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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 24 décembre 2024

Menus festifs à bas IG pour diabétique de type 2

Ceux qui ne sentent pas concernés peuvent passer…
 
Mais il se trouve que depuis que je ne cicatrisais plus du doigt de pied, je me suis renseigné…
C’est que Noël, c’est aussi une période de partage et de gourmandises, voire d’excès.
Et ça, les excès, je sais faire. En revanche, cette année, je projette de rester raisonnable en proposant, pour rester festif, d’organiser un « apéritif dînatoire » qui permettra de profiter de ce moment convivial, avant déballage des cadeaux que le Père-Noël n’aura pas encore livré, autour de quelques petites bouchées festives.
 
Mais comment conjuguer plaisir et santé, surtout si certains convives sont diabétiques comme moâ ?
On privilégiera bien sûr les aliments à index glycémique bas (IG bas) : Légumes crus, fruits frais, noix, et des protéines maigres comme le saumon ou le poulet (même si je n’aime pas le poulet sauf froid avec une tonne de mayonnaise épicée, mais je ne suis pas égoïste, je préfère la dinde).
On limitera les apports de féculents raffinés (pain blanc, biscuits apéritifs classiques) et on mettra plutôt en avant les alternatives classiques comme le pain complet ou le pain de seigle.
On misera également sur les protéines et les bonnes graisses tel que les poissons gras (saumon fumé, maquereau), l’avocat, et les oléagineux comme les amandes ou, une fois de plus, les noix (c’est excellent pour la santé et le cœur, les noix, mieux que le whisky).
Et puis ces aliments sont rassasiants pour les « petites-faims » et contribuent à stabiliser la glycémie.
 
Mais on veillera à limiter les sucres cachés, ceux qu’on trouve dans les sauces industrielles souvent trop riches en sucres et en graisses saturées. D’ailleurs on peut envisager de préparer des sauces-maisons à base de yaourt nature ou de fromage blanc (même si je n’aime pas trop et préfère monter mes mayonnaises à l’huile d’olive – c’est fort en goût – et éventuellement quelques piments, dans lesquelles un couteau peut tenir debout !).
Je proposerai également des bouchées équilibrées en petite quantité pour éviter les excès, tout en offrant une certaine diversité.
 
Donc on trouvera probablement ce soir et/ou demain à midi sur ma table :
— Des mini blinis au saumon fumé et fromage frais : Ces petits blinis sont garnis généreusement de miettes de saumon fumé, une excellente source d’oméga-3, et de fromage frais léger pour faire tenir le tout en équilibre entre le plateau et la bouche. Mais il vaut mieux utiliser, si possible, des blinis au sarrasin (IG plus bas) et privilégier un fromage frais allégé en matières grasses.
En ajoutant une touche de zeste de citron ou des herbes fraîches comme l’aneth le goût en sera sublimé et ça régale la pupille avant la papille.
 
— Des verrines à l’avocat et aux crevettes seront également proposées. Une recette élégante et légère, où l’on combine la douceur de l’avocat et la fraîcheur de la crevette. Pour bien faire, il faut préparer une crème d’avocat maison en évitant les ajouts de mayonnaise que je remplacerai par un yaourt nature pour une version plus légère.
Tout le monde sait que l’avocat (quand il n’est pas déguisé en robe noire pour aller plaider) est riche en bonnes graisses, parfait pour ralentir l’absorption des glucides.
 
— Je sais que « ma Nichée » aime bien : Elle aura des brochettes de poulet avec ses légumes croquants (poivrons, courgettes). Je déteste, mais ça fait toujours plaisir de faire plaisir.
Pour bien faire, les bouts de poulet seront marinés avec des épices (paprika, curry) et un filet d’huile d’olive. Là encore, j’éviterai les sauces sucrées comme le miel ou le ketchup (quelle horreur… pour un gourmet diabétique !).
Et puis je ferai la même chose avec des blancs de dinde : Je préfère et ça enrichira le choix et les textures.
En ajoutant une touche de couleur avec des tomates cerises ou des cubes de betterave, ça sera « attractif » à la pupille (avant la papille).
 
— Je proposerai du plus « consistant » avec mes toasts de pain complet au foie gras et sa compotée de fruits. C’est la richesse du foie gras, qu’il faut réchauffer à température ambiante pour le tartiner finement avant de repasser au frigo pour lui redonner la consistance d’un bloc de foie-gras, accompagnée de fruits acidulés, comme des pommes ou des figues.
D’ailleurs, des compotées de figue, j’en ai plein ramenées de « Corsica-Bella-Tchi-tchi »…
Naturellement, si je peux, j’utiliserai du pain complet ou du pain de seigle pour réduire l’index glycémique, en évitant celui de Poilâne (qui a un goût trop acidulé, pour être fait au levain : Le pain au levain ne doit pas en principe pas se distinguer au goût et à l’odeur du pain à la levure, mais chez Poilâne, ils ne savent pas faire).
Je rappelle que ma compotée de figue est sans sucre ajouté, mais cuisinée avec de la cannelle (on peut aussi essayer le girofle, mais ça fait trop « dentiste » associé à de mauvais souvenir de carries mal soignées) et je conserve ça en pots hermétiques.
Et puis on dosera les portions pour savourer sans excès : De petites bouchées « jolies-jolies ».
 
— Je vais essayer aussi les boulettes de saumon et ses légumes qui associent des morceaux de saumon frais à des légumes finement râpés (carottes, courgettes : J’adore la courgette crue et les « rappés » d’aubergine. Avec un filet d’huile d’olive et un peu d’ail cru, c’est un régal).
Là, il faut cuire le saumon au four pour une version plus légère qu’une cuisson à la poêle, mais servi avec une sauce yaourt à l’aneth (ou au citron), c’est aussi un régal.
 
Pour l’apéro et remplacer les sodas et alcools sucrés, il sera question de préparer des cocktails sans alcool à base d’eaux pétillantes (faite au « Sodastream », bonjour le CO2 relâché ! Mais on m’a dit que c’était écololo…) éventuellement aromatisées au citron ou aux fruits rouges, sans sucre ajouté.
J’ai d’ailleurs des sirops de menthe, d’agrumes, de fraise et de grenadine sans sucre qui font réellement illusion.
L’accompagnement parfait pour « ma Nichée » (ses n+1 ne sont pas très carnivores), ce sont des bâtonnets de légumes crus (carottes, concombres, céleris) à tremper dans une sauce au yaourt et aux herbes.
 
Ça, c’était juste pour l’apéro. Mais j’hésite encore à imposer à mes convives mon régime « 103P » (Sans Pate, Pain, Patate) propre à réduire ma consommation de glucides pour ménager mon pancréas malmené.
Après tout, ma « Môman-à-moâ » aura été bouffée par un « crabe du pancréas ».
Chez moâ, ça s’est porté sur le rein (le gôche naturellement), mais ça aura sonné la fin de ma façon de vivre au régime « 3BF » (Boire, Bouffer, Baiser, Fumer).
Mais ils ne sont pas tous du même sang : Ils ont aussi accès à mes assiettes de charcuterie, dont les tranches du fameux Lonzu de « cochons élevés à la châtaigne » du village, mes chinoiseries, mes canapés divers, mes mousses au crabe, mes rillettes de thon et de saumon, mes tomates cerises, mes mini-burgers, mes morceaux de flammekueches, mes petites saucisses, mes mini-piazzetta, olives, amendes, boulettes de wasabi, crackers et autres saloperies industrielles au croquant et aux saveurs irrésistibles, etc. etc.   
 
Car ensuite on passe à table et j’ai plusieurs possibilités à proposer, même si je ne ferais probablement qu’un seul menu :
 
