Leur « Brexit » !
Où en sont-ils ? Les sondages indiquent que l’opinion publique se serait inversée sur la question, une majorité de personnes estimant désormais qu’il s’agissait d’une erreur.
Ça, nous on le savait et je le leur avais dit. Mais bon, avec mon accent « titi-parigot » et mes « mots Corsi », je n’étais pas très convaincant… Et puis de toute façon, j’étais minoritaire à penser que c’était plutôt une bonne initiative pour l’UE… à l’époque.
On peut se tromper : Je déchante vu la façon dont l’UE dérape considérablement de ses objectifs de vie simplifiée, facilitée pour les citoyens. Nos eurocrates ne se sentent plus pisser depuis quelques temps et enferment les nations et leurs citoyens dans un carcan réglementaire de plus en plus étroit et plutôt mortifère pour l’économie… Après tout, ce sont eux qui ont décidé de détruire nos industries polluantes pour les confier aux chinois, les délocaliser et aggraver la pollution sur le trajet du retour des produits finis…
Que nos prolos finiront par ne plus pouvoir acheter avec leurs maigres indemnités-chômage…
Il y a donc cinq ans, deux foules distinctes s’étaient rassemblées près du Parlement britannique : L’une se réjouissait en brandissant des drapeaux de l’Union Jack dans une ambiance festive qui sied « aux grandes victoires historiques », tandis que l’autre, plus sombre, arborait des bannières de l’Union européenne et prophétisaient un déclassement général définitif qui, heureusement, n’a pas eu lieu.
Où en sont-ils ? Les sondages indiquent que l’opinion publique se serait inversée sur la question, une majorité de personnes estimant désormais qu’il s’agissait d’une erreur.
Ça, nous on le savait et je le leur avais dit. Mais bon, avec mon accent « titi-parigot » et mes « mots Corsi », je n’étais pas très convaincant… Et puis de toute façon, j’étais minoritaire à penser que c’était plutôt une bonne initiative pour l’UE… à l’époque.
On peut se tromper : Je déchante vu la façon dont l’UE dérape considérablement de ses objectifs de vie simplifiée, facilitée pour les citoyens. Nos eurocrates ne se sentent plus pisser depuis quelques temps et enferment les nations et leurs citoyens dans un carcan réglementaire de plus en plus étroit et plutôt mortifère pour l’économie… Après tout, ce sont eux qui ont décidé de détruire nos industries polluantes pour les confier aux chinois, les délocaliser et aggraver la pollution sur le trajet du retour des produits finis…
Que nos prolos finiront par ne plus pouvoir acheter avec leurs maigres indemnités-chômage…
Il y a donc cinq ans, deux foules distinctes s’étaient rassemblées près du Parlement britannique : L’une se réjouissait en brandissant des drapeaux de l’Union Jack dans une ambiance festive qui sied « aux grandes victoires historiques », tandis que l’autre, plus sombre, arborait des bannières de l’Union européenne et prophétisaient un déclassement général définitif qui, heureusement, n’a pas eu lieu.
Pour les partisans du Brexit, le Royaume-Uni est
devenu une nation souveraine en charge de son propre destin. Pour les
opposants, il s’est transformé en un pays isolé et diminué.
Et cinq ans plus tard, les citoyens et les entreprises sont toujours aux prises avec les répercussions économiques, sociales et culturelles de ce Brexit, que ça aura été le boxon durant des mois et des mois dans les ports et aéroports. Même James Bond n’y a pas survécu, c’est dire !
Ni d’ailleurs sa très gracieuse majesté « Elisabeth II », mais ça, c’est plus logique.
Nation insulaire ayant un sens aigu de son importance historique, la Grande-Bretagne était depuis longtemps un membre mal à l’aise de l’UE qui avait pourtant fait des pieds et des mains pour rejoindre « l’Europe de 6 » d’abord, s’il n’y avait eu l’opposition ferme du Général De Gaulle : Lui savait que les « ricains » poussaient leurs cousins anglo-saxons à devenir le porte-avions des USA au sein de l’Europe.
Et puis « Pompon-pie-doux » avait une autre vision, celui de la « haute finance » qui y voyait un « marché à prendre ». Ils ont réussi à peser sur le devenir de l’UE à 9 (1973), (et au-delà) jusqu’à cette promesse de refaire un référendum en juin 2016 sur le maintien ou la sortie de l’Union (le précédent date de 1975…).
