Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 7 février 2025

Enquête loufoque et autres billevesées

Jean-Paul rapporte cette conversation de SMS
 
« Fais attention, mon mari nous soupçonne… »
« Nous soupçonne de quoi la belle ?
J’te connais même pas… »
Plus tard :
« Ok. Je suis son mari. T’es sorti de ma liste de suspects. »
« ??? »
« C’est encore son mari… Je voulais juste m’assurer avant de te casser la gueule ! »
« Non mais !!! »
 
« — Tu aimes sentir un corps tout chaud contre toi ?
Tu aimes sentir un souffle, une odeur dans ton cou ?
Tu aimes essayer toutes sortes de positions ?
Tu aimes sortir par l’arrière et par l’avant ?
Tu aimes tout ça ?
Oui !!!
Alors prends le bus ! »
 
« Je viens de réaliser que le distributeur de serviette en papier dressé à côté de la pompe à essence sert juste à essuyer tes larmes après avoir fait le plein… »
 
Question du jour chez les consultants en marketing :
« Un français sur quatre boit trop d’alcool !
La question est de savoir comment faire boire autant aux trois autres ? »
 
Marie-Chantal à Germaine :
« Être une femme, de nos jours, c’est vraiment très difficile !
À qui le dis tu…
On a toujours envie d’acheter quelque chose, de tuer quelqu’un, de perdre du poid et de manger quelque chose de sucré…
Ne m’en parle pas ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc, à mâtine…
« — C’est incroyable !
— Quoi donc ?
Ce matin, quand je dormais, je rêvais que je dormais !
Oui… Bon…
Mon drame, c’est quand j’ai dû me réveiller, ce que je n’aime pas, j’ai dû le faire deux fois ! »
 
Le nutritionniste consulté par Germaine :
« — Vous devez absolument éviter toutes les choses qui vous font grossir.
Très bien, et je commence par quoi ? La balance ou le miroir ? »
 
Jean-Paul, l’air pâlot à Jean-Marc, chacun devant leur Picon-bière matinal :
« — Je suis malade !
Je le vois bien… Qu’est-ce que tu as ?
J’ai vomi toute la nuit…
Tu as mangé quoi hier soir ?
J’ai surtout vomi tout le jus d’orange de mes 9 verres de Vodka…

Il devait être périmé ! »
 
Plus tard, les mêmes :
« — Sais-tu pourquoi certaines filles ont un doudou ?
Beuh non. Je ne sais pas vraiment… Tu sais toi ?
Oui ! C’est parce qu’elles savent que celui-là ne les abandonnera jamais ! »
 
À la bière méridienne, en guise d’apéritif en attendant leur steak-frites, au café du coin :
« — J’en reste tout chose…
Pourquoi tu me dis ça ? Qu’est-ce qu’il t’est encore arrivé ?
Non rien… Je me pose seulement une question…
Laquelle ?
Eh bien… On sait que les hommes savent sucer un sein dès la naissance. C’est un instinct de survie.
Tu es d’accord ?
Euh oui…
Mais où et comment les filles ont appris à sucer un pénis ?

Ça me dépassera toujours, je crois ! »
 
Les mêmes, à la fin de leur repas, parlant d’un collègue :
« — Quand j’ai vu sa gueule, ça aura été comme une révélation…
Ah bon ?
Oui ! J’ai compris que Dieu avait le sens de l’humour ! »
 
En fin de repas :
« — Mais qu’est-ce que tu as à encore boire ?
Ce n’est que du thé !
C’est ça : Quelle sorte de thé ?
Du t’es-qui-là, pourquoi ? »
 
Et puis plus tard, à la sortie de la salle de gymnastique :
« — Tu sais, le sport permet de se trouver beau tout nu…
Oui, probablement. Mais heureusement l’alcool aussi ! »
 
Au commissariat local, interrogatoire d’un prévenu :
« — C’est quand que vous vous êtes rendu compte que votre femme était morte ?
Bé, au niveau sexe, c’était comme d’habitude.
En revanche, quand la vaisselle a commencé à s’accumuler… »
 
Jean-Paul à Jean-Marc, au bar en fin de journée, devant un dernier Picon-bière avant de rentrer…
« — Hier soir, je suis sorti en boîte…
Tu devrais venir… en célibataire.
Oh, tu sais, célibataire avec Germaine…
Non mais j’étais déchiré. Tellement que quand je suis allé chercher un dernier verre au bar avant de partir, en traversant la piste de danse, bé figure toi que j’ai gagné le concours de danse. »
 
Pendant ce temps-là, Marie-Chantal et Germaine…
« — Bon d’accord, j’ai un caractère de merde, je le reconnais.
Ah ça…
Oui mais moi, j’ai une superbe paire de seins.
Alors ça va ! »
 
Les mêmes :
« — Tu n’es pas dû souffrir beaucoup dans ta vie toi !
Pourquoi tu dis ça ?
Parce que c’est bien connu que pour être belle, il faut savoir souffrir ! »
 
Jean-Marc à Jean-Paul, une réflexion de bon sens sur le chemin du retour :
« — Moi, j’ai une petite pensée pour les rois mages, tu sais ceux de Noël !
Pourquoi ?
Bin, ils se sont quand même tapé 2.000 bornes à pied pour finir dans une chanson de Sheila ! »
 
Le soir, dialogue entre Germaine et Jean-Marc :
« — Pour ce soir, j’hésite quant au programme à la télé…
Entre quoi et quoi ?
Entre le foot ou une cassette porno !
Mets la cassette : Au foot, tu sais déjà jouer… »
 
Question de Jean-Marc à un jardinier de chez « Madame Truffaut » :
« — Pour dissoudre un corps… Il vaut mieux un acide ou un basique ?
C’est pour un ami…
Ah si c’est pour un ami, je lui conseillerais de creuser un trou de 3 mètres de profondeur…
Ah bon ?
Pour y mettre le corps au fond… Il le rebouchera ensuite sur environ 1,50 m et y mettra le cadavre d’un animal en décomposition.
Oui, oui…
Ensuite il rebouche totalement et y plantera une plante d’une espèce protégée.
Ah oui ?
Oui. Comme ça, si les flics veulent creuser parce que leurs chiens ont détecté l’odeur d’un cadavre, il leur faudra avant obtenir une autorisation préfectorale délivrée après consultation du ministère de la protection et de la sauvegarde de l’environnement.
Au pire, s’ils l’obtiennent, ils creuseront et découvriront le cadavre en décomposition de l’animal : Ils n’iront pas plus loin !
Et hop, affaire classée !
Et vous vendez quoi comme espèce protégée ?
— Ah monsieur, vous tombez bien : Nous avons reçu justement nos promotions du mois ! »
 
Germaine :
« C’est décidé : Je ne repasse plus.
Si je peux vivre ridée, mes vêtements peuvent vivre froissés »

Germaine à Marie-Chantal :
« — Je vais divorcer de Jean-Marc !
Mais pourquoi ? Il te trompe.
Non, il me traite comme un chien !
Il te frappe ?
Mais non !
Bé alors quoi ?
Il veut que je lui sois fidèle ! »
 
Jean-Marc au restaurant avec sa maîtresse :
« — Chérie, dis-moi quelque chose qui fera battre mon cœur encore plus vite !
Ta femme vient d’entrer dans le resto ! »
 
Jean-Marc à Jean-Paul :
« — Tu connais la différence entre un imbécile et un homme politique ?
Non… Ils ne sont pas de la même espèce ?
Pas du tout. L’un dit des conneries, l’autre les fait ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc :
« Oh tu sais, moi, les femmes… c’est toujours la même histoire !
Bof, pas tout le temps, quand même…
Si, si !
À 8 ans, tu les emmènes au dodo et il faut leur raconter une histoire.
À 18 ans, il faut leur raconter une histoire pour les emmener au lit.
À 28 ans, il n’y a plus besoin d’histoire pour les emmener au lit.
À 38 ans, ce sont elles qui te racontent une histoire pour t’emmener au lit.
À 48 ans, elles te racontent une histoire pour éviter de t’emmener au lit.
À 58 ans, tu restes au lit pour éviter les histoires !
À 68 ans, si tu réussis à l’emmener au lit, c’est toute une histoire…
Et à 78 ans, elle te demande qui tu es ! »
 
Germaine fait se mots croisés…
« — Jean-Marc ! Tu as une idée à me proposer : Méthode rapide pour grossir en 7 lettres ?
Mariage ! »
 
C’est l’histoire de ces professeurs d’une école d’ingénieur qui doivent prendre un prototype d’avion pour se rendre à un congrès…
Une fois installé, l’organisateur de ce voyage leur indique que cet avion est un prototype conçu et fabriqué par leurs étudiants…
Tous débouclent en urgence leur ceinture et sortent rapidement de l’appareil.
Tous, sauf un !
On lui demande ensuite pourquoi il n’est pas parti avec ses collègues :
« — Ce sont nos étudiants…
Et êtes-vous certain de leur avoir bien enseigné la façon de faire un avion ?
Je suis surtout certain que cet avion ne pourra pas décoller… »
 
Lu pour vous, chez Jean-Marc :
« Amis bricoleurs !
Perdez vos complexes !
N’oubliez pas que l’arche de Noé a été bâtie par un amateur…
Et que le Titanic a été construit par des professionnels ! »
 
À Jean-Paul (de Jean-Marc) :
« Tu sais, si tu mets d’un côté tous ceux qui brassent de l’air et de l’autre côté tous ceux qui te pompent l’air…
Eh bien tu as de l’air conditionné gratuit ! »
 
En début de soirée, les deux mêmes :
« — Si Claire et sourde et Louis aveugle…
On peut dire que Louis ne voit pas clair et que Claire a perdu l’ouïe…
Tu crois ? »
 
« — Si tu additionnes 3 et 5, ça fait combien Émile ?
1008 !
Mais non ! 8, Émile !
1008 » répond le gamin…
 
Jean-Paul à Jean-Marc, sur la route du retour :
« — Tu as vu comme la forêt est propre !
Oui…
Un druide a dû passer la serpe hier ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org) 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire