Ça n’existe pas… selon Jean-Marc :
« — Ce serait celle qui sait toucher le cœur des hommes et t’annoncerait :
ça te dirait un gros câlin, avec pipe et un léchage de boules… et une fois que
tu te seras bien vidé, j’irai te chercher une bière bien fraîche et une bonne
pizza pour te laisser regarder tranquillement ton match de foot à la télé !
— Je confirme : Ça n’existe pas ! » précise
Jean-Paul.
Au restaurant, la serveuse d’approche de Jean-Marc, son carnet à
souche et son stylo en main :
« — Je peux prendre votre commande, Monsieur ?
— Ah ! Ma femme est allée aux toilettes…
— Mais vous avez une petite idée de ce qu’elle veut ?
— Probablement chier… Elle est partie depuis une bonne dizaine de
minutes… »
Un autre jour à Jean-Paul :
« — Six on 6 mai tous, ça devrait aller.
Huit, mais si 11 se met à déconner, 11 se met en danger…
— Août tu délires, août alors tu as fumé un juin, mon ami ! »
Germaine, en colère contre Jean-Marc :
« Je comprends maintenant pourquoi ta mère voulait te jeter à la poubelle quand tu étais bébé…
Mais je ne comprends pas pourquoi elle ne l’a pas fait ! »
Dialogue moderne (par texto)…
Jean-Marc : « Tu es où ma Germaine ? »
Germaine : « À l’arrêt du bus ! »
Jean-Marc : « Mais dépêche-toi ! On va être en retard ! »
Germaine : « Ok, je vais attendre plus vite ! »
C’est l’histoire de O’Leary qui arrive dans un hôtel de Dublin et se rend
immédiatement après avoir pris possession de sa chambre et posé son bagage au pub
pour commander une pinte de Guinness.
Le barman le sert et lui dit : « Cela fait 1 Euro Monsieur ».
Étonné, O’Leary lui répond : « C’est vraiment pas cher », et il dépose une pièce d’un euro sur le comptoir.
« C’est que nous essayons de rester compétitif », dit le barman.
« Nous servons même des pintes de bière gratuites tous les mercredis de 18 h 00 à 20 h 00. Nous avons la bière la moins chère d’Irlande.
Mais je vois que vous n’avez pas apporté votre verre et que vous allez probablement avoir besoin d’un des nôtres », fait remarquer le barman, « ce sera 3 € Monsieur ».
O’Leary fronce les sourcils mais paye les 3 € supplémentaires.
Il prend son verre et se dirige vers une chaise.
« Ah, vous voulez vous assoir ? », dit le barman.
« Cela fera un supplément de 2 €. Si vous aviez réservé votre siège cela ne vous aurait coûté qu’un euro ».
Et il continue : « Mais je pense que vous êtres trop grand pour vous assoir sur cette chaise, Monsieur. Il va falloir payer un petit supplément de 4 € pour profiter des sièges plus spacieux de cette rangée ».
O’Leary enrage en lui-même mais paye le supplément.
« Je vois que vous avez emmené votre ordinateur portable et comme vous ne l’avez pas enregistré cela fera 3 € Monsieur ».
O’Leary décide alors de revenir vers le bar pour boire sa bière en s’exclamant : « — C’est ridicule ! Je veux parler au patron !
Vous savez qui je suis ?
— Bien sûr Monsieur O’Leary. Tout le monde vous connait : Vous êtes le patron de Ryanair.
— J’en ai marre ! Mais qu’est-ce que c’est que ce pub ? Je suis venu
prendre un verre tranquillement et regardez comment on me traite. Je tiens
absolument à parler au patron !
— Voici son adresse email, ou si vous préférez, vous pouvez le
contacter entre 09 h 00 et 09 h 10 tous les jours, du lundi au mardi à ce
numéro de téléphone gratuit. Les appels sont gratuits jusqu’à ce que quelqu’un
vous réponde et à partir de ce moment le coût sera de 10 cents par seconde.
— Je ne reviendrais jamais plus dans ce pub !
— Ok Monsieur, c’est votre droit, mais rappelez-vous que nous sommes le
seul pub d’Irlande à offrir des pintes de bière pour seulement 1 Euro ».
C’est une histoire de d’jeuns qui se font mousser auprès de
Marie-Christine, une jeune fille en fleur et au maillot de bain… « chaleureux »
(comme disait Jacques, le « grand-Brel »).
La scène se passe au bord d’un précipice qui surplombe la Grande-bleue.
« — Jean-Lucas a plongé d’ici ? Tu es sûre ?
