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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 16 décembre 2024

Pour les « chercheurs spéculateurs »…

Il n’y aucun doute !
 
Les étoiles les plus rapides de la galaxie sont probablement pilotées par des extraterrestres intelligents, suggèrent-ils dans un nouveau document soumis à mon appréciation…
 
Effectivement, une étoile de faible masse aura été découverte (ce n’est pas la première) traversant la Voie lactée à plus d’un million de kilomètres à l’heure (ce qui est beaucoup…), pour un voyage qui a commencé soit par l’explosion d’une supernova d’une étoile vampire, soit par une rencontre avec des trous noirs.
On ne voit pas d’autres solutions… théoriques, ni pratiques, telle qu’une propulsion nucléaire à base d’antimatière…
 
Si vous étiez attaqué par une étoile vampire vorace ou si vous risquiez de tomber dans deux trous noirs en duel, vous courriez probablement aussi très vite !
Par effet gravitationnel, pas par la peur d’être gobé, naturellement.
C’est l’un de ces scénarios terrifiants qui est probablement responsable de l’envoi d’une étoile de faible masse dans la course à travers la Voie lactée à plus d’un million de kilomètres à l’heure (1,6 million de kilomètres pour être précis : 444 km/s). Ce qui est environ 1.300 fois plus rapide que la vitesse du son au niveau de la mer.
L’étoile désignée sous le numéro CWISE J124909+362116.0 (J1249+36) a ainsi été détectée pour la première fois par des bénévoles de la science citoyenne du projet Backyard Worlds : Planet 9, qui explorent la grande quantité de données collectées par la mission WISE (Wide-field Infrared Survey Explorer) de la NASA sur une période de près d’une décennie et demie.
« J1249+36 » (pour les intimes) s’est immédiatement distinguée par son immense vitesse qui est presque trois fois plus rapide que la vitesse du soleil sur son orbite autour du cœur de la Voie lactée.
La vitesse de cette étoile « hypervitesse » est si grande, en fait, qu’il est probable qu’elle s’échappera, à terme, complètement de notre galaxie pour devenir une étoile orpheline comme il y a en a d’autres entre les galaxies.
 
Pour percer les secrets de cette étoile hypervéloce, Adam Burgasser, professeur d’astronomie et d’astrophysique à l’Université de Californie à San Diego (le grand port militaire US du Sud), s’est tourné vers l’observatoire W.M. Keck à Maunakea, à Hawaï, dans le but d’observer son spectre infrarouge.
Et son enquête a révélé que cette étoile appartient à une classe des étoiles les plus anciennes de la Voie lactée : Les « sous-naines L ».
Ces étoiles sont très rares et remarquables en raison de leurs masses très faibles et de leurs températures relativement fraîches.
Les données spectrales de l’équipe ont été combinées à un nouvel ensemble de modèles atmosphériques créés spécifiquement pour étudier les sous-naines L.
Cela a révélé la position et la vitesse de « J1249+36 » à travers la Voie lactée. « C’est là que la source est devenue très intéressante », a déclaré Burgasser dans un communiqué.
Sa vitesse et sa trajectoire ont montré qu’il se déplaçait assez vite pour potentiellement s’échapper de la Voie lactée. Et désormais, la question est de savoir ce qui a lancé cette étoile « sub-naine » sur sa trajectoire d’évasion aussi rapide.
Eh bien, cela nous amène à nos deux suspects.
 
Dans le premier scénario utilisé pour expliquer la nature hyperrapide de « J1249+36 », Burgasser et ses collègues ont émis l’hypothèse que cette étoile de faible masse était autrefois le compagnon stellaire d’un type d’étoile « morte » appelé naine blanche.
Or, les naines blanches naissent lorsque des étoiles plus petites comme notre soleil épuisent l’approvisionnement en hydrogène de leur noyau.
Lorsque cela se produit, la fusion nucléaire d’une étoile cesse.
Cela coupe le flux d’énergie vers l’extérieur qui soutient l’étoile contre la pression intérieure de sa propre gravité.
Bien que cela mette fin à la vie d’étoiles solitaires et isolées comme le soleil, les naines blanches dans les systèmes binaires peuvent revenir de la tombe en se nourrissant de manière cannibalesque de matière stellaire prélevée sur une étoile « donneuse » voisine.
 
Cette matière s’accumule alors sur la naine blanche jusqu’à ce que la masse de ce reste stellaire dépasse la limite de Chandrasekhar d’environ 1,4 fois la masse du soleil, au-dessus de laquelle une étoile peut devenir une supernova.
Il en résulte, comme vous le savez, un type d’explosion cosmique appelé « supernova de type Ia » qui anéantit complètement la naine blanche.
« Dans ce type de supernova, la naine blanche est complètement détruite, de sorte que son compagnon est libéré et s’envole à la vitesse orbitale à laquelle elle se déplaçait à l’origine, ainsi qu’un petit coup de pied de l’explosion de la supernova », a expliqué Burgasser.
« Nos calculs montrent que ce scénario fonctionne. Cependant, la naine blanche n’est plus là, et les restes de l’explosion, qui s’est probablement produite il y a plusieurs millions d’années, se sont déjà dissipés, nous n’avons donc pas de preuve définitive que c’est son origine. »
J’accepte le raisonnement : Cela paraît judicieux et je lui ai fait savoir, sauf que je vois mal un cortège de planètes, éventuellement habitées, suivre le mouvement du « coup de pied au kul » sans causer quelques dégâts à sa surface…
Mais bon, admettons que ce soit moins brutal qu’il n’y paraît pour s’étaler sur plusieurs décennies…
 
Et puis, le deuxième scénario envisagé par son équipe voit plutôt cette étoile hypervitesse commencer sa vie dans un amas globulaire, un conglomérat dense et compact d’étoiles liées entre elles par la gravité. Ces amas sphériques peuvent contenir de dizaines de milliers à plusieurs millions d’étoiles.
Ces étoiles sont concentrées vers le centre des amas globulaires, où les scientifiques théorisent que des trous noirs de masses variables se cachent également. Ces trous noirs peuvent se rassembler et former des binaires capables de lancer toutes les étoiles qui s’aventurent trop près d’eux hors de leur système d’origine.
Ce qui n’est pas forcément faux.
 
« Lorsqu’une étoile rencontre un trou noir binaire, la dynamique complexe de cette interaction à trois corps peut projeter cette étoile hors de l’amas globulaire », en dit Kyle Kremer, professeur adjoint entrant au département d’astronomie et d’astrophysique de l’UC San Diego.
Elle peut, effectivement.
En effet, les simulations générées par Kremer ont révélé que, en de rares occasions, ces types d’interactions peuvent expulser une sous-naine de faible masse d’un amas globulaire et les mettre sur des trajectoires similaires à celles observées avec « J1249+36 ».
Son équipe a également retracé la trajectoire de cette étoile à hypervitesse jusqu’à une région extrêmement encombrée de l’espace, qui pourrait en effet être l’emplacement d’un amas globulaire actuellement non découvert – ou, peut-être. plus d’un.
L’équipe va maintenant examiner la composition élémentaire de « J1249+36 » pour tenter de déterminer lequel de ces scénarios d’éjection est le bon.
La composition pourrait être une indication possible de l’origine, car lorsque les naines blanches « deviennent nova », elles polluent les étoiles qu’elles rejettent.
En plus de cela, les étoiles nées dans les amas globulaires ont des compositions chimiques distinctes.
Quant aux cortèges de planètes qui les accompagne, avec les effets de marée fort probable autour de ces événements, ils être totalement dispersés dans le vide spatial…
 
En bref, quelles que soient les origines de cette étoile, sa découverte offre aux scientifiques l’occasion unique d’étudier les étoiles hyperrapides dans leur ensemble. Et là c’est très cool.
 
Ceci dit, une civilisation extraterrestre avancée pourrait vouloir naviguer autour de la galaxie, et la meilleure façon de le faire est de diriger leur système d’étoiles binaires, propose-t-on par ailleurs.
Les civilisations à longue durée de vie peuvent en effet avoir de nombreuses motivations pour vouloir déménager ailleurs dans la galaxie : Elles peuvent avoir besoin d’échapper à une supernova imminente. Peut-être ont-elles besoin d’explorer de nouvelles ressources naturelles.
Ou peut-être ont-elles, comme nous, simplement envie d’explorer.
 
Cependant, compte tenu des distances énormes entre les étoiles, les voyages interstellaires sont extrêmement difficiles et prennent beaucoup de temps. Ainsi, au lieu de quitter leur système, une espèce extraterrestre intrépide pourrait décider d’emporter leur système tout entier avec eux.
Le principal avantage d’accélérer leur propre étoile serait qu’elles pourraient la garder avec eux pendant leurs déplacements. Elles le feraient en faisant rayonner ou s’évaporer leur étoile dans une seule direction, ce qui propulserait l’étoile, ainsi que toutes ses planètes qui gravitent autour d’elle, vers un nouvel emplacement dans la galaxie.
À condition que ce soit maîtrisé…
 
Ainsi, des astronomes ont cherché à savoir si les étoiles « hypervitesses » (qui, comme leur nom l’indique, sont des étoiles avec une vitesse extraordinairement élevée) ont pu être lancées intentionnellement par des civilisations extraterrestres, mais les candidates connues ne montrent aucun signe d’interférence artificielle.
Quoique… dans un article récent, Clément Vidal, philosophe à l’Université Vrije de Bruxelles en Belgique, a souligné que la plupart des étoiles ne sont pas solitaires mais appartiennent plutôt à des systèmes binaires.
Cela signifie que nous pourrions manquer la moitié des étoiles potentielles accélérées artificiellement.
Mieux encore, les systèmes binaires offrent de nombreux avantages par rapport à leurs homologues solitaires, écrit Vidal dans son article, qui n’a pas été examiné par des pairs ou publié dans une revue scientifique (mais j’en ai eu une mention).
Vidal a pris exemple sur un système modèle composé d’une étoile à neutrons avec une étoile de faible masse en orbite autour d’elle.
Cette configuration offre en effet la plus grande flexibilité en termes de maniabilité et de poussée.
 
Une civilisation extraterrestre devrait trouver alors un moyen d’éjecter de la matière de l’étoile. Cela pourrait provenir de champs magnétiques asymétriques ou d’un dispositif qui provoque un chauffage inégal à la surface stellaire.
Quoi qu’il en soit, l’objectif serait de faire en sorte que l’étoile éjecte plus de matière dans une direction que dans une autre. Cela créerait une poussée, poussant le système binaire dans la direction opposée, a expliqué Vidal.
Si la civilisation plaçait la machinerie sur ou près de l’étoile à neutrons, où la forte gravité pourrait fournir une source d’énergie prête à l’emploi, elle pourrait diriger le système binaire en faisant soigneusement tourner la machine.
Par exemple, s’ils activaient la machine uniquement au même point de l’orbite, ils enverraient le système binaire dans une direction. S’ils laissaient la machine activée un peu plus longtemps, ils ajustaient leur trajectoire, pointant leur mouvement dans la direction qu’ils souhaitaient le long du plan orbital !
Ils pourraient même diriger leur système dans de nouvelles directions hors orbite en modifiant la direction dans laquelle leur machine était pointée, changeant ainsi l’orbite de l’étoile à neutrons autour de son compagnon.
Et le tour serait joué !!!
 
Or, étonnamment, il existe de vrais systèmes dans l’univers qui correspondent à ce genre de caractéristiques, comme le pulsar « veuve noire » « PSR J0610-2100 » et le pulsar « redback » « PSR J2043+1711 ».
Ces deux systèmes ont des accélérations significatives.
Bien qu’il soit peu probable qu’ils soient causés par l’ingénierie extraterrestre, ils valent la peine d’être examinés, conclut Vidal.
Du moins, tant qu’ils sont encore là.
 
J’avoue qu’on a de l’imagination dans les laboratoires de recherche d’astrophysique.
De quoi inspirer ma véritable nature d’écrivain-plumitif, auteur pénible de narratifs désespérément encrés dans l’actualité, alors que ma joie serait d’écrire de brillants « spaces opéra »…
Mais je vais mourir avant d’y parvenir : Tant pis pour l’humanité !
En attendant, c’était déjà indispensable de vous donner des pistes de l’extraordinaire diversité de solutions proposées par les lois de la physique pour se promener dans le vaste univers…
Ça méritait bien ce « petit-post »…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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