Des décennies de désindustrialisation plus tard, suivies d’années de réduction des dépenses publiques et d’une forte immigration, ont constitué un terrain fertile pour l’argument selon lequel le « Brexit » permettrait au Royaume-Uni de « reprendre le contrôle » de ses frontières, de ses lois et de son économie.
Mais ni le gouvernement conservateur, qui a fait campagne pour rester dans l’UE, ni les militants pro-Brexit n’avaient prévu les détails désordonnés de la séparation.
Comme quoi…
Le référendum a été suivi par des années de querelles sur les conditions de la séparation entre une UE meurtrie de cette défiance injustifiée et un Royaume-Uni déchiré, ce qui a provoqué un blocage au Parlement et a finalement eu raison de la « Première sinistre » « Théière-Mais ». Elle a démissionné en 2019 et a été remplacée par « BoJo », cet enragé qui s’est engagé à « faire aboutir le Brexit » pour lequel il avait fait une campagne éhontée pourrie de fakes.
Et cela signifiait que le Royaume-Uni partait sans accord sur sa future relation économique avec l’UE, qui représentait toute de même la moitié des échanges commerciaux du pays : Un vrai gag !
Un départ politique suivi de 11 mois de négociations houleuses sur les conditions du divorce, qui ont abouti à un accord à la veille de Noël 2020. Un accord plutôt cool puisque les marchandises pouvaient circuler sans droits de douane ni quotas, mais entraînait de nouvelles formalités administratives, des coûts et des retards pour les entreprises commerciales.
Pour continuer à commercer avec l’UE, bien des entreprises anglaises ont dû s’établir en Irlande, par laquelle toutes les commandes destinées aux pays de l’UE doivent passer avant d’être expédiées. C’est possible pour les grosses « boutiques » mais pas pour les petites entreprises qui du coup ont cessé de commercer avec l’UE ou ont délocalisé leur production hors du Royaume-Uni.
L’Office for Budget Responsibility du gouvernement calcule ainsi que les exportations et les importations britanniques seront à long terme inférieures d’environ 15 % à ce qu’elles auraient été si le Royaume-Uni était resté dans l’UE, et que la productivité économique sera inférieure de 4 % à ce qu’elle aurait été autrement.
Tout à un prix… même si celui-là est « théorique ». Comme aurait dit « Mythe-errant », « Maître-du-Verbe », on ne saura jamais si c’est un mensonge ou non, puisque ça ne s’est pas passé comme ça !
Car le Brexit ne s’est finalement pas déroulé comme le prévoyaient ni ses partisans ni ses opposants.
Là-dessus, la pandémie de « Conard-virus » et l’invasion de l’Ukraine par la Russie ont aggravé les perturbations économiques mais ont rendu aussi plus difficile l’évaluation de l’impact du Brexit sur l’économie de l’Union-Jack.
C’est le désir de réduire l’immigration qui était l’une des principales raisons pour lesquelles de nombreuses personnes ont voté en faveur de la sortie de l’UE. Paradoxalement, l’immigration au Royaume-Uni est aujourd’hui bien plus élevée qu’avant le Brexit, car le nombre de visas accordés à des travailleurs du monde entier a explosé : C’est ça la maîtrise de sa migration…
D’autant que cette immigration n’est plus européenne mais bien plus le tiers-mondiste, de ceux-là mêmes dont les britanniques ne voulaient plus !
Et cinq ans plus tard, les citoyens et les entreprises sont toujours aux prises avec les répercussions économiques, sociales et culturelles de ce Brexit, que ça aura été le boxon durant des mois et des mois dans les ports et aéroports. Même James Bond n’y a pas survécu, c’est dire !
Ni d’ailleurs sa très gracieuse majesté « Elisabeth II », mais ça, c’est plus logique.
Nation insulaire ayant un sens aigu de son importance historique, la Grande-Bretagne était depuis longtemps un membre mal à l’aise de l’UE qui avait pourtant fait des pieds et des mains pour rejoindre « l’Europe de 6 » d’abord, s’il n’y avait eu l’opposition ferme du Général De Gaulle : Lui savait que les « ricains » poussaient leurs cousins anglo-saxons à devenir le porte-avions des USA au sein de l’Europe.
Et puis « Pompon-pie-doux » avait une autre vision, celui de la « haute finance » qui y voyait un « marché à prendre ». Ils ont réussi à peser sur le devenir de l’UE à 9 (1973), (et au-delà) jusqu’à cette promesse de refaire un référendum en juin 2016 sur le maintien ou la sortie de l’Union (le précédent date de 1975…).
Des décennies de désindustrialisation plus tard, suivies d’années de réduction des dépenses publiques et d’une forte immigration, ont constitué un terrain fertile pour l’argument selon lequel le « Brexit » permettrait au Royaume-Uni de « reprendre le contrôle » de ses frontières, de ses lois et de son économie.
Mais ni le gouvernement conservateur, qui a fait campagne pour rester dans l’UE, ni les militants pro-Brexit n’avaient prévu les détails désordonnés de la séparation.
Comme quoi…
Le référendum a été suivi par des années de querelles sur les conditions de la séparation entre une UE meurtrie de cette défiance injustifiée et un Royaume-Uni déchiré, ce qui a provoqué un blocage au Parlement et a finalement eu raison de la « Première sinistre » « Théière-Mais ». Elle a démissionné en 2019 et a été remplacée par « BoJo », cet enragé qui s’est engagé à « faire aboutir le Brexit » pour lequel il avait fait une campagne éhontée pourrie de fakes.
Et cela signifiait que le Royaume-Uni partait sans accord sur sa future relation économique avec l’UE, qui représentait toute de même la moitié des échanges commerciaux du pays : Un vrai gag !
Un départ politique suivi de 11 mois de négociations houleuses sur les conditions du divorce, qui ont abouti à un accord à la veille de Noël 2020. Un accord plutôt cool puisque les marchandises pouvaient circuler sans droits de douane ni quotas, mais entraînait de nouvelles formalités administratives, des coûts et des retards pour les entreprises commerciales.
Pour continuer à commercer avec l’UE, bien des entreprises anglaises ont dû s’établir en Irlande, par laquelle toutes les commandes destinées aux pays de l’UE doivent passer avant d’être expédiées. C’est possible pour les grosses « boutiques » mais pas pour les petites entreprises qui du coup ont cessé de commercer avec l’UE ou ont délocalisé leur production hors du Royaume-Uni.
L’Office for Budget Responsibility du gouvernement calcule ainsi que les exportations et les importations britanniques seront à long terme inférieures d’environ 15 % à ce qu’elles auraient été si le Royaume-Uni était resté dans l’UE, et que la productivité économique sera inférieure de 4 % à ce qu’elle aurait été autrement.
Tout à un prix… même si celui-là est « théorique ». Comme aurait dit « Mythe-errant », « Maître-du-Verbe », on ne saura jamais si c’est un mensonge ou non, puisque ça ne s’est pas passé comme ça !
Car le Brexit ne s’est finalement pas déroulé comme le prévoyaient ni ses partisans ni ses opposants.
Là-dessus, la pandémie de « Conard-virus » et l’invasion de l’Ukraine par la Russie ont aggravé les perturbations économiques mais ont rendu aussi plus difficile l’évaluation de l’impact du Brexit sur l’économie de l’Union-Jack.
C’est le désir de réduire l’immigration qui était l’une des principales raisons pour lesquelles de nombreuses personnes ont voté en faveur de la sortie de l’UE. Paradoxalement, l’immigration au Royaume-Uni est aujourd’hui bien plus élevée qu’avant le Brexit, car le nombre de visas accordés à des travailleurs du monde entier a explosé : C’est ça la maîtrise de sa migration…
D’autant que cette immigration n’est plus européenne mais bien plus le tiers-mondiste, de ceux-là mêmes dont les britanniques ne voulaient plus !
Parallèlement, la montée en puissance des dirigeants
politiques protectionnistes, en particulier du nouveau président « ricain »,
a fait monter les enchères pour la Grande-Bretagne qui est désormais prise en
étau entre ses proches voisins européens et sa « relation spéciale »
transatlantique avec les « cousins ricains » : « Le
monde est beaucoup moins indulgent aujourd’hui qu’il ne l’était en 2016,
lorsque nous avons voté pour la sortie » en dit un responsable.
Bé oui : Les générations passent et elles deviennent plus facilement « nationalpopulistes » !
Bé oui : Les générations passent et elles deviennent plus facilement « nationalpopulistes » !
C’est probablement une question d’accent du langage.
Néanmoins, la réintégration de l’UE semble une perspective lointaine. Les souvenirs des disputes et des divisions étant encore vifs, peu de gens veulent repasser par tout le processus. Le « Premier sinistre » travailliste « Kyr-étoile-mère », élu en juillet dernier, a pourtant promis de « réinitialiser » les relations avec l’UE, mais il a exclu de réintégrer l’union douanière ou le marché unique.
Il vise des changements relativement modestes, tels que la facilitation des tournées d’artistes et la reconnaissance des qualifications des professionnels, ainsi qu’une coopération plus étroite en matière d’application de la loi et de sécurité, là où une perche lui est tendue en lui proposant d’intégrer un ensemble plus vaste.
Une sorte de « come-back » sans le dire…
Toutefois, l’UE est confrontée à ses propres problèmes dans un contexte de montée du « national-populisme » sur le continent et le Royaume-Uni n’est plus une priorité.
Et il n’est pas certains que les britanniques soient accueillis favorablement : Certains dirigeants « nationaux-populistes », et même quelques eurodéputés, préféreraient manifestement une UE mise sous tutelle de Moscou !
Dont l’ennemi héréditaire reste London depuis la « Révolution d’Octobre » (celle qui a eu lieu en novembre…)
En revanche, après l’UE et ses frontières-passoires désignée comme le bouc émissaire idéal en 2016 par les « brexiters », le discours a été remplacé par la figure du « migrant », vu comme le responsable de tous les maux des Britanniques !
Sur les flancs d’un mythique bus londonien à deux étages, le slogan avait été martelé pendant toute la campagne par les pro-Brexit : « Nous donnons chaque semaine 350 millions de livres à l’Europe. Donnons-les plutôt à nos hôpitaux. » C’était en 2016, en pleine campagne pro-referendum, et les partisans du « Leave » s’en donnaient à cœur joie pour convaincre les citoyens de quitter l’UE.
Ce chiffre trompeur a depuis été « fact-checké » à maintes reprises, mais il reste symbolique d’une campagne rongée par les fakes news.
« La campagne pro-Brexit était un tissu de mensonges assumé par les politiques, qui a fait basculer le vote en leur faveur », assure une maîtresse de conférences en civilisation britannique. Une bascule qui s’était jouée d’un souffle puisque le 23 juin 2016, le camp du « Leave » l’avait emporté avec 51,89 % des voix et aura surpris tout le monde, même les membres du groupe Bilderberg qui se réunissaient ce jour-là.
Les mensonges de l’époque se concentraient sur deux axes précis : Le contrôle des frontières et les fonds alloués par le Royaume à l’Union Européenne. « En disant : "L’argent que l’on donne à l’Europe, on va vous le redonner à vous et au système de santé nationale", le choix était vite fait pour les Britanniques ! ».
Mais c’était notamment faire fi des aides accordées par Bruxelles au Royaume-Uni, ou encore des avantages liés à l’accès au marché commun.
Et parce que ces promesses étaient basées sur des approximations, il n’aura pas fallu longtemps pour qu’elles volent en éclats : Seulement deux jours après la victoire du « Leave », « Ni-gel-ni-Barrage », un des piliers de la campagne pro-Brexit, interrogé sur la promesse de reverser les 350 millions de livres donnés à l’UE aux hôpitaux britanniques, rétropédalait sans vergogne : « Je ne peux pas le garantir. C’est une erreur d’avoir fait ce genre de promesses. »
Et il a fallu établir un plan d’étalement du remboursement des avances payées par l'UE !
Une « trahison » pour celles et ceux qui y ont cru qui s’est poursuivi d’année en année. « Huit ans plus tard, le système de santé est dans un état catastrophique ». Après la publication d’un rapport accablant sur le NHS, « Kyr-étoile-mère » (leur « Premier sinistre ») a promis une « intervention chirurgicale majeure » pour le système.
Dans le même temps, « les entrées illégales sur le territoire n’ont pas baissé », notamment en Manche. « Mais surtout, les conditions de vie des Britanniques se sont dégradées. »
Une professeure à l’université Sorbonne Nouvelle, confirme cet état des lieux de son côté : « La société est divisée, l’économie est à la peine, les échanges culturels et universitaires sont réduits, moins de touristes, moins d’investissement… »
L’heure est donc au « Bregret », contraction de « Brexit » et « regret » : Selon un récent sondage, plus de la moitié des Britanniques (55 %) sont favorables à un retour dans l’UE. « Ils se sentent seuls, dans un monde de plus en plus dangereux, entre les États-Unis de Trump qui se moque de la relation "privilégiée" qu’ils sont censés avoir, et la Chine ou la Russie. »
Et seulement 11 % des citoyens estiment que le Brexit a été un succès…
Certains parlent même de « Brexignation » : Le mal est fait, il faut passer à autre chose.
