député en 2012 sous l’étiquette et avec le soutien des militants « soces » cocufiés pour l’occasion. À l’Assemblée nationale, il est notamment rapporteur général de la loi « Mac-Rond » qui devait relancer le marché du labeur. C’est probablement là qu’il vire sa cuti.
Ainsi, après avoir fait le guignol à l’aile gôche du « P.Soce » (il y a des dizaines d’ailes et autant de nuances, globalement une par loge de « frangins-trois-points »), il se rapproche alors de « Jupiter » sur un coup de foudre.
Et en 2016, il fait son « coming out » politique, dans le sens de « sortir du placard », en annonçant publiquement qu’il devient secrétaire général du mouvement tout neuf de « En marche » alors cornaqué et adoubé par les « hommes de l’ombre » et autres visiteurs du soir et de bordées de débauche, dont le fameux « Beau-raie-l’eau », « Grand-Gens & Cie » des kamarades de boîte de nuit, mouvement par la suite renommé « La République en marche » (même pas en rêve !).
Ah si, entre-temps, il est tout de même sévèrement malmené par la justice de mon pays : On y vient…
« Riz-char » à la reconnaissance du ventre…
Et il affirmera même qu’il n’était « jamais intervenu pour qu’elle obtienne un quelconque contrat » et que « la première fois que les Mutuelles ont fait appel à ses prestations, c’était en 2002, donc 8 ans après notre divorce ».
Ah comme le monde est décidément petit, finalement, surtout en province…
Le local de la dame a été évalué à 300.000 € lors d’une transaction ultérieure…
Si seulement… Mais non !
Car « Riz-char » a également embauché comme assistant parlementaire Hervé Clabon, l’amant de son ex-adjointe Joëlle Salaün, devenue directrice générale de qui ? Bé des Mutuelles de Bretagne, voyons donc ! Quand lui est devenu député, puis son fils à soi-même « Et-mille » (Faire-rang) âgé de 23 ans, ce qui n’est pas bien grave, mais sans les déclarer à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique…
Morveux, il ne sait même pas se moucher…
Peut-être est-il lui aussi atteint de « phobie administrative », allez savoir…
En tout cas s’il souffre de « trisomie politique poly-handicapante », ça ne le gêne nullement pour persister à cirer les pompes de son bienfaiteur…
Miracle des choses pressenties : Le conseil d’administration des Mutuelles de Bretagne choisit à l’unanimité la proposition d’une SCI en cours de constitution appartenant à sa compagne du moment qui détient ce local. Sur le procès-verbal de la réunion du conseil d’administration à aucun moment n’est mentionné le nom de la gérante.
Et le 1er juillet 2011, la SCI la Saca achète 402.000 € frais de notaire inclus le bâtiment retenu, grâce à un petit crédit de 110 % remboursable sur quinze ans du Crédit agricole qui finance ainsi intégralement l’achat, sans aucun apport, mais disposant d’un locataire notoirement solvable « dont les revenus sont garantis ».
Revenus garantis de 42.000 €/an de loyers versés (150 % des mensualités de remboursement, de quoi payer les impôts sur le revenu qui vont avec et de s’en garder pour la soif) par… les Mutuelles de Bretagne, dont « Riz-char » n’est jamais que le directeur général !
Il a tout de même le sens des affaires, ce citoyen-là…
C’est tout mieux qu’« Élan-Must » qui fonde une boîte d’intelligence artificiel avec quelques copains, finit par virer le Dégé sur un coup de tête, se défait de ses parts à perte dans la foulée, attend que le Dégé revienne pour faire des pieds et des mains pour racheter l’ensemble en mettant sur la table 97,6 milliards…
Du moment que ce n’est pas son propre argent, mais celui qu’on lui prête…
Quand cette affaire par laquelle le scandale est déballé en mai 2017, notre héro déclare que l’opération n’a « rien d’illégal » et que l’entreprise de sa compagne offrait « le meilleur prix » parmi les réponses à l’appel d’offres.
Il va jusqu’à affirmer que s’il était directeur général de l’établissement mutualiste à l’époque, il ne siégeait pas à son conseil d’administration.
Mon kul : J’ai siégé à bien des CA dont je n’étais pas membre, y compris dans un établissement financier et justement dans une mutuelle, parce que de toute façon ils ne comprenaient rien de ce qu’on leur expliquait : Je prenais les décisions pour eux seulement avec leur aval… et leur signature consignée au PV de réunion !
Mais « Riz-Char » argue qu’il n’est ni marié ni pacsé avec son avocate (qui vit donc dans le péché : Quelle horreur ! Et on confie la garde de la Constitution à ce type de mécréant créature de Belzébuth ?), qu’ils ne vivent pas sous le régime matrimonial et n’ont pas de patrimoine commun. Il conclut même qu’« on peut se séparer demain, chacun gardera ses biens ».
Ce n’est pas comme le « cousin Jean » (Tiberi) qui était bêtement marié avec ma cousine issue de germain de Xavière et qui s’est fait chopée pour un rapport sur la francophonie (et pas la corsitude, sa spécialité de cortenaise) rémunéré qu’elle n’avait pas écrit (il était bourré de faute d’orthographe, pire que ce que je peux en faire, et elle n’en fait jamais aucune, même à main levée…) : Eux ils étaient mariés et lui était soupçonné de recel de délit de concussion, sur ce coup-là : Une qualification juridique parfaitement valable…
De plus, Louise, la fille du couple, née en 2004, porte le nom de « Faire-rang » et est détentrice de la SCI à 1 %. Elle est d’ailleurs représentée devant le notaire, par sa mère et son père, « agissant en tant qu’administrateurs légaux des biens de mademoiselle ».
Ils ont donc bien « des trucs » en commun, y compris en chair et en os !
Puis la réouverture d’une autre enquête et remise en examen pour prise illégale d’intérêts, le 18 janvier 2018. L’affaire est délocalisée à Lille en octobre 2018, auprès trois juges d’instruction. Le 11 septembre 2019, le parquet de Lille annonce la mise en examen de l’honneur et de la probité du bonhomme qui affirme ne pas vouloir démissionner et garder « toute la confiance » du président de la République.
Et en octobre 2022, la Cour de cassation confirme la prescription des faits sans conclure sur le fond de l’affaire. L’arrêt de la Cour doit mettre fin aux poursuites.
Mais de là à avoir le culot d’envisager de le catapulter Pédégé du Conseil Constitutionnel (il n’y rien au-dessus que Dieu, ses saints et ses angelots), c’est tout de même assez fabuleux !
La « Jupitérerie » ne se résumera-t-elle qu’à cette immonde « scorie » de la voyoucratie portée au plus haut niveau ?
Notez bien que c’est dans « l’air du temps », tant du côté de Moscou qui fait main-basse sur les sous-sols Ukrainiens qu’aux USA où des requins vont mettre à sac un pays rayonnant.
Alors, pourquoi pas la « Gauloisie-affligée » ?
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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