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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 21 février 2025

La femme idéale,

Ça n’existe pas… selon Jean-Marc :
 
« — Ce serait celle qui sait toucher le cœur des hommes et t’annoncerait : ça te dirait un gros câlin, avec pipe et un léchage de boules… et une fois que tu te seras bien vidé, j’irai te chercher une bière bien fraîche et une bonne pizza pour te laisser regarder tranquillement ton match de foot à la télé !
Je confirme : Ça n’existe pas ! » précise Jean-Paul.  
 
Au restaurant, la serveuse d’approche de Jean-Marc, son carnet à souche et son stylo en main :
« — Je peux prendre votre commande, Monsieur ?
Ah ! Ma femme est allée aux toilettes…
Mais vous avez une petite idée de ce qu’elle veut ?
Probablement chier… Elle est partie depuis une bonne dizaine de minutes… »
 
Un autre jour à Jean-Paul :
« — Six on 6 mai tous, ça devrait aller.
Huit, mais si 11 se met à déconner, 11 se met en danger… 
Août tu délires, août alors tu as fumé un juin, mon ami ! »
 
Germaine, en colère contre Jean-Marc :
« Je comprends maintenant pourquoi ta mère voulait te jeter à la poubelle quand tu étais bébé…
Mais je ne comprends pas pourquoi elle ne l’a pas fait ! »
 
Dialogue moderne (par texto)…
Jean-Marc : « Tu es où ma Germaine ? »
Germaine : « À l’arrêt du bus ! »
Jean-Marc : « Mais dépêche-toi ! On va être en retard ! »
Germaine : « Ok, je vais attendre plus vite ! »
 
C’est l’histoire de O’Leary qui arrive dans un hôtel de Dublin et se rend immédiatement après avoir pris possession de sa chambre et posé son bagage au pub pour commander une pinte de Guinness.
Le barman le sert et lui dit : « Cela fait 1 Euro Monsieur ».
Étonné, O’Leary lui répond : « C’est vraiment pas cher », et il dépose une pièce d’un euro sur le comptoir.
« C’est que nous essayons de rester compétitif », dit le barman.
« Nous servons même des pintes de bière gratuites tous les mercredis de 18 h 00 à 20 h 00. Nous avons la bière la moins chère d’Irlande.
Mais je vois que vous n’avez pas apporté votre verre et que vous allez probablement avoir besoin d’un des nôtres », fait remarquer le barman, « ce sera 3 € Monsieur ».
O’Leary fronce les sourcils mais paye les 3 € supplémentaires.
Il prend son verre et se dirige vers une chaise.
« Ah, vous voulez vous assoir ? », dit le barman.
« Cela fera un supplément de 2 €. Si vous aviez réservé votre siège cela ne vous aurait coûté qu’un euro ».
Et il continue : « Mais je pense que vous êtres trop grand pour vous assoir sur cette chaise, Monsieur. Il va falloir payer un petit supplément de 4 € pour profiter des sièges plus spacieux de cette rangée ».
O’Leary enrage en lui-même mais paye le supplément.
« Je vois que vous avez emmené votre ordinateur portable et comme vous ne l’avez pas enregistré cela fera 3 € Monsieur ».
O’Leary décide alors de revenir vers le bar pour boire sa bière en s’exclamant : « — C’est ridicule ! Je veux parler au patron ! 
Vous savez qui je suis ?
Bien sûr Monsieur O’Leary. Tout le monde vous connait : Vous êtes le patron de Ryanair.
J’en ai marre ! Mais qu’est-ce que c’est que ce pub ? Je suis venu prendre un verre tranquillement et regardez comment on me traite. Je tiens absolument à parler au patron !
Voici son adresse email, ou si vous préférez, vous pouvez le contacter entre 09 h 00 et 09 h 10 tous les jours, du lundi au mardi à ce numéro de téléphone gratuit. Les appels sont gratuits jusqu’à ce que quelqu’un vous réponde et à partir de ce moment le coût sera de 10 cents par seconde.
Je ne reviendrais jamais plus dans ce pub !
Ok Monsieur, c’est votre droit, mais rappelez-vous que nous sommes le seul pub d’Irlande à offrir des pintes de bière pour seulement 1 Euro ».
 
C’est une histoire de d’jeuns qui se font mousser auprès de Marie-Christine, une jeune fille en fleur et au maillot de bain… « chaleureux » (comme disait Jacques, le « grand-Brel »).
La scène se passe au bord d’un précipice qui surplombe la Grande-bleue.
« — Jean-Lucas a plongé d’ici ? Tu es sûre ?
Ouais » répond Marie-Christine. « Il m’a demandé si je voulais voir un vrai mec, il s’est retourné et a sauté direct…
Ah ouais, moi aussi je peux le faire.
Attends je n’ai pas fini de te raconter.
Tu veux voir un vrai bonhomme ?
Ah bon ? Un vrai ?
Je vais même sauter à l’envers…
Mais attends, je n’ai pas fini de te raconter…
Regarde ça ! »
Et hop… zip, boum-flop…
La foule agglutinée, arrivée en catastrophe :
« Mais quelle horreur ! »
« C’est tous les jours maintenant ! »
« Encore un jeune qui s’est suicidé ! »
« En plein sur les rochers »
Et Marie-Christine :
« Il faut que j’aille en parler à Jean-Nicolas…
Ce serait cool qu’il me laisse raconter mon histoire jusqu’au bout ! »
 
