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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 30 décembre 2024

2025 sera une année quantique pour l’ONU

Deux informations interceptées par hasard…
 
1 – La technologie quantique aura franchi une nouvelle étape spectaculaire : « Gogol » vient d’annoncer que son un ordinateur quantique aura été capable d’effectuer en quelques secondes des calculs que les superordinateurs classiques aurait mis 47 ans à résoudre !
J’adore le concept : Il va falloir ramer comme des forcenés durant 47 ans pour vérifier si le résultat du calcul imposé à la machine est juste ou non…
 
Toutefois, plutôt que de se moquer, il faut reconnaître que cette prouesse technologique ouvre un nouveau chapitre dans l’histoire de l’informatique, avec des implications potentielles pour de très nombreux domaines.
Car l’informatique quantique repose bien naturellement sur les principes de la mécanique… quantique, une branche de la physique fondamentale qui explore les comportements des particules à l’échelle subatomique.
Or, contrairement aux ordinateurs traditionnels qui fonctionnent avec des bits pouvant être soit 0 soit 1, les ordinateurs quantiques utilisent des qubits !
Mais si…
Et grâce au phénomène de superposition, un qubit peut exister simultanément dans plusieurs états (le fameux « en même temps® »), augmentant de manière exponentielle la capacité de calcul des nouvelles puces.
D’autant qu’un autre principe fondamental de cette technologie est l’intrication : On va y revenir.
Par conséquent, deux qubits intriqués partagent un lien si profond que l’état de l’un influe immédiatement sur l’autre, et ce quelle que soit la distance qui les sépare.
De la beauté mystérieuse de la physique quantique…
Ces propriétés permettent donc aux ordinateurs quantiques de traiter des problèmes complexes que les machines traditionnelles peinent à résoudre.
 
Et « Gogol » a présenté son dernier processeur quantique, le Sycamore, doté de 70 qubits. Cette mise à jour représente quelque chose comme un bond considérable par rapport à son précédent modèle de 53 qubits.
Avec une capacité multipliée par plus de 241 millions, ce processeur atteint une puissance de calcul jamais vue
Et cet ordinateur quantique de « Gogol » peut effectuer en quelques secondes des calculs qui nécessiteraient des décennies sur Frontier, le superordinateur classique le plus rapide à ce jour, basé dans le Tennessee.
 
Grâce à cette puissance, les chercheurs pourront aborder des problématiques complexes, comme la découverte de nouveaux médicaments, en simulant des interactions moléculaires impossibles à modéliser avec des ordinateurs classiques.
Ou bien comme la résolution de problèmes environnementaux en modélisant des systèmes climatiques complexes pour prédire et atténuer les effets du changement climatique.
Voire comme l’optimisation industrielle en calculant des solutions optimales pour des réseaux logistiques, énergétiques, ou financiers.
Etc…
Pourtant, malgré ses promesses, cette technologie n’est pas exempte de défis.
Les qubits sont extrêmement sensibles aux perturbations environnementales, un phénomène appelé la « décohérence ». Cela rend hélas leur manipulation complexe et limite la durée pendant laquelle ils peuvent effectuer des calculs fiables.
 
Un autre obstacle majeur est la correction des erreurs. Contrairement aux bits classiques, les qubits sont sujets à des erreurs fréquentes. Développer des méthodes de correction efficaces reste une priorité pour rendre ces machines véritablement opérationnelles.
Et les ordinateurs quantiques représentent également un risque pour les systèmes de cryptage actuels. Car ils pourraient théoriquement casser des clés de chiffrement en un temps record, mettant en danger la sécurité des données sensibles.
Mais, paradoxalement, la même technologie pourrait ouvrir la voie à des méthodes de cryptages infiniment plus robustes, comme la cryptographie quantique qui use des propriétés de l’intrication.
 
Ainsi, « Gogol » affirme avoir atteint une étape appelée « la suprématie quantique », où un ordinateur quantique dépasse les capacités des superordinateurs classiques. Cette déclaration suscite des débats dans la communauté scientifique. Pourtant, des experts comme le PDG de Riverlane, considèrent cette avancée comme un tournant décisif.
D’autres, comme un professeur de l’Université du Sussex, soulignent que des progrès importants restent à faire, notamment dans la réduction des erreurs et l’allongement de la cohérence quantique, les points de faiblesse des puces et systèmes quantiques.
 
