Jean-Marc !
Mais d’abord la petite énigme du vendredi :
Dans un nouvel édifice, les propriétaires ont décidé de nommer les étages
comme suit :
Janvier pour le rez-de-chaussée, février pour le premier, mars pour le
second et ainsi de suite jusqu’à décembre.
Curieusement l’édifice de 12 étages compte 365 employés, dont 52
directeurs, assistés de 7 chefs de division.
Sachant tout cela, comment appellent-ils l’ascenseur ?
Réfléchissez bien avant de répondre…
Jean-Marc a déménagé le 1er février
dans son nouvel appartement. L’autre soir, il est sorti sur le palier pour
fumer une cigarette : Germaine lui interdit de fumer à l’intérieur.
Tout à coup, une porte s’ouvre, sa voisine avance sur le palier et lui
fait son plus beau sourire. Elle a les pieds nus, et elle ne porte qu’une
simple robe de chambre.
Et ça parle, parle et ça jase, jase.
Au bout d’un moment, il réalise qu’elle est nue sous sa robe de chambre.
Elle lui laisse même entrevoir ses seins.
« Venez chez moi, j’entends
quelqu’un qui vient. »
Il entre chez elle, elle se tourne vers lui, ouvre sa robe de chambre, se
colle sur lui et l’embrasse passionnément.
Après ce fougueux baiser, elle s’écarte et laisse tomber sa robe de
chambre.
« – Dis-moi, quelle partie de
mon corps est la plus parfaite ?
– Tes oreilles.
– Mes oreilles ? Pourquoi
mes oreilles. Regarde mes seins, mes hanches, mes fesses, mon ventre brûlant et
tu me parles de mes oreilles ? Hé ! Ho !
– Oui, oui, tu m’as
demandé quelle partie de ton corps est la plus parfaite et je suis convaincu
que se sont tes oreilles.
– Comment ça ?
– Bien, quand tu as dit
que tu entendais quelqu’un qui venait, c’était moi, effectivement ! »
Jean-Marc se présente au cinéma avec un poulet
sur l’épaule, il demande 2 billets.
« C’est pour qui le deuxième
billet ? » lui demande la caissière.
Et Jean-Marc de répondre : « Pour
mon poulet bien sûr ! »
La caissière lui fait remarquer qu’il est interdit d’amener des animaux au
cinéma.
Jean-Marc se dirige alors vers l’arrière du bâtiment et met le poulet dans
son pantalon. Retourne au cinéma prend un seul billet et entre s’asseoir.
Le poulet est à l’étroit et commence à avoir chaud. Il s’agite dans le
froc de Jean-Marc.
Alors, Jean-Marc ouvre sa braguette afin que le poulet puisse écouter le
film en passant sa tête par l’ouverture.
Assise tout près une femme remarqua le geste de son voisin et dit à son
amie :
« Hé… L’homme à côté vient
d’ouvrir sa braguette. »
Son amie lui répond :
« – Bof… Quand on a vu une on
les a toutes vues.
– C’est ce que je
croyais… Mais celle-là, elle mange mon Pop-Corn. »
Alors que maman-Germaine passe l’aspirateur dans la chambre de son fils Jean-Alexis,
âgé de 15 ans, elle tombe sur « S&M fashion Le magazine des SadoMaso »,
voué à la gloire du bondage et du latex.
Surprise et passablement en colère de voir son fils s’adonner à de telles
turpitudes, elle met la revue sous le nez de Jean-Marc, son mari dès qu’il
rentre en hurlant :
« Tiens ! Regarde ce que j’ai
trouvé dans la chambre de ton fils ! »
Jean-Marc prend le magazine, parcourt silencieusement une minute, puis il
le rend à sa femme.
Celle-ci le regarde étonné et lui demande :
« – Alors, c’est tout l’effet
que ça te fait ? Qu’est-ce qu’on va faire ?
– Je ne sais pas, mais il
y a une chose qui est sûre : Ce n’est pas la peine de lui donner une
fessée. »
Jean-Marc à Germaine :
« Je sais que pour une femme,
c’est difficile de rendre un homme heureux. Si ce travail te paraît trop dur
toute seule, tu peux te faire aider par tes copines ! Moi, je vais comprendre. »
Jean-Marc et Germaine viennent de se marier.
Ils rentrent à l’hôtel après une longue journée de libation.
Ils passent une nuit torride…
Germaine était encore vierge, mais elle a vite appris.
Une nuit d’extase.
Lorsqu’elle ouvre l’œil le lendemain matin, Jean-Marc est sous la douche.
Il chante comme un grand ténor.
En sortant de la douche, il constate qu’il n’a pas de serviette.
Il va dans la chambre alors que Germaine est assise sur le bord du lit.
Il est nu.
Elle le regarde, lentement, attentivement, de haut et bas pour, enfin,
fixe son regard sur son pénis.
« – Mais c’est quoi ça ?
– C’est la chose avec
laquelle tu as eu tellement de plaisir cette nuit » répond-il en rougissant.
« Mon Dieu ! C’est tout ce
qu’il reste ? »
C’est un accouchement très difficile, parce que le nouveau-né se tord de
rire.
Un rire démoniaque comme il n’en existait pas avant celui-là.
Heureusement le médecin réussit à le sortir du ventre de sa mère.
Il lui donne, comme il se doit, deux petites claques sur les fesses, le secoue
mais le bébé rit à hurler.
Le médecin remarque que le nourrisson garde le poing obstinément fermé.
Alors, il lui déplie la main et dedans il y a…
…
Une pilule…
Jean-Marc fréquente une jeune fille depuis
quelque temps, et ça a l’air de bien fonctionner.
Ce jour-là, après un bon repas au resto, il se sent audacieux, et il lui
demande si elle veut bien coucher avec lui.
« Mon cher, pour ça, il
faudrait d’abord m’emmener à l’autel », dit-elle en rougissant.
« Bien sûr ! On va quand
même pas faire ça dans la rue… »
« – Dis-moi, Jean-Marc, il y avait deux gâteaux dans
le frigo. Tu peux me dire pourquoi il n’en reste qu’un ?
– Ben… J’avais pas vu le
deuxième ! »
Après les inondations, deux clochards sont assis sous un pont :
« – Dis donc, c’est dégueu
quand tu parles, tu as la bouche qui pue des pieds !
– C’est normal, j’ai
toutes mes dents qui se déchaussent ! »
De Jean-Paul à Jean-Marc, au
bar-tabac du coin :
« – Moi, les filles, je les
rends toutes folles.
– Ah oui ?
– Tiens, la nuit passée,
la grande salope à Nicole a cogné dans ma porte pendant plus d’une heure. Une
vraie folle !
– Ouais, c’est fort.
– Yes man. Jamais je ne
l’ai laissée sortir. Elle me prend pour qui ? Une tapette ? »
Jean-Marc, Jean-Michel, Jean-Paul et Jean-René
sont accoudés au comptoir.
« – Dis-moi Jean-René, ça fait
bien 20 ans qu’on se connaît, t’as eu des filles comme ça et tu ne t’es pas
marié. Jamais. C’est quoi ton problème ?
– Ben je vais te dire…
Moi je cherche une femme qui fait la cuisine comme ma mère.
– Hé ! Raconte-nous une
autre histoire, s’il te plaît…
– Je te dis, je cherche
une femme qui fait la cuisine comme ma mère.
– Viens pas nous dire que
tu n’as jamais rien trouvé !
– Qui font la cuisine
comme ma mère ?
– Ouais…
– Oui, des tas, sauf que chaque fois que j’en
ai trouvé une, elles voulaient faire chambre à part. Comme ma mère ! »
Deux nains originaires de Paris se rencontrent sur la Place St-Pierre à
Rome.
« – Henri !
– Paul !
– Ça fait une éternité
qu’on s’est vu !
– Ben oui, au moins 15
ans.
– Oui, c’est à peu près
ça. Qu’est-ce que tu fais ici ?
– Les vacances…
– Moi aussi. Tout de même, c’est
incroyable comme le monde est petit ! »
Germaine dit un jour à Jean-Alexis, son gamin :
« – Tu sais Alex, j’aimerais
quand on visite Mamy, tu ne hurles pas à chaque fois que tu dois aller aux
toilettes : « Maman j’ai envie de pisser ! »
– Ah bon ? » répond son fils. « Bien Maman, et que dois-je dire ?
– Eh bien, je ne sais pas
moi tu dis doucement… J’ai envie de chanter, je comprendrai.
– Oui, Maman… »
Quelques jours plus tard, en visite chez sa Mamy pour quelques jours,
voilà qu’à 2 h du matin, Jean-Alexis doit aller aux toilettes.
Il frappe donc doucement à la porte de la chambre de sa Mamy, qui lui
ouvre et se souvenant des conseils de sa Maman, lui dit :
« – Mamy, j’ai envie de
chanter…
– Comment ? » dit la Mamy. « À 2 h 00 du matin mais ça peut peut-être
attendre demain ?
– Non, Mamy, je te jure
que c’est urgent ! »
Alors la Mamy se baisse à la hauteur de Maxime et lui murmure :
« Bon, alors tiens, fais-le à
l’oreille de Mamy pour ne pas réveiller Papy… »
Grandes découvertes scientifiques :
« C’est parce que la vitesse de
la lumière est supérieure à celle du son que tant de gens paraissent brillants
avant d’avoir l’air con… dès qu’ils ouvrent la bouche ! »
Un professeur demande :
« – Jean-Philippe, parle-moi
d’Archimède.
– C’est un savant », répond fièrement Jean-Philippe.
« Un savant ! Un jour, il prenait
son bain et il a crié « EUREKA ! EUREKA ! ».
– Et que veut dire EUREKA
?
– Euh… Ça veut dire : «
J’ai trouvé ! ».
– Et qu’est-ce qu’il a
trouvé ?
– Le savon, monsieur. »
Ah, la « petite énigme »…
Réponse logique : En appuyant sur le bouton, pardi !
Oui, je sais, vous les aviez bien méritées !
Bon week-end à toutes et tous !
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