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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 13 décembre 2024

Observation de bon sens.

C’est Jean-Marc…
 
« En fait, le calendrier de l’avent, c’est comme le salaire : Il est entièrement bouffé avant le 25 ! »
 
Jean-Marc :
« Quel temps de chiotte…C’est vraiment un temps de chat.
De chat ?
Oui, c’est comme un temps de chien, sauf que j’ai envie de sortir, mais vue la météo je n’ai plus trop envie, mais en même temps® il faut que je sorte, mais il pleut, donc je ne sais pas, mais je dois sortir, mais j’ai la flemme, je sais pas… »
 
Germaine montre à Jean-Marc comment on se sert d’une machine à laver le linge…
« — Je règle la température à combien ?
— C’est marqué quoi, sur ton T-shirt ?
— Rolling Stones ! »
 
Jean-Marc et son compère Jean-Paul, devant une bière, autre observation de bon sens…
«  Tu te rends compte…
— Quoi ?
— … en 2024, nous sommes arrivés à un point, ou quand quelque chose de positif nous arrive, on se demande à quel moment ça va merder ! »
 
L’excuse de Jean-Marc à son chef de service :
« —Bé alors, Jean-Marc ! Tu as vu l’heure à laquelle tu arrives aujourd’hui !
—Oui, je sais chef… Excusez-moi, mais j’ai eu un accident…
— Un accident ? Un accident de réveil, oui !
— Oui et non… Il a bien sonné et je me suis levé. Mais je me suis levé tellement vite que je me suis cogné la tête contre l’oreiller et j’ai perdu connaissance pendant plusieurs heures ! »
 
Germaine et Marie-Chantal, au salon de thé, tapotant le clavier d’un téléphone portable en main de façon attentive…
« — Tu vois, dans cette application, je rentre tes données personnelles, tes préférences sexuelles, et ça calcule avec qui tu vas passer la prochaine nuit !
— Ah oui ? Et alors, c’est qui ?
— Avec ton pyjama… »
 
Jean-Paul avec Jean-Marc, devant une nouvelle bière (et toujours dans le cadre des observations de bon sens) :
« Derrière chaque femme en colère, il faut savoir qu’il se trouve un homme qui n’a absolument aucune idée de ce qu’il a fait de mal ! »
 
Jean-Marc, à son chef :
« — Franchement, je n’aimerais pas être dans votre tête !
— Mais pourquoi vous dites ça ?
— Parce que je suis vraiment effrayé par le vide… »
 
Jean-Jacques à Marie-Caroline :
« — Mon amour, j’ai un problème…
— Si tu as un problème, c’est notre problème alors tu dis « nous »…
— D’accord… Alors nous avons un problème.
— Lequel ?
— Nous avons mis la baby-sitter enceinte ! »
 
Jean-Paul, à Jean-Marc :
« Moi, j’aime bien les saucisses de viande de chevreuil…
Le seul problème, c’est qu’après en avoir mangé, on produit des gaz à effet de cerf… »
 
Germaine à Jean-Marc, un soir avant de dîner :
« Sois honnête et dis moi…
Oui.
Tu me trompes avec une autre ?
Ah non, je te le jure : C’est toujours la même ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, devant une nouvelle bière…
« Une bière et encore une bière et encore une autre… On se ruine la santé avec ça !
Ah oui, probablement, mais qu’est-ce que ça désaltère…
On devrait faire plus de sport pour compenser.
Peut-être, mais quel sport qui ne soit pas trop fatiguant et qui ne donne pas soif ?
Un sport d’hiver, par exemple, puis on est en hiver.
Lequel ?
Le ski… Tu te laisses glisser sans forcer le long d’une pente douce. Tu aimes le ski ?
Des fois oui, des fois non…
Comment ça ? Qu’est-ce qui fait que parfois tu l’aimes et parfois non.
Je l’aime seulement quand il y a un « oui » devant… Le Oui-ski, quoi ! »
 
Jean-Marc avec une belle de jour.
Elle : « Tu penses à moi, parfois ? »
Lui : « Bien sûr ! Là, par exemple, je cherche ton prénom… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, attablés devant une bière :
« Certains jours, au bureau on a l’impression d’être entourés que par des cons !
Ah ça, ne m’en parle pas…
Oui, mais il y a d’autres jours où tu te rends tout d’un coup compte que ce n’est pas seulement certains jours… »
 
Jean-Paul philosophe devant sa bière, l’air un peu triste :
« Un rencard, c’est un peu comme une activité de jardinage.
Comment ça ?
Bé soit tu finis avec une pelle, soit avec un rateau… »
  
La blague colportée par Jean-Luc (« Mes Luches ») :
« C’est l’histoire du Président qui consulte une voyante en ces moment difficiles pour lui…
Elle lui dit : … Je vois une longue voiture qui roule sur les champs Élysées…
La police qui ouvre le convoi a du mal à se frayer un chemin à travers une foule en délire et ivre de bonheur qui chante un avenir meilleur…
Et il lui demande : Et comment je réagis ?
Je ne vois pas, lui répond la voyante… Le cercueil est fermé ! »
 
À l’école :
Le professeur : « Écris sur le tableau ‘‘ je suis absent en classe’’.
L’élève : « Mais je ne peux pas, M’ssieur. Si je suis absent, comment écrire au tableau ! »
 
Pendant ce temps, au Sahel, deux gamins :
« — Tu savais qu’il y a des pays où les gens font caca dans de l’eau potable ?
— Ahahahah ! T’es vraiment trop con, toi ! »
 
Un instituteur de l’école communale du village demande à ses élèves qu’elle serait, à leur avis, la plus belle mort possible…
Une petite-fille lève la main au second rang, es lève et répond :
« — Ce serait de mourir comme mon grand-père !
— Ah ? Et comment est-il mort ?
— Dans son sommeil !
Effectivement, il est parti apaisé et sans s’en rendre compte…
Et la plus atroce des morts, à votre avis ? »
La même petite fille se relève et prend la parole :
« — Ce serait de mourir comme les copains de mon grand-père !
— Et ils sont mort comment ?
— Dans la voiture de mon grand-père quand celui-ci s’est endormi et qu’ils ont plongé dans un ravin ! »
 
Marie-Françoise avec Marie-Luce, des copines de Marie Chantal et de Germaine :
« — C’est incroyable…
— Quoi donc ?
— Je suis encore enceinte… Il doit y avoir un truc dans l’air !
— Oh oui ! Probablement tes jambes… » 
 
Jean-Marc à Jean-Paul :
« Il paraît qu’on râle 20 fois par semaine…
Ça se voit qu’ils n’ont pas interrogé mon épouse pour leur sondage ! »
 
Jean-Paul, à Marie-Clotilde, la fille qu’il drague :
« — Je te préviens, on dit de moi qu’au lit, je suis un véritable animal !
— Ah oui, quel genre d’animal ?
— Un fauve impitoyable !
— La rumeur publique prétend que tu es plutôt un paresseux !  »
 
 
 
Jean-Marc, seul devant sa bière :
« 50 balais, c’est beaucoup pour quelqu’un qui n’aime pas faire le ménage… »
 
Marie-Madeleine à Germaine :
« — Il est pas mal ce gars.
— Je sais…
— Tu le connais ?
Oh oui… Il est même super-proche !
— Tu peux me le présenter ?
— Il est en couple.
— Et tu crois que c’est ça qui va m’empêcher de le gérer ?
— Exactement !
— Ah oui… Tu ne me connais pas…
— Ce mec est en couple avec moi ! C’est mon homme et il s’appelle « pas touche ». Donc tu dégages ou je te défonce ! »
 
Rappel de Dumè :
« Pour être Corse, il ne suffit pas d’être né en Corse.
Il faut avoir le cœur et le caractère corses.
Le respect de nos aïeux, la fierté de notre histoire, le culte de nos traditions.
Aller à l’encontre de nos traditions, c’est renier par de là même notre passé, jeter le blâme et l’insulte sur la mémoire de nos pères ;
C’est s’exclure soi-même de la grande famille corse, c’est se mettre au ban de la Patrie corse.
En attendant le jour de la « Résurrection » – un grand jour que nous ne verrons peut-être pas mais dont l’aube pointe déjà dans nos cœurs émerveillés – tout Corse qui n’est pas autonomiste, au moins en tendance, n’est qu’un moi qui s’ignore, un bipède sans marque, un inconscient, une tête de bétail stupide qui foule la planète, le museau vers la terre uniquement soucieux de sa pâture… »
Xavier Paoli, instituteur, in « A Cispra », 1914…
 
Un conseil de Marie-Chantal :
« Si ton mari prend une maîtresse, toi aussi prend un professeur…
Tout le monde a bien le droit d’étudier ! »
 
Jean-Marc à Jean-Paul devant leur bière vespérale :
« Ma femme est fâchée contre moi !
Elle prétend que j’ai gâché son anniversaire !
C’est un mensonge éhonté…
Je n’y étais même pas ! »
 
Une revenue… de loin !
Ce sont deux membres musiciens du club des violonistes qui bavardent.
Un corse et un breton…
Et tous les deux sont fiers de leur talent.
Le Corse dit à son compère :
« La semaine dernière, j’ai joué un concerto à la Cathédrale d’Ajaccio devant 6.000 personnes.
Eh bien, tu ne vas pas me croire, mais j’ai tellement bien joué que j’ai fait pleurer la statue de la Sainte Vierge ! »
Perplexe, le breton hoche la tête et dit :
« Moi, hier, j’ai joué devant 10.000 personnes dans la Cathédrale de Brest.
Eh bien tu ne vas pas me croire, mais à un moment j’ai vu le Christ se décrocher de sa croix et venir vers moi !
Dans un silence de mort et de stupéfaction, je me suis arrêté de jouer et il est venu vers moi.
J’étais terrorisé, mais il s’est arrêté devant moi pour me demander si je connaissais bien ma partition…
Je lui ai répondu : Oui Seigneur Jésus, je connais mas partition. Pourquoi tu me demande ça ?
Il m’a répondu : Mon fils, c’est parce que la semaine dernière, à la Cathédrale d’Ajaccio, il y avait un petit corse prétentieux qui a fait pleurer ma mère tellement il jouait mal sa partition ! »
Dans l’originale, c’était un soprano de province qui bavardait avec Pavarotti à la Scala de Milan…
 
Sans rancune aucune, bon début de week-end (ce soir) à toutes et tous tout de même !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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