Et furtivement, le bouc émissaire européen (comme évoqué ci-avant) a été remplacé peu à peu par la figure du « migrant », responsable de tous les maux des Britanniques, comme dans d’autres pays.
Où le « national-populisme » pointe son nez pour expliquer la décadence des royaux sujets de « Carlos-le-Troisième ».
Au migrant, désormais on lui accole des fausses informations, des stéréotypes et des discriminations. « Ce qui est resté du Brexit, c’est une radicalité dans les propos sur l’immigration, où la droite et l’extrême droite se rejoignent. Tous les partis sont obligés d’en parler, et on ne parle plus que de ça. »
Une obsession de l’immigration couplée à la diffusion de fake news qui créent de profondes divisions dans la société : C’était notamment le cas lors des émeutes d’août dernier, déclenchées par la mort de trois jeunes filles tuées au couteau à SouthPort.
Le meurtrier avait d’abord été présenté comme un demandeur d’asile de confession musulmane…
Cette fausse information, répandue par de nombreux comptes d’extrême droâte, avait déclenché des émeutes d’une rare violence.
Puis les autorités avaient révélé l’identité du suspect, âgé de 17 ans, né à Cardiff de parents rwandais et issu d’une famille chrétienne.
Mais ça n’avait pas calmé les esprits.
Cinq ans après le Brexit, le Royaume-Uni ouvre timidement la porte à un rapprochement avec l’UE.
Le gouvernement travailliste du Royaume-Uni, qui avait rejeté une suggestion d’accord douanier avec des États membres de l’UE, s’est dit prêt à « examiner des propositions » pour avancer sur le dossier.
Le commissaire européen au Commerce avait déclaré en début de semaine à la BBC que l’UE était prête à « envisager » d’intégrer le Royaume-Uni à cet accord qui regroupe certains pays membres, des États méditerranéens et des pays des Balkans.
La perche tendue, évoquée ci-avant.
Mais pour l’heure, le Royaume-Uni « n’a aucun projet de rejoindre » un tel accord, avait rétorqué le « sinistre des Relations post-Brexit avec l’UE ». Sa « sinistre des Finances », l’un des principaux visages de l’exécutif, a nuancé les propos de son collègue : « Il était très intéressant de voir Maros Sefcovic suggérer cette semaine que la Grande-Bretagne pourrait être la bienvenue dans ce cadre douanier », a d’abord déclaré la chancelière de l’Échiquier. « Nous sommes absolument ravis d’examiner ces différentes propositions, car nous savons que l’accord obtenu par le gouvernement précédent ne fonctionne pas suffisamment bien », a-t-elle ajouté, sans s’avancer davantage.
Depuis son arrivée au pouvoir il y a six mois, le chef du gouvernement travailliste n’a eu de cesse de tenter de réchauffer les relations avec l’UE après des années de tensions post-Brexit, mais sans revenir sur le divorce, ni rejoindre le marché unique.
La rupture a compliqué les échanges avec l’UE, qui reste le principal partenaire commercial du Royaume-Uni, malgré un accord de libre-échange.
Le pays, qui espère par ailleurs relancer des discussions sur un accord de libre-échange avec « McDo-Trompe » qui de son côté ne pense qu’à une chose, « droits de douane-droits de douane », son credo universel à lui, l’alpha et l’oméga de sa pensée politique (et sa référence idéologique), a conclu depuis le Brexit des traités commerciaux avec l’Australie, la Nouvelle-Zélande ou Singapour.
Et les négociations avec l’Inde traînent en longueur.
Il faudrait avancer plus vite…
Car le monde géopolitique bouge encore et il n’est pas bon d’être isolé sur la scène internationale.
Pour avoir été les maîtres d’un empire sur lequel le soleil ne se couche jamais, les Britanniques le savent bien.
Et pour l’heure, certaines redoutent qu’il y ait comme quelques inquiétudes à avoir quant aux importations du thé de Ceylan de leur « Tea-time », le poisson pêché en mer d’Islande de leur Fish & Chips, et même sur leur demi de Guinness brassée à Dublin (mais embouteillé à Belfast)…
En bref, si chez nous on ne fait plus frémir les foules de « bonnets-rouges » et les marées de « gilets-jaunes » autour de nos ronds-points avec le « Frexit », si encore ailleurs il y en a qui font la guerre à « l’impériale Russie » pour avoir le droit d’intégrer l’UE, en UK on se désole en sourdine de s’être fait… tromper par des bonimenteurs « Brexiteurs » de la dernière espèce, mais on a encore trop d’amour-propre pour le reconnaître et faire trop d’effort pour y revenir.
À mon sens, ils n’y reviendront jamais, ou alors, c’est l’UE qui sera devenue britannique…
Et pour l’heure, ce sont les « nationaux-populistes » qui gagnent ici et là des points au fil des sondages et consultations électorales…
Et là, il y a de moins en moins de honte à faire fi de son « amour-propre » de royal sujet de « Carlos III », vainqueur de la maison Saxe-Cobourg-Gotha et autre Battenberg…
Les jeunes ne connaissent pas leur Histoire et ne savent pas d’où ils viennent pour se donner l’envergure de pourrir la vie d’autrui… et pour se réinventer « sans dieu ni maître »…
Une génération de déracinés, une génération sui generis qui pour l’heure erre vers nulle part.
Le bel exemple que voilà, pour contenter « BoJo » qui ne voulait qu’une chose : Les avantages d’un « ex-premier-sinistre », à savoir principalement une rente à vie de 115.000 livres par an de quoi voir venir… plus quelques autres « détails ».
Heureusement qu’on n’a pas l’équivalent chez nous !!!
Si ? Mieux même, la voiture, le secrétariat…
Malheur de malheur…
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Une « trahison » pour celles et ceux qui y ont cru qui s’est poursuivi d’année en année. « Huit ans plus tard, le système de santé est dans un état catastrophique ». Après la publication d’un rapport accablant sur le NHS, « Kyr-étoile-mère » (leur « Premier sinistre ») a promis une « intervention chirurgicale majeure » pour le système.
Dans le même temps, « les entrées illégales sur le territoire n’ont pas baissé », notamment en Manche. « Mais surtout, les conditions de vie des Britanniques se sont dégradées. »
Une professeure à l’université Sorbonne Nouvelle, confirme cet état des lieux de son côté : « La société est divisée, l’économie est à la peine, les échanges culturels et universitaires sont réduits, moins de touristes, moins d’investissement… »
L’heure est donc au « Bregret », contraction de « Brexit » et « regret » : Selon un récent sondage, plus de la moitié des Britanniques (55 %) sont favorables à un retour dans l’UE. « Ils se sentent seuls, dans un monde de plus en plus dangereux, entre les États-Unis de Trump qui se moque de la relation "privilégiée" qu’ils sont censés avoir, et la Chine ou la Russie. »
Et seulement 11 % des citoyens estiment que le Brexit a été un succès…
Certains parlent même de « Brexignation » : Le mal est fait, il faut passer à autre chose.
Et furtivement, le bouc émissaire européen (comme évoqué ci-avant) a été remplacé peu à peu par la figure du « migrant », responsable de tous les maux des Britanniques, comme dans d’autres pays.
Où le « national-populisme » pointe son nez pour expliquer la décadence des royaux sujets de « Carlos-le-Troisième ».
Au migrant, désormais on lui accole des fausses informations, des stéréotypes et des discriminations. « Ce qui est resté du Brexit, c’est une radicalité dans les propos sur l’immigration, où la droite et l’extrême droite se rejoignent. Tous les partis sont obligés d’en parler, et on ne parle plus que de ça. »
Une obsession de l’immigration couplée à la diffusion de fake news qui créent de profondes divisions dans la société : C’était notamment le cas lors des émeutes d’août dernier, déclenchées par la mort de trois jeunes filles tuées au couteau à SouthPort.
Le meurtrier avait d’abord été présenté comme un demandeur d’asile de confession musulmane…
Cette fausse information, répandue par de nombreux comptes d’extrême droâte, avait déclenché des émeutes d’une rare violence.
Puis les autorités avaient révélé l’identité du suspect, âgé de 17 ans, né à Cardiff de parents rwandais et issu d’une famille chrétienne.
Mais ça n’avait pas calmé les esprits.
Cinq ans après le Brexit, le Royaume-Uni ouvre timidement la porte à un rapprochement avec l’UE.
