Jean-Paul drague…

« J’ai un immense bureau…

…Avec une vue sur toute la ville !
— Ah oui ?
— Et je suis payé pour voyager toute la journée dans un véhicule électrique qui vaut presque un million d’euro…
— Ah oui, dis donc… Intéressant. Mais tu fais quoi, au juste ?
— Conducteur de bus ! »
 
Marie-Chantal et Germaine…
« — Tu te rends compte, hier soir, j’ai failli être violée par un inconnu…
— Non ?
— Si !
— Et alors ?
— J’ai couru de toutes mes forces…
— Et alors ? Tu n’as pas pu le rattraper ?
— Penses-tu ! »
 
Jean-Marc, pas de bonne humeur, et Jean-Paul, au café du coin :
« — Encore en train de picoler ta bière… Tu veux mon avis ?
— Non ! D’ailleurs, connais-tu la différence entre une bière et toi ?
— Euh… non !
— La bière, je l’ai commandée ! »
 
À l’école, une réunion entre une mère d’élève et la maîtresse :
« — Madame, j’aimerai que vous demandiez à votre fils d’arrêter de m’imiter en classe !
— Bien sûr ! » et s’adressant au gamin : « Bon à partir de maintenant, je te demande d’arrêter de faire l’andouille en classe ! Compris ! »
 
Germaine et Jean-Marc :
Elle : « Tu te rends compte, si on gagnait au loto, je pourrais me payer une chirurgie esthétique complète pour être encore plus belle pour toi… »
Lui : « Et moi je pourrais acheter des jantes en alu pour ma Clio… »
« — Bah… Ne t’emmerde pas pour ça. Rachète plutôt une nouvelle voiture !
— Voilà ! C’est justement là où je voulais en venir… »
 
Séance d’échographie chez le gynécologue qui examine le fœtus in utero de madame.
« — Et pour le sexe, vous avez une préférence ?
— Oui ! La levrette… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, au coin d’un comptoir de bar, chacun devant une bière :
« — Tu sais, Jésus, on peut être pour, on peut être contre, y croire ou ne pas y croire, mais…
C’est quand même grâce à lui que nous avons congé à Noël, le lundi de pâques et à l’ascension !
— Ouais… Et grâce à sa mère qu’on a aussi le 15 août… »
 
Les mêmes, un autre jour.
« — As-tu remarqué que les femmes, ça se réveille souvent en baillant…
— Oh, tu sais, moi… je dors souvent tout seul…
— Oui, mais les hommes se réveillent souvent en érection.
— Et alors ?
— Tu crois que c’est seulement une heureuse coïncidence ou une nécessité de communauté de destin ? »
 
Les mêmes, un peu plus tard encore :
« — Il paraît qu’il a perdu la tête quand il a vu Suzette…
— Qui ?
— Jean-Emmanuel… Heureusement qu’il n’a pas vu Brigitte, lui… »
 
Jean-Marc devient romantique, dans sa chambre à coucher :
« — Chérie, j’aimerais mourir en te faisant l’amour…
— Au moins, ça sera une mort rapide ! » réplique sèchement Germaine.
 
Jean-Paul, à Jean-Marc, devant une énième bière :
« — Tu sais… c’est tellement humiliant pour nous les hommes de s’obliger à devoir coucher dès le premier soir…
— Ah ?
— Oui, j’évite la honte de me sentir humilié d’être utilisé comme un vulgaire objet qu’on jette après le premier usage… »
 
Dialogue sur Fesses-bouc :
« — Je ne veux plus de toi !
— Déjà ? Mais pourquoi Marie-Ange ?
— N’insiste pas, c’est comme ça. Tu m’agaces…
— Tu as un autre mec ?
— Oui !
Il est riche, il est beau et beaucoup plus attentionné que toi !
Excuse-moi, mais il n’y a pas photo…
— Je le connais ? Il s’appelle Jean-Roger, par hasard ?
— Comment tu sais ? Tu le connais ?
— C’est mon faux compte sur Facebook ! »
 
Après Noël, Jean-Marc et Jean-Paul se sont rencardés devant une bière et « philosophaient » :
« — Tu te rends compte, il paraît que Jésus est né à Bethléem, en Palestine…
— Oui, il paraît…
— C’est quand même bizarre, tu ne trouves pas ?
— Et pourquoi ça ?
— Parce que c’est un pays où les mecs s’appellent tous Mohamed, Abdel, Mounir, Aziz, Ahmed, Omar, Farid, Mouloud, Youssouf, etc…
— Et alors ? C’est la Palestine, non ?
— Non mais je suis d’accord, mais il réussit tout de même à se faire 12 potes, qui s’appelaient Jean, Pierre, Paul, Jacques, Thomas, Matthieu, André, Philippe, Simon, etc… et qui en plus buvaient tous du vin !!!
Si ça ce n’est pas un miracle, c’est tout de même bizarre, non ? »
 
Jean-Marc et Germaine, déambulant dans la rue :
« — Germaine, on voit ta culotte ! Ça fait vulgaire.
— Tu as raison, je l’enlève… »
 
Les mêmes, plus tard :
« — Je m’emmerde. Pas toi ?
— Moi aussi, je t’emmerde ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul :
« — Tu as remarqué ?
— Quoi ?
— Bé que les pessimistes jouent aux échecs et que les optimistes préfèrent faire des réussites…
— …
 
« — Vivre sans lire ou sans savoir lire, c’est dangereux…
— Et pour quelle raison : Ça t’empêcherait de conduire ?
— Non, mais ça t’obligerait à croire sans pouvoir vérifier ce qu’on te raconte ! »
 
Germaine à Jean-Marc :
« — Coucou chéri ! Me revoilà…
J’étais au cours de formation de la ligue Alzheimer…
— On se connaît ? »
 
Jean-Paul à Jean-Marc, devant une petite bière :
« — C’est l’histoire du diable qui voit un âne attaché à un arbre.
— Et alors ?
— Tu la connais ?
— Je ne sais pas. Qu’est-ce qui se passe ?
— Eh bien le diable détache l’âne. Et l’âne s’empresse d’aller brouter tout ce qu’il peut dans le champ du voisin.
La fermière du champ voisin, surprise de voir l’âne dans son champ et le pillage qu’il s’est autorisé à faire, furieuse, se saisit d’un fusil et tue l’âne.
Le propriétaire de l’âne, voyant son âne mort, se saisit à son tour de son fusil et tue la femme du voisin.
Le voisin arrive sur ses entrefaites et découvre sa femme inanimée baignant dans une marre de sang. Il se saisit à son tour d’un fusil et tue le voisin…
— Et ?
— Ce n’est pas tout : La femme du propriétaire de l’âne voit à son tour son mari gisant dans son sang, elle se saisit de son fusil et tue le voisin…
— Et puis ?
— Et puis, on a demandé au diable pourquoi il avait provoqué un tel carnage et il a répondu, ‘‘moi, je n’ai rien fait ! J’ai juste détaché l’âne’’…
Moralité : Si tu veux détruire tout un pays, il te suffit de libérer les ânes ! »
 
Plus tard, Marie-Chantal et Germaine :
« — Tu sais, je crois qu’il vaut mieux avoir confiance dans ce qu’on mange plutôt que dans l’amour…
— Ah bon ? » fait Germaine… « Et pourquoi ?
— Les kilos en trop ne te quittent pas du jour au lendemain, eux… »   
 
Les mêmes après avoir avalé toutes l’assiette de mignardises qui accompagnait leur thé post-méridien :
« S’il y a bien une raison pour laquelle je ne pratique pas de sport, c’est parce que j’ai peur de devenir trop sexy… »
 
Germaine : « Tu sais que tu vieillis quand ton mari ne caresse plus la bonne chatte… »
 
Les mêmes : « Avant, un couple, tu sais, c’était un homme et une femme…
Maintenant, c’est un homme + une femme + une maîtresse + une ex qui ne lâche pas l’affaire + une amie en commun qui espère en secret que ça se termine, plus tous les gens qui te portent malheur ! ».
 
Une revenue très ancienne :
C’est lorsque Dieu créa Adam et Ève, il leur dit :
« Il ne me reste que deux cadeaux :
Le premier, c’est l’art de faire pipi debout… »
Adam ne le laissa pas continuer et s’écria : « Pour moi !!! Pour moi !!! Pour moi !!!
S’il te plait, Seigneur, je le veux ce cadeau !
S’il te plait !
Cela va énormément faciliter ma vie !
S’il te plait !!!
Donne-le-moi !!! »
Ève acquiesça, ajoutant que pour elle, cela n’avait aucune importance.
Dieu offrit alors ce cadeau à Adam, lequel se mit à crier de joie !
Il courait partout dans le Jardin d’Éden, faisant pipi contre tous les arbres et arbustes, allant vers la plage où il faisait sur le sable des dessins avec son pipi…
Il n’arrêta pas de manifester ainsi son immense bonheur !!!
Dieu et Ève contemplaient l’homme fou de joie.
Ève demanda alors :
« Seigneur, quel est l’autre cadeau ? »
Et Dieu répondit : 
« Le cerveau, Ève !
Le cerveau ! Et il est pour toi !!! »
Faire circuler vers toutes les femmes qui méritent bien un sourire… ainsi qu’aux hommes, mais seulement à ceux qui ont le sens de l’humour !…
 
Jean-Marc et Jean-Paul :
« Bien sûr qu’on peut toujours trouver plus con que soi.
Mais il y en a tout de même qui cherchent beaucoup plus longtemps que d’autres… »
 
Germaine à Jean-Marc :
« — Chéri, chéri !
— Oui, chérie ?
— Devine ce que je vais cuisiner ce soir pour notre dîner ?
— Comment veux-tu que je sache ? Je n’arrive déjà pas à savoir ce que tu as cuisiné une fois que c’est servi… alors avant… encore moins ! »
 
Jean-Marc à Jean-Régis, un jour de déprime…
« — Tu sais, toi… si tu étais aussi grand que t’es con…
— Eh bien ?
— Tu pourrais embrasser la Lune à genoux !
— Tu fais chier, Jean-Marc… Tu sais, plus on vieillit…
— Oui ?
— Plus la sentance « prison à vie » devient moins dissuasive ! »
 
« — Tu savais que l’IA a été inventée pour que les robots fassent tout ce les humains ne veulent pas faire…
— Oui, lire, compter, réfléchir, apprendre, flaner et admirer la nature… Ils vont être drôlement occupés ! »
 
C’est l’histoire de Jean-Marc et de Jean-Pierre qui entrent dans une épicerie…
Jean-Pierre vole une pomme et la met dans sa poche…
« — Tu as vu, discret, ni vu ni connu…
— Attend, je vais te montrer un truc encore plus fabuleux » lui répond Jean-Marc.
Il s’approche de la vendeuse qui tient le stand et lui dit : « Regardez bien, mademoiselle. Je vais vous faire un tour de magie… »
La fille regarde, étonnée, droit dans les yeux, Jean-Marc prendre une pomme et la croquer avidement.
Quand il a terminé, la fille lui demande :
« — Et il est où le tour de magie ?
— Regardez dans la poche de mon ami ! »
 
Sans rancune aucune, bon début de week-end (ce soir), le dernier de l’année, à toutes et tous tout de même !
 
I³
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)