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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 6 décembre 2024

Il faut y arriver, mais…

Pour Jean-Marc, 70 ans, c’est le plus bel âge !
 
« Tu penses, de l’argent dans les cheveux, de l’or dans les dents, du plomb dans les pieds, du fer dans les genoux et des cailloux dans les reins…
Jamais tu n’aurais pensé à accumuler autant de richesse ! »
 
« — J’ai essayé de prendre un grand bol d’air, comme tu me l’avais recommandé…
— Et alors ? Ça va mieux…
— Bé non… Je ne trouve pas ça aussi nourrissant qu’un grand bol de lait avec des céréales… »  
 
« Tu vois, le problème quand tu couches avec ta femme de ménage » commence Jean-Paul, « c’est que quand c’est mouillé, bé tu ne rentres pas ! »
 
C’est l’histoire d’un gars qui se retrouve tout seul dans un avion de ligne.
L’hôtesse lui indique que c’est parce que tous les participants au congrès des médiums et voyants extralucides qui avaient affrété le vol se sont désistés au dernier moment…
 
Dans l’avion suivant… deux hôtesses :
« — Je vais voir dans la queue de l’avion s’il y a de nouvelles têtes sur ce vol de navette…
— Tu as raison ! Moi je vais voir à la tête de l’avion s’il y a de nouvelles queues… »
 
Jean-Marc à Jean-Paul, au comptoir du bar devant leur première bière matinale :
« Je vais te rassurer…
Hier soir, j’ai rangé mes affaires d’été. 
Eh bien je rentre encore dans mes tongs ! »
 
C’est l’histoire (bien triste mais ô combien courante) d’un couple en voiture sur une longue ligne droite d’autoroute, en Italie (ou en Allemagne, c’est pareil) :
La femme :
« Je te quitte et je prends les enfants ! »
L’homme au volant accélère alors à 170 km/h… 
« J’ai vidé ton compte courant… »
Le mari accélère encore jusqu’à 220 km/h…
« Je garde la maison et mon avocat va te demander une pension qui te laissera sur la paille… »
Le pilote accélère encore au-delà de 250 km/h…
« — J’ai tout pris et tu ne réagis pas ! Qu’as-tu que je n’ai pas prévu de te prendre en paiement des meilleures années de ma vie que je t’ai sacrifiées ?
— L’airbag, connasse ! »
 
Germaine, vindicative, à Jean-Marc :
« Si tu m’avais pris en levrette autant de fois que tu m’as pris la tête, j’aurai le cul tout plat ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc, devant leur deuxième bière matinale, avant d’aller travailler :
« C’est l’histoire mec qui raconte une blague à Jésus…
Et celui-ci lui répond : Elle est naze, arrête ! »
 
Les mêmes :
« Non, je ne suis pas alcoolique…
Je mange simplement liquide pour ne pas faire de miettes ! »
 
Marie-Geneviève à sa mère :
« — Maman, j’ai fait ma première fois hier soir !
— Ah… Et comment il s’appelle ?
— Jean Edgard Philippe…
— Mignon au moins ?
— Oui… Surtout Philippe. »
 
Germaine se fait arrêter par la maréchaussée…
« — Madame, vos pneus sont lisses… ça va vous coûter 135 euros !
— Ah ? Alors, okay, très bien : Changez-les. Mon garagiste me demande 350 euros… »
 
C’est l’histoire du pompier qui dit à sa femme :
« — Quand j’arrive on va faire comme à la caserne : Si je crie « sirène 1 », tu te déshabilles. Si je crie « sirène 2 », tu fonces au lit.
Et quand je crie « sirène 3 », on y va pour la nuit ! D’accord ?
— D’accord ! »
Le soir venu, de retour de la caserne, le pompier crie « sirène 1 » et sa femme se met toute nue, ravie.
À « sirène 2 », elle est déjà au lit.
À « sirène 3 », son mari de pompier se plonge dans l’action.
Au bout de deux minutes, elle crie « Sirène 4 » !
« — Mais c’est quoi « sirène 4 » ?
— C’est rajoute du tuyau : T’es trop loin du feu ! »
 
Scène de ménage chez Jean-Marc (une fois de plus)…
Germaine :
« — J’en ai marre ! C’est toujours toi qui sors le chien le soir et jamais moi !
— Mais je ne savais pas que tu aimais pisser dehors ! »
 
C’est l’histoire de ce gamin, 6 ans, qui accompagne sa mère, une très jolie femme, en visite chez son gynécologue…
Le médecin procède à un examen minutieux et commence pas palper les seins de la mère du gamin.
Il s’adresse à lui pour le rassurer…
« — Tu sais ce que je fais à ta mère.
— Oui monsieur… Vous lui palper les seins à la recherche de nodules… »
Impressionné, le toubib continue en examinant le sexe de la dame…
« — Et là, tu sais ce que je fais ?
— Oui monsieur… Vous faites un frotti vaginal à maman pour des examens biologiques ultérieurs… »
Le gynécologue n’en peut plus et finit par pénétrer sa verge dans le sexe de la patiente…
« — Et là, tu sais ce que je fais ? » demande-t-il au gamin.
« — Oui monsieur vous êtes en train d’attraper la maladie pour laquelle maman est venu vous consulter… »
 
