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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 14 février 2025

Un poulpe tue un calamar qui l’accusait sans pieuvre…

Ce dernier l’aurait insulté !
 
« Va te faire tentaculer, fils de poulpe ! »
L’autre l’aurait encornet.
Encore un drame de la mer qui va faire couler beaucoup d’encre…
 
« Histoire abracadabrantesque, Jean-Marc ! Tu en as d’autres comme ça ? » interroge Jean-Paul.
« — Oui, sais-tu pourquoi on a appelé notre planète Terre des Hommes dans le cosmos ?
Euh, beuh non… Ce n’est pas moi qui reçois la gazette galactique des (f)Ummistes !
Parce que personne n’a jamais réussi à faire taire des femmes ! »
 
Plus tard dans la journée, Jean-Paul avoue à son ami, attablés qu’ils sont tous les deux devant une paire de bière que :
« Et c’est là que j’enregistre les cris des joueuses de tennis pour les mettre à fond chez moi et faire croire à mes voisins que j’ai une vie sexuelle épanouie.
C’est plus réaliste que les DVD pornos ! »
 
« — Sais-tu pourquoi le préfet de police à demander à ses troupes de mettre tous les crocos en prison ?
— Je ne savais pas cette instruction préfectorale… Et alors, qu’est-ce qui a motivé cette décision ? Ils sont dangereux sortis de leur enclos ou de leur bassin ?
— Parce que les crocos dealent !
C’est malin !!! »
 
Visite domiciliaire chez Jean-Paul :
« — Je suis envoyé par le parquet !
Désolé, je n’ai rien à cirer ! »
 
Encore plus tard, devant une seconde tournée de bière matinale avant d’aller travailler, les deux mêmes :
« — L’autre jour, eh bien je suis allé à Melle, dans les Deux-Sèvres !
Eh bien j’ai mis un temps fou avec l’autocar !
Normal !
Et pourquoi ça, par hasard ?
Parce qu’il est bien connu que le car à Melle est mou… »
 
Et déjà une « revenue » :
Germaine, la veille au soir, avec Jean-Marc :
« — Chéri, ça te dirait de détacher mon soutien-gorge ?
Eh oh ! Je ne suis pas ta bonne ! Le K2R est sous l’évier dans la cuisine ! »
 
Plus tard, Jean-Paul, à la pause méridienne, devant sa bière :
« — Tu vois, le fait qu’on ait besoin de deux témoins pour se marier est bien la preuve qu’on commet un délit !
 »
 
Le même, toujours en compagnie de Jean-Marc.
« — Il y a un truc que je ne comprends pas… Tu peux m’expliquer ?
Peut-être ! Dis toujours.
Bien. On dit d’une femme qui n’a pas beaucoup de poitrine que c’est une planche à repasser.
Oui, parfois.
Mais alors, pourquoi dit-on ‘‘une planche à dessin’’ ? »
 
Sur le chemin du retour au boulot, à l’heure de la sieste, les deux mêmes :
« — Tu sais, je crois qu’on a raison de dire que l’électeur est au politicien ce que le galet est à la mer…
Ah ? Comment ça ?
Il est éternellement roulé !
… Les cocus aussi ! »
 
Marie-Chantal, au volant, arrêtée par la maréchaussée :
« — Désolé Madame, mais, pas de ceinture, c’est 75 € !
Et juste par curiosité, sans culotte, c’est combien, Monsieur le policier ? »
 
Jean-Paul, devant sa bière vespérale, avec Jean-Marc, au café du coin :
« — Il paraît que des morceaux inédits de Mickael Jackson vont bientôt sortir !
Il fallait l’enterrer plus profondément ! »
 
Jean-Paul, sur le chemin du retour, avant la dernière étape du bar du coin de chez lui, avec Jean-Marc :
« — Tu savais qu’un raton-laveur ça meurt après avoir eu une relation sexuelle ?
Jamais entendu parler de ça… Tu ne confonds pas avec la mante-religieuse ?
Peut-être. En tout cas, celui que j’ai niqué n’a pas survécu !
N’importe quoi…
L’alcool ne t’améliore pas, passée une certaine heure… »
 
Les deux mêmes :
« — J’apprends l’anglais !
Qui toi ?
Yes !
Oh… Et comment on dit en anglais… par exemple… ‘‘ je voulais être chirurgien’’ ?
Facile : I wanted to be stouri ! »
 
« — Monsieur et madame Gina ont eu un fils !
Oui et alors ? Qu’est-ce que ça peut me faire : La prochaine fois, ils auront peut-être une fille…
Sais-tu comment ils l’ont appelé ?
Je ne sais pas moi…
Laurent !
Je confirme : Ils sont complétement secoués ! »
 
Jean-Marc, avec Germaine :
« — Tu as simulé ?
Bé non ! J’ai déjà un goret, qu’est-ce que tu veux que je foute avec six mulets ? »
 
Devant la « der des der », nos deux compères :
« — Tu te rends compte des progrès de nos sociétés modernes !
Quoi ?
Avant, pour tester un nouveau cosmétique, on martyrisait des animaux, des lapins, des hamsters, des chiens, des chèvres…
Ah oui… et ?
Et maintenant, on utilise des influenceuses ! »
 
« La modernité, c’est qu’on peut mettre en garde-à-vue 68 millions de personnes et leur piquer deux ans.
Mais on est incapable de prendre 2 % à 109 milliardaires ! »
 
« — C’est aussi de se rendre compte qu’on ne peut pas faire 1.000 pompes par jour…
Sauf si on est un enfant chinois dans une usine Nike ! »
 
Germaine et Marie-Chantal :
« — Cet été, je n’arriverai pas à rentrer dans du 36…
Mais si t’inquiète !
Tu es adorable !
Et puis le 38 passe à 17 h 15 à Denfert-Rochereau. »
 
Dispute vespérale…
Germaine, à Jean-Marc :
« — Je suis furax ! Je suis à bout !
J’ai passé dix ans de ma vie pour me rendre compte que tu es un imbécile !
Le roi des imbéciles !
Que dis-je, l’empereur des imbéciles !
Punaise ! Et il t’a fallu 10 ans pour t’en rendre compte !
C’est ce que je viens de dire !
Et avec ça, c’est moi qui suis l’imbécile ??? »
 
Jean-Paul, le lendemain :
« Tu sais, arrivé à un certain stade de la vie, il vaut mieux éviter les disputes.
Si un couillon te prétend qu’une vache ça peut voler, laisse courir, et dis-lui qu’il a raison ! »  
 
À la campagne, un reporteur tend son micro à un autochtone grincheux :
« — Monsieur le maire, comment appelez-vous les habitants de votre commune ?
Par téléphone, qu’est-ce que vous croyez !
On a aussi l’électricité ici ! »
 
Jean-Marc raconte :
« Aujourd’hui j’ai tondu la pelouse, et après l’avoir fait, je me suis assis et j’ai bu une bière fraîche.
La journée était vraiment très belle et la boisson a facilité ma réflexion approfondie.
Ma femme est passée par là à ce moment-là et m’a demandé ce que je faisais.
Et je lui ai répondu : « Rien ».
La raison pour laquelle j’ai dit « rien » au lieu de dire « juste réfléchir » est qu’elle aurait alors demandé : « À propos de quoi ? »
Or, à ce stade, j’aurais dû expliquer que les hommes réfléchissent profondément sur divers sujets, ce qui entraînerait d’autres questions.
Finalement, j’ai réfléchi à une question séculaire : Accoucher est-il plus douloureux que de recevoir un coup de pied dans les noisettes ?
Les femmes soutiennent toujours qu’accoucher est bien plus douloureux qu’un homme se faisant botter les couilles. Mais comment pourraient-elles le savoir puisque ça ne leur est jamais arrivé ?
Eh bien, après une autre bière et quelques réflexions déductives plus approfondies, j’ai trouvé une réponse à cette question.
Se faire éclater les bijoux de famille est bien plus douloureux que d’avoir un bébé, et même si je ne pouvais évidemment pas vraiment le savoir pour ne pas savoir accoucher, je livre la raison de ma conclusion :
Environ un an après l’accouchement, une femme dira souvent : « Ce serait peut-être bien d’avoir un autre enfant. »
Or, on n’entend jamais un gars dire : « Vous savez, je pense que j’aimerais avoir un autre coup de pied dans les noix. »
Et je reste persuadé du bien fondé de mon assertion.
Il est temps de prendre une autre bière.
Puis peut-être de faire une petite sieste. »
 
Jean-Paul se fait draguer au bar d’une boîte de nuit.
La donzelle s’approche et pour entamer la discussion lui pose une question.
« Dis, tu fais quoi dans la vie, toi ! »
Jean-Paul pose son verre de bière et répond.
« — Je filtre des bières !
Ah oui ? Et tu fais ça comment ?
Avec mes reins ! »
 
C’est l’histoire de deux copines, dans la même boîte, mais un autre soir…
« Comment va ton mec ?
Ce n’est plus mon mec depuis un mois !
Ah bon ? Alors je peux t’avouer que j’ai couché avec lui il y a deux jours…
Maintenant c’est mon mari…
 »
 
Encore une « revenue » :
Jean-Marc et Jean-Paul.
« — Tu te rends compte, les jeunes ça ne respecte plus rien…
Nous avons été cambriolés cette nuit !
Non pas possible ? Durant ton sommeil ?
Oui, je n’ai rien entendu, torché que j’étais.
Et ils ont pris quelque chose ?
Ah oui, tu penses ! Ils ont été servis !
Ils ont pris quoi ?
Une bonne raclée administrée par Germaine qui croyait que je rentrais encore bourré !
Celle-là, ils ne l’ont pas volée !
Ça tu peux le dire… »
 
Jean-Marc dans une restaurant chinois, s’adressant à un serveur :
« — Vous n’avez pas d’urinoir dans votre établissement ?
Ah non, Missieur ! Ici que du riz blanc… hihihi ! »   
 
Jean-Paul prévient ses collègues :
« Si un jour vous me voyez commander au bar une boisson sans alcool…
C’est qu’on m’a enlevé et que j’essaye d’attirer votre attention ! »
 
Conseil de Jean-Marc à Jean-Paul :
« Si tu veux séduire une femme, il faut la faire rire.
Et si tu veux la faire rire, c’est très simple :
Premièrement, tu te places face à elle.
Deuxièmement, tu la regardes dans les yeux.
Et troisièmement, tu lui dis : ‘‘ Ici, c’est moi qui commande !’’ »
 
Marie-Chantal à Germaine, chacune grignotant une madeleine au salon de thé du quartier :
« — On sait toujours quand un homme va dire une chose intelligente…
Ah oui ? Comment ?
Il commence forcément sa phrase par ‘‘ Ma femme m’a dit que…’’ 
Ce n’est pas faux ! » 
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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