On savait que 2024 serait une belle année électorale…
Et on a effectivement eu 120 scrutins dans le monde,
plus que prévus – alors qu’il n’y en aura qu’une trentaine en 2025 –, mais on
ne savait pas que ce serait une année aussi épuisante qu’elle aura pu l’être…
On fera le bilan une autre fois…
En revanche, pour le reste, on peut faire comme les analystes de la banque danoise Saxo et quelques autres, c’est-à-dire tirer des plans sur la comète et faire des prévisions chocs.
Cette année, Ceux de Saxo nous proposent un panel pas si idiot que ça.
Par exemple, pour eux « McDo-Trompe » va
probablement favoriser une forte volatilité du dollar. Ils analysent qu’en
2025, son administration infligera des droits de douane massifs sur toutes les
importations des États-Unis : Une politique qui limiterait la disponibilité
mondiale de dollars.
Je vois surtout que le citoyen « ricain » a voté pour des pénuries et une augmentation du coût de la vie aux USA…
Mais pour les banquiers, ils en disent que les acteurs financiers mondiaux pourraient alors se tourner vers des alternatives au dollar.
Et dans un tel contexte, les cours du bitcoin et des autres cryptomonnaies pourraient s’envoler (c’est déjà en cours…). La capitalisation du marché des cryptomonnaies pourrait ainsi être multipliée par 4.
Quant au dollar, il pourrait fondre de 20 % face aux autres grandes devises et de 30 % face à l’or.
C’est un peu contradictoire, mais admettons…
Selon eux Nvidia qui dispute la couronne de première
capitalisation boursière mondiale avec Apple, le roi des semi-conducteurs
pourrait nettement distancer la firme à la pomme l’an prochain, en valant 2
fois plus qu’elle en Bourse, selon Saxo Banque.
En effet, la demande mondiale pour la puce révolutionnaire Blackwell de Nvidia, qui démultiplie les performances de calcul pour l'intelligence artificielle, pourrait exploser.
C’est surtout la déferlante des puces Qbit qui va être intéressante à suivre : Vont-elles apprendre à corriger toutes seules leurs erreurs de calcul ? Si oui, ça va être un massacre, une tuerie sans nom avec l’explosion tous azimuts de l’IA !
Un pas de géant pour tous ces industriels et derrière eux tous les utilisateurs…
Ils imaginent également que la Chine pourrait dégainer
le bazooka pour stimuler son économie. Ça reste à voir, mais il n’y a peut-être
pas d’autre solution, sauf à déclencher, comme « Poux-tine », un
conflit « chaud et armé »…
Car la communauté financière a jusqu’ici été globalement déçue par l’ampleur des mesures de relance orchestrées par Pékin. Alors la Chine pourrait décider de doper son économie sous pression via un plan de relance budgétaire massif de 50.000 milliards de yuans (environ 6.500 milliards d’euros) pour 2025 et les années à venir.
D’où un impact positif notable sur la consommation des ménages, un soutien à l’inflation et à la croissance économique mondiales, une surperformance des marchés actions des pays émergents face aux pays développés et une augmentation des cours des matières premières.
Là, ce serait vraiment un choc : L’atelier du monde qui se remet en marche alors qu’il n’arrive pas à refourguer ses voitures électriques dont plus personne ne veut… je ne veux même pas savoir !
Pour mes « anticipateurs », un cœur humain
bio-imprimé pourrait mettre en ébullition les secteurs de la biotechnologie et
de l’impression 3D. C’est envisageable… Des chercheurs pourraient réussir en 2025
à bio-imprimer un cœur humain fonctionnel via une technologie de bio-impression
3D avancée.
Le succès des organes bio-imprimés pourrait alors amener les analystes financiers à réviser leurs copies sur les secteurs des biotechnologies et de l’impression 3D, en relevant leurs estimations de croissance pour ces segments.
Une vague d’introductions en Bourse serait alors attendue. Cette vague d’innovation et d’investissement pourrait remodeler le secteur des soins de santé : Forcément, en dis-je…
Avec la démocratisation et la banalisation des
véhicules électriques, l’Opep serait reléguée aux oubliettes de l’histoire. Là,
j’admire : C’est une assertion qui tient du fantasme !