En entrée du tartare de saumon, avocat et ses quartiers de pamplemousse.
En plat principal on retrouvera la « pintade farcie aux champignons et légumes racines ». C’est une volaille maigre et savoureuse (que je préfère au poulet), idéale pour une cuisine festive.
Une fois n’est pas coutume, j’utiliserai probablement quelques herbes du maquis (Corsu) et des épices (exotiques si possible) ou du thym et du romarin pour intensifier les arômes.
Pour accompagner, une purée de patate douce et céleri-rave mélangé fera l’affaire.
On servira le plateau de fromage annuel (je mets plus d’une semaine à le terminer) qui fait le tour de la « Gauloisie-olympique » en passant naturellement par la « Corsica-Bella-Tchi-tchi » avec une tomme piquée aux vers qui sèche depuis cet été entre deux feuilles du Corse-Matin du jour de son achat à la bergerie…
Enfin, après s’être bien rassasié, on s’offrira une bûche glacée chocolat noir et framboises : C’est un dessert léger et festif, parfait pour clôturer un repas en beauté !
Du chocolat noir (70 % de cacao minimum) qui a un faible IG et est riche en antioxydants. Personnellement, j’ai demandé à ma « petite-sœur » de me refiler sa recette des truffes au chocolat confectionnées avec de la poudre de cacao (100 %) et de la crème fraîche maigre pour la décoration : On verra bien…
Les framboises, c’est peu sucré et ça apporte une touche fruitée et acidulée.
Mais normalement, pour réaliser une mousse au chocolat avec du chocolat noir fondu il faut jouer du mixeur. Et pour une texture aérienne et riche en protéines, battre un long moment.
Le tout c’est de laisser au congélateur au moins 24 heures dans un moule à cake adapté au nombre de convives à recevoir.
 
Le second menu (ou le premier) pourrait être intégralement végétarien.
Ce n’est pas mon truc et j’aurai mon foie gras à part, ma tranche de gigot à moâ, mais je sais faire plaisir même aux végétariens qui mangent de l’herbe (que je mange toutes les bêtes qui mangent de l’herbe : Ils sont prévenus…)
 
Entrée : Velouté aux morilles, champignons et ail noir. Les champignons ont un IG très bas et sont riches en fibres, ce qui aide à maintenir une glycémie stable.
Sauf que chez les végétariens, il faut remplacer la crème classique de lait de vache par une crème végétale comme celle d’amande ou de soja qui renforce la légèreté du plat, si c’est possible. Ou alors on s’en passe.
Avec quelques morceaux de morilles poêlées pour une texture contrastante et un filet d’huile de truffe pour un éclat de luxe à la préparation (ou bien de noix pour surprendre).
En plat, un risotto végétarien aux truffes et cèpes. C’est un classique « rital » revisité pour les fêtes avec des ingrédients d’exception comme les cèpes et les truffes.
Le riz utilisé pour le risotto peut sembler riche en glucides, mais en choisissant du riz complet ou semi-complet, on réduit son IG et on augmente sa teneur en fibres. Et les cèpes ajoutent une saveur un peu terreuse, tandis que la truffe élève le plat à un niveau… « gastronomique ». Mais bon, il faut en trouver et en aussi avoir les moyens !
L’ajout de légumes, comme des épinards ou des asperges en accompagnement complète avantageusement l’apport en fibres… si on en a besoin pour un transit accéléré !
On évitera les fromage pour les vrais végétariens (les autres, c’est juste pour faire caguer au motif qu’ils n’aiment pas le goût des cadavres…)
Et en dessert, j’essayerai de préparer une mousse au chocolat mais sans œuf, à l’Aquafaba qui n’est jamais que l’eau de cuisson des pois chiches.
L’aquafaba, c’est l’ingrédient « végan magique », car il monte comme des blancs en neige pour donner à la mousse une texture légère et mousseuse.
Et la poudre de cacao sera la star de ce dessert, apportant une intensité chocolatée irrésistible qu’on sucrera ou non avec du stévia ou du sirop d’agave…
 
Ce menu-là met à l’honneur des ingrédients nobles et des techniques modernes en évitant le plateau de fromage, pour offrir une expérience culinaire mémorable. Idéal pour un public végétarien et pour ceux qui souhaitent équilibrer les excès des fêtes et contrôler leur glycémie.
 
Sans ça, il y a toujours le recours aux traditionnelles tartes aux tomates sur lit de moutarde, aux rouleaux de printemps à la sauce soja et aux salades de riz complet avec des petits dés de radis le tout à la sauce de soja salée. Ou bien encore de « patates-Ginette » (pomme de terre en dé, huile, vin blanc, sel, poivre, servies tièdes).
Froid, je fais des piémontaises exceptionnelles, mais ce n’est pas végan-total parce qu’il y a des dès de fromage à pate molle (et puis j’abonde en œufs durs et en cubes de jambonneaux, mais je peux faire des barquettes « à part », sans…)
Et puis question glycémie, c’est tout de même, 30 % de glucide : On peut faire mieux (et beaucoup de cholestérol, du bon et du « pas bon »).
Et puis vraiment, si monter de l’aquafaba en neige (il faut ébouillanter des pois chiches) me fait caguer, je peux très bien remplacer par du fructose, celui de « pommes à croquer » que j’épluche, épépine, coupe en quartiers puis en gros cubes, qui passent directement au micro-onde (compter 10 minutes à 900 watts par kilo) et que je sers tiède ou froid. Avec un zeste de calvados pour relever cette compote, c’est un régal.
C’est d’ailleurs sûrement meilleur avec quelques pincées de cannelle, mais chez moâ, ils n’apprécient pas alors je ne fais pas…
 
