La chute de la « Maison Assad » (1/2)…

Fait grincer des dents en « Gauloisie-olympique »
 
Je ne sais pas d’où vient cette admiration sans limite, cette fascination émerveillée pour tous les régimes et personnages politiques autoritaires à l’extrême droâte de l’échiquier politique de mon pays.
Quant à la même appétence doctrinale qui va jusqu’à l’aveuglement à l’extrême gôche pour tous les régimes à vocation terroriste, d’État ou non, elle n’a d’égal que l’exaltation des mêmes d’extrême droâte pour les mêmes régimes « de résistance » déjà établis et qui mettent au pas leur population, dans la joie et la bonne humeur générale, cela va sans dire.
Mais je ne comprends pas d’où viennent ces sentiments d’asservissement « au plus fort », au plus brutal, au plus pervers (qui œuvre naturellement pour le bien du peuple et au-delà, du « genre humain », cela va toujours sans dire…).
Qu’est-ce qui aura été raté dans leur éducation de futur citoyen, leur petite-enfance, leurs classes d’ados, à ces « leaders » d’opinion là ?
 
Démonstration encore une fois avec le départ pour des cieux plus accueillants de « Bachar-El-Chimique »… L’offensive du groupe islamiste, qui a permis la chute du tyran syrien, est la plus spectaculaire depuis le début de la guerre civile, déclenchée en 2011 après la répression sanglante de manifestations prodémocratie et qui avait fait plus de 500.000 morts.
Mais celle-là aura été fatale au régime soutenu par « Poux-tine » le bienfaiteur de l’humanité.
 
Et je ne sais pas si chez les « insoumis » de « Mes-Luches » on se réjouit ou on pleure. Normalement, on devrait faire la fête qu’un dictateur qui martyrisait son peuple disparaisse du paysage politique (et géopolitique) d’autant que cette victoire des forces de résistance qui combattent pour leur liberté sont des soutiens de la cause palestinienne (qu’il faudrait vénérer même si ses militants sont obligés de devenir des terroristes eux-mêmes) envers et contre tous !
Normal, entre terroristes, on se comprend même sans parole et on se soutient quand on ne s’étripe pas…
Je ne sais pas vous, mais moâ je me souviens de ses photos de la bien-aimée « Rima-A-sanne » (sans son rimmel) des mèches de cheveux au vent, dans une voiture, sourire aux lèvres… et table couverte de mets orientaux, fleurs blanches en gros plan, accessoirement eurodéputée LFI dans le civil qui se promène sur la scène occidentale enturbannée de son keffieh et qui publie sur Instagram son quotidien dans le camp palestinien de Neirab, en banlieue d’Alep (Syrie), pas plus tard que début mars 2024.
Un voyage présenté comme étant sur les pas de sa famille et motivé par l’écriture d’un livre autobiographique à la gloire percutante (et ô combien méritée) de la donzelle.
 
À l'époque, déjà, son déplacement avait fait grincer les dents des opposants à « Bachar el-chimique » : « Par quel miracle a-t-elle pu entrer en Syrie et repartir tout aussi tranquillement pour Amman (Jordanie) ? » s’interrogeait un chroniqueur franco-syrien-gauloisien, exilé pour de vrai, lui, et depuis douze ans en « Gauloisie-olympique ».
Car le camp palestinien de Neirab a toujours été contrôlé d’une main de fer par le régime syrien…
Pleure-t-on dans les rangs de LFI, ou se réjouit-on ?
Je n’en sais rien : Ils restent silencieux.
Et ils ne sont pas les seuls.
 
Ainsi, alors que cela fait plusieurs jours qu’il a été renversé en Syrie, « Marinella-tchi-tchi » (qui a encore pour ambition de devenir elle aussi cheffe de l’État en vos noms et prénoms), n’a toujours pas eu le moindre commentaire sur ce bouleversement géopolitique d’ampleur.
À moins qu’il fût si discret que personne n’ait jugé bon de m’en avertir…
Au « Air-haine », c’est « J’ordonne-le-Bordel-là », doté de sa replète indemnité européenne (à l’image de celle de « Rima-sans-rimmel ») pour faire l’effort de vous représenter dans un Parlement dont lui et les encartés du même parti, voulaient il y a encore peu la disparition, qui s’est chargé de nous éclairer sur la position de sa formation politique (attrape-financements publics payés par mes impôts et les dettes posées sur la tête et les épaules de nos « nichées » respectives), alors que chez LFI, y’a personne pour faire le service minimum.
 
Interrogé sur le plateau de « Télé-trans-3 » dimanche dernier, il n’a répondu qu’en brandissant de potentiels effets néfastes pour la « Gauloisie-olympique », le gueux : « Dans quelques mois, il est possible que nous payions les conséquences de cette prise de pouvoir des fondamentalistes islamistes par des flux migratoires importants », a-t-il répondu, avant d’appeler l’Union européenne à « anticiper le risque d’un déferlement migratoire, où pourraient se glisser des terroristes islamistes » sans jamais imaginer que les millions de syriens exilés en Turquie et ailleurs vont pouvoir libérer des emplois et des logements pour rentrer chez eux rebâtir leur pays…
 
Le plus drôle, mais finalement ça ne m’étonne pas de lui, c’est que c’est une position partagée par son allié « Riton-Chiotti » (Comment a-t-on laissé celui-là prendre la tête du parti « ex-gaulliste » ???), qui prédit même un « un chaos aux conséquences incalculables, notamment migratoires pour l’Europe ».
Incalculable, vraiment ou seulement pour les nains du neurone ?
Punaise de gourgandine de fille de catin : Je découvre ainsi que le « boucher de Damas » et son régime de terreur était un barrage à la migration sauvage de terroristes barbus en Europe Occidentale !!!
Quelle révélation !
Et lui disparu, on sera submergé par des « terroristes-syriens » libérés des prisons « assadiennes »…
Voilà qui va réjouir tous les apprentis sorciers qui jouent avec le feu à vouloir la destruction de tout ce qu’ils touchent, y compris les institutions, tant qu’ils n’auront pas le droit et le pouvoir de vous faire caguer ad nutum…
Vous savez quoi, j’ai bien fait de vieillir jusque-là : Je mourrai moins kon !
 
Vous vous rendez-compte de l’étendue de mon ignorance, puisque jusqu’ici je croyais bêtement que les nombreux départs en exil de syriens-natifs n’étaient jamais provoqués que par les responsables politiques de Syrie qui ont plongé leur pays dans la guerre de la civile.
Mais non pas du tout, pas du tout et c’est même tout l’inverse : Heureusement que, comme pour l’extrême droâte « Gauloisienne-olympique » qui persiste à présenter « Bachar-El-Chimique » comme un rempart efficace face à l’islamisme, même s’il est établi que le dictateur syrien a sciemment libéré des centaines de jihadistes en mai 2011, « Chiotti » m’ouvre enfin les yeux !
Quelle lumière scintillante que ce chauve-là…
Un phare dans les nuit et brouillard dans lesquels je me perdais…
 
Car il faut dire que le profil du leader des rebelles islamistes syriens est d’ailleurs brandi comme une preuve que la chute du dictateur syrien, en dépit des multiples atrocités qu’il a commises, est nécessairement une mauvaise une nouvelle : « Alors que certains se réjouissent de la chute du régime de Bachar al-Assad, on en apprend un peu plus sur les nouveaux dictateurs qui vont le remplacer, et plonger la Syrie dans un nouvel enfer.
Régime islamique à l’iranienne ou à l’afghane ? Telle est maintenant la question… », s’interroge sur « Xxxl » la députée « Air-haine » l’Eure.
Ils sont bien dans l’Eure : J’évite de plus en plus de départements, ou alors juste pour une « escale-pipi » quand je me déplace en « Gauloisie-olympique »… C’est comme ça, tellement les cloportes et autres « bas-du-bonnet » envahissent les paysages de mon pays (celui que j’aime tant et qui parfois, parfois seulement, me le rend un peu…)
« Le camp du mal c’est Daech. Est-ce que Bachar envoie des soldats tuer nos enfants dans nos rues ? » nous racontait d’ailleurs « Marinella-tchi-tchi », en 2017.
Ella a décidément tout compris…
Et ça veut parler en mon nom ? Quelle prétention ! Quelle fatuité !…
 
« Est mon ennemi les ennemis de mes amis »… car connu pour son positionnement pro-Russe et donc sa proximité avec « Bachar-El-Chimique », un autre eurodéputé « Air-haine » (qui se gave pareil de mes impôts pour ses bons et loyaux services rendus en mon nom à Strasbourg), « Titi-Marianne-Ni » pour le dénommer (un « patrio-traître » qui a oublié qui l’a porté sur les fonds baptismaux politiques, mais il n’est pas le seul dans ce parti qui accueille moult renégats…), vient ainsi sans surprise au secours du dictateur syrien (lui aussi exilé, comme moâ, mais moâ je suis revenu, en partie seulement pour faire une escale hivernale à « Paris-olympique »), en reprenant le narratif (martelé par ailleurs par votre grand copain-copain « Vlad-Poux-tine » dit le vrai et grand démocrate & tolérant devant l’Éternel qui n’aura jamais fait assassiné personne ni dans ses prisons, ni dans leurs exils) d’un pays dorénavant laissé aux mains des islamistes. « La France se félicite de la victoire des islamistes en Syrie. Bientôt, les mêmes regretteront une nouvelle vague de réfugiés et une montée de la menace terroriste islamiste en Europe », aura écrit cet eurodéputé, dans l’un des nombreux « twists » qu’il a consacrés à la situation.
 
Chez eux, aucun pour se réjouir de la fin d’une dictature au bilan humain absolument effroyable au kul de la Méditerranée. En revanche faire peur aux citoyens assez cultivés pour voter pour eux (aux européennes, un scrutin paraît-il sans enjeu, mais qui aura provoqué par ricochet la dissolution anticipée de notre AN et jusqu’à se retrouver dans une situation ingouvernable), c’est leur fond de commerce et c’est une chose qu’ils cultivent avec délectation. Presqu’une seconde nature (sinon la première !)
Mais demeurer simplement lucide et assez mesuré pour être responsable (de sa parole et de ses opinions pour pouvoir l’être ensuite dans ses actes dans les ministères) sur la suite des événements est manifestement une chose hors de leur portée.
Et ils ne s’en rendent même pas compte…
 
Car en fait, le « F-Haine », puis le « Air-haine », n’a jamais fait autre chose que de soutenir « Bachar-El-chimique » pourtant ostracisé du concert des nations, au prétexte qu’il était — a minima — un « moindre mal » face au djihadisme sans jamais s’interroger sur la responsabilité du dictateur syrien dans l’éclosion de l’État islamique.
Un positionnement binaire qui a plusieurs fois conduit les responsables du parti du « Borgne-di-San-Cloud » et sa fille, à nier les atrocités commises par le régime. Après une (énième) attaque chimique lancée par l’armée syrienne à Khan Cheikhoun en avril 2017, « Marinella-tchi-tchi » s’offusquait ainsi de la réaction de « McDo-Trompe », qui avait ordonné en représailles un bombardement en Syrie.
Pourtant un adepte de la manière forte, « Trompe »…
Bref, aucune surprise à attendre de ces gens-là…
Même le père, en « Patriote » assumé était allé à Bagdad cirer les pompes de Saddam alors que nos biffins se préparaient à batailler contre ses troupes pour libérer le Koweït…
C’est fort, un « Patriote » quand il s’agit de vénérer la haine et l’oppression…
Passons.
 
Quant à « Marions-Marée-chiale », alors députée « frontiste », elle allait jusqu’à reprendre la propagande du régime syrien, en laissant entendre que toutes ces histoires d’utilisation d’armes chimiques n’étaient que des manipulations occidentales !
Bien sûr, bien sûr : « Au moment où la Syrie connaît une éclaircie diplomatique, pourquoi Bachar al-Assad choisirait précisément ce moment pour déclencher une attaque ? », questionnait-elle, réclamant « une enquête indépendante » sur les crimes attribués à « Bachar-El-chimique », malgré les nombreux témoignages récoltés par les ONG et la presse sur place et les photos d’enfants gazés qui choquaient par ailleurs la communauté internationale.
Mais bon, l’IA générative n’existait pas encore et déjà, forcément, les preuves relevées ultérieurement par les « enquêtes indépendantes » ne sont pas arrivées jusqu’à sa macula…
 
Cette complaisance à l’égard de Damas a parfois changé de degré, mais jamais de nature. Ainsi, en 2019, l’eurodéputé « Air-haine » « Virginal-Juron » expliquait, de retour d’un voyage en Syrie, que les rues de « Paris-pas encore olympique » étaient plus dangereuses que celles de la capitale syrienne.
Si !
Et pourtant, « Sœur-Âne » n’avait pas encore gâché comme elle l’a fait plus tard nos belles avenues…
Lors de ce même voyage, son collègue « Titi-Marianne-Ni » (toujours lui) se félicitait d’ailleurs d’avoir trouvé dans un restaurant de Sednaya une bouteille de côtes-du-Rhône, malgré les sanctions et l’embargo qui frappaient Damas !
Si !
Que des civilisés, en Syrie, tiens donc…
 
« Bravo à nos viticulteurs qui ont réussi à distribuer leur vin jusqu’ici », se félicitait-il attablé en terrasse, dans cette ville où le régime avait installé la plus terrible de ses prisons politiques, qualifiée « d’abattoir humain ».
Deux ans plus tard, en août 2021, le même retournait voir son dictateur préféré, accompagné pour l’occasion de celle qui deviendra ensuite la porte-la-parole (consentante) du « Air-haine ». Sur « Twister », l’élu frontiste n’hésitait pas à tresser les louanges de « Bachar El-chimique ». Un dirigeant pourtant accusé depuis 2013 par l’ONU de « crimes contre l’humanité ».
Mais une accusation, ce n’est pas une condamnation ferme et définitive, effectivement…
Et plus récemment, en 2022, « Marinella-tchi-tchi » appelait même elle aussi à reprendre les relations diplomatiques avec le dictateur syrien : « La rupture des relations diplomatiques avec la Syrie nous a aveuglés, notamment dans le domaine de la lutte contre le terrorisme islamiste, peut-être au moment le plus dangereux que traversait le pays », expliquait la candidate à l’élection présidentielle, proposant ni plus ni moins que la réhabilitation d’un tyran.
De quoi, sans doute, expliquer l’embarras de la députée du Pas-de-Calais, dont l’un des vieux amis, « Freddie-Chatouillons », a lui aussi participé aux défilés des figures d’extrême droâte aux côtés de « Bachar-le-chimique ».
 
Des images, on va en avoir plein notamment sur la libération de la prison de Sednaya, symbole du tyran. Des images glaçantes partagées sur les réseaux sociaux montrant des hommes, femmes et enfants hagards, libérés d’un lieu qualifié d’« abattoir humain » par les ONG (forcément suspectes).
« Fin de la tyrannie à la prison de Sednaya », a écrit sur Telegram le groupe islamiste radical Hayat Tahrir al-Sham (HTS) qui mène la coalition de rebelles en Syrie. « Les portes de la prison de Sednaya, connue comme étant un “abattoir humain”, ont été ouvertes pour les milliers de détenus », a confirmé l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH). Tout de même des exécutions sommaires, par pendaison, y étaient régulières, « une à deux fois par semaine, entre 20 et 50 personnes » chaque fois.
 
Des scènes chaotiques de l’intérieur de la prison circulent sur la toile, des portes de cellules forcées libérant des détenus hagards, dont parfois des femmes et des enfants. Des enfants, oui des enfants, des « petits-d’homme » de l’espèce homo sapiens-sapiens… probablement conçus à l’occasion de viol, mais on saura ça plus tard…
Sur d’autres images particulièrement glaçantes, des murs détruits à coups de massue laissent entrevoir des cavités souterraines où des personnes auraient pu être détenues dans l’obscurité totale.
L’organisation humanitaire des Casques blancs, a d’ailleurs confirmé d’intenses fouilles au sujet de « cellules souterraines cachées, qui contiendraient des détenus ».
 
Des équipes ont été dépêchées d’urgence dans la prison. Elles sont « composées d’unités de recherche et de sauvetage, de spécialistes de l’abattage des murs, d’équipes chargées d’ouvrir les portes en fer, d’unités canines entraînées et d’intervenants médicaux », expliquent les Casques blancs sur « Xxxl ».
Mais leur quête aura heureusement été vaine, semble-t-il.
À la télévision publique, les rebelles ont annoncé la chute du « tyran » et la libération de tous les prisonniers « injustement détenus » (ça, va savoir…), dont ceux enfermés à Sednaya, la prison symbole des pires exactions des forces de Bachar, le « bon docteur ».
Toujours sur « Xxxl », une association turque de personnes détenues ou disparues à la prison de Sednaya a mis en garde les familles voulant se rendre dans l’établissement : « Des mines antipersonnel se trouvent dans les champs environnants et derrière les murs de la prison. Privilégiez les voies pavées et évitez les routes de terres », prévient l’association.
Quitte à faire un détour.
 
En 2017, Amnesty international avait publié un rapport sur cette prison où le « gouvernement syrien massacre discrètement son propre peuple ». À partir de témoignages d’anciens détenus, d’ex-responsables de l’établissement et de médecins militaires, l’ONG affirmait que les prisonniers de Sednaya étaient « torturés à maintes reprises, privés systématiquement de nourriture, d’eau, de médicaments et de soins médicaux ».
 
Heureusement que nous avons des femmes et des hommes politiques, de droâte et de gôche (aux extrêmes, tant pis) « défenseurs » des minorités opprimées et du bon peuple patriote qui ont su soutenir le régime de « Bachar-El-chimique » même après la chute de son régime : Franchement, je me sens apaisé et en sécurité de savoir qu’ils sont ainsi une majorité à protéger mon pays contre ses occupants réputés incompétents de l’extrême-centre.
Pas vous ?
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)