La
campagne « parigotte » accélère !
À dix-huit mois des municipales, celle qui a été imposée par
« De-la-Nuée » (lui-même élu grâce aux abstentions des
« Tibéristes » [je sais, j’avais ordre de « ne pas faire
campagne »] pour faire barrage au « bâfreur-de-pizza »),
reconduit par les « arsouilleries » de « Bling-Bling », elle
va réussir le tour de force de s’éliminer toute seule !
Dommage, j’aimais bien son parfum, son sourire d’andalouse, ses bécots
enflammés… mais depuis le temps qu’elle ne me lèche plus la caouane…
Tout passe, tout lasse, tout casse comme disait ma
grand-mère.
Et puis elle m’avait mis en contact assidu avec
« Myriam-El-Konnerie », aux charmes marocains indubitables, avant
qu’elle ne devienne « sinistre » de « Gras-Nul-Laid », le
« Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois » : Une forte
concurrence visuelle… jusqu’à la taille.
Et puis, et puis, j’ai bien été obligé de laisser vaches, veaux, cochons
esseulés dans le sillage de mon exil…
De toute façon, les équipes municipales suivantes n’étaient pas « à
la hauteur ».
Si les précédentes n’aient jamais pu l’être…
Voilà qu’elle est lâchée par son premier adjoint. Un entretien :
Vingt minutes, pour devenir son futur chef de campagne, en supputait-on…
Une heure à peine après cette annonce, la mairesse de Paris s’est
empressée de nommer un autre des piliers de son équipe, son adjoint chargé des
finances et patron de la fédération « P.Soce » (ça existe encore,
ça ?) pour prendre la place vacante dans l’immense bureau de façade, en
coin de la rue de Rivoli (Je sais, j’y suis allé plusieurs fois…). « Être maire de Paris n’est pas un long fleuve
tranquille, c’est une vocation. La vie nous réserve parfois des surprises et la
politique aussi. Le reste, ce ne sont que des soubresauts », a-t-elle
commenté.
Notez qu’en octobre dernier, c’est déjà lui qu’elle avait appelé à la
rescousse pour remplacer l’adjoint aux Finances devenu subitement sénateur « Jupitérien ».
Un vieux de la vielle-garde « Delanuesque » et ses tours de
passe-passe budgétaires, passé par son cabinet et celui de
« J’y-aime-Air-Eau » alors « Premier sinistre ».
L’ex-ligne « Titine-Eau-brie », finalement…
Le démissionnaire en profite pour dénoncer un « déficit d’écoute et d’échange », un « déficit d’humilité et de compréhension », une « incompatibilité ». « Je n’y crois plus. Je ne veux pas faire
semblant ». « Au lieu de s’ouvrir et
d’engager le dialogue avec les Parisiens pour surmonter les difficultés
actuelles, c’est le repli sur l’Hôtel de Ville et le déni de sa part qui l’ont
trop souvent emporté », regrette-t-il.
« J’espère provoquer un électrochoc
nécessaire, utile à la gauche et au camp progressiste et écologiste. »
« Au moment de la polémique sur le
rapport de 14 pages commandé à l’Ifop sur la propreté (pour un coût de 224.580
euros), Bruno a eu le malheur d’exprimer
ses réserves sur le sujet et de dire que ce rapport, c’était une erreur. Elle
ne l’a pas supporté », raconte un proche de l’ex-premier adjoint. « Mais ce que Bruno Julliard lui a dit à haute
voix, des maires d’arrondissement socialistes le pensaient aussi. Il était un
des derniers à pouvoir encore lui dire ouvertement certaines choses.
Maintenant, c’est fini ».
Voire un autre reproche, carrément un « manque d’authenticité ».
Il était temps qu’il s’en aperçoive, notez bien, parce que ça date depuis
l’origine : Souvent, elle dit blanc et les actes ne suivent pas.
À mon époque, versé dans les « petits-crèches » associatives,
j’ai eu droit à son discours sur la création de milliers de berceaux nouveaux
avec la volonté affichée de faire une place prépondérante aux associations,
appuyée par des flots interrompus de subventions, d’investissement et de
fonctionnement.
Notez, même chose à « Boulogne-Billancourt » : Le cocu en
place voulait doubler l’accueil à 400 places dès son arrivée…
Et comme « mon gardien » faisait aussi « ingénieur-bâtiment »,
nous nous sommes mis en chasse de foncier grâce à son réseau.
À Boulogne, en trois mois, on avait cinq sites « potables » pour
une petite centaine de place avec promesse de bail ou de vente : On s’est
fait blackbouler comme des malpropres et on a même vu les subventions de
fonctionnement de celle qu’on dirigeait diviser par jusqu’à 20 au fil du temps.
On a tenu 7 ans avant de la transformer en « crèche-parentale » au
profit des « copains du maire ».
Paris, même souci : L’enveloppe n’étant pas extensible à l’infini (il
fallait 15 K€ par place), les services ont rogné sur les budgets de toutes
celles existantes sauf les crèches « feujs » (mais si !). En un
peu plus d’un an, une vingtaine (certes mal gérées) ont fermé et deux fois plus
ont été reprises par les « grosses associations » (notamment
ABC-Puéricultrice, qui est une fausse association), Crescendo (la boutique à « Beau-Raie-L’eau » elle aussi une fausse
association), « L’ONCP » (une fausse « Croix-Rouge »).
Nous avions présenté une douzaine de projets (dans les mêmes conditions de
faisabilité). Ils ont tous été attribués à d’autres, ou à la municipalité quand
il s’agissait d’une cession (droit de préemption activé) et écœurés, nous avons
abandonné, faute de moyen.
À ce jeu-là, (de la chasse à la subvention) c’est « Kangourou »
(une autre fausse association), « Maison-Bleue » (soutenue par la
CDC) et « Babilou » (soutenu par l’ex-Générale de santé), de vraies
entreprises capitalistiques, qui sont les gagnantes : Elles se partagent
qui les crèches-d’entreprise pour le premier et les « concédées »
pour le second (y compris celle de l’Assemblée Nationale !).
Ceci dit, pour revenir à notre sujet du moment, c’est un coup dur dans la
compétition à venir : Elle, elle voit le verre à moitié plein. « Car les résultats sont là. Beaucoup
d’équipements sportifs, culturels, éducatifs sont en cours de livraison. On
lance de grands projets d’aménagement de l’espace public. On progresse sur des
sujets comme la propreté. Les difficultés dont il fait état trouvent un
épilogue positif, que ce soit sur Vélib’ ou les mobilités post-Autolib. »
C’est oublier le verre à moitié vide. Justement les déboires des vélos et
voitures partagées (avec l’arrivée de nouveaux opérateurs et les VTC),
l’impossible gratuité universelle des transports publics, la police municipale,
l’inflation non maîtrisée du budget municipal avec l’instauration d’une taxe
départementale payée deux fois, les dérapages des « poubelleurs », la
propreté des chaussées (quand elles ne sont pas « défoncées » pour
faciliter la vie des cyclistes et des bus), l’énorme dette
« parigote », le conflit des voies sur berges, les quartiers piéton
qui vont couper la ville en mille morceaux, et j’en passe.
Pour les « écololos », ils regrettent ce départ. « C’est une mauvaise nouvelle. Bruno avait
conscience de la nécessité de travailler avec nous en partenariat sur un gros
volet écologique », en dit le président du groupe EELV au Conseil de Paris,
tout en s’interrogeant sur les motivations plus politiques qu’il faut donner à
cette démission.
Pour les « cocos-staliniens », pas de doute : « C’est une opération politicienne, car dans
ses critiques, on retrouve celles d’En Marche et de la droite », fustige le
président du groupe PC au Conseil de Paris.
L’autre prétendant à l’Hôtel de Ville, ancien porte-parole de « Tagada-à-la-fraise-des-bois »
twistait quant à lui : « Une pensée
affectueuse pour @BrunoJulliard qui a tant fait pour Paris et les Parisiens
depuis 2008 ».
Alors, le démissionnaire a-t-il décidé de partir avec fracas dans l’idée
de se présenter sur une autre liste ?
Il en dit « réfléchir à un autre
avenir professionnel ».
Ah, c’était sa profession ?
Eh oui, en « bon professionnel », il fragilise à nouveau la
majorité-plurielle municipale, déjà chahutée par la création d’un groupe LREM
au Conseil de Paris et soumise aux diktats des élus « écololos ».
On sait « Grivois » sur les rangs, on sait « Mounir-les-bijoux »
également de rêver d’un destin municipal, et on devine « qu’Éd.Fil-Lippe »
y pense également : Il n’a toujours pas de carte des
« Marcheurs-Rêveurs » et son « sinistre de l’intérieur » a
déjà anticipé son départ pour Lyon…
D’autres n’ont pas attendu les « échéances » pour se faire la
malle…
Le mek qui va s’y coller aura de toute façon du taf : Le dossier
Vélib’ et son énorme retard ou la fin d’Autolib’ et sa faramineuse ardoise de
250 millions d’euros de dédommagement.
JCDecaux contraint de démonter une partie de ses panneaux parisiens après
une décision du Conseil d’État, et du coup, un manque à gagner de plus de 40 millions
d’euros pour la Ville : Un autre revers pour les finances municipales.
Les voies sur berge, dont plus personne ne remet en cause la
piétonnisation rive droite, mais dont la méthode a été jugée brutale par les
élus parisiens et franciliens d’opposition : Un dossier encore très sensible.
Et puis on n’en parle jamais : Les SDF, les camps de toile, les
réfugiés et même les mosquées de rue qui attirent une foultitude de « crasseux »
parfois agressifs…
Un des devoirs du coran : La charité obligatoire !
L’ouverture des commerces le dimanche : Prônée par « Jupiter »
quand il était à Bercy, la mairie qui y était opposée ayant fait volte-face
depuis. Une attitude qui lui a été reprochée par son aile gôche.
Au-delà de ces « discordes » profondes, c’est la « Bataille
de Paris-sur-la-plage » qui s’amorce largement : « Ils ne sont pas d’accord sur la ligne
politique. Alors qu’Anne Hidalgo semble vouloir élargir son assise en se tournant
vers la société civile un peu à la manière d’En Marche, d’autres comme Bruno
veulent garder l’ancrage à gauche et ménager les alliances avec les partenaires
écologistes et communistes », note un élu. Le premier adjoint n’aurait pas
apprécié que la maire de Paris décide seule, sans consulter sa majorité, le
coup de pouce accordé aux séniors et aux handicapés pour le passe Navigo.
« Bruno Julliard a aussi conscience
de l’image très dégradée d’Anne Hidalgo. Et ils sont plusieurs maintenant à
l’Hôtel de Ville à ne pas vouloir couler avec elle », observe un
conseiller. « Anne Hidalgo est dans le
creux de la vague. Dans ce climat, les tensions sont normales », tempère
une conseillère de Paris.
« Nous n’avons pas toujours le même
avis », minimise Bruno Julliard.
« Parfois elle tient compte de
ma position ou pas. C’est un fonctionnement normal. Nous avons eu deux points
de désaccords sur des sujets faisant partie de ma délégation. Je me suis
exprimé librement. Elle a tranché. J’ai accepté sa décision. Nous avons une
relation d’une grande proximité », assurait encore récemment l’ex-premier
adjoint.
« Ce sont des bruits de couloir.
C’est le dernier coup d’une campagne qui participe à mettre le bazar là où il
n’y en a pas », commente l’entourage de « Sœur-Âne ».
Pas du tout, pas du tout !
Dogmatique à souhait, calculatrice politique sans autre cap que d’assurer
sa réélection en 2020, sachant qu’à l’élection de juin des députés « Marcheurs-rêveurs »
ont fait « raz-de-marée » : Elle a déjà perdu son bastion !
Et quand on sait que le nouveau patron des « Rêveurs-soumis »
est désormais un élu parigot, je peux te vous dire que les coups-bas vont voler
en escadrilles.
En nuées, même !
La « pôvrette », elle s’est crue patronne des
« parigots », tout comme son prédécesseur
« De-La-Nuée » : Je suis, donc j’impose.
Hein du moment que ce n’est pas avec leur fric mais celui de leurs
administrés… pourquoi se gêner ?
On le souligne assez dans ce blog : C’est le cancer de cette
République. Au lieu de se poser dans le siège de l’arbitre, là pour trancher
les avis divergents pour le meilleur de l’intérêt général, ils en viennent même
à changer les règles du jeu à coups de « réformes » (« en même
temps »), rarement « bien calibrées » au fil du temps, pensant
pouvoir en tirer le meilleur pour… eux-mêmes !
C’est assez incroyable d’avoir la vue si basse, finalement…
Rivée sur un « plan de carrière ».
En attendant, tout cela me fait penser au « cousin-Jean »
(Tiberi) : Les rats fuyaient le navire à la fin de son règne passé dans
l’ombre du « Chi ». C’était son « plan de carrière » de
carrière à lui : Finir dans le fauteuil du Maire là où son père n’avait
jamais été qu’un haut-fonctionnaire de la Mairie.
Vous savez quoi ? Il a enterré son père quand il a été
« nommé » (contre « D’jack-All-Good ») en remplacement du
« Chi ».
Je sais, j’y étais.
Et vous savez quoi ? « Miss Koko-suce-Mor-riz-haie », elle
a enterré le sien avant son échec électoral à la conquête dudit fauteuil.
Je sais, j’y étais aussi, mais pas en l’église Saint-Médard dans le Vème,
à Sèvres où il avait été longtemps un élu municipal.
Funestes augures de fin de règne : Je n’ai pas reçu de nouvelles récentes
de la santé d’Antonio, son père…
De toute façon, la bataille va être saignante et je me régale déjà !
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