— Ouais » répond Marie-Christine. « Il m’a demandé si
je voulais voir un vrai mec, il s’est retourné et a sauté direct…
— Ah ouais, moi aussi je peux le faire.
— Attends je n’ai pas fini de te raconter.
— Tu veux voir un vrai bonhomme ?
— Ah bon ? Un vrai ?
— Je vais même sauter à l’envers…
— Mais attends, je n’ai pas fini de te raconter…
— Regarde ça ! »
Et hop… zip, boum-flop…
La foule agglutinée, arrivée en catastrophe :
« Mais quelle horreur ! »
« C’est tous les jours maintenant ! »
« Encore un jeune qui s’est suicidé ! »
« En plein sur les rochers »
Et Marie-Christine :
« Il faut que j’aille en parler à Jean-Nicolas…
Ce serait cool qu’il me laisse raconter mon histoire jusqu’au
bout ! »
Jean-Marc, au restaurant méridien avec Jean-Paul :
« — Vraiment, il est très épicé ce plat avec son ail et ses
graines de lin…
— Normal. C’est un mets d’ail au lin
piquent ! »
Germaine avec Jean-Marc, proposant de finir la
bouteille de vin posée sur la table :
« — Allez, encore un ou deux verres et après tu auras la fille la plus cochonne que t’as jamais eu de ta vie !
— Cool ! Ta sœur va venir ? »
La même chez son toubib…
« — Docteur, j’ai un problème… Plutôt mon mari…
— Lequel, chère madame.
— Mon mari a un pénis tellement long qu’il
arrive jusqu’à ses pieds…
— Madame, ne vous inquiétez pas.
Avec les progrès de la médecine, nous pouvons
lui raccourcir le pénis !
— Le lui raccourcir ? Mais vous n’y pensez pas…
Vous voulez plaisanter ?
Il n’est pas possible de lui allonger les jambes, plutôt ? »
Jean-Marc à Jean-Paul, tous les deux attablés devant
leur chope de bière matinale :
« — Tu savais que Pascal Obispo était l’anagrame de Pablo
Picasso !
— Non. Mais tout le monde s’en fout !
— Eh bien c’est navrant ! »
Le petit Jean-Étienne :
« — Maman, je suis enceinte !
— Impossible !
— Poisson d’avril… Mais comment
savais-tu ?
— Une maman sait tout de son fils et on
n’est pas en avril ! »
Jean-Paul à Jean-Marc, devant une autre bière :
« — Je me pose une question à laquelle je n’ai pas encore de réponse…
— Laquelle ?
— Est-ce qu’on a du mal à trouver un
sens à sa vie quand on confond sa droite et sa gauche ?
— … »
Lu pour vous ce tract :
À La caisse, Jean-Paul et sa bouteille de bière belge « Levrette »…
« — Bonjour Monsieur !
— Bonjour Madame. Combien la levrette ?
— Un soixante-neuf ! C’est en promo !
Un soixante-neuf la levrette !
— Eh oh, calme toi la chaudasse… je
parlais de la bière !
— Eh oh, gros connard, je ne vous
permets pas : Je parlais du prix ! »
Jean-Marc à Jean-Paul, à l’occasion d’une petite
bière postméridienne :
« — J’aimais bien ma grand-mère…
— Ah oui. Et pourquoi ?
— Elle nous faisait tellement de bons
gâteaux que ça me rendait malade…
— Ah bé… Tu parles d’un cadeau…
— Comme ça, j’étais dispensé d’école le
lendemain ! »
« Germaine, quand je t’explique qu’on sert le
champagne avec le pouce dans le cul,
C’est le cul de la bouteille, pas le tien ! »
Marie-Chantal et Germaine se promènent pour digérer leur
thé… et s’arrêtent sur un pont :
« — Il est beau ce pont…
— Il passe au-dessus de la Loire…
— Mais non, c’est la Seine.
— La Loire, je te dis !
— Non, la Seine !
— La LO-A-RE !
— La Loire passe plus loin. Ici, c’est
la Seine.
— Attends, je descend me renseigner :
on en aura le cœur net ! »
Marie-Chantal revient plusieurs minutes plus tard,
passablement échevelée…
« — Alors, c’est la Seine.
— Non !
— C’est la Loire.
— Non plus !
— Bin c’est quoi alors ?
— C’est une autoroute… »
Jean-Paul à Jean-Marc…
« — Franchement, je ne sais pas comment les gens font pour avoir des difficultés en fin de mois…
— Oh, tu sais…
— Non, ce que je veux dire c’est que
pour moi, c’est tout le mois… »
Les mêmes autour du « picon-bière » du soir…
« — Moi, quand mes amis me manquent, je fais comme avec les échalottes…
— Ah ? C’est-à-dire ?
