Les sauts de CO2 dans les glaces de l’antarctique
On rémunère quantité de « futurs trouveurs »
et leurs matériels pointus avec de grandissimes subventions (que je finance tout
seul par l’impôt avec quelques autres…) pour analyser, notamment, les bulles d’air
emprisonnées dans des carottes de glace vieilles de plus de 200.000 ans
C’est qu’il faut aller les chercher, ces carottes-là, parce que ça ne pousse pas bien sous les serres de votre jardinet de banlieue…
Et pourquoi tant d’efforts et d’argent ?
Mais parce que ces carottages-là témoignent de moments dans l’histoire de notre belle planète des concentrations de CO2 (ce gaz épouvantable – tellement qu’il tue en cas d’overdose – mais que fabriquent nos poumons sans jamais s’arrêter… de notre vivant) dans l’atmosphère.
Or, il parait que ces concentrations auraient déjà subitement augmenté.
C’est ce que suggèrent ces « trouveurs-là » (et quelques-autres) quand ils font le rapprochement avec le passé de l’atmosphère de notre planète, dans des circonstances similaires…
Et, drame, ces augmentations, qui viendraient se
superposer aux actuelles émissions humaines, restent toutefois largement
inférieure aux niveaux de CO2 que nous relarguons actuellement.
Car l’atmosphère est en changement perpétuel.
Sa composition a régulièrement varié au cours des époques climatiques de notre planète, et notamment ses niveaux de concentration en dioxyde de carbone (CO2), paraît-il paramètre crucial pour déterminer le climat de notre planète.
L’analyse des bulles d’air emprisonnées dans les
carottes de glace a donc permis de reconstituer avec certitude ces variations
au cours des derniers 500.000 ans (hors la présence industrielle humaine). C’est
ce que montre une étude publiée dans une revue Nature Geoscience, qui témoigne
de « sauts » de CO2 récents, qui correspondent à des
augmentations d’environ 10 parties par millions (ppm) (ou 0,001 %, variation « non
significative » comme disait mon commissaire aux comptes) en moins d’un
siècle des concentrations atmosphériques de CO2.
Plus intéressante et plus préoccupant, ces « sauts »
passés, qui correspondent aux variations naturelles de CO2
atmosphérique les plus brutales survenues dans le climat passé, restent
toutefois d’amplitude beaucoup plus faible que l’augmentation récente qui est
réputé être à l’origine de l’actuel réchauffement climatique.
L’étude montre ainsi que ces sauts de CO2 se produisent à des moments où l’inclinaison de l’axe de rotation de la Terre par rapport au plan de son orbite autour du Soleil, appelée obliquité, était élevée.
Or, justement, la Terre se trouve actuellement dans une période de forte obliquité.
CQFD…
Mais ce n’est pas tout : Ces sauts sont aussi
déclenchés par des perturbations de l’AMOC, un courant océanique majeur de l’Atlantique
Nord qui joue un rôle crucial dans la régulation du climat, et qui montre
actuellement des signes de ralentissement.
C’est même ce qui ferait fondre rapidement la banquise arctique à en ouvrir de nouveaux passages dans le dit océan au large des côtes canadiennes et russes, avec ses courants chauds qui viennent habituellement des tropiques, sans qu’on ne m’explique que justement, si l’AMOC ralentit, le refroidissement des mers septentrionales accélère la fonte de la banquise. Intuitivement, j’aurai plutôt pensé exactement le contraire, qu’elle la consolidait…
Mais je ne suis pas un « scientifique » et encore moins un climatologue…
Donc, cela pourrait entraîner un saut de CO2 supplémentaire qui viendrait se cumuler aux autres causes d’émissions, notamment celles d’origine humaine, me fait-on savoir.
Bref, l’époque n’est décidément pas à l’appauvrissement du carburant et de la matière première du monde végétal…
Et heureusement pour la biodiversité (paraît-il en danger) et les bêtes qui mangent de l’herbe…
Parce que moâ, accessoirement, je mange les bêtes qui mangent de l’herbe…
En revanche, les « chercheurs-trouveurs » notent
ainsi de notables augmentations qui demeurent toutefois, en moyenne, 10 à 20
fois plus faibles que l’augmentation des émissions d’origine humaine (me précise-t-on)
: Au cours de la dernière centaine d’années, celle-ci est estimée à 115 ppm (0,0115
%, toujours « non significatif » pour mon CAC…), donc d’une ampleur
dix fois plus importante que les sauts de CO2 observés jusque-là.