Pour eux, au fur et à mesure que les prix des véhicules électriques deviennent plus abordables pour les automobilistes, la demande de pétrole pourrait subir un impact négatif majeur.
Plus sérieusement, l’Opep, minée par des disputes entre pays et des divergences de point de vue sur les niveaux de production d’or noir souhaitables, pourrait perdre des membres clés. Dans un tel contexte, les anciens États membres de l’Opep pourraient chercher à maximiser leur production pour doper leurs revenus, faisant ainsi plonger les cours du pétrole.
Un fantasme « écololos-bobos », vous-dis-je…
Mais, face à la flambée des prix de l’électricité, les
États-Unis de « McDo-Trompe » pourrait imposer une taxe sur les
centres de données d’intelligence artificielle ! Et là, ça n’angoisserait
pas qu’« Élan-must » (qui se fâchera tout-rouge avant de s’exiler sur
la planète du même surnom).
C’est un peu comme l’adjoint de « Sœur-Âne » qui veut inventer une « taxe Amazon » pour faire payer la lutte contre la pollution aux livreurs « du dernier kilomètre »…
En conséquence, 2025 verrait les prix de l’électricité augmenter dans d’importants bassins de population aux États-Unis, alors que les poids lourds américains de la high-tech s’attachent à sécuriser un approvisionnement électrique de base pour leurs centres de données d’intelligence artificielle, stratégiques pour eux, jusqu’à acheter clé-en-main des centrales nucléaires toutes neuves !
Un phénomène qui suscite l’ire des ménages, dont la facture d’électricité devient de plus en plus salée…
Désireux de calmer leurs électeurs, des autorités locales infligeraient de lourdes taxes et des amendes aux grands centres de données, permettant ainsi de financer une réduction des tarifs de l’électricité pour les ménages.
Un fantasme, mais le prix de l’énergie électrique restera un champ de bataille des deux côtés de l’Atlantique au moins toute une partie de l’année (avec les délires « teutons » sur le sujet)…
Ils attendent aussi une catastrophe naturelle (qi aura
lieu) pour provoquer la faillite d’une grande compagnie d'assurance, mais ils
ne savent pas laquelle… et n’aura probablement pas ces conséquences-là.
Il faut dire que 2024 a été marquée par des conditions météorologiques extrêmes, et Saxo Banque imagine pour 2025 une possible tempête catastrophique aux États-Unis, à même de couler un grand assureur ayant sous-estimé les risques liés au changement climatique. Ce n’est pas sous-estimé, mais ce n’est pas « préfinancé ».
En effet, la banque danoise n’exclut pas un sinistre qui se traduirait pour le secteur de l’assurance à des demandes d’indemnisation représentant plusieurs fois les 40 milliards de dollars demandés lors de l’ouragan Katrina de 2005, avec le déclenchement d’une crise à la clé.
Ce n’est pas impossible, mais les Lloyds sont là en qualité de réassureurs…
La livre Sterling pourrait, quant à elle, gommer sa
décote post-Brexit face à l’euro. Encore un fantasme…
La livre Sterling a en effet souffert dans le sillage du Brexit, mais elle pourrait remonter à ses niveaux antérieurs face à la monnaie unique (à 1,27 euro pour une livre Sterling). Parce que la « Gauloisie-encore-olympique » et la « Teutonnie-germanique » font figure d’hommes malades de la zone euro (après les PIGS…), pesant ainsi sur la devise européenne. Or, les perspectives de croissance relativement plus robustes du Royaume-Uni font paraître l’économie britannique comme plus attractive.
Et Londres s’attache à éviter les hausses d’impôt sur le revenu les plus néfastes pour la croissance (ils ont compris ceux-là, pas comme chez les « insoumis ») et à diminuer les dépenses les moins productives du secteur public (pas comme chez nous où on va en rajouter), afin d’améliorer la trajectoire des finances publiques du Royaume-Uni, ce qui soutiendra la livre Sterling.
Mais cela suffira-t-il face au dollar et au yen ?
Je n’ai pas qu’une source d’information. Mes » potes »
analystes peuvent venir éclairer à leur façon la lecture des « marchés »
(de valeurs morales boursières), les bourses cherchant seulement à « anticiper ».
Les marchés actions ont connu des fortunes contrastées cette année, Wall Street ayant tenu la dragée haute à la plupart des autres grandes Bourses de la planète.
En particulier, le CACa 40 a sous-performé de façon notable les marchés actions américains, européens et japonais, sur fond de marasme dans le secteur du luxe (LVMH et Hermès), de crise politique persistante dans « l’Hexagonie » et d’incertitudes sur la trajectoire de l’économie « Gauloisienne-olympique ».
Et ceux-là anticipe désormais que 2025 pourrait être un millésime « volatil » pour la plupart des marchés actions.
C’est même une quasi-certitude : Il faut aller se réfugier, tant que ce n’est pas trop tard si ce n’est pas déjà fait, sur des valeurs « pierre » (papier ou en dur). C’est résilient la pierre…
Car justement, un krach en Bourse est même jugé
probable par BCA Research, qui s’attend à un plongeon de plus de 20 % du marché
actions, pouvant survenir d’ici fin juin 2025.
Vous savez, le marronnier des boursicoteurs, qui revient régulièrement comme les saisons…
En effet, plusieurs vents contraires seraient déjà à l’œuvre (inflexion négative sur les fronts de la consommation des ménages et de l’emploi, en particulier), sans parler des incertitudes entourant la politique économique des États-Unis lors du second mandat de « Trompe » et notre incapacité à voter une loi de finances pour l’année qui va commencer.
Enfin, la valorisation atteinte par le Nasdaq et le Dow Jones suggère qu’une bulle s’est formée à Wall Street et pourrait bien finir par éclater.
Jusqu’ici, la croissance économique « ricaine »
avait affiché une santé insolente, notamment grâce à un important soutien de l’État
(financé à crédit, avec un déficit public massif et un gonflement notable du
poids de la dette publique rapporté à la taille du produit intérieur brut) et à
une consommation des ménages globalement résiliente.
Mais de plus en plus de géants de la grande distribution aux États-Unis alertent sur les dépenses des ménages, qui tendent à s’essouffler.
En « Gauloisie-olympique » aussi, on s’inquiète de la même façon avec un quatrième trimestre 2024 qui a vu ses volumes se réduire malgré les offres dynamiques amorçant une baisse des prix…
Sur le front de l’emploi, après des chiffres globalement mitigés ces derniers mois (créations d’emplois moins fortes qu’initialement indiqué, baisse du taux de démission des salariés, etc.), on redoute une « vague de licenciements » à même de plomber la dynamique de hausses des salaires et donc la consommation des ménages.
Une vague qui est en cours chez nous dans le BTP et les industries mécaniques…
Finalement, les entreprises devraient devenir de plus en plus frileuses pour investir, et, en tout cas pour l’économie « ricaine », elle pourrait basculer en récession.
Alors qu’en Europe on flirte déjà avec des taux négatifs depuis plusieurs mois…
Quant à la politique économique envisagée par « McDo-Trompe »,
elle pourrait avoir un impact mitigé pour la croissance du PIB des États-Unis
et pour les marchés actions, me faut-on savoir. En effet, si la réduction
envisagée du taux d’impôt sur les sociétés (qui pourrait être ramené de 21 % à
15 %) et la dérégulation promise pourraient avoir un impact positif, certaines
mesures de son programme sont a priori négatives, notamment l’expulsion
de 1,3 à 8,3 millions de travailleurs migrants (qui pourrait favoriser des
tensions salariales et sur l’inflation), les menaces de droits de douane (à
l’impact également inflationniste) ou encore des dépenses qui pourraient être
réduites de 2.000 milliards de dollars, selon Edmond de Rothschild Asset
Management.
S’il applique à la lettre son programme, le cycle de
baisse des taux de la Fed pourrait être remis en question, avec à la clé un
impact sur la consommation des ménages, juge de son côté ABN Amro Investment
Solutions.
Quant à l’économie de la zone euro, qui s’affaiblit de façon notable, une mauvaise surprise sur l’inflation (un rythme de hausse des prix plus élevé que prévu) compliquerait la tâche de la BCE et risquerait de favoriser un scénario de stagflation (croissance molle et inflation élevée), juge les analystes du même établissement financier.
Entre des perspectives économiques plus incertaines et le spectre d’une possible remontée progressive de l’inflation (ce qui pourrait gêner les banques centrales dans leur volonté de baisser les taux directeurs), la Bourse pourrait alors subir un regain de volatilité, sur les deux rives de l’Atlantique et jusqu’au Japon.
C’est que les actions américaines sont, en plus,
devenues historiquement chères. Les sociétés cotées à Wall Street se paient en
moyenne près de 24 fois les profits espérés pour les 12 prochains mois
(traditionnelle jauge du degré de cherté des actions), un multiple presque deux
fois plus élevé que celui des actions européennes.
Autre élément de fragilité, le poids des 10 principaux poids lourds de la cote à Wall Street atteint près de 32 % de celui de l’ensemble du marché actions, un niveau proche d’un sommet de 100 ans, relève-t-on (les cycles longs de Kondratiev, même s’ils sont désormais désynchronisés depuis le 11 septembre 2001). Et il est très peu probable que ce phénomène d’hyper-concentration s’accentue encore significativement à moyen terme.
Heureusement, ces mastodontes de la Bourse des États-Unis (qui sont essentiellement les 7 Magnifiques : Nvidia, Apple, Alphabet, Meta, Tesla, Amazon et Microsoft) ont des niveaux de valorisation inférieurs à ceux de la bulle Internet de 2000 et leurs fondamentaux sont pour le moins enviables (situation de monopole ou presque, bilans extrêmement solides).
Mais, malgré ce bémol, la situation actuelle du marché actions « ricain », qui a un impact direct sur toutes les autres bourses mondiales, est quelque peu inconfortable et on ne peut pas exclure le scénario d’une correction baissière significative, voire celui d’un krach de la Bourse, surtout si les taux à long terme devaient s’envoler d’ici quelques trimestres, m’assure-t-on.
À noter qu’avec la crise politique « Gauloisienne-olympique »,
qui dure depuis déjà plus de 6 mois, l’écart de taux à long terme entre « l’Hexagonie-ruinée »
et la « Teutonnie-impériale » a beaucoup augmenté. Et s’il devait
connaître une nouvelle envolée marquée, des turbulences seraient à redouter
pour le CACa 40.
Quant à « Teutonnie-malade », il faudra surveiller ses élections à venir, car en cas d’issue défavorable (au moins aux yeux de la communauté financière), certains partis pourraient bloquer la mise en œuvre de réformes budgétaires favorables à la croissance économique.
Quant à la guerre commerciale que va mener « McDo-Trompe » vis-à-vis de la Chine et de l’Union Européenne, elle mettra davantage de pression à une activité économique déjà malmenée, c’est une évidence.
De plus, la guerre en Ukraine constitue quant à elle
un risque important. En effet, « Trompe » va inciter, que dis-je !
obliger « Zèle-en-sky » à négocier avec « Vlad-Poux-Tine »
pour mettre un terme au conflit, même au prix d’une cession partielle du
Donbass à la Russie et à l’abandon de la Crimée.
Une telle évolution constituerait une bonne nouvelle pour l’approvisionnement énergétique de l’Europe ainsi que pour les prix de l’énergie et pour les Bourses, et inversement, si la guerre en Ukraine devait au contraire dégénérer, l’impact serait naturellement négatif.
En résumé, 2025 pourrait être chahutée pour l’économie,
la finance et le pouvoir politique. Personnellement, sur ce plan-là, j’hésite :
Chez nous, je ne vois pas « Jupiter » démissionner, au contraire : Je le vois assumer tous les pouvoirs via l’article 16 de la constitution si aucune loi de finances n’est votée d’ici février ou mars… Et dans ce cas-là, il y aura dissolution de l’AN en juin prochain, d’où ressortira une forte majorité de tendance « Air-haine » et nous serons gouvernés par des branquignoles jusqu’en 2027 (ce qui ne va franchment pas être drôle et sera particulièrement saignant pour l’économie et les plus fragiles, qui porteront à l’Élysée un opposant charismatique qui à son tour fera une majorité de centre-droat au palais Bourbon après une nouvelle dissolution à ce moment-là. Et on clôturera l’épisode « LFI/Air-Haine » pour quelques années.
Mais c’est peut-être un fantasme de ma part.
En revanche, si « Bébé-Roux-de-secours » ou un autre parvient à faire fonctionner un gouvernement quelques mois, se posera alors le problème d’une « recomposition » à la rentrée 2025 et une éventuelle dissolution anticipée… ou non !
C’est donc à suivre…
Car entre-temps, « Poux-tine » pourrait
transformer la planète en désert radioactif (ill est assez fou pour ça, veut-il
nous faire croire), ou se faire exploser la rate comme ses généraux en pleine
rue de Moscou… ou avec un « missile longue portée de précision »
porteur d’une « charge sismique » (comme en Syrie) ou « Thermobarique »
(comme en Ukraine).
Et même pas besoin qu’il soit « hypersonique & invincible », il le sait bien…
Pour mémoire (n’en
déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE
PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE »,
REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
On fera le bilan une autre fois…
En revanche, pour le reste, on peut faire comme les analystes de la banque danoise Saxo et quelques autres, c’est-à-dire tirer des plans sur la comète et faire des prévisions chocs.
Cette année, Ceux de Saxo nous proposent un panel pas si idiot que ça.
Je vois surtout que le citoyen « ricain » a voté pour des pénuries et une augmentation du coût de la vie aux USA…
Mais pour les banquiers, ils en disent que les acteurs financiers mondiaux pourraient alors se tourner vers des alternatives au dollar.
Et dans un tel contexte, les cours du bitcoin et des autres cryptomonnaies pourraient s’envoler (c’est déjà en cours…). La capitalisation du marché des cryptomonnaies pourrait ainsi être multipliée par 4.
Quant au dollar, il pourrait fondre de 20 % face aux autres grandes devises et de 30 % face à l’or.
C’est un peu contradictoire, mais admettons…
En effet, la demande mondiale pour la puce révolutionnaire Blackwell de Nvidia, qui démultiplie les performances de calcul pour l'intelligence artificielle, pourrait exploser.
C’est surtout la déferlante des puces Qbit qui va être intéressante à suivre : Vont-elles apprendre à corriger toutes seules leurs erreurs de calcul ? Si oui, ça va être un massacre, une tuerie sans nom avec l’explosion tous azimuts de l’IA !
Un pas de géant pour tous ces industriels et derrière eux tous les utilisateurs…
Car la communauté financière a jusqu’ici été globalement déçue par l’ampleur des mesures de relance orchestrées par Pékin. Alors la Chine pourrait décider de doper son économie sous pression via un plan de relance budgétaire massif de 50.000 milliards de yuans (environ 6.500 milliards d’euros) pour 2025 et les années à venir.
D’où un impact positif notable sur la consommation des ménages, un soutien à l’inflation et à la croissance économique mondiales, une surperformance des marchés actions des pays émergents face aux pays développés et une augmentation des cours des matières premières.
Là, ce serait vraiment un choc : L’atelier du monde qui se remet en marche alors qu’il n’arrive pas à refourguer ses voitures électriques dont plus personne ne veut… je ne veux même pas savoir !
Le succès des organes bio-imprimés pourrait alors amener les analystes financiers à réviser leurs copies sur les secteurs des biotechnologies et de l’impression 3D, en relevant leurs estimations de croissance pour ces segments.
Une vague d’introductions en Bourse serait alors attendue. Cette vague d’innovation et d’investissement pourrait remodeler le secteur des soins de santé : Forcément, en dis-je…
Pour eux, au fur et à mesure que les prix des véhicules électriques deviennent plus abordables pour les automobilistes, la demande de pétrole pourrait subir un impact négatif majeur.
Plus sérieusement, l’Opep, minée par des disputes entre pays et des divergences de point de vue sur les niveaux de production d’or noir souhaitables, pourrait perdre des membres clés. Dans un tel contexte, les anciens États membres de l’Opep pourraient chercher à maximiser leur production pour doper leurs revenus, faisant ainsi plonger les cours du pétrole.
Un fantasme « écololos-bobos », vous-dis-je…
C’est un peu comme l’adjoint de « Sœur-Âne » qui veut inventer une « taxe Amazon » pour faire payer la lutte contre la pollution aux livreurs « du dernier kilomètre »…
En conséquence, 2025 verrait les prix de l’électricité augmenter dans d’importants bassins de population aux États-Unis, alors que les poids lourds américains de la high-tech s’attachent à sécuriser un approvisionnement électrique de base pour leurs centres de données d’intelligence artificielle, stratégiques pour eux, jusqu’à acheter clé-en-main des centrales nucléaires toutes neuves !
Un phénomène qui suscite l’ire des ménages, dont la facture d’électricité devient de plus en plus salée…
Désireux de calmer leurs électeurs, des autorités locales infligeraient de lourdes taxes et des amendes aux grands centres de données, permettant ainsi de financer une réduction des tarifs de l’électricité pour les ménages.
Un fantasme, mais le prix de l’énergie électrique restera un champ de bataille des deux côtés de l’Atlantique au moins toute une partie de l’année (avec les délires « teutons » sur le sujet)…
Il faut dire que 2024 a été marquée par des conditions météorologiques extrêmes, et Saxo Banque imagine pour 2025 une possible tempête catastrophique aux États-Unis, à même de couler un grand assureur ayant sous-estimé les risques liés au changement climatique. Ce n’est pas sous-estimé, mais ce n’est pas « préfinancé ».
En effet, la banque danoise n’exclut pas un sinistre qui se traduirait pour le secteur de l’assurance à des demandes d’indemnisation représentant plusieurs fois les 40 milliards de dollars demandés lors de l’ouragan Katrina de 2005, avec le déclenchement d’une crise à la clé.
Ce n’est pas impossible, mais les Lloyds sont là en qualité de réassureurs…
La livre Sterling a en effet souffert dans le sillage du Brexit, mais elle pourrait remonter à ses niveaux antérieurs face à la monnaie unique (à 1,27 euro pour une livre Sterling). Parce que la « Gauloisie-encore-olympique » et la « Teutonnie-germanique » font figure d’hommes malades de la zone euro (après les PIGS…), pesant ainsi sur la devise européenne. Or, les perspectives de croissance relativement plus robustes du Royaume-Uni font paraître l’économie britannique comme plus attractive.
Et Londres s’attache à éviter les hausses d’impôt sur le revenu les plus néfastes pour la croissance (ils ont compris ceux-là, pas comme chez les « insoumis ») et à diminuer les dépenses les moins productives du secteur public (pas comme chez nous où on va en rajouter), afin d’améliorer la trajectoire des finances publiques du Royaume-Uni, ce qui soutiendra la livre Sterling.
Mais cela suffira-t-il face au dollar et au yen ?
Les marchés actions ont connu des fortunes contrastées cette année, Wall Street ayant tenu la dragée haute à la plupart des autres grandes Bourses de la planète.
En particulier, le CACa 40 a sous-performé de façon notable les marchés actions américains, européens et japonais, sur fond de marasme dans le secteur du luxe (LVMH et Hermès), de crise politique persistante dans « l’Hexagonie » et d’incertitudes sur la trajectoire de l’économie « Gauloisienne-olympique ».
Et ceux-là anticipe désormais que 2025 pourrait être un millésime « volatil » pour la plupart des marchés actions.
C’est même une quasi-certitude : Il faut aller se réfugier, tant que ce n’est pas trop tard si ce n’est pas déjà fait, sur des valeurs « pierre » (papier ou en dur). C’est résilient la pierre…
Vous savez, le marronnier des boursicoteurs, qui revient régulièrement comme les saisons…
En effet, plusieurs vents contraires seraient déjà à l’œuvre (inflexion négative sur les fronts de la consommation des ménages et de l’emploi, en particulier), sans parler des incertitudes entourant la politique économique des États-Unis lors du second mandat de « Trompe » et notre incapacité à voter une loi de finances pour l’année qui va commencer.
Enfin, la valorisation atteinte par le Nasdaq et le Dow Jones suggère qu’une bulle s’est formée à Wall Street et pourrait bien finir par éclater.
Mais de plus en plus de géants de la grande distribution aux États-Unis alertent sur les dépenses des ménages, qui tendent à s’essouffler.
En « Gauloisie-olympique » aussi, on s’inquiète de la même façon avec un quatrième trimestre 2024 qui a vu ses volumes se réduire malgré les offres dynamiques amorçant une baisse des prix…
Sur le front de l’emploi, après des chiffres globalement mitigés ces derniers mois (créations d’emplois moins fortes qu’initialement indiqué, baisse du taux de démission des salariés, etc.), on redoute une « vague de licenciements » à même de plomber la dynamique de hausses des salaires et donc la consommation des ménages.
Une vague qui est en cours chez nous dans le BTP et les industries mécaniques…
Finalement, les entreprises devraient devenir de plus en plus frileuses pour investir, et, en tout cas pour l’économie « ricaine », elle pourrait basculer en récession.
Alors qu’en Europe on flirte déjà avec des taux négatifs depuis plusieurs mois…
Quant à l’économie de la zone euro, qui s’affaiblit de façon notable, une mauvaise surprise sur l’inflation (un rythme de hausse des prix plus élevé que prévu) compliquerait la tâche de la BCE et risquerait de favoriser un scénario de stagflation (croissance molle et inflation élevée), juge les analystes du même établissement financier.
Entre des perspectives économiques plus incertaines et le spectre d’une possible remontée progressive de l’inflation (ce qui pourrait gêner les banques centrales dans leur volonté de baisser les taux directeurs), la Bourse pourrait alors subir un regain de volatilité, sur les deux rives de l’Atlantique et jusqu’au Japon.
Autre élément de fragilité, le poids des 10 principaux poids lourds de la cote à Wall Street atteint près de 32 % de celui de l’ensemble du marché actions, un niveau proche d’un sommet de 100 ans, relève-t-on (les cycles longs de Kondratiev, même s’ils sont désormais désynchronisés depuis le 11 septembre 2001). Et il est très peu probable que ce phénomène d’hyper-concentration s’accentue encore significativement à moyen terme.
Heureusement, ces mastodontes de la Bourse des États-Unis (qui sont essentiellement les 7 Magnifiques : Nvidia, Apple, Alphabet, Meta, Tesla, Amazon et Microsoft) ont des niveaux de valorisation inférieurs à ceux de la bulle Internet de 2000 et leurs fondamentaux sont pour le moins enviables (situation de monopole ou presque, bilans extrêmement solides).
Mais, malgré ce bémol, la situation actuelle du marché actions « ricain », qui a un impact direct sur toutes les autres bourses mondiales, est quelque peu inconfortable et on ne peut pas exclure le scénario d’une correction baissière significative, voire celui d’un krach de la Bourse, surtout si les taux à long terme devaient s’envoler d’ici quelques trimestres, m’assure-t-on.
Quant à « Teutonnie-malade », il faudra surveiller ses élections à venir, car en cas d’issue défavorable (au moins aux yeux de la communauté financière), certains partis pourraient bloquer la mise en œuvre de réformes budgétaires favorables à la croissance économique.
Quant à la guerre commerciale que va mener « McDo-Trompe » vis-à-vis de la Chine et de l’Union Européenne, elle mettra davantage de pression à une activité économique déjà malmenée, c’est une évidence.
Une telle évolution constituerait une bonne nouvelle pour l’approvisionnement énergétique de l’Europe ainsi que pour les prix de l’énergie et pour les Bourses, et inversement, si la guerre en Ukraine devait au contraire dégénérer, l’impact serait naturellement négatif.
Chez nous, je ne vois pas « Jupiter » démissionner, au contraire : Je le vois assumer tous les pouvoirs via l’article 16 de la constitution si aucune loi de finances n’est votée d’ici février ou mars… Et dans ce cas-là, il y aura dissolution de l’AN en juin prochain, d’où ressortira une forte majorité de tendance « Air-haine » et nous serons gouvernés par des branquignoles jusqu’en 2027 (ce qui ne va franchment pas être drôle et sera particulièrement saignant pour l’économie et les plus fragiles, qui porteront à l’Élysée un opposant charismatique qui à son tour fera une majorité de centre-droat au palais Bourbon après une nouvelle dissolution à ce moment-là. Et on clôturera l’épisode « LFI/Air-Haine » pour quelques années.
Mais c’est peut-être un fantasme de ma part.
En revanche, si « Bébé-Roux-de-secours » ou un autre parvient à faire fonctionner un gouvernement quelques mois, se posera alors le problème d’une « recomposition » à la rentrée 2025 et une éventuelle dissolution anticipée… ou non !
C’est donc à suivre…
Et même pas besoin qu’il soit « hypersonique & invincible », il le sait bien…
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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