— Je les fais revenir avec du vin blanc… »
« Finalement, passé 60 ans quand on se réveille
sans avoir mal quelque part, c’est qu’on est mort ! »
« Personnellement, je me suis rendu compte que je
prenais de l’âge quand j’ai constaté que je passais plus de temps à bavarder
avec mon pharmacien qu’avec le patron du bar ! »
« Oh tu sais, finalement il vaut mieux viser la
perfection et la manquer que viser la médiocrité et l’atteindre… »
« La capacité de parler plusieurs langues est un
atout dans la vie. Mais celle de fermer sa gueule est inestimable ! »
Jean-Paul, à la drague, se prend un nouveau vent :
« — Vous aurez beau faire, Monsieur, vous n’aurez pas mon cœur !
— Oh mais chère madame, je ne visais pas
si haut… »
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
I3
Pour
mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ
RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE «
NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
« — Je peux prendre votre commande, Monsieur ?
« — Six on 6 mai tous, ça devrait aller.
« Je comprends maintenant pourquoi ta mère voulait te jeter à la poubelle quand tu étais bébé…
Jean-Marc : « Tu es où ma Germaine ? »
Jean-Marc : « Mais dépêche-toi ! On va être en retard ! »
Germaine : « Ok, je vais attendre plus vite ! »
Le barman le sert et lui dit : « Cela fait 1 Euro Monsieur ».
Étonné, O’Leary lui répond : « C’est vraiment pas cher », et il dépose une pièce d’un euro sur le comptoir.
« C’est que nous essayons de rester compétitif », dit le barman.
« Nous servons même des pintes de bière gratuites tous les mercredis de 18 h 00 à 20 h 00. Nous avons la bière la moins chère d’Irlande.
Mais je vois que vous n’avez pas apporté votre verre et que vous allez probablement avoir besoin d’un des nôtres », fait remarquer le barman, « ce sera 3 € Monsieur ».
Il prend son verre et se dirige vers une chaise.
« Ah, vous voulez vous assoir ? », dit le barman.
« Cela fera un supplément de 2 €. Si vous aviez réservé votre siège cela ne vous aurait coûté qu’un euro ».
Et il continue : « Mais je pense que vous êtres trop grand pour vous assoir sur cette chaise, Monsieur. Il va falloir payer un petit supplément de 4 € pour profiter des sièges plus spacieux de cette rangée ».
O’Leary enrage en lui-même mais paye le supplément.
« Je vois que vous avez emmené votre ordinateur portable et comme vous ne l’avez pas enregistré cela fera 3 € Monsieur ».
O’Leary décide alors de revenir vers le bar pour boire sa bière en s’exclamant : « — C’est ridicule ! Je veux parler au patron !
Vous savez qui je suis ?
— Bien sûr Monsieur O’Leary. Tout le monde vous connait : Vous êtes le patron de Ryanair.
La scène se passe au bord d’un précipice qui surplombe la Grande-bleue.
« — Jean-Lucas a plongé d’ici ? Tu es sûre ?
Et hop… zip, boum-flop…
La foule agglutinée, arrivée en catastrophe :
« Mais quelle horreur ! »
« C’est tous les jours maintenant ! »
« Encore un jeune qui s’est suicidé ! »
« En plein sur les rochers »
Et Marie-Christine :
« Il faut que j’aille en parler à Jean-Nicolas…
« — Allez, encore un ou deux verres et après tu auras la fille la plus cochonne que t’as jamais eu de ta vie !
« — Docteur, j’ai un problème… Plutôt mon mari…
— Le lui raccourcir ? Mais vous n’y pensez pas…
Il n’est pas possible de lui allonger les jambes, plutôt ? »
« — Maman, je suis enceinte !
« — Je me pose une question à laquelle je n’ai pas encore de réponse…
« Jeune, toi
qui est à la recherche d’un emploi, juste pour le pèze,
toi qui n’as jamais
rien foutu à l’école,
que ton i-phone et ton
canapé sont tes meilleurs amis,
ne perd pas confiance
et rejoint LFI.
LFI t’attend et te
garantit le vivre et le couvert pendant 5 ans, plus une écharpe tricolore pour
défiler…
LFI, La France Inutile… »« — Bonjour Monsieur !
« — Il est beau ce pont…
« — Alors, c’est la Seine.
« — Franchement, je ne sais pas comment les gens font pour avoir des difficultés en fin de mois…
« — Moi, quand mes amis me manquent, je fais comme avec les échalottes…
« — Vous aurez beau faire, Monsieur, vous n’aurez pas mon cœur !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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