Probablement, si on réfléchit bien, on doit pouvoir trouver des changements encore plus énormes pour vous faire bien trembler de peur pour un avenir où plus personne ne sera là pour le conter, notamment depuis tout ce temps, dans l’ampleur des stocks de CO2 que nous respirons…
10.000 ans d’augmentation augmentante, peut-être qu’on parviendra à mesurer 1 % de plus qu’actuellement, ce qui revient à passer de 4 à 5 % de gaz carbonique dans l’atmosphère…
Encore assez loin des 96 % du même gaz qui assure des nuits fraîches à 400° à la surface de Vénus…
Bref, l’analyse des carottes de glace, un long tube de
d’environ 10 cm de diamètre, prélevée sur plusieurs kilomètres de profondeur en
Antarctique, dont la surface est couverte en quasi-intégralité de glace (pour l’heure,
parce qu’on nous affirme aussi que la banquise fond même là-bas… au moins depuis
plusieurs siècles…), a été menée à l’Institut des Geosciences de l’Environnement
de Grenoble et est catégorique : Elle a permis d’identifier sept nouveaux
sauts de CO2 au cours de la période allant de 260.000 à 190.000 ans
avant notre ère et d’identifier 15 sauts déjà recensés dans des enregistrements
précédents.
Surtout, comme nous l’avons dit d’emblée, elle a permis de montrer que 18 des 22 sauts de CO2 étudiés se sont produits lorsque l’obliquité de la planète était élevée.
Une coïncidence de deux phénomènes qui interroge…
Les sauts de CO2, des phénomènes abrupts, seraient
ainsi causés par la contingence de deux phénomènes :
– Le déclencheur initial de ces sauts reste la perturbation de la circulation océanique atlantique (AMOC, pour Atlantic Meridional Oceanic Circulation), acteur majeur de la régulation du climat terrestre. L’arrêt de l’AMOC entraîne en effet une réorganisation des précipitations et températures à l’échelle du globe.
El Niňo, à côté, c’est vraiment un gamin… et il aura été oublié par lesdits « chercheurs »…
– Pour autant, cette condition nécessaire n’est hélas pas suffisante : Chaque perturbation de l’AMOC n’entraîne pas systématiquement un saut de CO2 !
C’est là qu’intervient le deuxième paramètre clé dans l’occurrence des sauts de CO2 à savoir l’obliquité de la planète, qui correspond à l’inclinaison de la Terre par rapport au Soleil lors de sa rotation autour de ce dernier.
Et cette obliquité n’est pas constante : Elle varie de manière régulière entre environ 22° et 25°, à travers des cycles de 41.000 ans.
Les tropiques se promènent…
Que forcément, on le voit nettement avec les effets
saisonniers à l’échelle d’une année seulement, doublée au cas particulier de la
planète de la légère excentricité de son orbite (elle est plus proche du Soleil
l’hiver que l’été, ce qui nous fait un climat plus doux dans l’hémisphère Nord que
dans les 40ème rugissants), cette variation influence la répartition
de l’énergie du Soleil à la surface de la Terre.
Ce qui a bien entendu des impacts directs sur les climats régionaux ainsi que la répartition géographique des environnements terrestres, notamment les types de végétation, qui stockent du carbone (pour les bêtes qui mangent de l’herbe…).
Les résultats de ces recherches suggèrent même que ces changements dans la répartition terrestre de la végétation, en particulier au Moyen-Orient et en Afrique subsaharienne, entraînent la constitution de larges stocks de CO2 dans la biomasse, qui peuvent ensuite être déstockés lors de la perturbation de l’AMOC, provoquant les sauts de CO2 détectés (et des incendies ravageurs…).
Or, la Terre se trouve actuellement dans une de ces
périodes de haute obliquité.
En cas de perturbation majeure de la circulation océanique atlantique, notamment un ralentissement de l’AMOC, une quantité de carbone équivalente à quatre années d’émissions anthropiques mondiales (au rythme des émissions moyennes de la période 2010-2019) pourrait ainsi être relarguée en l’atmosphère durant quelques dizaines d’années, se superposant ainsi aux émissions actuelles de l’activité humaine.
En conclusion, une fois de plus à l’heure actuelle, il
reste de grandes incertitudes sur les modélisations liées à l’AMOC, certaines
suggérant qu’il ralentit du fait du changement climatique provoqué par les
activités humaines.
Et hop l’entourloupe : Ce n’est plus l’obliquité de la planète qui change le climat, mais les hommes qui rajoutent à l’obliquité… et du coup ralentissent l’AMOC.
Et dans l'hypothèse d’un effondrement prochain de l’AMOC, bé on pourra mesurer un nouveau saut de CO2 qui surviendra nécessairement et ainsi entraînera de nouvelles émissions de CO2 du fait des sources naturelles déstabilisées par l’activité humaine, venant amplifier le changement climatique.
Clair, non ?
Alors que les « trouveurs » viennent seulement
de retrouver que globalement, la planète se débrouille très bien toute seule à faire
ses propres pics (et puits) de carbone sans aucune intervention polluante…
Mais probablement, le signaler aurait été péché contre le « Saint-Esprit » du GIEC… Un peu la lutte du pot de terre contre le pot de fer du dogme des « bien-pensants » et la censure assurée (et perte de subventions, de postes, de matériels, etc.)
D’autant que ceux-là pourraient avoir raison, après
tout, un peu comme « ma Nichée » qui croit encore que l’eau du
robinet qui part dans les chiottes est perdue à jamais, probablement dans l’espace
ou aux abords du Soleil, je ne sais pas bien.
Mais il aurait été plus honnête de dire que d’une part il faut absolument limiter les pollutions, car on ne sait pas tout purifier (et vivre dans une poubelle, ce n’est pas le panard) et que purifier, de toute façon, ça reste énergétivore.
Or, nos énergies exploitables ne sont pas inépuisables et qu’il s’agit d’en économiser les stocks pour faire durer le plaisir, en attendant l’énergie à profusion du « monde d’après »… (vous savez, la transition énergétique dont on vous bourre le neurone à coup de slogans publicitaires !)
Mais, être honnête avec des bourrins, parce qu’eux sont « trop intelligents », c’est donner de la brioche à des cochons…
Pour mémoire (n’en
déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE
PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE »,
REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
C’est qu’il faut aller les chercher, ces carottes-là, parce que ça ne pousse pas bien sous les serres de votre jardinet de banlieue…
Mais parce que ces carottages-là témoignent de moments dans l’histoire de notre belle planète des concentrations de CO2 (ce gaz épouvantable – tellement qu’il tue en cas d’overdose – mais que fabriquent nos poumons sans jamais s’arrêter… de notre vivant) dans l’atmosphère.
Or, il parait que ces concentrations auraient déjà subitement augmenté.
C’est ce que suggèrent ces « trouveurs-là » (et quelques-autres) quand ils font le rapprochement avec le passé de l’atmosphère de notre planète, dans des circonstances similaires…
Car l’atmosphère est en changement perpétuel.
Sa composition a régulièrement varié au cours des époques climatiques de notre planète, et notamment ses niveaux de concentration en dioxyde de carbone (CO2), paraît-il paramètre crucial pour déterminer le climat de notre planète.
L’étude montre ainsi que ces sauts de CO2 se produisent à des moments où l’inclinaison de l’axe de rotation de la Terre par rapport au plan de son orbite autour du Soleil, appelée obliquité, était élevée.
Or, justement, la Terre se trouve actuellement dans une période de forte obliquité.
CQFD…
C’est même ce qui ferait fondre rapidement la banquise arctique à en ouvrir de nouveaux passages dans le dit océan au large des côtes canadiennes et russes, avec ses courants chauds qui viennent habituellement des tropiques, sans qu’on ne m’explique que justement, si l’AMOC ralentit, le refroidissement des mers septentrionales accélère la fonte de la banquise. Intuitivement, j’aurai plutôt pensé exactement le contraire, qu’elle la consolidait…
Mais je ne suis pas un « scientifique » et encore moins un climatologue…
Donc, cela pourrait entraîner un saut de CO2 supplémentaire qui viendrait se cumuler aux autres causes d’émissions, notamment celles d’origine humaine, me fait-on savoir.