Jean-Marc, au restaurant méridien avec Jean-Paul :
« Vraiment, il est très épicé ce plat avec son ail et ses graines de lin…
Normal. C’est un mets d’ail au lin piquent ! »
 
Germaine avec Jean-Marc, proposant de finir la bouteille de vin posée sur la table :
« Allez, encore un ou deux verres et après tu auras la fille la plus cochonne que t’as jamais eu de ta vie !
Cool ! Ta sœur va venir ? »
 
La même chez son toubib…
« Docteur, j’ai un problème… Plutôt mon mari…
Lequel, chère madame.
Mon mari a un pénis tellement long qu’il arrive jusqu’à ses pieds…
Madame, ne vous inquiétez pas.
Avec les progrès de la médecine, nous pouvons lui raccourcir le pénis !
Le lui raccourcir ? Mais vous n’y pensez pas…
Vous voulez plaisanter ?
Il n’est pas possible de lui allonger les jambes, plutôt ? »
 
Jean-Marc à Jean-Paul, tous les deux attablés devant leur chope de bière matinale :
« Tu savais que Pascal Obispo était l’anagrame de Pablo Picasso !
Non. Mais tout le monde s’en fout !
Eh bien c’est navrant ! »
 
Le petit Jean-Étienne :
« Maman, je suis enceinte !
Impossible !
Poisson d’avril… Mais comment savais-tu ?
Une maman sait tout de son fils et on n’est pas en avril ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc, devant une autre bière :
« Je me pose une question à laquelle je n’ai pas encore de réponse…
Laquelle ?
Est-ce qu’on a du mal à trouver un sens à sa vie quand on confond sa droite et sa gauche ?
 »
 
Lu pour vous ce tract :
« Jeune, toi qui est à la recherche d’un emploi, juste pour le pèze,
toi qui n’as jamais rien foutu à l’école,
que ton i-phone et ton canapé sont tes meilleurs amis,
ne perd pas confiance et rejoint LFI.
LFI t’attend et te garantit le vivre et le couvert pendant 5 ans, plus une écharpe tricolore pour défiler…
LFI, La France Inutile… »
 
À La caisse, Jean-Paul et sa bouteille de bière belge « Levrette »…
« Bonjour Monsieur !
Bonjour Madame. Combien la levrette ?
Un soixante-neuf ! C’est en promo ! Un soixante-neuf la levrette !
Eh oh, calme toi la chaudasse… je parlais de la bière !
Eh oh, gros connard, je ne vous permets pas : Je parlais du prix ! »
 
Jean-Marc à Jean-Paul, à l’occasion d’une petite bière postméridienne :
« J’aimais bien ma grand-mère…
Ah oui. Et pourquoi ?
Elle nous faisait tellement de bons gâteaux que ça me rendait malade…
Ah bé… Tu parles d’un cadeau…
Comme ça, j’étais dispensé d’école le lendemain ! »
 
« Germaine, quand je t’explique qu’on sert le champagne avec le pouce dans le cul,
C’est le cul de la bouteille, pas le tien ! »
 
Marie-Chantal et Germaine se promènent pour digérer leur thé… et s’arrêtent sur un pont :
« Il est beau ce pont…
Il passe au-dessus de la Loire…
Mais non, c’est la Seine.
La Loire, je te dis !
Non, la Seine !
La LO-A-RE !
La Loire passe plus loin. Ici, c’est la Seine.
Attends, je descend me renseigner : on en aura le cœur net ! »
Marie-Chantal revient plusieurs minutes plus tard, passablement échevelée…
« Alors, c’est la Seine.
Non !
C’est la Loire.
Non plus !
Bin c’est quoi alors ?
C’est une autoroute… »
 
Jean-Paul à Jean-Marc
« Franchement, je ne sais pas comment les gens font pour avoir des difficultés en fin de mois…
Oh, tu sais…
Non, ce que je veux dire c’est que pour moi, c’est tout le mois… »
 
Les mêmes autour du « picon-bière » du soir…
« Moi, quand mes amis me manquent, je fais comme avec les échalottes…
Ah ? C’est-à-dire ?
Je les fais revenir avec du vin blanc… »
 
« Finalement, passé 60 ans quand on se réveille sans avoir mal quelque part, c’est qu’on est mort ! »
 
« Personnellement, je me suis rendu compte que je prenais de l’âge quand j’ai constaté que je passais plus de temps à bavarder avec mon pharmacien qu’avec le patron du bar ! »
 
« Oh tu sais, finalement il vaut mieux viser la perfection et la manquer que viser la médiocrité et l’atteindre… »
 
« La capacité de parler plusieurs langues est un atout dans la vie. Mais celle de fermer sa gueule est inestimable ! »
 
Jean-Paul, à la drague, se prend un nouveau vent :
« Vous aurez beau faire, Monsieur, vous n’aurez pas mon cœur !
Oh mais chère madame, je ne visais pas si haut… »
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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