Bref, vous le constatez, j’ai le choix pour le réveillon où on essaye de « manger léger », parce que lendemain, y’a ma sœur qui arrive avec mon « Beauf’ » (le grec avec ses tiropitas et autres gourmandises, genre keftedes, feuilles de vigne farcies et sa montagne de baklava) et « sa Nichée » (sans les + 1 une fois encore), son foie gras et ses tranches de saumon, le tout péché la veille au soir à Rungis, qui vont rivaliser avec mes huîtres chaudes en sabayon, mes queues de langouste à la sauce algérienne-maison (oui, je sais, ça gâche un peu), le gigot et ses petits-légumes (de ceux qui font flatuler) pour terminer par des glaces de chez Berthillon déjà au congélateur depuis des semaines et venues directement des ateliers de Saint-Louis en l’Île et pour clore, quelques clémentines (de mes clémentiniers Corsi, passées pas Bastia) plus des carrés de chocolat des chocolatiers du quartier : J’en compte plus d’une demi-douzaine qui restent « à la hauteur », mais ma « petite-sœur » n’arrive pas à décider qui est le meilleur.
Pour l’heure, c’est celui de la rue Saint Placide qui cultive lui-même ses cacaotiers au Brésil… Il faut que je lui en fasse découvrir d’autres, dont celui du bas de la rue d’Assas, hors de prix (mais ils le sont tous dans ce quartier), qui a vraiment de jolies créations.
 
J’ai évidemment oublié de vous signaler que j’ai d’excellent vins blancs pétillant, sans alcool, SVP (j’ai même des packs de bière zéro alcool), juste parce que la faculté des sciences m’interdit la consommation d’alcool éthylique. Mais comme j’ai droit au Bordeaux, c’est comme un médicament, j’ai une collection de Graves, de Saint-Émilion et Château Margaux qui rivaliseront sur les deux tables (du réveillon et du midi suivant) avec les restes des vins des mariages de « ma Nichée » (on avait prévu large…) dont une grande partie vient directement de « Corsica-Bella-Tchi-tchi », que ce soit du Comte Peraldi, du Colombu, de l’Alzipratu ou du « Blanc de chez Dumè » (celui qu’il tire de sa vigne qui aura été arrachée il y a maintenant presque deux décennies…) et qui reste fameux.
Mais pour les diabétiques, il convient de préférer les vins secs (comme un blanc sec ou un rouge tannique). Les végans n’ont aucune restriction, sauf celles que leurs foies préservés peuvent supporter sans dérater…
J’en ainsi vu se saouler au champagne, à 60 euros le flacon (ce ne sont même plus des bouteilles à ce prix-là, mais des « flacons », comme pour les parfums…) il faut pouvoir suivre !
 
Et puis, pour la route, j’ai quelques liqueurs à servir pour aider à mieux digérer et dormir calmement… y compris des « fines » distillées « chez le cousin Dumé » (il n’arrive pas à tout vendre d’une vendange sur l’autre et il faut faire de la place dans les cuves et tant pis si c’est illégal : Les contraventions et amendes sont mises au nom de son père, bouilleur de cru de naissance, mais décédé depuis la fin du millénaire précédent… Ils ont le même nom et le et prénom : Pratique pour toucher la pension des vieux travailleurs agricoles et avoir un permis de conduire avec tous ses points valides !).
Notez que si je ne tiens plus debout après tout ça, je rentrerais en taxi ou en Uber : De toute façon, je reçois chez moâ, ça ne devrait donc pas être trop difficile de retrouver mon plumard…
 
Joyeux réveillon à toutes et à tous !
On se retrouve demain pour un joyeux Noël : Là, il faut que je monte la table et que je finisse de fignoler mes « petits-plats » pour les mettre dans les grands (et penser à sortir l’argenterie et la porcelaine de… Limoges).
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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