Bref, l’époque n’est décidément pas à l’appauvrissement du carburant et de la matière première du monde végétal…
Et heureusement pour la biodiversité (paraît-il en danger) et les bêtes qui mangent de l’herbe…
Parce que moâ, accessoirement, je mange les bêtes qui mangent de l’herbe…
Probablement, si on réfléchit bien, on doit pouvoir trouver des changements encore plus énormes pour vous faire bien trembler de peur pour un avenir où plus personne ne sera là pour le conter, notamment depuis tout ce temps, dans l’ampleur des stocks de CO2 que nous respirons…
10.000 ans d’augmentation augmentante, peut-être qu’on parviendra à mesurer 1 % de plus qu’actuellement, ce qui revient à passer de 4 à 5 % de gaz carbonique dans l’atmosphère…
Encore assez loin des 96 % du même gaz qui assure des nuits fraîches à 400° à la surface de Vénus…
Surtout, comme nous l’avons dit d’emblée, elle a permis de montrer que 18 des 22 sauts de CO2 étudiés se sont produits lorsque l’obliquité de la planète était élevée.
Une coïncidence de deux phénomènes qui interroge…
– Le déclencheur initial de ces sauts reste la perturbation de la circulation océanique atlantique (AMOC, pour Atlantic Meridional Oceanic Circulation), acteur majeur de la régulation du climat terrestre. L’arrêt de l’AMOC entraîne en effet une réorganisation des précipitations et températures à l’échelle du globe.
El Niňo, à côté, c’est vraiment un gamin… et il aura été oublié par lesdits « chercheurs »…
– Pour autant, cette condition nécessaire n’est hélas pas suffisante : Chaque perturbation de l’AMOC n’entraîne pas systématiquement un saut de CO2 !
C’est là qu’intervient le deuxième paramètre clé dans l’occurrence des sauts de CO2 à savoir l’obliquité de la planète, qui correspond à l’inclinaison de la Terre par rapport au Soleil lors de sa rotation autour de ce dernier.
Et cette obliquité n’est pas constante : Elle varie de manière régulière entre environ 22° et 25°, à travers des cycles de 41.000 ans.
Les tropiques se promènent…
Ce qui a bien entendu des impacts directs sur les climats régionaux ainsi que la répartition géographique des environnements terrestres, notamment les types de végétation, qui stockent du carbone (pour les bêtes qui mangent de l’herbe…).
Les résultats de ces recherches suggèrent même que ces changements dans la répartition terrestre de la végétation, en particulier au Moyen-Orient et en Afrique subsaharienne, entraînent la constitution de larges stocks de CO2 dans la biomasse, qui peuvent ensuite être déstockés lors de la perturbation de l’AMOC, provoquant les sauts de CO2 détectés (et des incendies ravageurs…).
En cas de perturbation majeure de la circulation océanique atlantique, notamment un ralentissement de l’AMOC, une quantité de carbone équivalente à quatre années d’émissions anthropiques mondiales (au rythme des émissions moyennes de la période 2010-2019) pourrait ainsi être relarguée en l’atmosphère durant quelques dizaines d’années, se superposant ainsi aux émissions actuelles de l’activité humaine.
Et hop l’entourloupe : Ce n’est plus l’obliquité de la planète qui change le climat, mais les hommes qui rajoutent à l’obliquité… et du coup ralentissent l’AMOC.
Et dans l'hypothèse d’un effondrement prochain de l’AMOC, bé on pourra mesurer un nouveau saut de CO2 qui surviendra nécessairement et ainsi entraînera de nouvelles émissions de CO2 du fait des sources naturelles déstabilisées par l’activité humaine, venant amplifier le changement climatique.
Clair, non ?
Mais probablement, le signaler aurait été péché contre le « Saint-Esprit » du GIEC… Un peu la lutte du pot de terre contre le pot de fer du dogme des « bien-pensants » et la censure assurée (et perte de subventions, de postes, de matériels, etc.)
Mais il aurait été plus honnête de dire que d’une part il faut absolument limiter les pollutions, car on ne sait pas tout purifier (et vivre dans une poubelle, ce n’est pas le panard) et que purifier, de toute façon, ça reste énergétivore.
Or, nos énergies exploitables ne sont pas inépuisables et qu’il s’agit d’en économiser les stocks pour faire durer le plaisir, en attendant l’énergie à profusion du « monde d’après »… (vous savez, la transition énergétique dont on vous bourre le neurone à coup de slogans publicitaires !)
Mais, être honnête avec des bourrins, parce qu’eux sont « trop intelligents », c’est donner de la brioche à des cochons…
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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