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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 23 décembre 2024

Un message d’aliens a enfin été décodé !

Notez que Jean-Marc fait ça depuis des années…
 
Mais lui, ne s’occupait que de la partie « Histoires d’en rire » de la gazette galactique qu’on recevait de temps à autres, par épisodes décousus et qu’un jour (peut-être, ou alors un autre) je regrouperai dans un complément de cet ouvrage-là (Cliquez sur le lien), son probable successeur largement enrichi…
 
Car la grande question qui anime les cerveaux le mieux formés d’exobiologistes (et quelques (f)ummiste ») c’est de savoir si nos extraterrestres nous observent ou non ?
Avec envie ou compassion et désolation…
Du coup, les « Sapiens-sapiens » que nous sommes traquent la vie extraterrestre depuis des dizaines d’années. Avec l’insuccès que vous savez.
Du moment que c’est avec mon pognon (et vos impôts) il n’y a aucune honte, n’est-ce pas, même si je n’ai pas voté pour ça et que les urgences seraient plutôt de rétablir la paix partout sur la planète en plus de donner à becqueter au plus grand nombre.
Mais dans la vie, on a les priorités que l’on peut, manifestement pas celles que l’on veut…
 
Donc, imaginons qu’une civilisation extraterrestre très avancée, peut-être sous forme de super-IA, a décidé d’émettre pendant des millénaires, voire des millions d’années, des messages radio à destination d’autres civilisations (telle que la nôtre) dans la Voie lactée. Imaginons ensuite qu’un tel message ait été reçu sur Terre, que se passerait-il en tentant de le décoder ?
C’est ce que cherchait à savoir depuis le 24 mai 2023 l’Institut Seti en simulant un premier contact avec des E.T. sous la forme d’un message livré à la sagacité des internautes. Pour cela, il avait été décidé de faire appel à l’artiste (bé oui, pourquoi pas ?) Daniela de Paulis en résidence dans cet institut et à l’Observatoire de Green Bank (célèbre radiotélescope du programme Seti) qui glandait probablement sévèrement jusque-là.
 
Dans un précédent communiqué de cet Institut Seti, il y a plus d’un an, Daniela de Paulis expliquait en effet que « tout au long de l’histoire, l’Humanité a cherché un sens à des phénomènes puissants et transformateurs. Recevoir un message d’une civilisation extraterrestre serait une expérience profondément transformatrice pour toute l’Humanité. A Sign in Space offre l’opportunité sans précédent de se préparer concrètement en le simulant à ce scénario grâce à une collaboration mondiale, favorisant une recherche ouverte de sens dans toutes les cultures et disciplines ».
Rien de moins…
Et avec ses collaborateurs (parce qu’elle n’était pas toute seule à être hébergée), elle avait donc conçu un message codé que l’orbiteur ExoMars de l’Agence spatiale européenne (ESA) devait transmettre à la Terre le 24 mai à 19 h 00 (UTC), avec réception sur Terre 16 minutes plus tard par trois des observatoires de radioastronomie de classe mondiale situés à travers le monde et déjà impliqués de longue date dans le programme Seti.
Il s’agit notamment du réseau de télescopes Allen (ATA) de l’Institut Seti, du télescope Robert C. Byrd Green Bank (GBT) de l’observatoire de Green Bank (GBO) et de l’observatoire de la station radio-astronomique de Medicina géré par l’Institut national italien d'astrophysique (Inaf).
 
Le signal fut ensuite disponible pour tous – scientifiques, artistes et le grand public – afin de le décoder et de l’interpréter, ainsi que sa signification pour l’Humanité dans les semaines qui suivirent, Daniela de Paulis précisant que « toute personne travaillant à décoder et à interpréter le message peut discuter du processus sur le serveur A Sign in Space de Discord ».
 
Sauf que la noosphère avait séché jusqu’à présent (alors que Jean-Marc ne force même pas son talent) mais le contenu du message a donc été révélé par l’Institut Seti soi-même qui explique maintenant que le message « était une image simple avec cinq acides aminés affichés dans une notation de diagramme moléculaire organique universel, accompagnée de quelques points de pixel uniques apparaissant entre les groupes et les diagrammes moléculaires » (plus de détails sur son décodage à retrouver dans le communiqué).
Bref, tout le monde a séché…
 
Mais, pas d’inquiétude, ce n’est donc qu’une répétition : Pour Daniela de Paulis « A Sign in Space mêle théâtre et science, dans le but de démêler le processus complexe de décodage d’un message extraterrestre et l’interprétation de sa signification a favorisé la coopération internationale en impliquant la communauté mondiale Seti, des professionnels de divers domaines et le grand public, facilitant ainsi un dialogue significatif sur Seti, la recherche spatiale et leurs implications dans diverses cultures et domaines ».
Hein, quand on a du temps à perdre (et un peu d’argent qui n’est pas à soi), il n’y a pas de raison de se priver, disais-je…
Parce qu’en fait de message « exogène », ce n’était jamais qu’une machine humaine qui aura fait le boulot cette fois-ci…
 
Ce que je ne comprends toujours pas, c’est que « les signes » exobiologiques sont de plus en plus nombreux.
Enfin disons qu’on en parle de plus en plus : Mais ça, c’est récurrent à chaque fois que l’histoire de la planète est dominée par la peur et les conflits.
Et ça aura été de tous temps : On nous bassine avec des histoires, des images, des découvertes, des théories, des conspirations, des complots aliènes depuis avant l’antiquité (avec la destruction de Sodome et Gomorrhe par une ogive nucléaire qui transforme exactement comme à Hiroshima les témoins en statues de sel « imprimées » jusque sur le sol) et autres phénomènes extraordinaires (comme, l’étoile de la nativité ou Mahomet qui coupe la Lune en deux) qui préfigurent toujours des événements qui font craindre le pire.
Et aujourd’hui, entre les changements climatiques et son cortège de catastrophes pour l’espèce humaine et la planète, plus les menaces de guerre totale à « destruction mutuelle assurée », je peux vous qu’on est servi…
Donc forcément, les OVNIs, on en voit partout !
Même récemment à New-York, que les militareux disent qu’ils ne savent pas ce que c’est…
(Une façon comme une autre de réclamer des crédits supplémentaires…)
 
Et c’est très bien : C’est comme ça que nos « visiteurs » se dissimulent. En plus, avec l’IA générative d’images et de vidéos, je vous assure que pour démêler le vrai du faux, ce n’est pas piqué des hannetons. C’est même quasiment impossible et c’est bien ce que recherche à la fois les personnes qui relaient ces informations sur les réseaux et nos aliens (qui se cachent derrière ces écrans de fumée…).
Car pour ma part, je ne peux pas imaginer que l’Univers n’ait jamais produit qu’une seule espèce qui aura mis des dizaines de milliers d’années à explorer son environnement spatial depuis la création de l’univers, plus de 13 milliards d’années et donc, des milliers de génération d’étoiles et de galaxies…
Mais c’est compliqué : Les distances entre les astres et la limite de la physique relativiste qui s’impose à tous, rendent globalement impossible le voyage depuis les confins de l’espace, même à des distances les plus proches de notre étoile, à des êtres faits de « matière molle » dont la finitude est génétique programmée.
 
En revanche, la longévité des machines permet de sauter cet obstacle à condition que l’ingénierie de leur conception (et de leur fabrication) l’envisage dès le départ.
Aussi, je serai un auteur de science-fiction un peu sérieux, je ne parierai pas du tout sur les technologies de congélation du vivant, d’hibernation, ou des « physiques alternatives » qui autoriseraient des vitesses supérieures à celle de la lumière, avec des masses inertielles compatibles avec une gestion des énergies indispensables qui seraient comme par magie à la portée de technologies simplistes (même les plus complexes) dont on ne sait rien : Ça, c’est du rêve de chevelus échevelés bien pratique pour un romancier qui n’a pas de limite et se soucie peu d’être crédible, que ce soit avec des énergies négatives ou des mondes parallèles, qui n’existent pas.
Parce qu’on sait ce qu’est un monde parallèle[1]. Mais on ne sait toujours pas ce qu’est l’antigravitation (qui pourtant pourrait être à l’origine de l’accélération de l’expansion de l’univers bien réelle, elle), ni encore moins ce qu’est une énergie négative.
Alors, l’ensemble, appliqué sur les tissus musculaires du monde des vivants, ce n’est même pas envisageable…
En revanche, le « drone », oui ça on sait faire…
 
Et si on sait faire des drone autonomes, pilotés par des IA un peu élaborée sur mer, sous les mers, dans les airs, et sur terre, on sait aussi le faire dans le domaine spatial et depuis des décennies, en plus avec des robots qui se promènent un peu partout dans notre espace proche.
Là, ça devient crédible !
Et c’est pour ça que je suis partisan d’expliquer que les OVNIs que l’on voit parfois circuler dans notre environnement immédiat avec des performances inaccessibles par nos technologies ne sont jamais que des robots explorateurs et observateurs de civilisations lointaines et peut-être depuis très longtemps disparues, qui poursuivent leur mission d’inspection générale, tout simplement.
Ils ne sont ni une menace ni une source de réconfort pour notre espèce, tout juste les témoins des progrès scientifiques et techniques que nous avons à faire pour arriver à leur cheville…
 
En conséquence, les messages d’alien, ils sont déjà sous nos yeux et nous ne les voyons pas.
Quant à y répondre, voilà qui est de toute façon bien inutile. Déjà qu’on ne comprend pas ceux qui ont été « actifs » il y a 2000 ans voire plus… alors qu’ils ont été retranscrits dans les livres sacrés qu’on se transmet de génération en génération… c’est dire l’immense fatuité du procédé imaginé par Miss Daniela de Pauli sui en plus aura échoué alors qu’il est si simple.
Il vaut mieux en rire et s’occuper de cultiver nos jardins afin de donner à becqueter à tout le monde, à mon avis…
Mais ce que j’en dis ou rien, n’est-ce pas…
 
Bref, j’adore, même quand la science progresse dans la connaissance de l’étendue de son… ignorance !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Google a récemment annoncé une avancée majeure : Un ordinateur quantique capable d’effectuer en quelques secondes des calculs que les superordinateurs classiques mettraient 47 ans à résoudre. Sycamore, doté de 70 qubits, lui donne une capacité de calcul multipliée par plus de 241 millions, comme s’il travaillait dans plusieurs dimensions sur des univers parallèles. Un processeur qui atteint une puissance de calcul jamais vue…

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