Jean-Marc sèche…
« — Comment conjuguer « Crois-tu qu’il reste des pates »
au conditionnel passé ?
— Euh… « L’eusses-tu cru », peut-être ? » propose Jean-Paul…
« — Tu sais, il faut éviter de raconter ses problèmes à son entourage.
— Pourquoi ça ?
— Parce que 20 % n’en ont rien à foutre et les 80 % autres sont bien contents que tu sois dans la merde…
— … »
Jean-Marc questionne son épouse, Germaine…
« — Tu pleurerais si je venais à mourir ?
— Bien sûr ! Tu sais bien que je pleure pour un rien…
— … »
J’ai demandé à un ami qui a franchi les 70 ans et qui se dirige vers les
80 ans quel genre de changements il ressent en lui.
C’est qu’à l’approche de la première échéance, la seconde me paraît déjà inatteignable.
Il m’a répondu ce qui suit :
« 1. Après avoir aimé mes parents, mes frères et sœurs, mon conjoint, mes enfants et mes amis, j'ai maintenant commencé à m’aimer moi-même.
2. J’ai réalisé que je ne suis pas « Atlas ». Le
monde ne repose pas sur mes épaules.
3. J’ai arrêté de négocier avec les vendeurs de légumes et de fruits. Quelques sous de plus ne vont pas me casser, mais cela pourrait aider le pauvre homme à économiser pour les frais de vestimentaire de sa fille.
4. Je laisse un gros pourboire à ma serveuse. L’argent supplémentaire pourrait lui apporter un sourire. Elle travaille beaucoup plus dur pour vivre que moi.
5. J’ai arrêté de dire aux personnes âgées qu’ils ont déjà raconté cette histoire à plusieurs reprises. L’histoire les fait marcher dans les souvenirs et revivre leur passé. C’est une façon de les aider à lutter contre leur sénilité.
6. J’ai appris à ne pas corriger les gens même quand je sais qu’ils ont tort. Le fardeau de rendre tout le monde parfait n’est plus sur moi mais revient aux plus jeunes. Et puis la paix est plus précieuse que la perfection.
7. Je fais des compliments librement et généreusement. Les compliments sont un stimulateur d’humeur non seulement pour le destinataire, mais aussi pour moi. Et une petite astuce pour le destinataire d’un compliment, ne le refuser jamais, il suffit de dire « merci ».
8. J’ai appris à ne pas me déranger pour un pli ou une tache sur ma chemise. La personnalité parle plus fort que les apparences.
9. Je m’éloigne des gens qui ne m’apprécient pas. Ils ne connaissent peut-être pas ma valeur, mais moi si.
10. Je reste cool quand quelqu’un joue sale pour me dépasser dans la course aux rats. Je ne suis pas un rat et je ne suis pas non plus dans aucune course.
11. J’apprends à ne pas être gêné par mes émotions. Ce sont mes émotions qui me rendent humain.
12. J’ai appris qu’il vaut mieux laisser tomber l’ego que de briser une relation. Mon ego me tiendra à l’écart, alors qu’avec les relations, je ne serai jamais seul.
13. J’ai appris à vivre chaque jour comme si c’était le dernier. Après tout, c’est peut-être la dernière.
14. Je fais ce qui me rend heureux. Je suis responsable de mon bonheur, et je le dois à moi-même. Le bonheur est un choix. Tu peux être heureux à tout moment, choisis juste de l’être !
Et j’ai décidé de partager ça pour tous mes amis.
Pourquoi devons-nous attendre d’avoir 60 ou 70 ou 80 ans, pourquoi ne pouvons-nous pas pratiquer cela à n’importe quel stade et âge ? »
Oui, pourquoi pas ?
Commentaire de Jean-Marc : « Ce n’est pas très drôle de vieillir… »
Énigme idiote (pour suivre) :
« Si deux chauves complotent ensemble, peut-on dire tout de même qu’ils sont de mèche ? »
Petite histoire :
Un Airbus 380 est en route pour traverser l’Atlantique.
Il vole stable à 800 km/h et 30.000 pieds, quand soudainement un Rafale s’approche de lui, à Mach 2 (donc, globalement 3 fois plus vite).
Le pilote de l’avion de chasse ralentit, vole aux côtés de l’Airbus et appelle le pilote de l’avion de ligne par radio :
« Vol en autobus, vol ennuyeux n’est-ce pas ? Attachez votre ceinture et jetez un coup d'œil par ici ! »
Il fait un tonneau, accélère, passe le mur du son, monte en chandelle à une hauteur vertigineuse, puis pique jusqu’au niveau de la mer dans une vrille à couper le souffle.
Il retourne près de l’Airbus et demande :
« Eh bien, comment c’était ?!? »
Le pilote de l’Airbus répond :
« Très impressionnant, mais maintenant regardez par ici ! »
Le pilote du jet regarde l’Airbus, mais rien ne se passe.
Il continue de voler obstinément en ligne droite, à vitesse constante.
Après cinq minutes, le pilote d’Airbus appel à la radio :
« Eh bien, qu’est-ce que t’en dis ? »
Le pilote du chasseur demande confus :
« Qu’avez-vous fait ? »
L’autre pilote rit et dit :
« Je me suis levé, je me suis étiré les jambes, je suis allé à l’arrière de l’appareil pour passer aux toilettes, j’ai pris une tasse de café et un gâteau à la cannelle. »
Rien de drôle, sauf que voici la morale de l’histoire :
« Quand on est jeune, la vitesse et l’adrénaline semblent être les meilleures des choses de la vie. Mais en vieillissant et en devenant plus sage, le confort et la paix prennent toute leur importance, aussi.
La responsabilité aussi … quand on est là pour préserver des vies ou en sauver, pas besoin d’esbroufe ou de dispersion, il faut se ménager pour rester prêt à faire face à n’importe quelle situation.
En anglais ils appellent ça le S.O.S.: Slower, Older, Smarter (plus lent, plus vieux, plus malin).
Et Jean-Marc dédie cette histoire à tous ses amis qui ne se sentent pas si mal à l’approche du « S.O.S » !
Et rajoute ce commentaire (déjà entendu) : « Ce n’est décidément pas très drôle de vieillir… »
La prière des plus de 60
ans :
« Notre kiné qui êtes osseux,
Que nos articulations
soient certifiées,
Que notre squelette tienne,
Que nos os emboités soient fermes sur la terre comme ossuaire,
Donnez-nous aujourd’hui nos massages quotidiens,
Pardonnez nos gémissements comme nous pardonnons à ceux qui nous ont massés,
Ne nous laissez pas tomber dans la décalcification,
Mais délivrez-nous du mal de dos ! »
Commentaire de Jean-Marc :
« Que c’est triste de vieillir… »
Pour lui remonter le
moral, Jean-Paul en plus de lui offrir une bière lui fait savoir :
« Peu importe ta beauté ou ta laideur,
Ton intelligence ou ta
bêtise,
Ton sens de l’humour ou ton état grincheux,
Sache qu’il n’y a aucune injustice à ce que tous les anus de dilatent…
Quand on va chier… »
Morale de l’histoire vue
par Jean-Marc : « Parfois, même sans avoir à vieillir, la
vie est un naufrage dès le plus jeune âge… »
Jean-Paul, devant une
bière en compagnie de Jean-Marc, devient tout d’un coup un brin mélancolique :
« Quand j’étais petit, j’avais appris que la chatte était la femelle du chat,
Qu’une chienne celle du
chien,
Qu’une bite servait à amarrer les bateaux,
Que les boules étaient toujours accompagnées du cochonnet,
Qu’une pipe se fumait,
Que 69 était un nombre,
Et puis en grandissant,
Tout est parti en couille… »
Un peu plus tard, les
mêmes, mais devant une autre bière :
« — Mon rêve serait d’avoir une belle épouse, une super bagnole de sport et gagner 10.000 euros par mois à ne rien faire comme mon père…
— Il a tout ça ton père ?
— Non mais il en rêve aussi ! »
Scène de ménage :
20 h 02 : « Je me demande ce que je ferais sans la bouffe.
Du 36 ma chérie ! »
Heure du décès : 20
h 03…
Une petite « revenue » (d’il y a longtemps) ?
C’est deux femmes qui, un soir, se promènent dans la rue, le long d’un cimetière…
Comme tout d’un coup (à force de boire du thé), elles ont envie de faire pipi et qu’elles sont loin de toutes commodités, elles décident de soulager discrètement derrière les tombes.
N’ayant rien pour s’essuyer, l’une prend sa culotte pour se nettoyer et la jette ensuite, alors que l’autre prend le ruban d’une couronne florale et elles rentrent.
Le lendemain leur mari se rencontrent – devant une bière – et l’un dit à l’autre :
« Je ne sais pas que penser de Marie-Gabrielle : Hier soir, elle est rentrée sans culotte ! »
Et l’autre dit :
« — Ne m’en parle pas ! Marie-Christine, c’est encore pire !
— Ah bon ?
— Elle est rentrée avec une carte entre
les fesses qui disait : ‘‘De la part de tous les gars de la caserne, nos
remerciements éternels !’’ »
Dumè communique :
C’est l’histoire du petit Mohammed rentre dans sa nouvelle école à Bastia.
« Comment t’appelles-tu ? » demande la maîtresse.
« Mohammed », répond le petit.
« Ici nous sommes en Corse, il n’y a pas de Mohammed, dorénavant tu t’appelleras Dumè », rétorque la maîtresse.
Le soir, Mohammed rentre chez lui.
« La journée s’est bien passée Mohammed ? » lui demande sa mère.
« — Je ne m’appelle plus Mohammed, mais Dumè car je suis en Corse.
— Ah, tu as honte de ton prénom, tu renies tes parents ! »
La mère pique une belle colère et lui flanque une raclée.
Puis elle appelle le père et le met au courant.
Mohammed s’en reprend une.
Le lendemain Mohammed retourne en classe.
« Que s’est-il passé mon petit Dumè ? » lui demande la maîtresse inquiétée par les marques de coup, ses bleus et hématomes.
« Ben madame, ça ne faisait pas 2 heures que j'étais Corse que je me suis fait agresser par deux arabes. »
Jean-Marc et Jean-Paul, devant leur dernière bière de la matinée :
« — Je ne comprends pas et trouve inadmissible que les profs des
écoles n’enseignent pas à leurs élèves ce qu’est une voyelle !
— Tu as raison ! Surtout que c’est facile : Tout
le monde sait que c’est la femme du voyou ! »
Jean-Paul est sur un coup :
« — Tu es végan ?
— Oui… »
répond la dame…
« — Donc tu ne mets pas de viande dans ta bouche ?
— N’exagérons rien… »
Dans une salle de classe, la maîtresse demande à ses élèves ce qu’ils font
en sortant de l’école, le soir :
Le premier répond : « Moi, je cours chez Mohamed lui acheter du cannabis ! »
Le second répond à son tour : « Moi aussi, je cours chez Mohamed prendre livraison du cannabis pour mon père… »
Le troisième : « Moi, je me précipite chez Mohamed acheter du cannabis pour la soirée ! »
Le quatrième : « — Moi, je rentre faire mes devoirs.
— C’est bien, ça. Tu es un modèle pour cette classe. Je te
nomme chef de classe. Comment t’appelles-tu ?
— Mohamed, Madame ! »
C’est l’histoire d’un marseillais et d’un parigot qui s’affrontent au jeu
des chiffres et des lettres :
Le marseillais : « — Consonne !
— D… »
Le parisien : « — Consonne !
— C.
— Consonne !
— D…
— Consonne !
— P…
— Consonne !
— S…
— Consonne !
— G… Messieurs, si vous ne tirez aucune voyelle, vous n’allez pas y arriver » prévient l’animateur…
« — Consonne !
— P… »
Le marseillais prend la parole…
« — 7 lettres !
— Hélas, pas mieux » indique le parisien…
« PSGCDPD ! »
Sur le chemin du retour au domicile, Jean-Paul fait une remarque à Jean-Marc :
« — Je finis par croire que le meilleur ami de l’homme, ce n’est pas le chien, mais la mouche…
— Ah bon ! Et pourquoi ?
— Parce que même quand tu es dans la merde, la mouche est toujours là ! »
Sans rancune aucune, bon début de week-end (ce soir) à toutes et tous tout
de même !
I3
Pour
mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ
RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE «
NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
— Parce que 20 % n’en ont rien à foutre et les 80 % autres sont bien contents que tu sois dans la merde…
— … »
— … »
C’est qu’à l’approche de la première échéance, la seconde me paraît déjà inatteignable.
Il m’a répondu ce qui suit :
« 1. Après avoir aimé mes parents, mes frères et sœurs, mon conjoint, mes enfants et mes amis, j'ai maintenant commencé à m’aimer moi-même.
3. J’ai arrêté de négocier avec les vendeurs de légumes et de fruits. Quelques sous de plus ne vont pas me casser, mais cela pourrait aider le pauvre homme à économiser pour les frais de vestimentaire de sa fille.
4. Je laisse un gros pourboire à ma serveuse. L’argent supplémentaire pourrait lui apporter un sourire. Elle travaille beaucoup plus dur pour vivre que moi.
5. J’ai arrêté de dire aux personnes âgées qu’ils ont déjà raconté cette histoire à plusieurs reprises. L’histoire les fait marcher dans les souvenirs et revivre leur passé. C’est une façon de les aider à lutter contre leur sénilité.
6. J’ai appris à ne pas corriger les gens même quand je sais qu’ils ont tort. Le fardeau de rendre tout le monde parfait n’est plus sur moi mais revient aux plus jeunes. Et puis la paix est plus précieuse que la perfection.
7. Je fais des compliments librement et généreusement. Les compliments sont un stimulateur d’humeur non seulement pour le destinataire, mais aussi pour moi. Et une petite astuce pour le destinataire d’un compliment, ne le refuser jamais, il suffit de dire « merci ».
8. J’ai appris à ne pas me déranger pour un pli ou une tache sur ma chemise. La personnalité parle plus fort que les apparences.
9. Je m’éloigne des gens qui ne m’apprécient pas. Ils ne connaissent peut-être pas ma valeur, mais moi si.
10. Je reste cool quand quelqu’un joue sale pour me dépasser dans la course aux rats. Je ne suis pas un rat et je ne suis pas non plus dans aucune course.
11. J’apprends à ne pas être gêné par mes émotions. Ce sont mes émotions qui me rendent humain.
12. J’ai appris qu’il vaut mieux laisser tomber l’ego que de briser une relation. Mon ego me tiendra à l’écart, alors qu’avec les relations, je ne serai jamais seul.
13. J’ai appris à vivre chaque jour comme si c’était le dernier. Après tout, c’est peut-être la dernière.
14. Je fais ce qui me rend heureux. Je suis responsable de mon bonheur, et je le dois à moi-même. Le bonheur est un choix. Tu peux être heureux à tout moment, choisis juste de l’être !
Et j’ai décidé de partager ça pour tous mes amis.
Pourquoi devons-nous attendre d’avoir 60 ou 70 ou 80 ans, pourquoi ne pouvons-nous pas pratiquer cela à n’importe quel stade et âge ? »
Commentaire de Jean-Marc : « Ce n’est pas très drôle de vieillir… »
« Si deux chauves complotent ensemble, peut-on dire tout de même qu’ils sont de mèche ? »
Un Airbus 380 est en route pour traverser l’Atlantique.
Il vole stable à 800 km/h et 30.000 pieds, quand soudainement un Rafale s’approche de lui, à Mach 2 (donc, globalement 3 fois plus vite).
Le pilote de l’avion de chasse ralentit, vole aux côtés de l’Airbus et appelle le pilote de l’avion de ligne par radio :
« Vol en autobus, vol ennuyeux n’est-ce pas ? Attachez votre ceinture et jetez un coup d'œil par ici ! »
Il fait un tonneau, accélère, passe le mur du son, monte en chandelle à une hauteur vertigineuse, puis pique jusqu’au niveau de la mer dans une vrille à couper le souffle.
Il retourne près de l’Airbus et demande :
« Eh bien, comment c’était ?!? »
Le pilote de l’Airbus répond :
« Très impressionnant, mais maintenant regardez par ici ! »
Le pilote du jet regarde l’Airbus, mais rien ne se passe.
Il continue de voler obstinément en ligne droite, à vitesse constante.
Après cinq minutes, le pilote d’Airbus appel à la radio :
« Eh bien, qu’est-ce que t’en dis ? »
Le pilote du chasseur demande confus :
« Qu’avez-vous fait ? »
L’autre pilote rit et dit :
« Je me suis levé, je me suis étiré les jambes, je suis allé à l’arrière de l’appareil pour passer aux toilettes, j’ai pris une tasse de café et un gâteau à la cannelle. »
Rien de drôle, sauf que voici la morale de l’histoire :
« Quand on est jeune, la vitesse et l’adrénaline semblent être les meilleures des choses de la vie. Mais en vieillissant et en devenant plus sage, le confort et la paix prennent toute leur importance, aussi.
La responsabilité aussi … quand on est là pour préserver des vies ou en sauver, pas besoin d’esbroufe ou de dispersion, il faut se ménager pour rester prêt à faire face à n’importe quelle situation.
En anglais ils appellent ça le S.O.S.: Slower, Older, Smarter (plus lent, plus vieux, plus malin).
Et Jean-Marc dédie cette histoire à tous ses amis qui ne se sentent pas si mal à l’approche du « S.O.S » !
Et rajoute ce commentaire (déjà entendu) : « Ce n’est décidément pas très drôle de vieillir… »
« Notre kiné qui êtes osseux,
Que notre squelette tienne,
Que nos os emboités soient fermes sur la terre comme ossuaire,
Donnez-nous aujourd’hui nos massages quotidiens,
Pardonnez nos gémissements comme nous pardonnons à ceux qui nous ont massés,
Ne nous laissez pas tomber dans la décalcification,
Mais délivrez-nous du mal de dos ! »
« Peu importe ta beauté ou ta laideur,
Ton sens de l’humour ou ton état grincheux,
Sache qu’il n’y a aucune injustice à ce que tous les anus de dilatent…
Quand on va chier… »
« Quand j’étais petit, j’avais appris que la chatte était la femelle du chat,
Qu’une bite servait à amarrer les bateaux,
Que les boules étaient toujours accompagnées du cochonnet,
Qu’une pipe se fumait,
Que 69 était un nombre,
Et puis en grandissant,
Tout est parti en couille… »
« — Mon rêve serait d’avoir une belle épouse, une super bagnole de sport et gagner 10.000 euros par mois à ne rien faire comme mon père…
20 h 02 : « Je me demande ce que je ferais sans la bouffe.
C’est deux femmes qui, un soir, se promènent dans la rue, le long d’un cimetière…
Comme tout d’un coup (à force de boire du thé), elles ont envie de faire pipi et qu’elles sont loin de toutes commodités, elles décident de soulager discrètement derrière les tombes.
N’ayant rien pour s’essuyer, l’une prend sa culotte pour se nettoyer et la jette ensuite, alors que l’autre prend le ruban d’une couronne florale et elles rentrent.
Le lendemain leur mari se rencontrent – devant une bière – et l’un dit à l’autre :
« Je ne sais pas que penser de Marie-Gabrielle : Hier soir, elle est rentrée sans culotte ! »
Et l’autre dit :
« — Ne m’en parle pas ! Marie-Christine, c’est encore pire !
C’est l’histoire du petit Mohammed rentre dans sa nouvelle école à Bastia.
« Comment t’appelles-tu ? » demande la maîtresse.
« Mohammed », répond le petit.
« Ici nous sommes en Corse, il n’y a pas de Mohammed, dorénavant tu t’appelleras Dumè », rétorque la maîtresse.
Le soir, Mohammed rentre chez lui.
« La journée s’est bien passée Mohammed ? » lui demande sa mère.
« — Je ne m’appelle plus Mohammed, mais Dumè car je suis en Corse.
Puis elle appelle le père et le met au courant.
Mohammed s’en reprend une.
Le lendemain Mohammed retourne en classe.
« Que s’est-il passé mon petit Dumè ? » lui demande la maîtresse inquiétée par les marques de coup, ses bleus et hématomes.
« Ben madame, ça ne faisait pas 2 heures que j'étais Corse que je me suis fait agresser par deux arabes. »
« — Tu es végan ?
Le premier répond : « Moi, je cours chez Mohamed lui acheter du cannabis ! »
Le second répond à son tour : « Moi aussi, je cours chez Mohamed prendre livraison du cannabis pour mon père… »
Le troisième : « Moi, je me précipite chez Mohamed acheter du cannabis pour la soirée ! »
Le quatrième : « — Moi, je rentre faire mes devoirs.
— Mohamed, Madame ! »
Le marseillais : « — Consonne !
— C.
— Consonne !
— D…
— Consonne !
— P…
— Consonne !
— S…
— Consonne !
— G… Messieurs, si vous ne tirez aucune voyelle, vous n’allez pas y arriver » prévient l’animateur…
« — 7 lettres !
— Hélas, pas mieux » indique le parisien…
« — Je finis par croire que le meilleur ami de l’homme, ce n’est pas le chien, mais la mouche…
— Parce que même quand tu es dans la merde, la mouche est toujours là ! »
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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