Le domaine de l’informatique quantique est toutefois en pleine effervescence. Des géants technologiques tels qu’IBM, Microsoft et « Gogol », ainsi que de nombreuses startups, investissent massivement dans cette course. Si les défis actuels sont surmontés, les applications potentielles sont immenses, touchant des secteurs aussi variés que la médecine, l’intelligence artificielle et la gestion énergétique.
Dans un futur proche, l’informatique quantique pourrait vraisemblablement révolutionner notre manière d’aborder des problèmes complexes. Cependant, l’adoption à grande échelle dépendra de la capacité à rendre cette technologie accessible, stable et économiquement viable.
Et « Gogol » a ouvert une nouvelle voie en démontrant la puissance des ordinateurs quantiques.
 
1-bis – L’information ci-dessus a été percutée par une autre, à peu près simultanément, comme pour en dire plus et expliquer la première.
La nouvelle puce quantique, de « Gogol » pourrait nous prouver que nous sommes dans un multivers. À l’ordinateur quantique d’en confirmer (ou non) la preuve.
Selon le fondateur de la division Quantum AI, « Willow », constituant les cœurs de « Sycamore », engendre une avancée majeure et fait en quelques minutes ce que les meilleurs supercalculateurs mettraient 10 septilliards d’années à accomplir…
À bien y réfléchir, l’annonce est sidérante mais reste crédible et a fait l’effet d’une bombe à effet d’onde de choc dans le monde de la tech.
Comme le rapporte le média en ligne Daily Galaxy (une autre de mes sources), « Gogol » affirme que sa nouvelle puce quantique, qui porte donc le doux nom de « Willow », est capable de performances si époustouflantes qu’elle pourrait bien arriver à démontrer l’existence d’univers parallèles !!!
 
Il faut dire que « Willow » est en mesure de réaliser en moins de cinq minutes un calcul qui prendrait 10 septilliards d’années (soit dix millions de milliards de milliards d’années, pas moins et ce qui est beaucoup plus long que l’âge de l’Univers) à accomplir aux supercalculateurs les plus rapides connus à ce jour.
Comme le martèle le fondateur de la division Quantum AI de « Gogol », la puce quantique est si rapide qu’elle a forcément « dû emprunter la puissance de calcul d’autres univers ».
Logique…
Cette performance « dépasse les échelles de temps connues en physique et (…) donne du crédit à l’idée que le calcul quantique se produit dans de nombreux univers parallèles, ce qui concorde avec l’idée que nous vivons dans un multivers ».
Cette déclaration confirmerait les propos tenus par d’autres dans un ouvrage paru en 1997 (« The Fabric of Reality », ou « L’Étoffe de la réalité ») qui affirmait notamment que la relative étrangeté de l’informatique quantique pourrait s’exprimer par l’existence de multiples réalités parallèles.
Rien de moins…
 
Reste que selon certains observateurs extérieurs, mieux vaut se méfier de ce qu’affirment les chercheurs « Gogolesques » puisque le test de performance au cours duquel « Willow » a tant brillé a été créé par « Gogol », ce qui introduit des biais potentiels.
Destiné à tester tous les processeurs quantiques, ce test pourrait faire preuve d’une subjectivité capable d’influencer l’interprétation des capacités de la puce quantique.
Des « experts » rappellent à juste titre que le concept d’univers parallèles reste à ce jour une idée théorique, non prouvée expérimentalement – même s’il s’accorde parfaitement avec certains aspects de la mécanique quantique.
 
En attendant, le développement de « Willow » s’inscrit dans le cadre d’une vaste initiative de « Gogol » Quantum AI, qui vise à résoudre des problèmes que les ordinateurs classiques sont tout simplement incapables de gérer.
Contrairement aux machines traditionnelles, qui calculent, comme nous le disions, de façon binaire (donc à partir de 0 et de 1), les ordinateurs quantiques s’appuient sur les qubits, capable d’exister simultanément dans plusieurs états superposés.
Cela permet aux machines quantiques de résoudre des problèmes incroyablement complexes en un temps infiniment plus court que tous les ordinateurs qui s’y étaient attelés jusque-là.
 
Revers de la médaille, comme nous l’avons précisé, plus un ordinateur quantique utilise de qubits, plus le risque d’erreurs est élevé. Mais Willow intègrerait à son système un dispositif visant à améliorer le processus de correction des erreurs, qui contribue à une avancée significative dans ce domaine.
Reste à savoir si la puce quantique développée au siège de Google, à Mountain View (Californie), pourrait vraiment constituer une porte d’entrée vers le multivers.
Et il faut préciser que l’idée que l’informatique quantique puisse exploiter les ressources d’autres univers parallèles changerait à tout le moins radicalement notre compréhension de la structure de la réalité.
La mécanique quantique a souvent tendance à défier notre intuition. Mais en imaginant que « Willow » fonctionne vraiment en tirant son énergie de plusieurs univers, on pourrait finir par aboutir à des conclusions inédites liées à la complexité du monde dans lequel nous vivons.
Le futur s’annonce en définitive absolument passionnant.
 
2 – Et puis est tombé sur mon téléscripteur cette information effarante : La téléportation quantique, longtemps cantonnée aux films de science-fiction, existe et repose sur l’intrication quantique.
Ce phénomène fascinant permet à deux particules d’être connectées comme par magie, peu importe la distance entre elles.
Résultat ? L’information peut être transmise instantanément d’un point A à un point B, peu importe a distance entre les deux points, ouvrant ainsi la voie à des communications ultra-sécurisées et super rapides.
 
Ce qui est nouveau, c’est que jusqu’ici, on pensait que les photons individuels utilisés dans ce processus se perdraient au milieu des millions de particules lumineuses dans les câbles optiques classiques.
Mais une équipe de Northwestern University a prouvé le contraire en utilisant un câble de 30 km pour téléporter des informations quantiques. « C’est dingue car personne ne croyait ça possible », s’exclame l’un des responsables du projet.
Même pas besoin de casser sa tirelire pour construire spécifique avec de nouvelles infrastructures !
Cette avancée peut s’intégrer directement dans les réseaux optiques qu’on utilise déjà. Partager une infrastructure unique entre réseaux classiques et quantiques ? C’est absolument énorme ! « Notre travail montre comment faire cohabiter réseaux quantiques et classiques grâce à une seule infrastructure en fibre optique », explique le responsable de l’expérience.
 
Pour y arriver, son équipe a étudié la dispersion lumineuse dans les câbles et trouvé une longueur d’onde moins encombrée pour placer leurs photons.
Ils ont aussi ajouté des filtres spéciaux pour réduire le bruit du trafic Internet habituel. Grâce à ces ajustements minutieux, ils ont ensuite pu réussir leur coup sans perturber notre connexion habituelle.
Et cette découverte ouvre la porte à un Internet qui serait non seulement plus rapide mais aussi ultra-sécurisé (merci la vitesse limite imposée par la lumière…). Des applications géniales pourraient voir le jour, surtout dans des domaines comme la cryptographie quantique où la sécurité est reine.
Vous imaginez, l’information arrive en même temps qu’elle part et avant même qu’elle n’arrive sur une longue distance comme entre la Terre et la Lune…
C’est toute la notion du temps qui s’écoule qui va en prendre un vieux coup derrière la tête, déjà qu’il va plus vite en orbite qu’au niveau de la mer… (ou les effets de la relativité générale…)
 
Mais quelques questions subsistent : Pourquoi utiliser des câbles alors qu’on parle de téléportation ? Justement parce que c’est plus pratique et économique d’utiliser ce qui existe déjà plutôt que tout reconstruire !
Prochaines étapes ? Tester sur encore plus long et utiliser plusieurs paires de photons intriqués en même temps pour vraiment montrer ce que cette technologie a dans le ventre. On prévoit même d’essayer ça avec des câbles souterrains réels plutôt que dans leur labo bien propre.
La téléportation quantique, même si elle n’en est qu’à ses balbutiements pratiques, pourrait alors transformer radicalement notre façon d’échanger des infos.
 
Avec 2025, désignée Année internationale de la technologie quantique par l’ONU, il est temps d’imaginer comment ces innovations pourraient refaçonner notre monde interconnecté.
En fin de compte, ces avancées soulignent combien il est important de continuer à explorer la physique quantique mais tout en rêvant aux possibilités infinies offertes par cette technologie révolutionnaire pour notre futur numérique collectif.
Ça valait la peine de vous le faire savoir, pour rêver un peu à votre tour en cette fin d’année… plutôt pénible par ailleurs et à bien des égards !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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