Devant leur bière méridienne, Jean-Paul à Jean-Marc :
« — La nuit dernière, même après 7 whiskys, j’aurais pu conduire.
Mais j’ai été responsable et j’ai préféré prendre un taxi…
— Ah très bien !
Mais il t’a conduit où, ton taxi, vu que la fête se passait chez toi ? »
 
Au moment du picon-bière en guise de digestif de fin de repas, Jean-Paul et Jean-Marc philosophent avant de retourner travailler :
« L’univers est en fait composé de protons, de neutrons et d’électrons.
Oui, et d’une majorité de couillons… »
 
Jean-Marc à Germaine…
« — Je vais leur faire un discours enflammant au prochain congrès ! Je peux le répéter devant toi ?
— Mais… mais ? Je ne comprends que le français, moi ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc, à la sortie des ateliers, devant la première bière vespérale :
« Je ne sais pas comment les gens font pour avoir des difficultés financières en fin de mois…
Moi… C’est tout le mois ! »
 
À la seconde bière, la sirène des pompiers résonne.
Jean-Marc paye et se lève :
« — Il faut que j’y aille !
— Pourquoi ? Tu es pompier volontaire, maintenant… Depuis quand ?
— Non, mais ma nouvelle maîtresse a un mari pompier… »
 
À l’école :
Un enseignant s’adresse à ses élèves :
« Construisez-moi une phrase au présent de l’indicatif avec le mot sucre dedans.
Oui, toi !
— Ce matin j’ai bu du thé…
— Très bien, mais il est où le sucre ?
— Bé, M’ssieur, il est déjà dans le thé ! »
 
Un autre :
« Notre sujet du jour est la photosynthèse.
Quelqu’un sait-il ce qu’est la photosynthèse ?… »
Un doigt se lève eu fond de la classe :
« — Oui ?
— C’est notre sujet du jour ! »
 
Encore un autre :
« — John grimpe sur un arbre pour chercher une mangue…
Qui peut me construire la même phrase en commençant par le mot « mangue » ?
Oui, toi !
— Mangue, viens nous chercher John ! »
 
Plus tard :
« — Comment peut-on appeler un moustique, dans notre langue… ?
— On ne l’appelle pas : il vient tout seul ! »
 
Autre question, autre réponse… de bon sens :
« — Comment pouvons-nous garder notre école propre ?
— En restant tous à la maison ! »
 
Jean-Marc, avec Jean-Paul, au comptoir du bar sur le chemin du retour à la maison, devant une autre bière…
« C’est curieux la vie… Un jour tu es heureux.
Et puis le lendemain c’est lundi ! »
 
Jean-Marc et Jean-Jacques, mirant un groupe de femmes qui approche à leur rencontre…
« — Merde !
— Quoi ?
— Ma femme et ma maîtresse qui arrivent ensemble en face…
— Oh, flûte… Les miennes aussi ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, après une dernière bière…
« — Crotte ! J’ai un chat dans la gorge…
— Oh, vue ton haleine, tu as aussi toute la litière. »
 
Germaine et Jean-Marc devant leur écran télé, regardant défiler le film de leur mariage…
« — Mais pourquoi tu regardes ce film à l’envers ?
— J’adore ce moment où je retire ton alliance de ton doigt, je sors de l’église à reculons et je rejoins les potes au café ! »
 
« Les bébés dans le noir, ça fait des bêtises…
Mais les bêtises dans le noir, ça fait des bébés ! »
(Confucius ?)
 
Constats scientifiques :
La nourriture met 7 secondes pour passer de la bouche à l’estomac.
Un cheveu peut supporter trois kilos.
Le pénis d’un homme représente trois fois la longueur de son pouce.
Les femmes clignent des yeux deux fois plus qu’un homme.
La peau d’un homme pèse deux fois plus que son cerveau.
Les femmes ont déjà fini de lire ce message…
Les hommes sont encore en train de mesurer leur pouce !
 
Début de soirée pour Jean-Marc et Jean-Paul, après une dernière bière post-méridienne :
« Certaines personnes sont plus fortes que des magiciens…
Sans même t’offrir un verre, elles arrivent à te saouler ! »

Il y a :
« T’es pas le couteau le plus affuté du tiroir… »
Ou :
« T’es pas la truite la plus rapide de la rivière… »
Mais il y a aussi :
« T’es pas le balcon le plus fleurit du quartier,
T’es pas la bouteille la plus fraîche du frigo,
T’es pas la planche la plus cirée du parquet,
T’es pas l’araignée qui tisse la plus belle toile,
T’es pas l’herbe la plus verte du jardin,
T’es pas la chips la plus croustillante du paquet…
T’es pas l’arbre le plus grand de la forêt,
T’es pas le pneu le plus gonflé de la voiture,
T’es pas le repère le plus long de l’orthonormé,
T’es pas la clim la plus froide de l’immeuble,
T’es pas la cheville la plus forte des jambes,
T’es pas la feuille de sopalin la plus absorbante du rouleau,
T’es pas la tomate la plus mûre de la grappe… »
 
Sans rancune aucune, bon début de week-end (ce soir) à toutes et tous tout de même !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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