Le gouvernement travailliste du Royaume-Uni, qui avait rejeté une suggestion d’accord douanier avec des États membres de l’UE, s’est dit prêt à « examiner des propositions » pour avancer sur le dossier.
Le commissaire européen au Commerce avait déclaré en début de semaine à la BBC que l’UE était prête à « envisager » d’intégrer le Royaume-Uni à cet accord qui regroupe certains pays membres, des États méditerranéens et des pays des Balkans.
La perche tendue, évoquée ci-avant.
Mais pour l’heure, le Royaume-Uni « n’a aucun projet de rejoindre » un tel accord, avait rétorqué le « sinistre des Relations post-Brexit avec l’UE ». Sa « sinistre des Finances », l’un des principaux visages de l’exécutif, a nuancé les propos de son collègue : « Il était très intéressant de voir Maros Sefcovic suggérer cette semaine que la Grande-Bretagne pourrait être la bienvenue dans ce cadre douanier », a d’abord déclaré la chancelière de l’Échiquier. « Nous sommes absolument ravis d’examiner ces différentes propositions, car nous savons que l’accord obtenu par le gouvernement précédent ne fonctionne pas suffisamment bien », a-t-elle ajouté, sans s’avancer davantage.
Depuis son arrivée au pouvoir il y a six mois, le chef du gouvernement travailliste n’a eu de cesse de tenter de réchauffer les relations avec l’UE après des années de tensions post-Brexit, mais sans revenir sur le divorce, ni rejoindre le marché unique.
La rupture a compliqué les échanges avec l’UE, qui reste le principal partenaire commercial du Royaume-Uni, malgré un accord de libre-échange.
Le pays, qui espère par ailleurs relancer des discussions sur un accord de libre-échange avec « McDo-Trompe » qui de son côté ne pense qu’à une chose, « droits de douane-droits de douane », son credo universel à lui, l’alpha et l’oméga de sa pensée politique (et sa référence idéologique), a conclu depuis le Brexit des traités commerciaux avec l’Australie, la Nouvelle-Zélande ou Singapour.
Et les négociations avec l’Inde traînent en longueur.
Il faudrait avancer plus vite…
Car le monde géopolitique bouge encore et il n’est pas bon d’être isolé sur la scène internationale.
Pour avoir été les maîtres d’un empire sur lequel le soleil ne se couche jamais, les Britanniques le savent bien.
Et pour l’heure, certaines redoutent qu’il y ait comme quelques inquiétudes à avoir quant aux importations du thé de Ceylan de leur « Tea-time », le poisson pêché en mer d’Islande de leur Fish & Chips, et même sur leur demi de Guinness brassée à Dublin (mais embouteillé à Belfast)…
En bref, si chez nous on ne fait plus frémir les foules de « bonnets-rouges » et les marées de « gilets-jaunes » autour de nos ronds-points avec le « Frexit », si encore ailleurs il y en a qui font la guerre à « l’impériale Russie » pour avoir le droit d’intégrer l’UE, en UK on se désole en sourdine de s’être fait… tromper par des bonimenteurs « Brexiteurs » de la dernière espèce, mais on a encore trop d’amour-propre pour le reconnaître et faire trop d’effort pour y revenir.
À mon sens, ils n’y reviendront jamais, ou alors, c’est l’UE qui sera devenue britannique…
Et pour l’heure, ce sont les « nationaux-populistes » qui gagnent ici et là des points au fil des sondages et consultations électorales…
Et là, il y a de moins en moins de honte à faire fi de son « amour-propre » de royal sujet de « Carlos III », vainqueur de la maison Saxe-Cobourg-Gotha et autre Battenberg…
Les jeunes ne connaissent pas leur Histoire et ne savent pas d’où ils viennent pour se donner l’envergure de pourrir la vie d’autrui… et pour se réinventer « sans dieu ni maître »…
Une génération de déracinés, une génération sui generis qui pour l’heure erre vers nulle part.
Le bel exemple que voilà, pour contenter « BoJo » qui ne voulait qu’une chose : Les avantages d’un « ex-premier-sinistre », à savoir principalement une rente à vie de 115.000 livres par an de quoi voir venir… plus quelques autres « détails ».
Heureusement qu’on n’a pas l’équivalent chez nous !!!
Si ? Mieux même, la voiture, le secrétariat…
Malheur de malheur…
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire