Une « revenue »
de Jean-Marc
C’est Jean-Paul qui rentre dans un bistrot, pas mal amoché, tout égratigné
sur la figure les mains et les bras.
Alors ses copains lui demandent ce qui lui est arrivé.
Le Jean-Paul répond :
« Je viens d’enterrer ma
belle-mère. »
Les autres lui répondent :
« Quel est le rapport avec tes
égratignures ? »
Jean-Paul leur répond :
« Mais c’est qu'elle ne voulait
pas. »
Trois amis meurent dans un accident d’auto et se rendent dans l’antichambre
du paradis…
Là on leur demande :
« Pendant que vous serez dans
votre cercueil et que vos parents et amis seront auprès de vous et pleureront
votre départ, qu’aimeriez-vous entendre de leur part ? »
Jean-Pierre, le premier dit :
« J’aimerais les entendre dire
de moi que j’étais le plus grand médecin de mon temps et un très bon père de
famille. »
Jean-Paul, le deuxième gars dit :
« J’aimerais les entendre dire
de moi que j’étais un merveilleux mari et un super bon professeur qui a aidé
des milliers de jeunes. »
Jean-Marc dit :
« Moi… J’aimerais les entendre
dire : ‘‘HÉ ! Regardez ! Il bouge !’’ »
Ça se passe au Moyen-Âge, dans la cour d’un roi réputé pour sa cruauté et
sa férocité.
Un jour, le roi demande à un astrologue…
« Toi qui peut tout deviner,
dis-moi quand tu vas mourir. »
L’astrologue qui sent le piège répond.
« Deux jours avant votre
majesté. »
Un monastère attend la visite du pape.
Pour préparer la venue de sa sainteté, un archevêque visite le monastère
pour vérifier la culture du personnel.
Dans un premier temps, il croise un simple moine et lui pose la question :
« – Dis-moi, mon fils, où est
né Jésus ?
– À Nazareth.
– Très bien mon fils. »
Dans un second temps, il croise un simple jeune curé et lui pose la
question :
« – Dis-moi, mon fils, où est
mort Jésus ?
– Au mont Golgotha, Monseigneur.
– Très bien. »
L’archevêque croise alors le jardinier en train de tondre le gazon :
« – Dis-moi, mon fils où est né
Jésus ?
– Je sais pas » répond l’homme en se grattant
le nez.
« – Et dis-moi, sais-tu où est
mort Jésus ?
– Pas plus… »
L’archevêque sursaute et explique à ce jardinier les connaissances
minimales à retenir lors de la venue du pape.
Pour ne pas les oublier, le jardinier inscrit les réponses à savoir sur sa
tondeuse.
Le grand jour arrive, et le pape jase avec plein de monde.
Il contrôle le moine, des religieuses et différents employés.
Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Et voilà qu’il s’approche du jardinier qui est appuyé sur sa tondeuse.
« Dis-moi, mon fils, où est né
Jésus ? »
Le jardinier se penche discrètement vers sa tondeuse et dis fièrement :
« – À Nazareth, mon père.
– Très bien ! Et sais-tu
où est mort Jésus ? »
Le jardinier se penche encore sur sa tondeuse…
« – Au mont Golgotha et je sais
même comment s’appelait les deux larrons qui étaient crucifiés en même temps
que lui.
– Ah oui !!!
– Oui, oui », répond l’homme en se penchant,
« ils s’appelaient BLACK et DECKER… »
Cette fois, ça se passe en Chine.
L’Empereur, tout puissant, décide de faire mourir son bouffon.
« – Mais comme je ne te déteste
pas, je te laisse le choix de ta mort.
– Pour de vrai ?
– Comment peux-tu mettre
ma parole en doute ?
– Non mon maître.
– Alors, décide…
– J’aimerais mourir de
vieillesse… »
L’Empereur éclate de rire… et lui laisse la vie.
Jean-Marc entre dans une pharmacie avec son fils
de 8 ans.
Ils passent devant le comptoir des préservatifs…
« – Qu’est-ce que c’est, papa ?
– Ça s’appelle des
préservatifs. Les hommes les utilisent pour avoir des relations protégées.
– Oh je vois », répond le garçon pensivement. « Oui, j’en ai entendu parler en classe
d’hygiène, à école. »
Il examine l’étalage et ramasse un paquet de 3 et demande :
« – Pourquoi ceux-ci sont en
paquet de 3.
– Ce sont pour les
garçons du lycée. Un pour vendredi, un pour samedi, et un pour dimanche.
– Cool », dit le garçon. Et il remarque
un paquet de 6 et demande : « Pour qui est-ce que sont ceux-ci alors ?
– Ce sont pour les
universitaires, DEUX pour vendredi, DEUX pour samedi, et DEUX pour dimanche.
– SUPER ! Alors qui
utilise CEUX-CI » demande-t-il en
ramassant un paquet de 12 ?
Avec un grand soupir Jean-Marc
répond :
« C’est pour les couples mariés.
Mariés depuis longtemps. Un pour janvier, un pour février, un pour mars… »
La jeune fille vient de marier un vieux.
Ce dernier lui a fait une cour assidue et lui a laissé miroiter un
héritage confortable.
Mais quand même…
Le soir des noces, elle verse dans le café de son époux, un pot entier de
viagra qu’elle a acheté le matin même.
Le lendemain matin, elle file chez son pharmacien.
« E-x-t-r-a-o-r-d-i-n-a-i-r-e ! votre produit.
Mon mari m’a fait l’amour sept fois et j’ai connu toutes les extases.
Chose certaine, il est
mort heureux ! »
Une femme à la confesse.
« – Mon père, c’est
épouvantable ! Je m’accuse de me promener sans petite culotte pour exciter les
hommes, mais je suis mariée !
– C’est un gros péché ma
fille.
– Que dois-je faire pour
me faire pardonner ?
– Bien… Faites-moi trois
ou quatre culbutes en sortant ! »
La tête sous le capot, le mécanicien dit à Jean-Marc :
« – Si je vous disais qu’il
faut changer le moteur, auriez-vous assez d’argent ?
– Si je vous répondais
que je n’ai pas assez d’argent, faudrait-il encore changer le moteur au complet
? »
Une petite fille regarde sa mère qui applique une crème hydratante sur son
visage.
« – Pourquoi tu fais ça ?
– Pour être belle ! »
Et lorsque sa mère enlève l’excédent de crème avec un kleenex…
« Pourquoi, maman, tu enlèves
la crème. Tu ne veux plus être belle ? »
« – Docteur, j’ai un œil qui
n’est pas pareil que l’autre ?
– Ah oui. Lequel ? »
Une jeune femme vient d’apprendre qu’elle est atteinte d’une maladie
terrible et qu’il ne lui reste à peine trois mois à vivre.
Elle invite le curé pour régler ses dernières volontés.
Elle choisit les vêtements qu’elle portera, la musique, les textes et les
chansons.
Quand le curé s’apprête à partir, elle le retient par la manche…
« – Il y a une autre chose…
– Quoi ?
– Ceci est très important. Je veux être enterrée avec une fourchette dans
ma main droite. »
Le curé reste interdit….
« – Cela vous surprend, n’est-ce-pas ?
– Pour être honnête, disons que je suis perplexe devant votre requête.
– Voici. Ma grand-mère m’a raconté cette histoire, et depuis, j’ai
toujours essayé de transmettre ce message à ceux et celles que j’aime ou qui
ont besoin d’encouragements.
Dans toutes mes années de participation aux événements sociaux et dîners,
je me souviens toujours qu’inévitablement quelqu’un se penchait pour me dire « Gardez
votre fourchette »
C’était mon moment préféré car je savais que quelque chose de mieux s’en
venait, comme du gâteau mousse au chocolat ou une tarte aux pommes. Quelque
chose de merveilleux et avec de la substance !
Quand les gens me verront dans le cercueil, avec une fourchette dans une
main, je veux qu’ils se demandent : « Pourquoi cette fourchette ? » Alors vous
pourrez leur dire : Gardez votre fourchette car le meilleur est à venir ! »
Jean-Marc, complètement saoul, tombe sur un
contrôle routier.
« – Vos papiers ?
– Hein ?
– Vos papiers !
– Je ne peux pas.
– Et pourquoi donc ?
– J’sus complètement
pacqueté. Hic. J’arrive d’un mariage et j’ai bu comme un trou. Alors, faut pas
m’emmerder avec vos histoires de papier.
– Alors je vais vous
demander de souffler dans le ballon.
– Comment », dit Jean-Marc rouge de colère,
« vous ne me croyez pas ? »
Dans un compartiment de chemin de fer où se trouve déjà un monsieur seul,
deux ravissantes jeunes femmes s’installent.
Peu après le départ du train, l’une dit…
« – Tu sais, ma chérie, j’ai
tellement de frais, je n’y arrive plus ! Je ne sais pas comment je vais m’en
sortir…
– Fais comme moi », dit l’autre. « Prends un amant qui te donnera quatre mille
euros par mois.
– Mais je ne connais
aucun homme qui ait les moyens de le faire !
– Alors, prends-en deux
qui te donneront deux mille euros chacun !
– Même deux mille euros,
je ne vois pas…
– Alors prends-en quatre
qui te donnent mille euros chacun ! »
À ce moment-là, Jean-Marc, le
monsieur, lève la tête de son journal…
« Dites-moi, quand vous en
serez à cent euros, je suis d’accord pour faire partie des quarante types… »
La jeune-fille attend l’autobus.
Lorsqu’elle veut monter : Impossible.
Sa mini-jupe est trop serrée.
Les deux mains en arrière, elle baisse un peu la fermeture-éclair.
Un autre autobus arrive… Encore impossible.
Elle baise une fois de plus la fermeture-éclair et attend…
Cette fois, quand le bus arrive, elle sent deux mains sur les fesses qui
la soulèvent.
« – Hé vous. Vous n’êtes pas
gêné !
– Comment, ça fait deux
fois que vous ouvrez ma braguette ! On devient assez intime, maintenant » lui fait Jean-Marc.
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire